Cocu-soumis
1.
Le zizi rasé
Je reprends un peu de mousse à raser… Il n’y a presque
plus de poils, il s’agit juste d’éliminer les derniers récalcitrants. C’est le cinquième passage, il faut que ce soit lisse, bien lisse, une vraie peau de bébé. J’étale la mousse à raser sur le
bout de mes doigts et en tartine le pubis avec une délectation gourmande. Je trempe le rasoir dans le bol d’eau tiède, puis je le positionne sur le bas ventre, un sourire aux lèvres. Le geste me
plaît, réticente à l’idée lorsqu’elle m’a été soumise, le plaisir que me procure l’acte et le résultat qui commence à se dessiner sous mes yeux me procurent un plaisir étrange et dérangeant,
presque malsain. La lame ne crisse plus, elle n’a plus de poils à se mettre sous la dent.
Je me saisis du sexe de mon mari et le tire entre ses cuisses afin de permettre au rasoir de passer partout. Il se laisse faire, docile, soumis, penaud. Je tiens entre mes mains toute la virilité
du mâle et en lui rasant les bourses tout à l’heure, une bouffée de chaleur s’est emparée de moi. Elle ne m’a pas quitté. C’est un sentiment de puissance extraordinaire que de tenir entre ses
mains le sexe de son homme. J’ai le pouvoir d’émasculer, c’est grisant… je me contente d’infantiliser. Car maintenant, avec son sexe chauve, tout recroquevillé, comme apeuré par la lame, mon mari
présente les attributs d’un petit garçon. Son regard trahit l’émotion que son sexe, entre mes mains, est bien incapable d’exprimer. Mon regard, dur et autoritaire, tranche avec l’immense
reconnaissance que je peux lire dans ses yeux. Ce matin, il a surmonté ses appréhensions pour me confier ses fantasmes les plus inavouables. Je dois avouer ne pas avoir été très excitée à l’idée
de raser le sexe et le pubis de mon mari. J’aime les hommes, les vrais, avec de grosses bittes et non des sexes d’enfants. Mais maintenant que c’est fait, je ne regrette pas. Je passe le pommeau
de douche sur sa petite queue afin d’en retirer la mousse, puis je contemple le résultat, le regard hautain, le sourire satisfait. Eric n’est pas très poilu, si bien que le contraste entre son
torse et son bas ventre n’est nullement choquant. Je n’ai jamais vu d’homme au sexe rasé, Eric est le premier, pourtant, depuis quelques années, je le trompe régulièrement, et des candidats, j’en
ai vu défiler pas mal dans mon lit.
- Alors ? demande-t-il, impatient de connaître mon avis. Comment tu trouves ?
Il est mignon, même attendrissant, mais ce n’est pas le genre de propos qu’il attend de moi, ce n’est pas ce que j’ai compris en l’écoutant me décrire son fantasme ce matin.
- Si tu te voyais mon chéri, tu as l’air vraiment ridicule !
Eric se penche sur son sexe pour admirer le travail de sa chère épouse et dissimuler son embarras.
- Ca fait drôle, dit il d’un air penaud.
- Ca c’est sûr, on dirait un zizi de petit garçon. Demain sur la plage, tu vas attirer les regards, tu auras la honte de ta vie !
Depuis des années, nous passons nos vacances au Cap d’Agde, dans le plus grand camp naturiste d’Europe. Alors demain, à la plage ou dans les magasins, lorsqu’il ira chercher le pain ou lorsqu’il
se promènera à mon bras, il arborera ce sexe minuscule et glabre. Quelle honte pour lui…
Il ose relever la tête et affronter mon regard narquois.
- Ca ne te plaît pas, tu regrettes ? lance-t-il d’un air désespéré.
Je m’approche en souriant. Je jubile.
- Au contraire, ça me plaît beaucoup. Je me saisis de sa main et la guide entre mes cuisses. Je ne porte rien, nous sommes dans un camp naturiste. Alors ? Tu crois que ça ne me plaît
pas ?
Je suis trempée. Mon mari récolte sur ses doigts les fruits de mon excitation.
- Je suis si heureux que cela te plaise, me confie-t-il avant de déposer dans mon cou un baiser reconnaissant.
Je repousse doucement la main qui tente de me fouiller la chatte.
- Je veux que tu baises les doigts qui t’ont rasé ta petite quéquette !
