7. Le mariage d'un cocu

Dimanche 9 février 7 09 /02 /Fév 00:17

Le cadeau de mariage 7

Je n’en peux plus, ça fait quinze jours que je n’ai pas joui, après ce que je viens de voir et le traitement qu’elle m’inflige, je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps, même si c’est aussi douloureux que plaisant… Ou justement parce qu’il y a ce mélange des deux, je suis maso, il me faut l’assumer… Et puis c’est si humiliant de se laisser tripoter de la sorte. Je veux la repousser, faire valoir mes droits, mais au moment où je m’apprête à répondre, elle se colle à moi, et me roule un patin profond et humide. Sa bouche sent le sperme, sa salive est encore imprégnée du foutre de mon beau frère. Le goût est salé, un peu saumoné, écoeuré, je la repousse fermement. Elle me lâche la queue, mais à quel prix ? Elle vacille et manque de tomber, se retenant au dernier moment à la table. Je me rends compte aussitôt, mais trop tard, que je viens de commettre une grave erreur. Son visage, une seconde plus tôt, souriant et détendu, se crispe et se ferme. Son regard lance des éclairs, une colère froide s’empare de tout son être.

 

- Je suis désolé Justine, j’aurais pas dû.

 

Elle revient vers moi, la démarche toujours féline, mais l’œil vengeur, et l’air glacial. Elle me fait peur, elle est diaboliquement belle.

 

- Je m’excuse, je ne voulais pas me montrer désagréable ou brutal…

 

Je veux lui expliquer que j’ai peur d’éjaculer dans mon slip mais elle ne m’en laisse pas le temps. Elle m’administre la plus incroyable paire de gifles de mon existence, et dieu sait que j’en ai reçu de bonnes durant mon enfance et mon adolescence. C’est un aller retour cinglant qui me fait vaciller à mon tour. Les larmes me montent aux yeux et j’ai bien du mal à les contenir.

Mes joues me brûlent, j’imagine sans peine les empreintes de ses doigts sur ma peau. Justine a la main leste, elle m’a promis de belles fessées lorsque je serai marié, elle n’est pas avare de gifles non plus.

 

- Ne t’avise plus jamais de me repousser ! me menace-t-elle en pointant un doigt autoritaire sous le nez. Elle se ressaisit de mes couilles, et cette fois, les tord sans ménagement. Espèce de salaud, tu bandes et tu oses jouer les indifférents !

 

- Pardon Justine, vraiment je m’excuse.

 

Elle me serre les couilles et j’étouffe un juron pour ne pas la froisser et aggraver mon cas. Puis, de sa main libre, elle se saisit de mon menton et ajoute.

 

- Je t’ai déjà dit de m’appeler Maîtresse, je te l’ai déjà dit oui ou non ?

 

Une nouvelle gifle ponctue sa question. Cette fois, c’est plus fort que moi, je pleure.

 

- Oui Maîtresse.

 

Elle me tord les couilles plus fort et ce que je redoutais, finit par arriver : je jouis. Ma femme m’explose les couilles et moi, maso que je suis, j’explose de jouissance. Je me tords de douleur en giclant mon foutre dans le mini slip en résilles que Justine m’a choisi pour m’humilier et me rappeler ma nouvelle condition de femelle soumise. Je me répands dans le sous vêtement et au fur et à mesure que mon sperme s’échappe, douloureusement étant donnée la poigne de ma femme, je sens mes forces me quitter, mon esprit se brouiller. Mes jambes ne me portent plus, j’ai des flashs dans la tête, ce n’est plus une explosion de jouissance, c’est un feu d’artifice… Un orgasme cérébral et physique à la fois, le résultat spectaculaire d’une longue frustration et d’une intense humiliation. Je m’écroule littéralement sur Justine, qui me tient toujours par les couilles, et qui pense alors que je me tords de douleur.

 

- Regardez moi cette femmelette qui pleurniche dés qu’on pose les mains sur ses petites couilles ! se moque-t-elle en serrant un peu plus fort encore. Cette fois, je couine de douleur. On dirait que mon mari a les bijoux de famille très fragiles.

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Je suis incapable de répondre, j’ai perdu l’usage de la parole en perdant le contrôle de mes sens. Tout ce que je sais, c’est que j’ai mal, de plus en plus. Justine met fin à mon calvaire lorsqu’elle s’aperçoit enfin que je viens de jouir.

 

- Putain je le crois pas, le vicieux ! Il s’est joui dessus, s’esclaffe-t-elle en relâchant enfin la pression sur mes parties, ce qui a pour effet immédiat de libérer une nouvelle giclée de sperme. Quel cochon  tu fais, je te tords les couilles, et toi, tu prends ton pied.

