Linda et son mari cocu

Vendredi 4 septembre 5 04 /09 /Sep 08:54

13.

Baisée


                        Je sens la bitte de Marcus caresser ma chatte de l’extrémité de son gland. Il est bien placé pour se rendre compte que je mouille comme une vraie salope, et il ne se gêne pas pour informer Mona et mon mari de mon état d’excitation.


- Putain mec, ta femme, c’est une fontaine, elle mouille comme une chienne en chaleur.


Et pour prouver la véracité de ses propos, il s’enfonce doucement mais entièrement en moi. Il glisse dans mon fourreau comme dans une motte de beurre exposée au soleil. Il est énorme, mais mon sexe l’accueille sans difficulté. Il me remplit, me comble, me transperce. Je gémis avant même qu’il ne commence ses va-et-viens. Ma bouche se plaque alors sur la chatte de Mona. Je jouis et je tente de le dissimuler en étouffant mes gémissements dans les chairs humides de ma Maîtresse. Je me bâillonne avec sa chatte, et c’est elle qui gémit, surprise par mon entrée en matière pour le moins directe. Je perds toute notion du temps, ma vue se brouille, je ne garde que le souvenir de cette odeur de pisse et de mouille qui agresse mes narines, et excite mes papilles… Puis cette sensation d’être remplie, comblée, pleine… Je ressens bientôt les coups de boutoir de Marcus contre ma matrice, et je me remets à gémir. Mes petits cris plaintifs lui font penser que je commence à y trouver mon plaisir, il ne s’est pas rendu compte que j’avais déjà trouvé l’orgasme.


- Oui salope, vas-y ! Je vais te faire jouir, tu vas voir. T’aimes ça, hein ? Tu la sens bien salope !


- Oui… Oui… O mon chéri, si tu savais comme il me baise bien.

Eric, ainsi interpellé, cesse un instant de lécher le fond du slip de Mona pour m’adresser un sourire plein de complicité. Lui aussi il aime, il en redemande. Son sexe, qui n’a plus rien d’enfantin, parle pour lui. Il ne peut rivaliser avec le braquemart de Marcus, mais il bande. Cela me conforte dans mon rôle de chienne et puisqu’il semble apprécier le spectacle, je vais lui en donner de l’épouse vicieuse. D’ailleurs, ma position semble plaire à tout le monde. Mon mari prend plaisir à voir sa petite femme se faire baiser, Marcus se complaît dans mon vagin de bourgeoise blonde et Mona gémit et mouille de plus bel sous mes coups de langue.


- Oui, t’es une brave chienne, m’encourage-t-elle. Nettoie bien ma chatte, elle est pleine de pisse, passe bien ta langue partout… Oui, hummm, oui… Et n’oublie pas de lécher le sperme de Marcus, j’aime pas quand ça colle.


Derrière, Marcus s’agrippe à mes hanches et accentue la cadence. J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur la chatte de Mona. Mon plaisir emporte tout sur son passage et je ne suis pas longue à venir une seconde fois. Cette fois, mon orgasme ne passe pas inaperçu.


- Regarde mec, ta pouf comme elle prend son pied. Elle jouit déjà !


Je sens les grosses mains de Marcus pétrir mes fesses. Il me pince et me fait mal, mais cela ne coupe nullement ma jouissance. Ma langue nettoie son foutre sur la chatte de sa femme, et mon nez est englué dans les traînées de sperme qui se trouvent dans son pubis. Lorsque je reprends mes esprits et que je relève la tête pour reprendre mon souffle, j’offre à Mona mon visage maculé de foutre, de mouille et de pisse. Elle ne manque évidemment pas de s’en moquer.


- Ah oui, si tu te voyais ma salope, là tu as l’air vraiment salope. Regarde comme ça lui plaît à ta petite femme de me brouter le minou, ajoute-t-elle en se moquant de mon mari. Si ça se trouve, après, elle pourra plus s’empêcher de lécher toutes les chattes qui lui passeront sous le nez !


