Cocu-soumis
13.
Baisée
Je sens la bitte de Marcus caresser ma chatte de
l’extrémité de son gland. Il est bien placé pour se rendre compte que je mouille comme une vraie salope, et il ne se gêne pas pour informer Mona et mon mari de mon état d’excitation.
- Putain mec, ta femme, c’est une fontaine, elle mouille comme une chienne en chaleur.
Et pour prouver la véracité de ses propos, il s’enfonce doucement mais entièrement en moi. Il glisse dans mon fourreau comme dans une motte de beurre exposée au soleil. Il est énorme, mais mon
sexe l’accueille sans difficulté. Il me remplit, me comble, me transperce. Je gémis avant même qu’il ne commence ses va-et-viens. Ma bouche se plaque alors sur la chatte de Mona. Je jouis et je
tente de le dissimuler en étouffant mes gémissements dans les chairs humides de ma Maîtresse. Je me bâillonne avec sa chatte, et c’est elle qui gémit, surprise par mon entrée en matière
pour le moins directe. Je perds toute notion du temps, ma vue se brouille, je ne garde que le souvenir de cette odeur de pisse et de mouille qui agresse mes narines, et excite mes papilles… Puis
cette sensation d’être remplie, comblée, pleine… Je ressens bientôt les coups de boutoir de Marcus contre ma matrice, et je me remets à gémir. Mes petits cris plaintifs lui font penser que je
commence à y trouver mon plaisir, il ne s’est pas rendu compte que j’avais déjà trouvé l’orgasme.
- Oui salope, vas-y ! Je vais te faire jouir, tu vas voir. T’aimes ça, hein ? Tu la sens bien salope !
- Oui… Oui… O mon chéri, si tu savais comme il me baise bien.
Eric, ainsi interpellé, cesse un instant de lécher le fond du slip de Mona pour m’adresser un sourire plein de complicité. Lui aussi il aime, il en redemande. Son sexe, qui n’a plus rien d’enfantin, parle pour lui. Il ne peut rivaliser avec le braquemart de Marcus, mais il bande. Cela me conforte dans mon rôle de chienne et puisqu’il semble apprécier le spectacle, je vais lui en donner de l’épouse vicieuse. D’ailleurs, ma position semble plaire à tout le monde. Mon mari prend plaisir à voir sa petite femme se faire baiser, Marcus se complaît dans mon vagin de bourgeoise blonde et Mona gémit et mouille de plus bel sous mes coups de langue.
- Oui, t’es une brave chienne, m’encourage-t-elle. Nettoie bien ma chatte, elle est pleine de pisse, passe bien ta langue partout… Oui, hummm, oui… Et n’oublie pas de lécher le sperme de Marcus,
j’aime pas quand ça colle.
Derrière, Marcus s’agrippe à mes hanches et accentue la cadence. J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur la chatte de Mona. Mon plaisir emporte tout sur son passage et je ne suis pas
longue à venir une seconde fois. Cette fois, mon orgasme ne passe pas inaperçu.
- Regarde mec, ta pouf comme elle prend son pied. Elle jouit déjà !
Je sens les grosses mains de Marcus pétrir mes fesses. Il me pince et me fait mal, mais cela ne coupe nullement ma jouissance. Ma langue nettoie son foutre sur la chatte de sa femme, et mon nez
est englué dans les traînées de sperme qui se trouvent dans son pubis. Lorsque je reprends mes esprits et que je relève la tête pour reprendre mon souffle, j’offre à Mona mon visage maculé de
foutre, de mouille et de pisse. Elle ne manque évidemment pas de s’en moquer.
- Ah oui, si tu te voyais ma salope, là tu as l’air vraiment salope. Regarde comme ça lui plaît à ta petite femme de me brouter le minou, ajoute-t-elle en se moquant de mon mari. Si ça se trouve,
après, elle pourra plus s’empêcher de lécher toutes les chattes qui lui passeront sous le nez !
Elle ponctue sa remarque d’un rire moqueur et sensuel sans deviner la portée prophétique de celle-ci… Moi, j’ai un creux à l’estomac, je le pressens… Et Marcus, qui sort de ma chatte pour se
finir au dessus de celle de son épouse, a aussi compris qu’en quelques minutes, j’ai perdu tout mon vernis de bourgeoise dominatrice. Il crache à nouveau sa semence mais cette fois, il arrose
autant le vagin de sa femme que ma bouche, ouverte pour accueillir servilement son foutre. Il a deviné que j’étais prête à le recevoir sur mon visage et ne s’en prive pas. Il gicle puissamment
sur la chatte de Mona, mais le second jet m’est destiné. Je suis éclaboussée au niveau du menton et de mes lèvres. Mais il continue de se branler et garde sa bitte orientée dans ma direction. Je
reçois une nouvelle giclée sur mon nez et mon front. J’ai l’impression d’être littéralement débarbouillée de sperme. Je ne l’ai jamais toléré avant ce soir, et j’y prends là un plaisir
inouï : celui d’être dégradée, de sombrer dans la décadence la plus totale et la plus condamnable. Marcus gémit et n’en finit plus de se répandre.
