Cocu-soumis
12.
Brouteuse de minou
Je ne peux pas lui dire que j’ai aimé qu’elle me pisse dessus, pas devant mon mari… Je me suis écartée d’elle plus par peur de paraître trop dépravée que par dégoût. Mes préjugés n’ont pas encore
totalement volé en éclats : je suis la Maîtresse de mon mari, je me suis toujours refusée à lui pisser dessus, alors je ne peux décemment pas prendre du plaisir à boire l’urine d’une autre
femme… Pas devant lui… Je dois apparaître comme une belle salope, pas comme une chienne soumise. Le baiser nous entraîne sans que je m’en rende compte sur le canapé que Marcus a quitté. C’est ce
qui s’appelle être transportée de plaisir. Mona accompagne le baiser de douces caresses sur ma nuque, puis sur mes joues. Je fonds de plaisir. Puis elle se détache doucement de mes lèvres.
- Attends, je vais retirer ma culotte, c’est malin je suis toute mouillée, dit elle en pouffant de rire.
Elle se relève et baisse sa culotte toute trempée de pisse, de Champagne, et de sperme. Je suis alanguie aux pieds du canapé, j’ai toujours une vue imprenable sur son entrejambe, et cette fois il
n’y a plus de culotte pour m’interdire la vision de sa petite chatte. Le spectacle de son sexe est d’une décadence extrême.
Ses lèvres sont incroyablement humides, mais comment pourrait il en être autrement ? Elles sont luisantes de mouille et de pisse, de Champagne aussi sûrement. Les petits poils bruns qui
parcourent sa chatte sont eux aussi trempés, ce qui renforce l’aspect obscène de son sexe, mais diable que cela m’excite. Pour couronner le tableau, je perçois très nettement des traces de foutre
dans les poils de son pubis et le long de ses grandes lèvres.
- Je vais aller me nettoyer la chatte, dit elle en ramassant le slip sale à ses pieds, bouge pas ma chérie j’en ai pour une minute.
- Je vais la faire patienter, dit Marcus en masturbant sa grosse queue déjà d’attaque pour « me faire grimper au rideau ».
Il s’approche de moi pour que je la reprenne en bouche, histoire de lui rendre toute sa rigidité avant de me pénétrer.
- Non, fis-je en retenant Mona au moment où elle s’apprête à gagner la salle de bain, guidée par mon petit mari servile. (Elle me lance un regard étonné, et j’ajoute). Non, assieds toi… C’est à
moi de le faire… Je vais te nettoyer la chatte… J’en ai envie.
Moi, si narreuse, mes mots sortent de ma bouche en échappant à mon contrôle. Je suis aussi choquée par mes propos que mon mari, qui me lance un regard ahuri.
Mona retrouve son sourire pervers de dominatrice. Elle seule ne semble pas surprise par ma proposition.
- J’en étais sûre, dit elle en tendant sa culotte à mon mari. Tiens, va donc la nettoyer ! (Eric tourne déjà les talons, le slip trempé dans les mains, mais Mona le rappelle à l’ordre
aussitôt). Non, reste là ! Je veux que tu voies ta petite femme me brouter la chatte pleine de pisse et de sperme. Je veux que tu voies comme c’est une vicieuse !
Mona a tout compris de notre petit jeu en ordonnant à mon mari de rester. Elle se réinstalle dans le canapé, les cuisses grandes ouvertes, et poursuit à l’égard de mon époux.
- Je veux que tu lèches le fond de ma culotte tout le temps que ta femme me lèche la chatte. Comme ça, tu auras le même goût qu’elle dans la bouche !
Je lance un coup d’œil amusé à Eric qui entreprend aussitôt de lécher le fond du slip de Mona. Il doit être aux anges, je sais qu’il a toujours voulu que je lui pisse dessus, et la culotte de
Mona doit sentir la pisse plus que tout autre chose. Je m’en rends compte en approchant mon nez de son entrejambe.
- Allez petite salope, viens donc lécher la chatte de ta Maîtresse !
Ca y est, le mot est lâché… Maîtresse… Mona est ma Maîtresse… Je suis bien dominée, je ne peux plus faire illusion. J’aime ça, c’est une révélation… J’ai sa chatte trempée, odorante et maculée de
foutre sous les yeux, et ce que je n’aurai jamais cru possible avant ce soir là, je mouille comme une folle à l’idée d’y plonger mon nez.
En tout cas, merci pour ces épisodes, très agréables à lire!
En tout cas, merci pour ces épisodes, très agréables à lire!
Les intermèdes en images me laissent de marbre (d'autant plus qu'ils restent pour moi le plus souvent sans animation car trop long à charger!!)mais soumis lui n'y est pas insensible
bises impatientes
C'est du grand Linda, comme je l'aime.
Sous Votre plume, ce qui ne pourrait être qu'une vulgaire scène de pipe, devient un morceau d'anthologie érotique, un pure délice de perversité. Mi consentante mi abusée, Vous nous conduisez dans les méandres de la soumission et du plaisir. Je m'y égare avec joie, relie encore et encore ces perles de sensualité. Que les vidéos me paraissent fades et répétitives, a l'aune de Vos mots.
Merci.