Elle ponctue sa remarque d’un rire moqueur et sensuel sans deviner la portée prophétique de celle-ci… Moi, j’ai un creux à l’estomac, je le pressens… Et Marcus, qui sort de ma chatte pour se finir au dessus de celle de son épouse, a aussi compris qu’en quelques minutes, j’ai perdu tout mon vernis de bourgeoise dominatrice. Il crache à nouveau sa semence mais cette fois, il arrose autant le vagin de sa femme que ma bouche, ouverte pour accueillir servilement son foutre. Il a deviné que j’étais prête à le recevoir sur mon visage et ne s’en prive pas. Il gicle puissamment sur la chatte de Mona, mais le second jet m’est destiné. Je suis éclaboussée au niveau du menton et de mes lèvres. Mais il continue de se branler et garde sa bitte orientée dans ma direction. Je reçois une nouvelle giclée sur mon nez et mon front. J’ai l’impression d’être littéralement débarbouillée de sperme. Je ne l’ai jamais toléré avant ce soir, et j’y prends là un plaisir inouï : celui d’être dégradée, de sombrer dans la décadence la plus totale et la plus condamnable. Marcus gémit et n’en finit plus de se répandre.


- Tiens sale pute, prends ça, bois mon sperme, chiennasse.


Il me saisit par les cheveux et me fourre sa grosse queue dans la bouche. Il veut me forcer, mais je suis docile, matée, j’en ai envie au plus profond de moi. Les dernières gouttes de sperme me tombent dans le gosier tandis qu’il râle en fermant les yeux.


- Oui, reprend Mona en ricanant. Nettoie lui la queue, t’es bonne qu’à nettoyer les bittes et les chattes. Et fais en sorte qu’elle soit bien propre salope, car maintenant, c’est mon tour, il va me baiser, et je veux pas avoir le goût de ta chatte quand je lui taillerai une pipe.

Marcus finit par se retirer de mon palais. Il a à peine débandé. J’en profite pour humilier mon mari.


- T’as vu mon chéri, lui il bande encore après avoir joui. C’est un vrai mâle.


Eric lèche docilement la culotte de Mona. Il baisse la tête, honteux. Mais je vois qu’il bande bien fermement maintenant.


- Oui, et maintenant qu’il a joui deux fois, il me doit deux orgasmes, reprend Mona, plus malicieuse que jamais. Elle saisit son époux par les épaules et dépose un baiser sur sa joue. Pas vrai mon chou ? Tu vas me baiser à fond maintenant, tu vas me ramoner la chatte et le cul, cette salope m’a mis dans un sacré état, je suis trempée.


- Pas de problème ma puce, répond Marcus en branlant doucement son membre qui a à peine perdu de sa vigueur.


- Je te préviens, je veux jouir du cul, t’as intérêt à tenir la distance, rétorque Mona. Puis s’adressant à moi, elle ajoute. Quand je baise avec mon homme, j’aime avoir un peu d’intimité, ça vous embête pas trop ?


- Non, non, vous pouvez prendre notre lit à côté, je vais prendre une douche pendant ce temps là, j’en ai bien besoin.


- T’es sympa Linda. Je te conseille de prendre un bain, car après de tels préliminaires, j’aime bien prendre mon temps.


- Pas de problème, un bain me fera le plus grand bien. (Je vois le regard de Mona embarrassée, se porter sur mon mari). Lui n’as fini de nettoyer ta culotte, et cela lui prendra le temps qu’il faudra pour te rendre un slip nickel.


Je la regarde se lever et se diriger vers notre chambre, enlacée à Marcus, je trouve qu’ils forment un joli couple. Mon regard se porte sur mon mari et la honte me submerge. Il bande comme un âne. Son sexe glabre n’en paraît que plus gros.
Je suis la Maîtresse de mon mari et je viens de me comporter en chienne soumise. J’ai honte du plaisir qu’il a pris à se soumettre comme un vulgaire énuque, mais j’ai honte surtout du plaisir que j’ai pris à me sentir dégradée et humiliée de la sorte. Et quand mon regard croise le reflet du miroir, je vois l’image d’une femme bafouée, souillée, un visage maculé de foutre, le visage d’une pute qui vient d’être aspergé par un client… Mais ce sourire et ce regard qui sont les miens à cet instant précis ne révèlent ils pas plus encore le plaisir inouï que je viens de prendre ?

Je comprends alors que ma vie ne sera jamais plus la même.