 

Je tombe à genoux devant elle lorsqu’elle me lâche complètement. Je me sens totalement vide, sans force et sans volonté. Je ne sais pas combien de temps je demeure ainsi prostré, mais lorsque je reprends peu à peu mes esprits, elle est accroupie en face de moi, souriante et détendue, plus belle et plus sexy que jamais. Ses rougeurs se sont estompées et elle a remis de l’ordre dans ses cheveux. Il n’y a plus aucune trace de colère ou d‘animosité dans son regard, il me semble même y percevoir une certaine forme de tendresse.

 

- Mon chéri, nous sommes vraiment faits pour nous entendre. Si j’avais encore quelques doutes quant à tes capacités d’accepter tout ça, tu viens de les dissiper. Je t’aime.

 

Elle dépose sur mes lèvres un nouveau baiser, et cette fois je la laisse me fouiller le palais sans résister. Sa langue, qui vient de lécher la bite de Bruno, enlace la mienne avec douceur, sa bouche, encore pleine de foutre il y 5 minutes, m’avale et m’engloutit. Elle m’a brisé, vaincu, je suis à elle, et j’en suis heureux.

Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu - Communauté : Dominatrice BDSM
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Vendredi 31 janvier 5 31 /01 /Jan 15:36

Le cadeau de mariage 6

 

Un silence pesant suit l’éjaculation. Justine a la bouche plein et ne peut prononcer le moindre mot, Bruno a les bourses vides et il semble lessivé. Il a une main sur la table et une autre sur l’épaule de ma femme pour garder l’équilibre. Je suis pétrifié à l’idée que le grincement d’une planche puisse trahir ma présence. L’écho de la noce plane à nouveau dans la cave. J’entends le DJ qui lance « les démons de minuit », grand moment disco des années 80, et je ne peux m’empêcher de faire le rapprochement avec nos démons à nous, qui ont poussé ma toute nouvelle épouse dans les bras d’un amant.

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Après ces instants qui me paraissent une éternité, Justine se relève et fait un pas sur le côté pour s’écarter de la silhouette massive de Bruno. Elle m’apparaît enfin dans toute sa perverse splendeur. Elle en a encore plein la bouche, je le vois à ses joues gonflées. Elle est comme ces hamsters qui font des réserves de nourriture dans leurs bajoues, mais elle, c’est du jus de couille qu’elle garde en bouche. Elle regarde dans ma direction en souriant et m’adresse un clin d’œil complice pendant que Bruno remonte son pantalon. Elle fait un pas vers ma cachette, puis un autre, langoureuse, l’air détaché, et je crève de trouille à l’idée qu’elle ouvre d’un coup la porte de l’armoire. Je ne supporterai pas qu’elle révèle ma présence, l’humiliation serait insupportable. Heureusement, elle s’arrête à un mètre du meuble. Elle me fait face, et c’est une émotion intense que de la voir si près sans que Bruno puisse deviner ma présence. Elle a chaud, elle a de belles rougeurs, et son regard bleu-gris pétille d’excitation. Elle approche encore et mon pouls s’accélère. Cette fois, elle va ouvrir la porte du bahut. Elle se penche en direction des trous qu’elle a elle-même forés et ouvre grand la bouche pour me révéler le sperme de Bruno qu’elle n’a toujours pas avalé. Elle fait des gargouillis avec son foutre, comme s’il s’agissait d’un bain de bouche, puis entreprend sous mes yeux de déglutir lentement et d’avaler le jus en faisant mine de se régaler. A la fin, elle se pourlèche les babines et lève les yeux au ciel… Heureusement qu’elle tourne le dos à Bruno, car derrière elle, je le vois qui lui lance un regard circonspect.

 

- Ca ne va pas ?

 

- Si, si, très bien, répond elle en se retournant. J’ai juste besoin d’être seule, tu comprends.

 

- Oui, bien sûr, répond il, heureux de pouvoir fuir aussitôt l’acte accompli. Il finit de boucler sa ceinture et se dirige vers les escaliers. Mais avant de poser le pied sur la première marche, il se retourne, le visage rongé de remords. Tu ne regrettes pas j’espère ?

 

- C’était très bien, je ne regrette rien, répond Justine en redescendant sa robe le long de ses hanches. Attends, je veux te donner quelque chose. Elle pose les mains sur la sa cuisse au niveau de la jarretière et la fait glisser délicatement le long de sa jambe. Tiens, un souvenir en gage de ma reconnaissance, dit elle en lui tendant le petit bout de dentelles. Comme ça, tu es sûr que je ne regrette pas.

