Cocu-soumis

Linda est en train de payer son petit string et  je l’imagine déjà au travers de mes genoux à recevoir la fessée. Ce string, pour ta nièce, tu vas l’essayer, ma chère, et je pourrai te déculotter, crois moi !




En sortant du magasin, Linda me passe devant pour me tenir les portes… Incroyable, elle s’efface devant moi, et elle baisse les yeux aussitôt qu’elle m’adresse un regard, il n’y plus aucun doute, elle est devenue soumise, je commence à ressentir une certaine chaleur dans le bas ventre. Je mouille à l’imaginer soumise, fessée, humiliée… Quel régal de pouvoir prendre cette revanche et de rabaisser cette belle femme de 44 ans, bourgeoise hautaine, qui m’a maintes fois fait la démonstration de son autorité et que mon mari n’a cessé de prendre en exemple : Maîtresse Linda par çi, Maîtresse Linda par là, ah oui, mon chéri, si tu la voyais aujourd’hui ta maîtresse, elle a envie de se faire tanner le cul par ta chère épouse, vois tu ! C’est un peu comme si j’avais l’occasion de me taper la maîtresse de mon mari… C’est une impression bizarre, un peu une revanche sur cette bourgeoise que mon mari admirait tant.

 

- Déborah, puis-je passer un coup de fil s’il te plaît ?

 

Je lève un sourcil pour marquer à la fois mon étonnement et ma satisfaction à l’entendre me demander la permission de passer un appel. Elle se comporte vraiment en soumise et s’adresse à moi comme à une véritable Maîtresse, ce que je suis, certes, mais pour autant, je ne suis pas sa Maîtresse.

 

- Tu peux Linda, tu peux, sourit elle. Pense à lui dire que tu ne seras pas rentrée pour le dîner.

 

Tu m’as donné envie de toi, garce, et je te promets qu’après avoir partagé une petite bière (car il fait une chaleur incroyable, ou alors c’est toi qui a le feu au cul et qui me chauffe autant lol) mais après ce rafraîchissement, je ne te laisserai pas partir si facilement. Tu m’as allumé, salope, tu vas devoir me satisfaire… Et si tu ne connais pas mes penchants de dominatrice, tu vas apprendre à les connaître, tu n’es pas la seule à frapper fort… Si tu prends cela pour un petit amusement, alors là, tu vas le regretter ma chérie, je te le promets…

 

Déborah

 



Ces pensées, je les devine à ton petit sourire carnassier, qui dévoile une rangée de dents parfaitement blanches, et qui contraste avec le carmin de tes lèvres fines.

Cela me donne la chair de poule. Déborah sera d’une cruauté sans pareille, je le sens. Ne dit on pas que les maîtresses les plus impitoyables sont les femmes qui se révèlent sur le tard ? Elle pense que je préviens mon mari alors que je viens de demander la permission à ma Maîtresse. Elle ignore que je suis déjà prise en main, tout comme elle ignore mon degré de soumission et celui de mon mari, qui n’a pas besoin d’être averti lorsque je rentre en retard.

 

Ma Maîtresse n’est pas si enthousiaste que je l’avais espéré. Elle aime contrôler et prévoir, et là, elle sent que la situation est totalement hors de son contrôle. D’un autre côté, il y a une pointe de jalousie qui est pour moi très gratifiante. Mais j’obtiens finalement son accord à condition que je dissimule son identité, elle ne veut pas être mêlée à cette histoire, Déborah est mariée, et c’est pour elle rédibitoire. Elle me donne donc carte blanche, reconnaissant qu’en 3 ans, c’est la première fois que ce type d’occasion se présente. Et puis, elle ne l’a pas dit, mais ces derniers temps, elle est très absente, on se voit moins…

 

Déborah m’entraîne dans une brasserie et nous nous installons en silence autour d’une bière et d’un café, ne sachant trop quoi dire. Elle ne veut pas briser le charme qui s’est instauré entre nous en parlant de la pluie ou du beau temps.

 

- Tu veux me faire plaisir ? finit elle par dire.

 

Je repose aussitôt ma tasse pour répondre un « oui » enthousiaste, et elle poursuit.