Texte de Linda, (histoire vraie) publié par Déborah, de retour de vacances et qui rejoint vos critiques sur les trop nombreuses illustrations pornos. Donc je censure les dernières et m'en entretiendrai avec Linda ici même bientôt. Mais je la remercie d'avoir tenu mon blog pendant ces 5 semaines, et vous pourriez en faire autant...

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Mardi 1 septembre 2 01 /09 /Sep 23:26

12.

Brouteuse de minou

 

                                     
                                    Je ne peux pas lui dire que j’ai aimé qu’elle me pisse dessus, pas devant mon mari… Je me suis écartée d’elle plus par peur de paraître trop dépravée que par dégoût. Mes préjugés n’ont pas encore totalement volé en éclats : je suis la Maîtresse de mon mari, je me suis toujours refusée à lui pisser dessus, alors je ne peux décemment pas prendre du plaisir à boire l’urine d’une autre femme… Pas devant lui… Je dois apparaître comme une belle salope, pas comme une chienne soumise. Le baiser nous entraîne sans que je m’en rende compte sur le canapé que Marcus a quitté. C’est ce qui s’appelle être transportée de plaisir. Mona accompagne le baiser de douces caresses sur ma nuque, puis sur mes joues. Je fonds de plaisir. Puis elle se détache doucement de mes lèvres.


- Attends, je vais retirer ma culotte, c’est malin je suis toute mouillée, dit elle en pouffant de rire.



Elle se relève et baisse sa culotte toute trempée de pisse, de Champagne, et de sperme. Je suis alanguie aux pieds du canapé, j’ai toujours une vue imprenable sur son entrejambe, et cette fois il n’y a plus de culotte pour m’interdire la vision de sa petite chatte. Le spectacle de son sexe est d’une décadence extrême.

Ses lèvres sont incroyablement humides, mais comment pourrait il en être autrement ? Elles sont luisantes de mouille et de pisse, de Champagne aussi sûrement. Les petits poils bruns qui parcourent sa chatte sont eux aussi trempés, ce qui renforce l’aspect obscène de son sexe, mais diable que cela m’excite. Pour couronner le tableau, je perçois très nettement des traces de foutre dans les poils de son pubis et le long de ses grandes lèvres.


- Je vais aller me nettoyer la chatte, dit elle en ramassant le slip sale à ses pieds, bouge pas ma chérie j’en ai pour une minute.


- Je vais la faire patienter, dit Marcus en masturbant sa grosse queue déjà d’attaque pour « me faire grimper au rideau ».

Il s’approche de moi pour que je la reprenne en bouche, histoire de lui rendre toute sa rigidité avant de me pénétrer.


- Non, fis-je en retenant Mona au moment où elle s’apprête à gagner la salle de bain, guidée par mon petit mari servile. (Elle me lance un regard étonné, et j’ajoute). Non, assieds toi… C’est à moi de le faire… Je vais te nettoyer la chatte… J’en ai envie.


Moi, si narreuse, mes mots sortent de ma bouche en échappant à mon contrôle. Je suis aussi choquée par mes propos que mon mari, qui me lance un regard ahuri.

Mona retrouve son sourire pervers de dominatrice. Elle seule ne semble pas surprise par ma proposition.


- J’en étais sûre, dit elle en tendant sa culotte à mon mari. Tiens, va donc la nettoyer ! (Eric tourne déjà les talons, le slip trempé dans les mains, mais Mona le rappelle à l’ordre aussitôt). Non, reste là ! Je veux que tu voies ta petite femme me brouter la chatte pleine de pisse et de sperme. Je veux que tu voies comme c’est une vicieuse !


Mona a tout compris de notre petit jeu en ordonnant à mon mari de rester. Elle se réinstalle dans le canapé, les cuisses grandes ouvertes, et poursuit à l’égard de mon époux.


- Je veux que tu lèches le fond de ma culotte tout le temps que ta femme me lèche la chatte. Comme ça, tu auras le même goût qu’elle dans la bouche !




Je lance un coup d’œil amusé à Eric qui entreprend aussitôt de lécher le fond du slip de Mona. Il doit être aux anges, je sais qu’il a toujours voulu que je lui pisse dessus, et la culotte de Mona doit sentir la pisse plus que tout autre chose. Je m’en rends compte en approchant mon nez de son entrejambe.


- Allez petite salope, viens donc lécher la chatte de ta Maîtresse !