 

Bruno s’en saisit, ému, et répond avec une douceur que je ne lui connaissais pas.

 

- Merci, ça me touche, vraiment. T’es une chic fille, Justine. Je te souhaite beaucoup de bonheur.

 

Il dépose un baiser sur sa joue et tourne les talons. Justine l’interpelle avant qu’il ne disparaisse.

 

- Je compte évidemment sur ta discrétion.

 

Je l’entends répondre « évidemment » puis la porte grince sur ses gonds : ça y est, mon salopard de beau frère est parti, il peut rejoindre ma chère sœur, les couilles vides et l’haleine encore chargée de la chatte de ma femme.

Je pousse la porte de l’armoire, tout courbaturé mais toujours aussi excité. Justine se retourne vers moi et approche, toute fière d’avoir pris son pied sous mes yeux. Ses escarpins claquent sur le sol et lui donne la démarche d’une lionne. Elle est ma lionne, et elle va me dévorer, elle en a la force et le pouvoir.

 

- Alors mon chéri, ça t’a plu ?

 

- C’était… J’essaie de relativiser l’importance de ce que je viens de voir en cherchant mes mots. …Un spectacle pas commun, dis-je en ayant l’air décontracté.

 

 Je veux dissimuler mon humiliation et mon état d’excitation, avoir l’air posé, la tête froide, tout ce que je ne suis pas à cet instant précis.

 

- Ah oui ? relève-t-elle, malicieuse, pas commun ? C’est tout ?

 

Ses yeux se portent sur la bosse que forme mon érection. Elle comprend tout de suite que je cherche à minimiser mon état d’excitation.

 

- Et ça c’est quoi ? dit elle en posant la main sur mon entrejambe.

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Oula, il ne faut pas qu’elle s’attarde sur ma bite, car il ne lui manque pas grand-chose pour qu’elle crache la purée. Je sursaute à son contact, comme ayant reçu une décharge électrique, puis j’essaie d’échapper à son étreinte. Mais elle me saisit les couilles et de sa main libre me tient fermement la nuque.

 

- Eh bien mon chéri, qu’est-ce que je sens là, entre tes jambes ? N’est-ce pas une bite bien dure ?

 

Je réponds du bout des lèvres en essayant de repousser ses avances.

 

- Si. Arrête ça s’il te plaît.

 

- Ose dire que ça ne te plaît pas, répond elle en accentuant la pression sur mes couilles.

 

Putain, si elle n’arrête pas tout de suite, je vais mouiller mon calbute.

Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu - Communauté : Dominatrice BDSM
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Jeudi 16 janvier 4 16 /01 /Jan 23:32
Le cadeau de mariage 5
 
 
Bruno se retire du vagin trempé de ma femme et aussitôt, Justine descend doucement de la table pour lui tailler une pipe. Elle prend garde de ne pas froisser sa robe, toujours remontée de manière obscène sur ses hanches et s’accroupit en face de Bruno. Elle pose les mains sur son cul blanc, je vois ses doigts manucurés lui peloter les fesses avec vigueur. Ses mitaines en dentelles sont du plus bel effet, mais je n’aurai jamais imaginé les voir se poser le jour de mon mariage sur le cul de mon beau frère.
 
                                                                                                   
- Oh putain, c’est bon ! lâche Bruno, au bord de l’extase. T’es une sacrée suceuse dis moi !
 
 
J’imagine ma femme engloutir la bite au fond de sa gorge et lui titiller le gland comme elle sait si bien le faire. Je ne la vois pas, mon beauf me dissimule le spectacle de mon épouse en train de lui bouffer la queue, mais ce que je vois, côté pile, est bien pire. Justine ne se contente plus de caresser le postérieur de Bruno, elle le griffe et le malaxe de plus en plus vigoureusement. Soudain, une claque s’abat sur sa fesse, laissant immédiatement la marque de sa main sur son cul.
 
 
- Ey ! s’étonne Bruno.
 
 
Mais une seconde gifle cingle son cul, plus forte et plus sonore, réduisant à néant toute velléité de révolte. Elle a la bouche pleine du sexe de son amant et trouve néanmoins la ressource de lui donner la fessée. Ma femme est vraiment hors du commun, mais en ai-je jamais douté ?
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La cadence des baffes s’accélère et laisse l’empreinte sensuelle de ses doigts sur son gros cul de rouquin. En moins d’une minute, ses fesses présentent une belle couleur d’orange sanguine.
 
 
- Et qu’est-ce que tu fais ? s’étonne Bruno.
 
