Vendredi 10 janvier 5 10 /01 /Jan 12:49
 
 Le cadeau de mariage 4
 
  
008.jpg          Voir sa femme se faire prendre par un autre homme a quelque chose d’indéniablement excitant. J’ai tout de suite senti ma queue se durcir lorsque Justine, toute de blanche vêtue, robe, gants, bas et escarpins, a pris position sur la table, écarté les jambes et commencé à se caresser. Elle a accueilli Bruno, les cuisses grandes ouvertes et la chatte bien visible, et l’a invité à approcher avec cet air de garce qui me rend fou. Depuis l’armoire, je ne rate rien de la scène, je suis aux premières loges, Justine est face à moi, à moins de six mètres. Cette position de voyeur passif est humiliante, je suis confiné dans un bahut poussiéreux et bancal mais cela ne m’empêche pas de sentir le plaisir monter entre mes jambes. Je résiste à l’envie de me branler et me refuse à sortir ma queue du pantalon où elle est très à l’étroit. Justine me l’a interdit, je ne vais pas céder à la première tentation, échouer à la première épreuve. Mais c’est plus fort que moi, tout en portant à mon nez la petite culotte qu’elle a bien voulu me céder, je me masse l’entrejambe. Son odeur intime émoustille mes sens, déjà tous fortement sollicités.
 
  
- Occupe toi plutôt de ma chatte, lui a-t-elle dit en repoussant ses avances lorsque mon beauf a tenté de l’embrasser.
 
  
Bruno ne s’est pas fait prier, il est aussitôt tombé  à genoux, et a rendu hommage avec sa bouche à ma tendre et divine épouse. Cela m’a plu qu’elle lui refuse ce baiser, et cela m’a plu aussi qu’elle jouisse sous sa langue et non avec sa bite. L’entendre gémir de la sorte m’a tout de suite fait comprendre qu’elle ne simulait pas. Sa voix s’étrangle, et monte très haut dans les aigus. Elle prend son pied et ça m’excite drôlement. J’aurais aimé qu’elle n’aille pas plus loin, mais ce n’est évidemment pas le cas de Justine qui semble plus que jamais assoiffée de sexe. Je la vois qui se redresse sur la table et qui tente de reprendre le contrôle de la situation. Bruno lâche une vanne que je ne saisis que partiellement et elle lui répond d’une voix essoufflée, une belle voix de salope.
 
 
 
- Tais toi et baise moi !
 
  
Elle a beau essayé de garder le contrôle de la situation, elle réclame une bite dans son con, c’est une salope. Et Bruno ne s’y trompe pas.
 
  
- Tes désirs sont des ordres, chère belle sœur, répond il sur le ton de l’ironie.
 
  
Oui, c’est une belle salope, il le sent, il est habitué à ce genre de femme, il s’en est vanté plus d’une fois à ses amis et même à moi. Il repère la salope à des lieues à la ronde, m’a-t-il déjà confié après une soirée bien arrosée. Il n’avait malgré tout jamais imaginé que sa future belle sœur serait de cette trempe. L’enfoiré baisse son pantalon, j’ai une vue imprenable sur son cul de rouquin, tout blanc et parsemé de tâches de sons. Je me surprends à essayer de percevoir sinon sa bite, puisqu’il me tourne le dos, du moins ses couilles qui lui pendraient entre les jambes. Mais je ne distingue aucun appareil génital, aucun signe de virilité particulier, aurait il des couilles minuscules ? Cela me plairait assez qu’il ne soit pas à la hauteur. Hélas, la suite des événements m’offre un cinglant démenti. Il pénètre Justine d’un coup, sans fioriture, lui arrache un cri de surprise, et sans lui laisser le moindre répit, lui assène de grands coups de bite.
 