Ca y est, le mot est lâché… Maîtresse… Mona est ma Maîtresse… Je suis bien dominée, je ne peux plus faire illusion. J’aime ça, c’est une révélation… J’ai sa chatte trempée, odorante et maculée de foutre sous les yeux, et ce que je n’aurai jamais cru possible avant ce soir là, je mouille comme une folle à l’idée d’y plonger mon nez.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Vendredi 28 août 5 28 /08 /Août 15:31

11.

Champagne


                        Mona me saisit par la nuque et m’attire à elle d’un geste ferme mais sensuel. Je ne résiste pas, son regard pétille de plaisir et de perversité. Je m’apprête à me lever, pensant l’embrasser, mais Mona ruine mes espoirs en posant son pied sur mon épaule.


- Non, reste à 4 pattes, tu es à ta place, m’ordonne-t-elle en me décochant un sourire magnifique.


Donner des ordres lui procure un réel plaisir, elle le porte sur elle. Son visage s’illumine de plaisir et de fierté. La fierté de mettre à sa botte une femme de mon espèce, une bourgeoise racée, dominatrice de surcroît. Le fait que je domine mon mari et que je devais jouer les maîtresses doit l’exciter autant que moi. Je ne m’attendais pas à être réduite à l’état de chienne soumise ce soir, et probablement que Mona ne devait pas s’attendre à me faire déambuler à 4 pattes devant elle au moment de quitter la boîte tout à l’heure. Le soudain renversement de la situation décuple mon plaisir. Je suis trempée. Je n’ai jamais connu cet état de soumission. Je perds le contrôle et cela me plaît.




Mona me toise. Le pied sur mon épaule pour me maintenir dans cette position d’infériorité, j’ai une vue imprenable sur la petite culotte qui lui rentre copieusement dans la chatte. Elle mouille et cela se voit.


- Ca te plaît de te retrouver à mes pieds n’est-ce pas ? Tu peux les embrasser si tu veux ?


J’adore sa façon de s’adresser à moi. Sa voix est ferme mais suave, polie, sensuelle. Elle fait semblant de me laisser le choix. J’adore cette subtilité qui me permet à cet instant de ne pas perdre totalement la face devant mon mari. Je me saisis alors délicatement du pied posé sur mon épaule et je commence à lécher ses orteils, apparents puisqu’elle porte une jolie paire de mules.


- Oui, c’est bien, m’encourage Mona. Sors ta petite langue de chienne, et nettoie moi les doigts de pieds.


Marcus, qui a remplacé sa petite femme dans le canapé, retire les menottes de mon mari pour se faire servir une coupe de Champagne.




- Eh mec t’as vu ta femme, c’est une vraie chienne ! lui dit il en riant au moment de lui rendre sa liberté. (Mon mari me jette un regard embarrassé mais garde le silence, il n’a de toutes façons pas le droit de répondre, cela gâcherait mon plaisir). Et t’as encore rien vu, ajoute-t-il, je vais la baiser tu vas voir, elle va jouir, je te jure, je vais la faire grimper au rideau !


La promesse de Marcus suffit à mon plaisir. Je sens déjà des picotements suspects dans mon bas ventre… Grimper
au rideau… oui… Je redouble de motivation et ma langue se met à parcourir consciencieusement chaque orteil.


- Regarde petit cocu comme ta femme aime me lécher les pieds ! lance Mona à mon mari, pétrifié. Allez ça suffit ajoute-t-elle en me repoussant de son talon.


Je me retrouve à 4 pattes, le cul à l’air, la chatte trempée, le museau maculé de ma propre salive. Mona retire sa jupe en se dandinant, elle a toujours sa coupe de Champagne à la main. Marcus a éjaculé dedans, je me demande ce qu’elle attend pour s’en débarrasser. La réponse ne tarde pas. Une fois la jupe à ses pieds, Mona joue avec sa petite culotte. L’espace d’un instant, je pense qu’elle va la retirer. Mais après avoir joué avec l’élastique, elle finit par le maintenir bien écarté au niveau de son pubis.