 
Que peut elle bien faire qui puisse surprendre mon beauf ? Je perçois dans ses propos et dans son timbre de voix une forme d’inquiétude. Est il envisageable de penser qu’elle ne veuille pas aller plus loin ? Ah ce que j’aimerai qu’elle le laisse en plan, la queue bien dure, aussi frustré que je le suis. Je dresse l’oreille pour comprendre ce qui se passe.
 
 
- Je retire la capote. Je veux que tu me jouisses dans la bouche, dit elle sur un ton exalté.
 
 
Je suis décidément bien loin de la vérité, je ne connais pas encore les ressorts intimes de mon épouse dans ce genre de situation, c’est la première fois qu’elle me trompe. Je ne la connaissais pas aussi perverse, Bruno encore moins.
 
 
- Tu veux prendre mon sperme dans ta bouche ? s’étonne-t-il. T’aimes le foutre ?
 
 
- Oui, je veux boire tout ton jus. J’adore ça.
 
 
Je l’imagine retirer le préservatif tout en répondant, puis emboucher à nouveau le sexe de Bruno, qui lâche un long soupir de contentement. La salope va le sucer jusqu’à la moelle. C’est sûr qu’il n’est pas prêt d’oublier le jour de mon mariage. Je ne peux la voir engloutir cette queue qui me cocufie mais ce que je vois est pire. La fessée n’aura pas excédé une minute, il s’agissait de lui chauffer et lui rougir le cul, rien de plus. Mais pour autant, les doigts de Justine ne demeurent pas inactifs, je les vois s’approcher de son trou du cul avec une appréhension grandissante. Elle ne va quand même pas… ?
 
Je n’ose formuler la question dans mon esprit tellement je suis révulsé par la perspective qu’elle puisse lui mettre un doigt dans le cul. Mais elle ne s’embarrasse pas de tels préjugés, elle n’a aucune barrière morale, seul le désir guide de ses actes. Et tout en suçant Bruno, si elle a envie de lui fourrer un doigt dans le fion, elle ne va pas s’en priver. Elle écarte ses fesses, et commence à chercher l’entrée de son petit trou.
 
 
- Ey ! Qu’est-ce que tu fais ? s’inquiète Bruno en tentant d’écarter les mains qui lui fouillent le cul.
 
 
- Je vais te mettre un doigt, t’aimes pas ? répond Justine, toute essoufflée. A l’entendre, on jurerait qu’elle vient de battre un record d’apnée. Cela signifie qu’elle vient de lui bouffer la bite jusqu’aux couilles, jusqu’à n’en plus pouvoir respirer, une vraie gorge profonde. Laisse toi faire, tu vas aimer. Elle retire une main et la porte à ses lèvres pour lubrifier le doigt qui va l’enculer. Pierre adore jouir avec un doigt dans le cul, je suis sûre que tu vas aimer aussi.
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Justine me cite pour dévoiler un pan de mon intimité que j’aurais aimé ne pas avoir à partager avec Bruno. Elle lui rappelle mon existence alors qu’elle est en train de le sucer, histoire de bien lui montrer qu’elle a conscience de ses actes, qu’elle n’en éprouve aucun remords. C’est une gifle pour moi, une humiliation de plus.
 
Je devine au bruit de suçion que fait sa bouche en  taillant la pipe qu’elle a de nouveau la bouche pleine. Son doigt a aussitôt repris sa place entre les fesses de Bruno. J’enrage d’être le témoin de cet acte répugnant et plus encore de l’excitation que j’en retire. J’ai honte de mon érection, honte du plaisir à regarder ma femme enculer un autre homme. Bruno pousse un gémissement… ça y est, le doigt s’est enfoncé dans son trou du cul et commence à remuer doucement dans son fondement. Il imprime des mouvements de bassin pour s’enfoncer plus profondément dans le palais de ma femme, et soudain se met à gémir plus fort. L’enfoiré est en train de jouir dans la bouche de mon épouse. Il lui gicle tout son foutre et ma femme le boit avec gourmandise… Quelle salope !
 
 
 
Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu - Communauté : Dominatrice BDSM
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Vendredi 10 janvier 5 10 /01 /Jan 12:49
 
 Le cadeau de mariage 4
 
  
008.jpg          Voir sa femme se faire prendre par un autre homme a quelque chose d’indéniablement excitant. J’ai tout de suite senti ma queue se durcir lorsque Justine, toute de blanche vêtue, robe, gants, bas et escarpins, a pris position sur la table, écarté les jambes et commencé à se caresser. Elle a accueilli Bruno, les cuisses grandes ouvertes et la chatte bien visible, et l’a invité à approcher avec cet air de garce qui me rend fou. Depuis l’armoire, je ne rate rien de la scène, je suis aux premières loges, Justine est face à moi, à moins de six mètres. Cette position de voyeur passif est humiliante, je suis confiné dans un bahut poussiéreux et bancal mais cela ne m’empêche pas de sentir le plaisir monter entre mes jambes. Je résiste à l’envie de me branler et me refuse à sortir ma queue du pantalon où elle est très à l’étroit. Justine me l’a interdit, je ne vais pas céder à la première tentation, échouer à la première épreuve. Mais c’est plus fort que moi, tout en portant à mon nez la petite culotte qu’elle a bien voulu me céder, je me masse l’entrejambe. Son odeur intime émoustille mes sens, déjà tous fortement sollicités.
 
