Cocu-soumis
Quel plaisir, quel pied, quelle jubilation de tenir Linda à portée de cravache. Elle est ma prisonnière, ma chose, ma chienne… Je vais enfin pouvoir casser le mythe et prendre sa place au panthéon des dominatrices. D’ailleurs, dans le regard de ma lopette, c’est déjà fait. Le regard qu’il me lance est encore plus admiratif que d’habitude. Il y a une lueur de vénération dans ses yeux qui me portent aux nues. Je me sens plus forte que jamais… Plus excitée aussi… Mais Linda, est elle excitée ? Je ne vais pas tarder à le savoir. Je passe l’extrémité de ma cravache entre ses cuisses et m’amuse à la lui faire pénétrer doucement ses chairs intimes. Dire qu’il y a peu de résistance est un doux euphémisme, c’est un vrai marais intime.
- Salope, tu mouilles !
Linda baisse les yeux en signe d’acquiescement, mais son silence commence à m’énerver. Je veux l’entendre me supplier, me vénérer, me demander pardon. Je veux l’entendre reconnaître ma supériorité.
- Tu te donnes des airs de dominatrice mais moi, j’ai toujours su que t’étais une soumise, pas vrai salope ?
J’enfonce un peu plus l’extrémité de ma cravache et elle se met à gémir comme une chienne en chaleur. Mais dois-je me contenter de ses gémissements pour réponse ? Je l’ai connu plus loquace.
A l’époque où je la fréquentais et qu’elle aimait dominer son mari sous nos yeux, elle enchaînait moqueries et humiliations. Et elle obligeait son mari à lui répondre, ce qui ne manquait pas de
m’émoustiller. Alors je veux l’entendre… pas ses gémissements de chienne en rut, je veux des mots ! Je lui colle une nouvelle baffe au moment où elle s’y attend le moins et je lui saisis
aussitôt le menton pour la forcer à me regarder.
- Je t’ai posé une question salope et je veux que tu y répondes !
- Oui, répond elle dans un murmure.
Sa honte est palpable, et elle me comble au-delà de toute espérance. Mais je ne peux évidemment pas me contenter de ce petit oui à peine audible.
- Je n’ai pas bien entendu. Tu fais ta timide ?
- Non.
- Pourtant, lorsque nous t’avons connu, tu avais la langue bien pendue il me semble.
- Je sais pas.
Oui, non, je sais pas… Elle se fout de moi. Je lui recolle une baffe je l’attire vers moi en lui tirant les cheveux.
- Ecoute moi bien sale pute, t’as sûrement l’habitude qu’on t’obéisse au doigt et à l’œil. Mais ici, t’es sous mon toit, et c’est moi qui donne les ordres. Alors il y a deux ou trois choses qu’il faut que tu saches tout de suite. Quand je pose une question, j’exige une réponse… et une réponse immédiate. Une réponse à haute et intelligible voix, t’es qu’une chienne, alors assume ! Compris ?
- Oui.
Sa voix porte enfin, mais cette réponse ne me convient pas vraiment.
- T’as pas beaucoup de vocabulaire dis moi. Je t’ai connu plus loquace. Tu crois que je vais me contenter de ce type de réponse. Tu as fait des études je crois, tu es cadre sup’ si je ne m’abuse, alors tu dois être capable d’aligner trois mots et faire une phrase.
Je la force à me regarder et elle comprend alors qu’elle doit répondre.
- Oui Déborah tout ce que tu veux…
- Tout ce que je veux, hummm, c’est bien ça, mais tu es bien imprudente, car je veux beaucoup de choses, je ne suis pas sûre que tu sois vraiment prête à accepter toutes ces choses.
- Si, je suis prête. Tu n’as qu’à ordonner, tu verras, je t’obéirai.
Je me tourne vers ma lopette.
- Tu entends ça mon chéri, Linda est prête à m’obéir. Toi qui en faisais la reine des dominatrices, je suis morte de rire. Regarde comme je vais la faire ramper. (Je me tourne vers Linda et je lui lance avec dédain). Et bien qu’est-ce que tu attends, rampe salope !
- Oui Maîtresse.
Elle est déjà à quatre pattes quand je m’accroupis à son niveau pour la reprendre.
- Ne m’appelle pas Maîtresse, sale pute, je ne suis pas ta maîtresse. Tu crois que la première salope venue peut m’appeler Maîtresse, tu rêves, t’es qu’une chienne !
Je pose la cravache et me saisis du martinet qu’elle a utilisé pour fouetter ma lope de mari. Elle est à mes pieds, je la toise et je commence à la fouetter alors qu’elle marche à quatre pattes autour de moi. Elle lâche quelques cris mais encaisse plutôt bien ; Je me réjouis de sa résistance, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses.