Je ne comprends ce qu’elle veut faire que lorsqu’elle approche la coupe de Champagne de sa culotte distendue. Elle penche doucement la coupe en direction de son sexe et verse doucement le contenu à l’intérieur de son slip. Au contact froid du liquide, Mona éclate de rire. Je la regarde déverser dans sa culotte ce mélange de Champagne et de sperme avec une fascination perverse. Sur la fin, le foutre de son mari s’écoule dans son slip en formant une longue coulée blanche. Mona a maintenant l’entrejambe trempé, et elle part dans un fou rire que Marcus accompagne de petits cris.


- Allez ma petite salope, viens donc me lécher la chatte, je suis sûre que tu n’attends que ça ! dit elle d’une voix sensuelle et rieuse, en mettant bien l’accent sur le mot salope.


Elle plaque une main sur sa culotte trempée de Champagne et de foutre et se masturbe à travers l’étoffe du sous vêtement. Et tandis qu’elle tend la coupe à mon mari qui la débarrasse dans l’instant, tel un serveur zélé, je m’approche de son entrejambe trempé. Le slip est tâché, et le Champagne qui coule le long de ses cuisses me fait penser à de l’urine. L’image qui m’est alors donnée de ses cuisses et de son sexe encore voilé de sa culotte toute humide me fait évidemment penser qu’elle a pissé dans sa culotte. Mais loin de me rebuter, alors que je me suis toujours refusée à pisser sur mon mari, pourtant demandeur, l’idée de sentir et de boire son urine, m’excite. Je colle mon nez entre ses cuisses, ma langue se saisit d’une fine coulée de Champagne et remonte doucement vers son sexe.




- Une vraie petite bourgeoise, commente Mona en riant. Tu aimes le Champagne, toi, ça se voit, une vraie salope.


A l’époque j’ignorais la signification ambiguë du mot « Champagne », alors je dis oui et je colle ma bouche contre son sexe pour lécher l’alcool intime qui transperce le tissu.


- Oui, je vais t’en donner, du Champagne, moi, tu vas voir, ajoute-t-elle en posant une main sur ma nuque.


Mon visage est maintenant plaqué contre sa chatte. Je la respire toute entière : cela sent fort, un mélange détonnant d’odeurs de femme, de transpiration, de sperme et de Champagne. Je sens sa chaleur intime, j’ai envie de passer ma langue sur son sexe, je n’ai jamais léché une autre femme : ce soir est pour moi une grande première dans bien des domaines… Et je ne suis pas au bout de mes surprises.


Soudain, je sens un liquide chaud imbiber la petite culotte de Mona. Il n’y a aucun doute sur ce qu’elle est en train de
faire… Elle me maintient fermement la nuque entre ses cuisses et elle me pisse dessus. Sa culotte, déjà bien humide, est vite inondée. L’urine s’écoule à travers l’étoffe et me coule sur le visage, le nez et les lèvres. Quelques gouttes de pisse me tombent dans la bouche, puis c’est un mince filet. J’étouffe, j’essaie de contenir mon dégoût, mais lorsque l’urine brûlante parvient à se frayer un chemin jusqu’au fond de mon gosier, je m’étrangle.

Mona consent alors à relâcher son étreinte, et j’en profite pour me dégager. Je tousse et je crache tandis que Mona finit son petit pipi en se moquant de moi.


- Ben alors, fait elle en souriant. T’aimes pas mon Champagne ?


- C’est parce que c’est du Champagne des Antilles, plaisante Marcus derrière mon dos.


C’est là que je comprends toute la signification du mot « Champagne ». 


- Mais elle me pisse dessus, dis-je en m’essuyant la bouche.


Mona prend un air catastrophé.


- Tu ignorais que le Champagne était le pipi ? dit elle en s’accroupissant à mes côtés. Oh je suis désolée, je pensais que tu connaissais le jargon.


Elle me prend alors dans ses bras et m’attire à elle tendrement pour me consoler.


- Excuse moi ma chérie, si j’avais su…


Sa douceur tranche avec l’autorité dont elle faisait encore preuve une minute plus tôt. Le « ma chérie »  fait aussitôt
oublier ma déconvenue. Je lui présente mes lèvres et elle y dépose aussitôt un baiser tendre et sensuel.


Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Lundi 24 août 1 24 /08 /Août 11:02

10.

