Cocu-soumis
Je commence à avoir des crampes, j’ai chaud et j’ai mal au cul. Je me suis assis en oubliant le plug et ce dernier m’a déchiré les entrailles. J’ai laissé échapper un petit cri qui m’a pétrifié de terreur car j’ignorais alors si les livreurs se trouvaient dans la chambre. J’imagine un instant l’un de ces machos ouvrir le placard et me surprendre ainsi attaché et sodomisé. Quelle honte ! Quelle déchéance !
Mais non, ils remontent et commencent à installer le nouveau lit de Déborah.
- Cette chambre va devenir un vrai baisodrome, t’as vu la taille du lit !
- Un vrai lit à partouzes !
- Et tous ces miroirs sur les murs, putain ça m’a l’air d’une rude salope !
- T’as vu comme elle nous a regardé en bas.
- Moi ce que j’ai surtout vu, c’est qu’elle a retiré sa culotte !
- Non ?
- Je te jure, t’as pas vu comme elle se tenait dans son petit canapé, sa robe remontée à mi cuisses, jambes écartées, on lui voyait la touffe !
L’autre est au bord de la crise d’apoplexie et se refuse d’être passé à côté d’un tel spectacle.
- Non, tu me fais marcher.
- Je te jure, ricane l’autre. Je peux même te dire que c’est une vraie blonde.
Visiblement Déborah leur a fait un petit show en bas mais n’est pas encore passée à l’acte. Pourtant cela fait dix minutes que je ne les entendaient plus, étaient ils dans le camion ?
J’ai la réponse en entendant mon épouse faire irruption dans la chambre.
- Messieurs, vous avez fini vos bières ?
J’imagine Deb’, serviable et aguicheuse leur proposer les bières.
Charles
Je suis dissimulée dans le couloir depuis quelques secondes et j’ai tout entendu. Georges a déjà vu ma petite chatte, et quant à Johnny, et bien j’espère la lui montrer dans quelques
instants.
- Vous m’avez fait une chambre superbe, vraiment quel lit magnifique !
- Oui il est spacieux, répond Johnny au moment où je lui reprends la bière pour le débarrasser.
Je la pose sur la commode et m’assied sur le nouveau lit pour en tester le confort. Je fais rebondir mon petit cul et m’arrange du même coup pour écarter les cuisses de manière naturelle. Cette fois, il ne peut pas ne pas avoir remarqué mon absence de petite culotte. Ma robe est aussi remontée très haut. La lisière de mes bas est totalement découverte et le haut de ma cuisse parfaitement dénudée.
Les deux hommes ont les yeux fixés sur mon entrejambe et sourient en silence. Nous atteignons le point de non retour : soit je rabaisse ma robe et je quitte la chambre précipitamment, passant alors pour une salope d’allumeuse, soit je reste et je m’offre, passant pour une salope… tout court.
Je demeure immobile à répondre à leur sourire d’un air suggestif, prenant bien soin de ne pas recouvrir mes cuisses, ni même de les serrer.
Georges pose sa cannette de bière sur la commode et s’approche de moi en souriant d’un petit air narquois.
- La petite dame souhaite peut être inaugurer son lit maintenant.
- Si ça fait partie du service après vente, j’aurais tort de m’en priver.
Cette fois, le signal est donné. Georges pose ses mains sur mes cuisses et m’incite doucement mais fermement à les écarter.
- Madame a oublié sa petite culotte on dirait, relève-t-il en se tournant vers son compagnon pour lui signifier que lui, avait déjà relevé cet « oubli ».
Johnny baisse son pantalon et son slip et m’exhibe une belle queue déjà à demie dressée. Cette semi érection
est à elle seule aussi impressionnante que la bitte de mon mari lorsqu’il bande bien dur. C’est un beau morceau, il est bien monté, j’ai de la chance.
Les yeux rivés sur la queue de Johnny, je n’ai pas vu Georges s’agenouiller entre mes cuisses. Il me butine consciencieusement mais se retire au bout de quelques secondes.
- Je vois que madame n’a pas besoin d’être lubrifiée (puis il ajoute à l’égard de son copain qui est en train de grimper sur le lit pour me présenter sa queue à sucer). Putain Johnny, cette salope elle mouille tu peux pas imaginer !
- Si je vais bientôt imaginer t’inquiètes, répond il en finissant de s’enfiler un préservatif. Allez ma salope bouffe moi la queue !
Et je me retrouve la bouche pleine dans la seconde qui suit. Je sens la bitte durcir sous ma langue en quelques instants. Je ne tarde pas à suffoquer. Ni Bruno ni Charles ne sont aussi bien montés. Je m’étrangle et je bave, ce qui n’a d’autres conséquences que de le faire rire.
- Cette salope, elle aime ça regarde ! lance Johnny à Georges qui était reparti dans une petite séance de minette. Regarde elle se bave dessus.
- Ouais, ben là où je suis, c’est elle qui me bave dessus, répond il en se décollant de ma chatte trempée. Je confirme elle aime ça, pas vrai ma petite dame ?
Pour lui, je suis « sa petite dame », pour Johnny, je suis « sa salope »… Ca me convient et me résume assez bien. Une petite bourgeoise bien salope. Johnny se retire de ma bouche pour me permettre de répondre.
- Oui, oui, j’adore ça… Qu’est-ce que vous attendez pour me baiser ?
- Putain quelle pute ! s’esclaffe Johnny. T’entends ça ! Elle réclame !
- Ouais, répond Georges en ôtant son pantalon et en me présentant sa queue déjà bien dressée, et toute veinée.
- Tourne toi et fous toi à quatre pattes, ordonne Johnny. Je vais t’en donner moi de la bitte, tu vas voir.
J’obéis, plus excitée que jamais, et je lui présente mes fesses pendant que Georges monte sur le lit pour me présenter sa queue à sucer. Je vais être prise par derrière tout en suçant une queue, une première pour moi… Je coule de plaisir.
Déborah
Je rêve de faire l'amour à une belle salope comme Déborah (ou encore d'être à sa place, mais ça c'est une autre histoire que, je l'espère, un Charles féminisé pourra vivre un jour). Heureux hommes que ces livreurs!
Et merci Déborah d'être l'objet de mes fantasmes!