Cocu-soumis

La demande en mariage 4.

 

7.jpgJ’écarte délicatement les pans de mon trenchcoat, lui dévoilant ce qu’il a entraperçu en entrant, mon absence de jupe. Je suis en bas et body, perchée sur des talons vertigineux, l’imper ouvert, la tenue de travail d’une pute au bois de Boulogne. Mais j’ai à la main une cravache, symbole de ma nouvelle autorité, et cela change tout. Je suis peut être une pute finalement, mais une pute dominatrice, une pute qui fixe les règles. Je tords l’instrument de torture sous mes doigts, j’aime sa souplesse. Je prends un air menaçant, il ne peut soutenir mon regard et baisse les yeux. Il fixe alors la cravache avec fascination.

 

- Tourne toi !

 

Il se tourne et me présente ses fesses, adorablement musclées et rebondies. Je ne résiste pas au plaisir de les lui cingler. Il lâche un cri où se mêle surprise et douleur.

 

- Tais toi !

 

J’aurais dû apporter un bâillon. Je le cravache à nouveau, plus fort, et il sautille sur place. Dans un réflexe que je condamne immédiatement, il se couvre les fesses pour se protéger.

 

- Retire tes mains !

 

Je lui assène aussitôt une volée de coups, plus cinglants les uns que les autres. Il hurle et replace les mains sur son cul pour intercepter la cravache. Je n’ai d’autre choix que de l’attacher. Ses fesses se balafrent de jolies zébrures, je ne pensais pas avoir frappé si fort. Mais je n’en ai pas fini avec son joli popotin. Je me saisis de ses poignets, les lui monte très haut dans le dos et lui fixe les menottes. Ainsi, il ne pleut plus se couvrir le postérieur. Son cul m’appartient.

Il se contorsionne sur la table pour m’adresser un sourire et un regard reconnaissant.

 

- Oui ma chérie, menotte moi ! Que je ne puisse échapper à ta fessée. Je suis désolé d’avoir mis les mains, c’est un réflexe.

 

- Oh mais tu n’échapperas nullement à la fessée, crois moi ! Pour l’heure, je me contenterai de quelques coups de cravache, histoire de tester ta résistance à la douleur, mais des fessées, tu en recevras bientôt.

 

- Oh oui… Donne moi la fessée, j’adore ça.

 

- La ferme je t’ai dit !

 

La cravache siffle à nouveau deux fois. Pierre se tord de douleur mais parvient à ne pas hurler. Je8.jpg n’ai pas envie d’entendre ses jérémiades, ou pire, qu’il me dicte ce que je dois faire. De l’extrémité de mon instrument, je lui fais comprendre qu’il doit écarter les jambes. Il obéit. Je prends les cordelettes que j’avais préparées sur la table tout en le toisant d’un air mauvais. Il essaie de me sourire, puis il baisse les yeux, vaincu, impressionné, déjà à ma merci. J’attache ses chevilles aux pieds de table, cette fois, il ne peut plus bouger, il est totalement à ma merci. Je lui pose alors le pied sur la table, juste sous son nez.

 

- Je suis sûre que tu meurs d’envie de me lécher les pieds !

 

Son visage s’épanouit. J’avais vu juste, c’est bien un fétichiste des pieds.

 

- Oui Maîtresse, j’adorerai.

 

- Ne m’appelle pas Maîtresse, tu ne le mérites pas encore. Si tu désires toujours m’épouser, tu auras le privilège de m’appeler Maîtresse lorsque nous serons mariés. Mais ne compte pas sur moi pour t’accepter dans le lit conjugal. Un chien dort dans sa niche et une maîtresse reçoit des amants. Si ces conditions te satisfassent, alors je te prendrai pour époux, mais ne vient pas pleurer après si tu es battu, frustré et cocu.

 

- Oh Justine, c’est merveilleux, c’est exactement le fantasme que je souhaitais vivre.

 

9.jpg- Mais moi, je ne te propose pas la réalisation d’un fantasme, je t’expose un projet de vie, un idéal à atteindre, idéal qui consiste à faire de ta femme, ta maîtresse. Je serai cruelle et castratrice, je t’assignerai toutes les tâches domestiques et tu seras battu en retour. Tu ne me feras jamais l’amour mais tu me seras fidèle et dévoué, ce qui ne sera pas mon cas, tu le devines, car je te tromperai chaque jour que dieu fait, peut être même le jour de notre mariage. Si tu es prêt à vivre ainsi, alors, oui, je veux bien t’épouser. Si tu es d’accord avec mes conditions, tu peux me lécher les pieds.

 

Il se fend d’un sourire radieux et dépose ses lèvres sur mes Gucchi, comme le fidèle qui dépose son offrande au pied de l’autel de sa déesse.

C’est ce soir là que nous avons décidé de nous marier, que nous avons compris que nous avions trouvé l’un et l’autre la perle rare. Je l’ai cravaché et obligé de me lécher les pieds et la chatte, car j’étais trempée, mais je ne l’ai pas sodomisé. Il m’a vu armé de mon gode ceinture, il l’a pris en bouche, et prodigué une belle fellation, mais je n’ai pas voulu l’enculer. Officiellement, j’ai avancé l’excuse qu’il n’aura ce privilège que lorsqu’il sera marié, officieusement, j’ai eu pitié pour son petit trou. Quand il m’a dit qu’il était vierge du cul, même avec du lubrifiant, le prendre avec ce gode monstrueux, l’aurait déchiré. Je suis cruelle et sadique, mais il y a des limites. La douleur doit mener au plaisir. Un cul, ça se prépare, et si j’ai bien compris ce que l’on vient de se promettre, j’ai toute la vie devant moi… alors pourquoi précipiter les choses ?

Jeu 14 nov 2013 1 commentaire
Il ne mérite que ça, ce bouffon, il vie pour sa Maîtresse.
lola75paris - le 30/10/2021 à 15h52