 

- J’aimerai beaucoup te voir porter ce string que tu as acheté… Je n’aime pas l’idée qu’une femme se promène le cul à l’air à mes côtés, je trouve cela vulgaire.

 

J’accuse le coup. Après ces longues minutes de silence, dans cette ambiance feutrée, de sa voix suave et douce, elle pose sa première exigence… Et quelle exigence !

 

- Euh… Oui… Là, maintenant ?

 

Elle repose son demi et répond le plus calmement du monde, un brin amusé par ma gêne, l’œil pétillant de malice.

 

- Finis ton café, ne le laisse pas refroidir. Nous avons tout notre temps.

 

Je le finis aussitôt, je prends mon sac à main, j’y glisse le string et je file aux toilettes, tout sourire, histoire de lui montrer ma docilité, toute nouvelle à ses yeux. Je suis excitée comme une puce, et ma chatte est trempée (puce, chatte… ;-). Il n’est pas toujours nécessaire de se toucher pour ressentir du plaisir. Magie d’une rencontre, d’une situation, d’un contexte…

 

Je m’assieds sur le rebord des toilettes et commence à écarter doucement les grandes lèvres. Je recueille une abondante cyprine sur l’extrémité des doigts, une mouille blanchâtre qui se colle sous mes ongles et qui va les parfumer le restant de la journée. Longtemps, j’ai détesté cette odeur de femelle en chaleur, aujourd’hui, je m’y suis faite. Mieux, je me surprends à aimer sentir, en pleine réunion de travail, ces doigts au parfum de femme en rut. Je me gratte alors le nez, et tout en faisant mine de réfléchir, je laisse les effluves de ma chatte m’enivrer et me transporter dans mon monde de débauche et de soumission. Je suis devenue une vraie salope et ce n’est pas à cet instant que je pourrai prétendre le contraire. Assise sur le rebord des toilettes, la robe troussée, les cuisses bien écartées, j’enfile le string, au départ destiné à Caroline. Mais je constate avec horreur qu’il n’est pas à ma taille, loin s’en faut hélas. Il me rentre dans la chair, y compris ma chair la plus intime. C’est inconfortable, douloureux, et peu esthétique.

 



Lorsque je regagne la salle, j’ai sous ma robe, ce string qui me cisaille la chatte et me pénètre profondément dans la raie. Je suis tellement préoccupée par mon entrejambe et l’inconfort du sous vêtement que je marche tête baissée jusqu’à notre table. J’attire sûrement les regards car ma démarche est suspecte, je dois ressembler à une petite fille honteuse. Mais cela fait partie du jeu, et j’espère même que Déborah remarque ma nouvelle démarche mal assurée, si loin de la démarche altière qui était la mienne lorsque j’étais cette dominatrice si fière et si autoritaire.

Lorsque je relève la tête, c’est le choc, un homme est assis à notre table… Pas n’importe lequel, il s’agit de son mari. Celui-ci se lève aussitôt pour m’accueillir, radieux et surpris de me voir là. Sa femme ne l’a visiblement pas mis au courant, ou il vient juste d’arriver.

 

Linda

Sam 28 nov 2009 3 commentaires
Je suis toujours entierement nu sous mes jupes ni string, ni boxer, ni culotte et j adore que cela se remarque
Sainte Ange - le 29/11/2009 à 18h00
Bonjour mesdames,
au risque de ce répéter, c'est toujours un régal de vous lire. Je me pose tout de même 2 question. Quelle est la relation exacte qu'a eu Linda avec Sora et Déborah avec la petite salope qui l'a cocufiée?
Au plaisir de vous lire.

Falmes
Christophe - le 02/12/2009 à 12h10
Parcourant depuis plusieurs années le blog de linda et maintenant celui-ci, j'ai toujours le même plaisir (érection) à vous lire.
Pourtant je n'ai aucun attrait pour le sm. Mais les récits de vos aventures sexuelles sont très excitants et bien écrits.
Quel plaisir ce serait de jouer les étalons avec les 2 salopes que vous êtes!
Continuez à nous faire juter, au plaisir de vous croiser un jour peut être.

Arthur
arthur - le 04/12/2009 à 09h47