Cocu-soumis
Rébellion, voilà un bien grand mot pour qualifier une petite réticence, d’ailleurs très vite réprimée. Loin de moi l’idée de remettre en question le nouvel ordre établi. Par contre, puisque tu as choisi ce terme, c’est que tu l’as ressenti ainsi… Don’t act…
A l’origine donc de ma… rébellion, il y a, et tu t’en souviens chérie, l’ordre que tu m’as donné avant de partir pour l’institut de beauté… juste avant l’ordre de m’habiller puisque je suis nu en permanence.
- Je veux que tu mettes ça pour aller au salon !
Tu ne me tends pas alors un pantalon ou une chemise… Non, tu me tends un plug… Je ne me suis jamais enfilé ce genre de « truc » dans le cul, mais après le gode de la semaine passée, nous sommes dans la continuité des exercices d’assouplissement anal. Simplement le moment ne me paraît pas opportun, nous devons nous rendre dans un institut de beauté, (celui que tu fréquentes depuis des années), et tu m’y as pris un rendez vous pour une épilation recto verso de mon intimité. Je me décompose devant l’objet que tu me présentes.
- Enfin Deb… Je veux bien porter ce genre de truc… Mais à l’extérieur, vraiment, je sais pas… Et puis pour aller au salon, je peux pas, tu te rends compte un peu ? Ce ne serait pas raisonnable.
Charles
Oh que oui, je me rends compte… Enfin une contestation, une tentative de résistance… Une rébellion… Je ne l’espérais plus, et pourtant j’en avais diablement envie. J’avais besoin de sentir que tu étais encore un homme avant de te mener à celle qui allait physiquement te transformer en soumis… Besoin de t’affronter, de tester mon autorité, de te rabaisser… Quel plaisir pourrais-je tirer sinon à dominer un type qui n’est qu’une larve ? Quel plaisir à rabaisser un homme qui est déjà au trente sixième dessous ? Je veux que tu ressentes l’humiliation pour pouvoir en jouir… Alors, oui, tu vas te mettre le plug dans le cul, mon chéri, mais en plus, tu vas te prendre une bonne fessée pour avoir osé protester…
D’abord, il y a la gifle, pas préméditée, qui part toute seule quand je vois ta petite face arborer cette moue de donneur de leçon. Je suis désormais la seule à décider si c’est raisonnable ou pas… Tu ne t’y attendais pas, tu t’es décomposé une première fois lorsque je t’ai montré le plug, puis une seconde fois lorsque tu t’es pris cette baffe. Tu te masses la joue en me regardant d’un air ahuri. Ah ce que j’aurais aimé que tu me résistes, j’aurai pris plus de plaisir à te briser. Au lieu de ça, tu me marmonnes un « excuse moi » à peine audible.
- Je vais t’apprendre à m’obéir au doigt et à l’œil mon chéri, tu vas voir !
Je lui saisis le poignet et l’entraîne vers le canapé. Sans le lâcher, et sans lui laisser le temps de réagir, je m’assieds confortablement et l’attire sur mes genoux. C’est à ton tour de recevoir la fessée.
Déborah
Respectueusement.