Gorge profonde


Marcus s’enfonce dans la brèche. Je prends alors conscience, mais trop tard, qu’il est énorme. Ma bouche est trop petite, je grimace, mes joues se creusent, il continue de pousser, il veut que je l’avale en entier. Je refoule un haut de cœur, j’essaie de reculer, mais Mona me maintient fermement.


- Oui, il est gros, je sais, se moque-t-elle. Mais tu voulais de la queue, je te donne du premier choix.




Marcus continue de pousser. Il va me perforer. Son gland heurte mes amygdales et commence doucement un va-et-viens libératoire et jouissif. Je sens les veines de sa bitte palpiter contre mon palais. Je respire par le nez, bruyamment, pour accompagner la cadence qu’il m’impose, puis de petits gémissements parviennent à s’échapper de mon gosier. Je n’ai jamais eu la bouche aussi pleine, un véritable bâillon de chair, une chair chaude et douce, légèrement odorante, je commence à aimer. Je bave sur sa queue, de la salive coule sur mon menton. Je roule des paupières en le fixant droit dans les yeux, et lui caresse tendrement les bourses. Mona relâche son étreinte, je suis domptée.


- Regarde petit cocu comme ta femme est une bonne suceuse. Une salope de premier choix. A mon avis c’est pas la première queue qu’elle suce.


Eric garde le silence. Il baisse la tête, les yeux sur son sexe imberbe, conscient de ne pouvoir rivaliser avec l’énorme braquemart de Marcus. Il se sent ridicule, il aime sa femme plus que tout pour le magnifique cadeau qu’elle lui fait.

Marcus commence à grogner. Je prends alors l’initiative de sortir sa bitte de ma bouche. Je ne veux pas qu’il me gicle dans la gorge. Je le suce alors avec avidité et énergie, en jetant des coups d’œil furtif à mon époux qui n’en perd pas une miette. Son regard m’excite tout autant que celui de Mona à mes côtés. J’accentue mes coups de tête sur le gland noir de mon amant, je crache sur sa queue et la branle avec une vigueur qui trahit mon état d’excitation.


- T’as vu mon chéri comme il a une grosse queue, dis-je en écarquillant les yeux d’émerveillement. Tu fais pas le poids avec ton zizi de petit garçon, ça c’est un homme, un vrai… Et après il va me baiser à fond !


Les râles de Marcus s’accentuent.




- Tu veux qu’il te gicle dessus ? demande Mona, redevenue avenante l’espace d’un instant.


Je lui suis reconnaissante de sa demande, j’ai horreur de cela. Je fais signe non de la tête et Mona place sa coupe de Champagne, presque vide, sous le sexe de son mari.


- Vas-y mon chou, tu peux te vider.


Je continue de le branler vigoureusement et soudain je sens la sève remonter le long de ce gourdin d’ébène. Je n’ai que le temps de rabattre son sexe sur la coupe. De puissants jets éclaboussent aussitôt le reste de Champagne. Le sperme n’en finit plus de se répandre dans la coupe. Des traînées blanchâtres coulent le long du cristal.
Marcus gémit à n’en plus finir et remplit de sa semence la moitié de la coupe de Champagne. Je reste accroupie, sa queue à la main, encore vigoureuse et palpitante, impressionnée par la quantité de foutre qu’il vient de libérer.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 15:04

9.

Mona Maîtresse


                        Notre appartement se compose d’une pièce salon avec cuisine américaine et arcade ouverte sur notre chambre à coucher, si bien qu’il paraît très spacieux. Mon mari, qui sait ce qu’il a à faire, allume les bougies que nous avons disposé avant de partir pour créer une ambiance feutrée et érotique. Je le houspille un peu, histoire de lui montrer que je tiens encore les rennes. Après l’exhib imposée par Mona dans l’escalier, je dois redorer mon blason d’épouse dominatrice.


- Allons chéri, dépêche toi un peu ! Et mets nous de la musique, qu’est-ce que tu attends ?


Mon mari s’affaire aux quatre coins de l’appartement, les fesses à l’air, un briquet à la main, puis il lance le CD que nous avions préparé, la musique d’un film où une belle blonde exhibe sa blondeur intime dans un jeu de jambes devenu culte. Il ne porte que son petit débardeur en cuir, je le trouve très sexy en mari soumis et dévoué.