  
- Occupe toi plutôt de ma chatte, lui a-t-elle dit en repoussant ses avances lorsque mon beauf a tenté de l’embrasser.
 
  
Bruno ne s’est pas fait prier, il est aussitôt tombé  à genoux, et a rendu hommage avec sa bouche à ma tendre et divine épouse. Cela m’a plu qu’elle lui refuse ce baiser, et cela m’a plu aussi qu’elle jouisse sous sa langue et non avec sa bite. L’entendre gémir de la sorte m’a tout de suite fait comprendre qu’elle ne simulait pas. Sa voix s’étrangle, et monte très haut dans les aigus. Elle prend son pied et ça m’excite drôlement. J’aurais aimé qu’elle n’aille pas plus loin, mais ce n’est évidemment pas le cas de Justine qui semble plus que jamais assoiffée de sexe. Je la vois qui se redresse sur la table et qui tente de reprendre le contrôle de la situation. Bruno lâche une vanne que je ne saisis que partiellement et elle lui répond d’une voix essoufflée, une belle voix de salope.
 
 
 
- Tais toi et baise moi !
 
  
Elle a beau essayé de garder le contrôle de la situation, elle réclame une bite dans son con, c’est une salope. Et Bruno ne s’y trompe pas.
 
  
- Tes désirs sont des ordres, chère belle sœur, répond il sur le ton de l’ironie.
 
  
Oui, c’est une belle salope, il le sent, il est habitué à ce genre de femme, il s’en est vanté plus d’une fois à ses amis et même à moi. Il repère la salope à des lieues à la ronde, m’a-t-il déjà confié après une soirée bien arrosée. Il n’avait malgré tout jamais imaginé que sa future belle sœur serait de cette trempe. L’enfoiré baisse son pantalon, j’ai une vue imprenable sur son cul de rouquin, tout blanc et parsemé de tâches de sons. Je me surprends à essayer de percevoir sinon sa bite, puisqu’il me tourne le dos, du moins ses couilles qui lui pendraient entre les jambes. Mais je ne distingue aucun appareil génital, aucun signe de virilité particulier, aurait il des couilles minuscules ? Cela me plairait assez qu’il ne soit pas à la hauteur. Hélas, la suite des événements m’offre un cinglant démenti. Il pénètre Justine d’un coup, sans fioriture, lui arrache un cri de surprise, et sans lui laisser le moindre répit, lui assène de grands coups de bite.
 
  
Ma femme se fait baiser  avec une telle violence que des émotions contradictoires naissent en moi. Je suis tétanisé et horrifié qu’elle prenne ainsi plaisir aux coups de semonce de mon beau frère. La violence de leur étreinte me fait penser à un viol. De mon armoire, je vois Bruno, pantalon sur les chevilles, le cul à l’air, remuer entre les cuisses de ma femme à une cadence effrénée. J’aimerai intervenir, la défendre, la cajoler. Casser la gueule à cet enfoiré qui n’éprouve aucun remords à baiser mon épouse le jour de mon mariage, et réconforter ma princesse qui vient de subir les derniers outrages. Mais nous ne sommes pas dans un conte de fée, elle n’est pas ma princesse mais ma maîtresse, et je n’ai rien d’un prince charmant, je suis son cocu, son esclave soumis et obéissant.
 
Je l’entends hoqueter et gémir comme jamais je ne l’ai entendu auparavant. La salope prend son pied et ne fait pas semblant. Entre deux gémissements, je distingue le son de sa chatte sous les coups de bite de Bruno, c’est un clapotis immonde et indécent. Elle doit mouiller à un point inimaginable pour que son vagin émette un son pareil. Elle n’a jamais pris autant de plaisir avec moi, que ce soit avec ma bouche ou avec ma queue. Je suis jaloux et vexé de n’avoir pu lui procurer pareille jouissance. L’humiliation est considérable, probablement à la mesure de ses orgasmes. Bientôt, je lui en veux de se livrer avec une telle impudeur, et après avoir voulu m’interposer pour stopper cette violence  dont elle semblait victime, je souhaite maintenant que Bruno la baise plus fort. Lui non plus ne s’y trompe pas, il est évidemment mieux placé que moi pour se rendre compte que la situation l’excite au-delà de tout ce que l’on peut imaginer.
  