  
Ma femme se fait baiser  avec une telle violence que des émotions contradictoires naissent en moi. Je suis tétanisé et horrifié qu’elle prenne ainsi plaisir aux coups de semonce de mon beau frère. La violence de leur étreinte me fait penser à un viol. De mon armoire, je vois Bruno, pantalon sur les chevilles, le cul à l’air, remuer entre les cuisses de ma femme à une cadence effrénée. J’aimerai intervenir, la défendre, la cajoler. Casser la gueule à cet enfoiré qui n’éprouve aucun remords à baiser mon épouse le jour de mon mariage, et réconforter ma princesse qui vient de subir les derniers outrages. Mais nous ne sommes pas dans un conte de fée, elle n’est pas ma princesse mais ma maîtresse, et je n’ai rien d’un prince charmant, je suis son cocu, son esclave soumis et obéissant.
 
Je l’entends hoqueter et gémir comme jamais je ne l’ai entendu auparavant. La salope prend son pied et ne fait pas semblant. Entre deux gémissements, je distingue le son de sa chatte sous les coups de bite de Bruno, c’est un clapotis immonde et indécent. Elle doit mouiller à un point inimaginable pour que son vagin émette un son pareil. Elle n’a jamais pris autant de plaisir avec moi, que ce soit avec ma bouche ou avec ma queue. Je suis jaloux et vexé de n’avoir pu lui procurer pareille jouissance. L’humiliation est considérable, probablement à la mesure de ses orgasmes. Bientôt, je lui en veux de se livrer avec une telle impudeur, et après avoir voulu m’interposer pour stopper cette violence  dont elle semblait victime, je souhaite maintenant que Bruno la baise plus fort. Lui non plus ne s’y trompe pas, il est évidemment mieux placé que moi pour se rendre compte que la situation l’excite au-delà de tout ce que l’on peut imaginer.
  
 
- T’aimes ça, je le vois, t’es toute mouillée. Il est au bord de l’orgasme, le souffle commence à lui manquer.  Quelle belle salope tu fais ! Putain le jour de ton mariage !
 
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Il débite ses conneries pour s’exciter et prendre la mesure de l’acte qu’il commet, mais il me rappelle du même coup que je suis cocu le jour de mes noces, que la femme qu’il baise sous mes yeux, c’est la mienne. Il me poignarde le cœur, trahit ma confiance, et fait jouir Justine qui couine comme une pute. Putain que je suis excité. Je bande comme un taureau, mes couilles sont tellement pleines de foutre qu’elles en sont douloureuses. Je n’ose plus me les frictionner de peur de jouir dans mon pantalon, mais j’ai le tanga imprégné de sa féminité sous mon nez. Cela me donne ainsi l’illusion d’avoir sa chatte sur mon visage. Juste l’illusion…
 
  
L’inconfort de ma position se rappelle à mon bon souvenir par l’apparition de crampes derrière la cuisse. Je grimace de douleur, ne pouvant bouger sans risque d’attirer l’attention, et attends que cela passe en massant le muscle endolori. Au moins, pendant quelques secondes, je ne sens plus mes couilles, dures comme la pierre, gonflées et douloureuses. Mon attention est détournée, mais mon excitation n’est nullement retombée. Mes yeux se portent sur la jambe qui est tétanisée, peut être ai-je abusé du Champagne, mais j’entends toujours ma femme qui gémit et Bruno qui ne parvient plus à contrôler sa jouissance.
 
  
- Putain je vais jouir… Oh salope, oui, c’est bon.
 
  
Je délaisse aussitôt ma crampe pour ne rien perdre du spectacle, préférant ma position de voyeur inconfortable à celle qui atténue ma douleur. Ma femme s’est redressée, elle est maintenant en position assise sur la table, la tête penchée entre ses cuisses pour mieux voir le sexe qui la pénètre et la fait jouir.
 
 - Attends, lui dit elle, toute haletante. La jouissance a eu raison de son maquillage, de belle rougeurs pigmentent sa peau jusqu’à la racine de sa frange. Et quel troublant contraste avec la blondeur de ses cheveux ! Ne jouis pas tout de suite, dit elle en reprenant son souffle. Je te veux dans ma bouche !
 
Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu
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  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
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  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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