Ma voix est moqueuse mais mon regard est celui d’une femme déterminée. Eric aime les maîtresses femmes, et aujourd’hui plus encore que les précédents, je suis cette Maîtresse. Il n’hésite pas un
seul instant, il se saisit de ma main et dépose un baiser sur l’extrémité de mes doigts. Perverse, je profite de l’occasion pour introduire un doigt dans sa bouche. Il se met à le sucer comme
s’il tétait un biberon.
- Tu es bien sûr de vouloir pour ce soir ? dis-je en introduisant un second doigt dans sa bouche.
Il ne peut prononcer le moindre mot mais il marmonne et acquiesce en roulant des yeux. Il n’attend visiblement que cela, cela fait même sûrement des années qu’il attend ce moment sans oser me
l’avouer. Mais ce soir, son fantasme sera une réalité… C’est une chose d’imaginer sa femme baiser avec un autre homme, c’en est une autre que de la voir à l’œuvre. Mon mari m’a toujours été
soumis, et il y a quelques années, ne pouvant répondre à mes désirs d’hommes plus virils, il a accepté que j’aille voir ailleurs. Le fait de lui raconter mes escapades, le soir sur l’oreiller, a
réveillé des ardeurs endormies et a crée entre nous un lien nouveau, une complicité, et paradoxalement, une plus grande confiance. Notre couple en est sorti renforcé, mais ce soir, sa femme se
présentera à lui sous un autre jour : il me verra baiser comme il ne m’a jamais baisé. Je suis excitée, mais j’ai peur que cela soit un choc pour lui. Que pensera-t-il de moi si je jouis
devant lui comme une salope ?
- Je choisirai un type costaud, et il aura une grosse queue, toi, tu auras l’air minable avec ta petite quéquette toute lisse.
Je retire doucement les doigts de sa bouche car je veux l’entendre me répondre.
- Oui, j’en ai envie. Comme je te l’ai dis ce matin, ça m’excite de pouvoir te voir…
Je le coupe d’une voix sèche.
- Tu regardes mais tu ne dis rien ! Aucun commentaire, aucune protestation, à partir du moment où nous quitterons l’appartement, nous ne pourrons plus revenir en arrière, et il faudra que tu
m’obéisses au doigt et à l’œil !
- Oh ma chérie, tu sais que je n’attends que cela.
- Oui, mais là, tu le feras devant un autre homme. Tu le feras devant mon amant, et cela ne m’excitera que si j’ai à mes côtés un petit mari cocu très obéissant.
- Oh chérie, je suis excité rien qu’à l’idée !
Je m’approche en souriant. Ma cuisse frôle son sexe. J’effectue quelques mouvements langoureux et subtils afin d’éveiller en lui quelques ardeurs.
- Mais tu ne pourras rien faire, dis-je en branlant son sexe contre ma cuisse chaude et douce. Je serai la seule à prendre du plaisir, je t’interdirai de te toucher, je pourrai même te passer les
menottes !
- Oh Linda, ma chérie, oui, tu peux m’attacher et m’humilier devant ton amant, c’est pour ça que je t’ai demandé de me raser. C’est ta soirée, j’obéirai à toutes tes exigences.
Je sens contre ma cuisse que ce ne sont pas des paroles en l’air. Son sexe n’a plus rien d’enfantin. Le scénario lui plaît et à en croire la dureté de sa bitte, je peux dire qu’il espérait cette
tournure.
- Tu ne seras pas déçu mon chéri, tu peux me faire confiance…
Je lui susurre cette promesse avant de tourner les talons. Je le laisse contempler ma croupe ferme et bronzée par le soleil méditerranéen et je l’abandonne avec sa trique en imaginant le regard
concupiscent qu’il porte sur mes fesses. La soirée s’annonce sous les meilleurs auspices…
Quelle belle et réjouissante surprise que nous fais Deborah!
c'est vraiment avec grand plaisir que je retrouve "notre" bourgeoise soumise. Et surtout pour un scoop que nous allons lire et déguster avec tout le sel necessaire pour la gloire du sexe et de ses plaisirs cérébraux!
L'apprehension et l'attente du petit mari soumis a du etre terrible avant de voir sa femme se faire baiser sous ses yeux. Savoir comment elle va se comporter, en rajouter, en jouer? ou tout simplement se reveler telle qu'elle est au fond d'elle?
suspens torride....
Jarno
Caroline de http://slave-selection.fr