Déborah
Déborah est une merveilleuse maîtresse. J’ai senti tout de suite lors de notre rencontre aux galeries que le courant passait. Comment n’ais-je pu m’en rendre compte il y a sept ans ?
Aveuglée que j’étais par mon plaisir de dominer, je ne me suis pas aperçue qu’il y avait déjà en elle de véritables germes de dominatrice. Je ne peux plus les ignorer désormais. Tout dans son
allure respire la domination, la supériorité, la maîtrise de soi et de ses sujets… Charles et moi en l’occurrence.
Charles a les yeux qui lui sortent de la tête. Le spectacle semble le réjouir au plus haut point. Et maintenant que je suis à quatre pattes, j’ai une vue imprenable sur sa queue. Le salaud bande comme un taureau. Je le savais bien pourvu, j’en ai la confirmation, même si tout à l’heure je me suis moquée de sa petite queue au repos ;-).
Déborah surprend mon regard qui se porte, pourtant furtivement sur les parties intimes de son mari. Rien ne lui échappe.
- Salope, tu reluques la queue de ma lopette, t’en as envie pas vrai ? (Elle ne me laisse pas le temps de répondre et poursuit en s’emparant à pleine main de la bitte de Charles). Oh mais que vois-je, ce salaud aussi est bien excité. Ca fait une paie que tu n’as pas bandé comme cela, c’est Linda qui t’excite comme ça ?
- Oui Maîtresse, répond il aussitôt (Lui il a le droit de l’appeler maîtresse). Mais tu m’excites tout autant chérie, tu es merveilleuse…
- La ferme, y’a un quart d’heure tu disais à Linda que tu étais prêt à tout pour souffrir de ses mains. Et maintenant, regarde là, c’est une vraie chienne. Et je parie que tu adorerais qu’elle te suce !
- Oh oui Maîtresse, j’adorerai.
- Salopart, tu ne perds rien pour attendre !
Et elle ponctue sa remarque d’une bonne claque sur ses fesses avant d’aller fouiller dans un placard derrière elle. Elle revient avec des cordes, un collier, et une laisse.
- Une chienne doit avoir une laisse, et c’est bien ce que tu es, une chienne ?
- Oui Déborah, je suis une chienne.
J’ai retenu la leçon, elle aime m’entendre dire ce que je suis. Elle veut me dégrader, cela renforce son pouvoir et son autorité. Je comprends parfaitement, et je veux jouer le jeu à fond, mon plaisir n’en est que décuplé !
Elle s’approche et me passe collier et laisse.
- Allez chienne, on se promène !
Elle tire sur la laisse et me force à faire le tour de la pièce à quatre pattes, sous le regard de Charles qui
n’en finit plus de bander. Lorsqu’elle me ramène derrière lui, je suis soulagée d’échapper enfin à son regard, et je me dis qu’elle va me faire passer entre ses jambes pour lui tailler une pipe,
ce qui ne serait pas pour me déplaire. Après avoir fouetté et humilié Charles, je suis toute excitée à l’idée d’être obligée de le sucer désormais. Mais Déborah a une autre idée en
tête.
- Allez ma chienne, fais tes besoins ! Pisse lui dessus.
Elle accompagne son ordre d’une caresse dans mes cheveux, mais ma surprise est si grande que tout mon visage affiche le désarroi.
- Quoi ? s’étonne-t-elle, mi furieuse mi contrariée. Ne me dis pas que ça te pose problème. Il y a sept ans dans les dunes, je me souviens parfaitement que tu avais pissé dans la bouche de ton mari ! Tu devrais t’estimer heureuse que j’en fasse pas autant !
Cela ne me dérangerait pas outre mesure, mais tu ignores encore que je suis une soumise réelle et vraiment bien dressée par Caroline. Tu pensais trouver en moi un reliquat de dominatrice, un reste de caractère autoritaire, mais non, Déborah, je suis bien une chienne, et je vais te le prouver. Malheureusement, je n’ai aucune envie de pisser…
- Oh Déborah, je suis désolée, mais je n’ai vraiment pas envie de pipi !
Alors qu’elle me caressait les cheveux comme la crinière d’une pouliche, elle change d’attitude et me les tire violemment.
- Une chienne pisse sur commande ! Alors tu vas pisser et plus vite que ça !
- Oui Déborah.
J’abdique, et je me lève pour tenter de pisser sur les fesses de Charles, mais Déborah ne voit pas les choses ainsi.
- Une chienne, ça reste à quatre pattes, où tu as entendu que t’avais donné l’autorisation de te lever ?
- Pardon déborah.
- Tu vas lui pisser sur la cheville, à quatre pattes comme une chienne… En levant la jambe… Allez exécution !
Je suis abasourdie. Je ne m’attendais pas à une telle perversité. Mais j’obéis, car au fond de moi, j’adore ça…
Linda.
J'AIME cette fille (???).
ERIK.
Génial !