- Tiens sale pute, prends ça, bois mon sperme, chiennasse.
Il me saisit par les cheveux et me fourre sa grosse queue dans la bouche. Il veut me forcer, mais je suis docile, matée, j’en ai envie au plus profond de moi. Les dernières gouttes de sperme me
tombent dans le gosier tandis qu’il râle en fermant les yeux.
- Oui, reprend Mona en ricanant. Nettoie lui la queue, t’es bonne qu’à nettoyer les bittes et les chattes. Et fais en sorte qu’elle soit bien propre salope, car maintenant, c’est mon tour, il va
me baiser, et je veux pas avoir le goût de ta chatte quand je lui taillerai une pipe.
Marcus finit par se retirer de mon palais. Il a à peine débandé. J’en profite pour humilier mon mari.
- T’as vu mon chéri, lui il bande encore après avoir joui. C’est un vrai mâle.
Eric lèche docilement la culotte de Mona. Il baisse la tête, honteux. Mais je vois qu’il bande bien fermement maintenant.
- Oui, et maintenant qu’il a joui deux fois, il me doit deux orgasmes, reprend Mona, plus malicieuse que jamais. Elle saisit son époux par les épaules et dépose un baiser sur sa joue. Pas vrai
mon chou ? Tu vas me baiser à fond maintenant, tu vas me ramoner la chatte et le cul, cette salope m’a mis dans un sacré état, je suis trempée.
- Pas de problème ma puce, répond Marcus en branlant doucement son membre qui a à peine perdu de sa vigueur.
- Je te préviens, je veux jouir du cul, t’as intérêt à tenir la distance, rétorque Mona. Puis s’adressant à moi, elle ajoute. Quand je baise avec mon homme, j’aime avoir un peu d’intimité, ça
vous embête pas trop ?
- Non, non, vous pouvez prendre notre lit à côté, je vais prendre une douche pendant ce temps là, j’en ai bien besoin.
- T’es sympa Linda. Je te conseille de prendre un bain, car après de tels préliminaires, j’aime bien prendre mon temps.
- Pas de problème, un bain me fera le plus grand bien. (Je vois le regard de Mona embarrassée, se porter sur mon mari). Lui n’as fini de nettoyer ta culotte, et cela lui prendra le temps qu’il
faudra pour te rendre un slip nickel.
Je la regarde se lever et se diriger vers notre chambre, enlacée à Marcus, je trouve qu’ils forment un joli couple. Mon regard se porte sur mon mari et la honte me submerge. Il bande comme un
âne. Son sexe glabre n’en paraît que plus gros.
Je suis la Maîtresse de mon mari et je viens de me comporter en chienne soumise. J’ai honte du plaisir qu’il a pris à se soumettre comme un vulgaire énuque, mais j’ai honte surtout du plaisir que
j’ai pris à me sentir dégradée et humiliée de la sorte. Et quand mon regard croise le reflet du miroir, je vois l’image d’une femme bafouée, souillée, un visage maculé de foutre, le visage d’une
pute qui vient d’être aspergé par un client… Mais ce sourire et ce regard qui sont les miens à cet instant précis ne révèlent ils pas plus encore le plaisir inouï que je viens de prendre ?
Je comprends alors que ma vie ne sera jamais plus la même.
Texte de Linda, (histoire vraie) publié par Déborah, de retour de vacances et qui rejoint vos critiques sur les trop nombreuses illustrations pornos. Donc je censure les dernières et m'en
entretiendrai avec Linda ici même bientôt. Mais je la remercie d'avoir tenu mon blog pendant ces 5 semaines, et vous pourriez en faire autant...
mais je ne suis pas d'accord sur le fait qu'il y ai trop de photo les photo entre le ticket le rend encore plus exitant
Quant aux vidéos et photos, perso, j'ai bien aimé...
A bientôt de vous lire...bisous à vous 3
Amicalement Jade
svp ne le censurez pas (ou pas trop) !
Bonne continuation !
J'attends maintenant avec impatience la suite de la correspondance entre Charles et Déborah.