 
- T’aimes ça, je le vois, t’es toute mouillée. Il est au bord de l’orgasme, le souffle commence à lui manquer.  Quelle belle salope tu fais ! Putain le jour de ton mariage !
 
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Il débite ses conneries pour s’exciter et prendre la mesure de l’acte qu’il commet, mais il me rappelle du même coup que je suis cocu le jour de mes noces, que la femme qu’il baise sous mes yeux, c’est la mienne. Il me poignarde le cœur, trahit ma confiance, et fait jouir Justine qui couine comme une pute. Putain que je suis excité. Je bande comme un taureau, mes couilles sont tellement pleines de foutre qu’elles en sont douloureuses. Je n’ose plus me les frictionner de peur de jouir dans mon pantalon, mais j’ai le tanga imprégné de sa féminité sous mon nez. Cela me donne ainsi l’illusion d’avoir sa chatte sur mon visage. Juste l’illusion…
 
  
L’inconfort de ma position se rappelle à mon bon souvenir par l’apparition de crampes derrière la cuisse. Je grimace de douleur, ne pouvant bouger sans risque d’attirer l’attention, et attends que cela passe en massant le muscle endolori. Au moins, pendant quelques secondes, je ne sens plus mes couilles, dures comme la pierre, gonflées et douloureuses. Mon attention est détournée, mais mon excitation n’est nullement retombée. Mes yeux se portent sur la jambe qui est tétanisée, peut être ai-je abusé du Champagne, mais j’entends toujours ma femme qui gémit et Bruno qui ne parvient plus à contrôler sa jouissance.
 
  
- Putain je vais jouir… Oh salope, oui, c’est bon.
 
  
Je délaisse aussitôt ma crampe pour ne rien perdre du spectacle, préférant ma position de voyeur inconfortable à celle qui atténue ma douleur. Ma femme s’est redressée, elle est maintenant en position assise sur la table, la tête penchée entre ses cuisses pour mieux voir le sexe qui la pénètre et la fait jouir.
 
 - Attends, lui dit elle, toute haletante. La jouissance a eu raison de son maquillage, de belle rougeurs pigmentent sa peau jusqu’à la racine de sa frange. Et quel troublant contraste avec la blondeur de ses cheveux ! Ne jouis pas tout de suite, dit elle en reprenant son souffle. Je te veux dans ma bouche !
 
Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu
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Vendredi 3 janvier 5 03 /01 /Jan 14:48

Le cadeau de mariage 3

 
Pierre referme la porte du meuble derrière lui, et s’installe dans le réduit poussiéreux que je lui ai préparé. J’entends les planches craquer, je l’imagine se retournant dans l’armoire, se baissant pour ne pas se cogner, me maudissant et me chérissant en même temps. Dépêche toi, mon chéri, Bruno ne devrait pas tarder à me rejoindre. Je l’espère vivement en tous cas car je souhaite que mon absence passe le plus inaperçue possible. Je suis la reine de la cérémonie, ma place est au milieu des invités. Personne ne peut évidemment imaginer que je vais m’envoyer en l’air avec mon beau frère mais comme Pierre se trouve être absent aussi, je n’ai pas envie que nos convives puissent penser que nous ayons satisfait un quelconque désir avant la traditionnelle nuit de noces.
 
Ma famille n’a pas à savoir que je suis une salope qui ne pense qu’à s’envoyer en l’air… Hormis ma mère, bien sûr, qui m’est en tout point semblable, j’ai pu m’en rendre compte ces dernières semaines en préparant le mariage. La cérémonie nous a rapprochées et nous avons fini par partager d’incroyables confidences. J’ai ainsi appris que mon père a passé des nuits entières ligoté au lit, qu’il a reçu de belles fessées sur ses genoux, et qu’il a été trompé régulièrement. Pierre, les jours qui ont suivi la fameuse soirée aux archives, m’a aussi confié ses fantasmes, ils étaient en si parfaite adéquation avec le passé de ma mère que j’ai fini par les lui rapporter. Notre complicité est totale depuis que je lui ai fait lire le contrat intime qui va déterminer les règles de vie au sein de mon couple. Cela l’a étonné qu’on puisse aller aussi loin. Qu’un homme accepte de se soumettre, c’est normal, si la femme sait s’y prendre, si elle sait user de ses charmes, elle lui est supérieure. Ses pulsions sont ses faiblesses, la femme tient son homme par la queue. Le fait qu’il accepte que tu ailles voir ailleurs est déjà plus surprenant. Non, ce qui me rend circonspecte (j’ai été étonnée d’entendre ce mot, qu’elle a  prononcé en décortiquant chaque syllabe), c’est que ton futur mari accepte de vivre avec toi sans qu’il puisse espérer des faveurs sexuelles. Ton petit Pierre devient une perle rare. Un mois plus tôt, ces propos m’auraient peut être choqué, mais au fil de la préparation du mariage, après tout ce qu’elle m’a raconté sur son couple, plus rien ne me surprend.
 
