Cocu-soumis

 

Je suis aux pieds de ma femme, et sans comprendre pourquoi, une violente pulsion m’incite à lui baiser les pieds. Je suis totalement désorienté, humilié, et dans cette situation extrême, je me découvre masochiste. Elle veut me foutre dehors, c’est son droit, mais le mien, c’est de tout faire pour ne pas la perdre. Alors je lui baise les pieds. Ce geste me semble totalement naturel à cet instant précis mais en revanche, il me procure un plaisir trouble et violent, qui lui, me semble déplacé et contre nature. Je viens de jouir mais je sens ma queue se dresser. L’excitation renaît avec l’attitude hautaine et dominatrice de mon épouse.

 

- Oh Déborah, ne me met pas dehors… S’il te plaît… Je saurai me faire pardonner…

 

Elle demeure immobile, campée sur ses positions, silencieuse et probablement surprise par ma réaction. Je ne suis pas du genre à faire des excuses, même quand j’ai tort, alors là, la supplier, à quatre pattes, nu, en lui léchant les pieds. Cela va peut être la faire flancher ?

Elle porte de jolis escarpins et des bas voile, elle est magnifique, comment ai-je pu la tromper avec notre bonne ? Je ne la mérite pas, je suis juste bon à lui lécher les pieds. Le cuir de ses chaussures a un goût que j’arrive à trouver sensuel. Maintenant je bande dur, elle ne peut pas ne pas s’en apercevoir…


Charles

 

Ai-je la berlue ? Mon mari bande à nouveau ? Il est à mes pieds, je sens sa langue sur ma cheville, il me supplie de le pardonner et trouve encore le moyen de prendre du plaisir à cet acte dégradant. Lui qui éprouve les plus grandes difficultés à retrouver un peu de virilité pour me faire l’amour une seconde fois, me présente une érection des plus honorables simplement en me léchant les pieds. Jamais je ne l’aurai cru de nature à aimer l’humiliation et la soumission. Mais ce qui me dégoûte le plus finalement, c’est qu’il prenne encore du plaisir.

 

- Je t’ai dis que je ne voulais plus te voir ! Casse toi, espèce de salaud ! (Je fais un pas en arrière et lui indique la porte). Tire toi ! Tu me dégoûtes.

 

Il enfile un slip et un pantalon, se saisit d’un sweat à la hâte, et passe devant moi en baissant la tête, honteux de ce qu’il vient de faire. Je crois aussi déceler dans son attitude la peur de se prendre une nouvelle baffe. Cela conforte mon pouvoir, et au moment où il passe, je lui retourne une gifle, plus violente que la précédente. Puis une seconde et un troisième, et bientôt, c’est une avalanche de coups… Je me lâche, c’est une délivrance, un défouloir. Charles demeure passif puis il finit par se protéger avec ses bras. Mais je suis portée par une rage destructrice, emportée par la violence et la haine, je frappe fort et précis, ses joues sont écarlates. Il finit par se laisser glisser le long du mur pour échapper à mes coups.

 

- Salaud ! Comment t’as pu me faire ça ?

 

Je lui décoche un violent coup de pied en hurlant de plus bel.

 

- Tire toi ! Je ne veux plus te voir… Va rejoindre ta pute… Va passer la nuit chez elle, je ne veux plus de toi chez moi… Allez casse toi, tu me files la nausée…

 

Charles ramasse le sweat qu’il a fait tomber en tentant de se protéger de mes baffes et file sans demander son reste, à 4 pattes, sans même oser se redresser. Cette ultime vision, mon mari s’enfuyant pour échapper à mes coups et mon courroux, me comble de plaisir.

 

Déborah

Ven 13 mar 2009 Aucun commentaire