Cocu-soumis
Déborah : Cet entretien a eu lieu dimanche entre 18h00 et 20h00… présentation à la façon « 24 », pour ceux qui connaissent la série… Sourires ;-)
Linda : Ah oui, Jack Bauer, voilà un mec avec qui j’adorerai jouer aux espionnes. lol
Déborah : Cet entretien marque une petite pause pour marquer le tournant de notre vie. Nous avons été très « soft » jusqu’à présent, enfin je veux dire, « soft » dans le sens où au final, tromper son mari n’est pas très original…
Linda : Je ne peux pas te laisse dire cela ma chérie, des types cocus, c’est vrai qu’il y en a des tonnes, mais ils s’ignorent cocus… Vous, c’est différent, tu trompes ton homme mais il l’accepte et en redemande, il te vénère d’autant plus que tu le trompes.
Déborah : Mon homme, mon homme, ma petite lopette tu veux dire…
Linda : Oui bien sûr, mais tu vois, je trouve plus humiliant que tu dise tromper ton homme, que tromper ta lopette. Cela te grandit de tromper ton homme, pas une lopette.
Déborah : Tu me fais quoi, là ? Tu me donnes la leçon ?
Rires…
Déborah : Bon, plantons le décor pour nos internautes ; nous discutons autour d’un apéritif servi par nos deux lopettes soumises. Ils sont à poil, enfin façon de parler vu qu’ils sont épilés intégralement tous les deux, et agenouillés face à nous.
Linda : Renvoyons les s’il te plaît, je te veux pour moi toute seule.
Déborah : Hum, demander ainsi, je ne peux te refuser cette requête, mais je te rappelle que nous devions nous entretenir en vue d’une nouvelle rubrique pour le blog.
Linda : Oui, raconter notre histoire en fait. Je vais te faire lire ce que j’ai déjà écrit.
Déborah : Le dire ainsi, c’est officialiser notre relation.
Linda : Notre dialogue nous servira de préliminaires en quelque sorte.
Déborah : Un secret de Polichinelle, à mon avis, tous nos lecteurs savent que nous prenons du bon temps ensemble.
Linda : Oui, c’est vrai, mais c’est plus que du bon temps n’est-ce pas ?
Déborah : En effet, c’est une vraie relation que nous avons… moi qui n’était en rien prédestinée à une relation avec une autre femme, je suis la première surprise, même si avant toi, j’ai eu une aventure avec une autre femme, tu le sais, et je le raconterai un jour ici.
Linda : Chaque chose en son temps. Pour répondre à la demande de certains internautes, et puisque je suis la « marraine » de votre blog, tu as décidé qu’il était temps de parler de nous, comment nous nous sommes connues, perdues de vue et retrouvées il y a deux ans.
Déborah : Oui, je suis comme toi, je l’ai déjà avoué plusieurs fois, et dés le début de notre blog, c’est ton blog qui nous sert de modèle et de référence. Je su comme toi, j’aime avoir du recul sur les événements pour mieux les analyser, ou tout simplement savoir, si ça vaut vraiment la peine de les relater. Toi, ma chérie, tu en vaux la peine.
Linda : Humm… Merci. (Déborah a sa main posée sur ma cuisse dénudée, car je suis en jupe, et je frémis de désir). Mais il faut malgré tout glisser certaines allusions au temps présent. Depuis quelques mois, je ne suis pas la seule à jouir de tes faveurs. Beaucoup d’internautes aimeraient savoir où tu en es de ta relation avec Bruno… En rappelant que Bruno est l’amant avec qui tu as passé une grande partie de tes vacances.
Déborah : Oui, et lui, c’est un homme. (Ma main remonte sous la jupe de Linda, je suis étonnée, aujourd’hui, elle porte une culotte, mais dans quel état). Avant-hier, il m’a baisé toute la nuit, c’était divin.
Linda : Et avec sa femme, ça se passe comment ?
Déborah : C’est justement ça qui est super, la glace est brisée, une relation à trois est en train de voir le jour, c’est déroutant, mais comme je ne sais pas encore où tout cela va nous mener, je préfère attendre avant d’en dire plus.
Linda : Je te comprends. J’étais pareille. Bon, tu veux lire ce que j’ai déjà écrit ou quoi.
Déborah : Non… Toi tu vas lire, et prends un ton des plus sensuel, j’espère que c’est chaud ce que tu as écrit, parce que moi je suis chaude.
Linda : Ce n’est que le début, ce sont nos retrouvailles, c’est assez soft.
Déborah : Mais moi là, il me faut du « hard », j’ai trop envie de toi ma chérie. Retire ta culotte, approche, tu me liras ce que tu as écrit après.
Linda : Non, attends, j’ai mieux à te proposer.
Linda me tend les feuillets qu’elle a écrits, retire sa culotte comme je le lui ai demandé, se met à quatre pattes devant moi, écarte doucement mes cuisses et plonge son visage vers la source de mon désir. L’instant suivant, elle fait glisser ma culotte sous mes fesses et se délecte du nectar abondant qui coule de ma chatte… Je lis sa prose en même temps, c’est extraordinaire…
A la fin de nos ébats, et de nos orgasmes mutuels, j’ai autorisé Linda à me trouver un clip ou deux qui relaterait assez bien ce plaisir pris dans les bras l’une de l’autre. Elle cherche encore, elle m'a promis de les publier demain...
Bien à vous.
Falmes
Bon courage et merci !