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Le grincement de la porte sur ses gonds m’avertit d’une arrivée, mais j’envisage tout de suite la possibilité que ce ne soit pas mon beau frère. La peur m’étreint soudain car j’ai remonté ma robe sur les hanches pour être sûre de ne pas la craquer, et je m’offre au visiteur dans une position indécente. Je suis la chatte à l’air, assise sur la table, une jambe posée sur le meuble, la cuisse bien écartée pour que Bruno puisse tout percevoir en entrant.
 
La tension est à son comble, j’ai la gorge nouée, je n’arrive même pas à resserrer les cuisses, je suis pétrifiée. Ce que je m’apprête à faire est tellement indécent et pervers que j’en perds soudain mes moyens. Tromper son mari le jour de son mariage, ce que je vais réaliser n’est rien d’autre que l’acte le plus condamnable aux yeux de la morale,  je ne peux le faire qu’une fois dans ma vie, je suis sur le point de vivre un moment unique.
 
Combien de femmes se sont offertes à un amant devant leur mari le jour de leurs noces ? Cette question sans réponse m’excite et dissipe la crainte que ce ne soit pas Bruno.
 
  
- Si je m’attendais à cela !
 
  
Bruno est un beau mec fort en gueule, j’ai flashé sur lui tout de suite et à cet instant précis, je suis excitée et soulagée de l’avoir en face de moi. Sa carrure athlétique, sa tignasse rousse, son petit sourire en coin, tout me plaît chez lui, et j’ai été bien heureuse d’entendre Pierre me dire que c’était un cavaleur. Il correspondait parfaitement au profil du type qui ne rechignerait pas à baiser la mariée. Et là, au regard gourmand qu’il me lance, je n’ai aucune inquiétude sur le plaisir qu’il va me donner. C’est un homme à femme, les salopes de mon espèce le repère mille lieues à la ronde.
 
  
- Vraiment Justine, je sais pas quoi dire…
  
 
- Alors dis rien.
 
 
Je lui fais signe d’approcher d’un petit geste de la main, tandis que mon autre main écarte les lèvres toutes trempées de ma chatte. Je ne résiste pas à la tentation d’une caresse appuyée sur mon clito, tout gonflé de désir. Je me demande alors si Pierre, lui, résiste à la tentation de se branler. Cela fait quinze jours que je ne l’ai pas touché, et que je lui ai interdit de se masturber, il a les couilles gonflées comme des boules de pétanque. Ce n’est qu’un petit aperçu de ce qui l’attend désormais, mais va-t-il obéir ? Je jette un coup d’œil furtif au placard dans lequel je l’ai confiné, lui adresse un petit regard narquois et pervers, certaine qu’il ne perd pas une miette du spectacle. Cela me fait mouiller de le savoir en planque dans ce meuble, réduit à me reluquer comme un gamin vicieux qui materait sa mère.
 
Je découvre le plaisir de l’exhib.
 
- T’es une drôle de salope, ricane Bruno en déboutonnant son pantalon. Te faire baiser par un autre le jour de ton mariage, faut être sacrément tordue. Il extirpe sa queue à demie dressée de son caleçon, et se penche pour m’embrasser.
 
 
Mais je n’ai nulle envie d’être embrassée… Juste baisée. Je le coupe dans son élan, tout sourire mais ferme.
 
 - Non. Je le prends par les épaules et l’incite d’une petite pression à s’agenouiller entre mes cuisses. Occupe toi plutôt de ma chatte.
 
 
Bruno encaisse mon refus en silence, et prend position entre mes cuisses. La seconde suivante, il a la bouche plaquée sur ma chatte. Sa langue tourne et joue avec mon clito, l’aspire et le suce, le titille et le mordille. Surprise par tant de fougue, je me mords la lèvre pour ne pas hurler. Le salaud ne s’embarrasse pas de préliminaires, il n’est pas du genre à tourner autour du pot, si tenté que l’on puisse qualifier mon vagin de pot. Il me butine avec application et frénésie. Sa bouche me boit, sa langue me pénètre au plus profond. Il m’aspire la mouille avec délice, me crache dans la chatte, je ne sais plus où donner de la tête. Je me laisse tomber en arrière, terrassée par le plaisir, et me retrouve allongée sur les coudes, gémissante comme une pucelle. Je vois sa tignasse rousse qui s’ébroue entre mes cuisses et je roule des paupières. Je jouis dans sa bouche, c’est une merveille.
 