Mona s’installe dans le canapé et se penche sur la table basse pour se saisir des menottes que nous avons laissées en évidence. Je la vois sourire d’un air pervers et prometteur. Marcus, que je n’ai pas vu venir dans mon dos, plaque ses grosses mains sur ma poitrine. Il pose ses lèvres dans mon cou tout en libérant mes seins de leur bustier. Ils jaillissent comme de véritables obus, heureux de se retrouver à l’air libre. Marcus se saisit aussitôt de mes pointes et les fait rouler entre ses doigts. Je gémis.


- Elle démarre au quart de tour, remarque Mona. Et elle ajoute en se tournant vers Eric. Toi le cocu, sers nous une coupe de Champagne !


Mona confirme son rôle de dominatrice. C’est elle qui donne les ordres, et mon mari ne s’y trompe pas.


- Bien Mademoiselle tout de suite.


Je le regarde s’éloigner du coin de l’œil tandis que Marcus n’en finit plus de me pincer les bouts. Le plaisir alterne avec la douleur. Il s’est plaqué derrière moi pour que je sente sa grosse queue.


- Oui, vas-y, encourage Mona. Tu peux lui tordre les nichons, cette salope n’attend que cela.


Je ne suis pas vraiment fan des caresses mammaires et surtout pas lorsqu’il s’agit de me pincer les aréoles. Marcus est trop brutal à mon goût. Pourtant je ne dis rien, je grimace mais souffre en douleur. Le contexte de soumission dans lequel je suis plongée suffit à mon excitation. Le regard hautain et dédaigneux de Mona me fait plus mouiller que les doigts de Marcus qui martyrise ma poitrine.


- Lâche la Marcus ! ordonne-t-elle.


Marcus me lâche. Elle a visiblement l’habitude de donner des ordres, même dans son couple, et Marcus a l’habitude de lui obéir. Dans la seconde ses mains m’ont libéré. Quel couple fascinant ! Ce petit bout de fille qui commande un colosse comme lui. Il s’agit d’un couple qui a les mêmes goûts que nous, nous ne pouvions pas mieux tomber.


- Toi la salope, je veux que tu te foutes à poil !


Son ordre est ponctué par le claquement de la bouteille de Champagne. J’obéis, consciente de renoncer totalement à mes droits d’épouse, à mes privilèges de dominatrice. C’est Mona qui décide du déroulement de la soirée, et cela m’excite au plus haut point. Je suis dans un état proche de la transe. Jamais l’on m’a donné des ordres et encore moins sur ce ton.


Eric lui amène sa coupe de Champagne et elle se cale confortablement sur la banquette avant de la porter aux lèvres. Elle croise les jambes bien haut et me révèle le fond d’une petite culotte blanche. Je suis toute nue et Marcus a ôté son pantalon. La nature l’a doté d’un sexe aux dimensions impressionnantes. Il est en semi érection mais il me semble déjà bien gros.


- Allez Linda, prends le en bouche, me lance Mona depuis le canapé. C’est autre chose que la quéquette de ton mari, ajoute-t-elle en riant.


Elle se tourne alors vers Eric qui reste debout à ses côtés comme un domestique attendant d’être appelé.


- Et toi le cocu, poursuit-elle d’une voix autoritaire, tu vas mettre les mains dans le dos, je ne voudrai pas que tu te tripotes en reluquant ta salope  en train de tailler une pipe à mon Marcus.


Eric s’exécute et Mona lui passe les menottes. Je n’ai plus alors qu’à honorer ce membre à moitié dressé, palpitant de désir devant moi. Je m’accroupis et me saisis de ses bourses pleines et lisses. Ma langue parcoure son sexe et gobe ses couilles. Sa bitte se dresse vite, et le majestueux braquemart manifeste le désir de visiter ma gorge. Son gland tente de forcer le barrage de mes lèvres. Il est énorme et j’hésite à le prendre en bouche. Il est trop gros, trop large, trop…




Je sens une main qui se presse sur ma nuque pour me forcer à l’accueillir. L’espace d’une seconde, je crois qu’il s’agit de Marcus.


- Allez salope, avale-le ! Joue pas les saintes nitouches !


Il s’agit de Mona. Elle est passée à califourchon sur mon dos et elle presse mon visage contre le sexe énorme de son mari. Je cède à sa volonté et entrouvre la bouche.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Présentation

  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
  • :
  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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