Tout mon corps frémit de plaisir. Je suis parcourue de frissons, et pourtant, la chaleur irradie de mon bas ventre comme une centrale thermique lancée à pleine puissance. Et je mouille, je mouille, je mouille… J’en suis gênée de sentir mon jus s’écouler ainsi de ma chatte. Je lui pisse ma jouissance au visage et Bruno s’en délecte. Il me boit avec gourmandise, se frotte le visage entre mes cuisses, cherche à l’enfouir au plus profond de moi. C’est le cuni le plus énergique que l’on m’ai jamais prodigué. Je le débarbouille de mes sécrétions et il adore ça.
 
Je profite qu’il se décolle de mon sexe baveux pour me redresser et retrouver une certaine prestance.
 
 
- Putain j’adore ça, dit il, l’air extatique. Il a de la mouille sur l’arrête du nez et au coin des lèvres. Il est rouge écarlate, au bord de l’apoplexie, comique et excitant à la fois. J’ai jamais vu une fille mouiller autant, ça t’excite grave de tromper ton mari. T’as rompu la poche des eaux, ajoute-t-il sur le ton de la plaisanterie.
 
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Quel con, il est plus habile avec sa langue pour lécher une chatte que pour faire de l’humour.
 
  
- Tais toi et baise moi !
 
 
- Tes désirs sont des ordres, chère belle sœur.
  
 
Il baisse son froc tout en fouillant ses poches et en sort la capote qu’il avait sûrement préparée avant de me rejoindre. Il se retrouve bientôt la queue à la main en train de s’enfiler le préservatif. Je me penche pour le regarder faire, excitée par son tour de main. En deux temps, trois mouvements, le latex enveloppe sa queue, un vrai pro de la bite, c’est sûr qu’il a l’habitude. Je me souviens alors du temps qu’il avait fallu à Pierre pour se passer la capote lors de nos premiers rapports, et la comparaison me fait sourire. Ils ne baisent pas dans la même catégorie, Bruno, en coureur invétéré, sait y faire avec les femmes, Pierre est beaucoup plus réservé. En revanche, Bruno n’est pas pourvu d’une bite énorme, et il n’est même pas décalotté. Il a toutefois un atout que j’apprécie beaucoup : il est intégralement rasé. Emma, qui a été ma petite amie pendant ma grande période lesbienne, avait la chatte parfaitement épilée, et je trouvais cela magnifique et sensuel, surtout au toucher, mais je n’avais jamais rencontré un homme sans le moindre poil sur le pubis ou les couilles. Je veux savoir si la peau d’un mec peut être aussi douce que celle d‘une femme, je passe la main sur son bas ventre pour comparer. Le pubis est glabre, comme celui d’un petit garçon, très agréable au toucher, mais qui me fait l’effet de caresser un adolescent pré-pubère, et non un homme. La sensation est troublante, presque dérangeante, mais lorsque je descends sur ses couilles toutes lisses, que je les prends en main, les soupèse et les caresse, mon sentiment change immédiatement. Sa peau, d’une douceur extrême, me rappelle Emma. Ce côté féminin très sensuel contraste avec sa virilité toute masculine. Une peau de bébé mais une bite d’homme, la douceur d’une femme mais la virilité du mâle.
 
  
- Hummm. Il s’enfonce dans mon marais intime et je ne peux contenir un long gémissement de plaisir.
 
  
- Oui, c’est bon, se croit il obligé de répondre. T’aimes ça, je le vois, t’es toute mouillée.
  
 
Je veux lui dire de se taire, mais aussitôt sa bite au fond de mon con tout juteux, il se met à me pilonner à toute vitesse. Ses va et viens rapides me cloue littéralement le bec. Je suis si surprise que je ne peut contenir un hoquet ridicule.
 
J’entends le flic floc de ma mouille dans la chatte, les ahanements bestiaux de mon beau frère qui accompagnent chaque coup de boutoir. Il me pilonne avec force et régularité. Je tourne de l’œil, je suffoque, je gémis, je crie, j’oublie les invités quelques mètres au dessus de moi, mon mariage et mon mari, cloîtré dans l’armoire. La violence de ses coups de reins me conduit bientôt au septième ciel, pour la seconde fois en moins de trois minutes.
 
Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu - Communauté : Dominatrice BDSM
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  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
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  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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