Ma femme me donne la fessée… Je n’ose y croire… Non, ce n’est pas ma femme, ça ne l’est plus, c’est ma Maîtresse… Avec un M majuscule pour souligner la majesté de tout ce que le terme peut sous entendre de noble dans ma bouche. Deborah vient de me donner deux gifles violentes sur le cul, et j’adore cela. Cela ne me surprend plus, je mentirai si je n’avais pas souvent rêvé à cette situation depuis le temps maintenant que je vis en soumis. J’ai les bourses bien pleines, la queue tendue, et le cerveau en ébullition… il ne me faudrait pas grand-chose pour que j’explose. Mais ce « pas grand-chose » ne se produira pas… Loin s’en faut…
- Je vais te baiser mon chéri, et crois moi, tu vas la sentir passer…
Déborah cesse de me fesser et s’agrippe à mes hanches. Je sens l’extrémité du gode qui pousse entre mes fesses. Je suis le nez dans le coussin du fauteuil et je donnerai tout pour être le spectateur privilégié de cette scène incroyable. Ma femme, harnachée d’un gode ceinture, s’apprête à me prendre le cul. Je suis menotté mais du bout des doigts je parviens à m’écarter les fesses pour l’aider à se frayer un chemin.
- Regardez moi ça comme il est impatient, relève Déborah, narquoise. Oui, écarte tes fesses… Je vais te mettre ma grosse queue, chéri.
Non, je ne suis pas « impatient », mais j’ai vraiment peur d’avoir mal, et je fais tout pour que cela rentre mieux. Lorsque je sens le gland en latex se positionner à l’entrée de mon anus, je pousse doucement pour faciliter la pénétration. Déborah exerce alors une pression de plus en plus forte et doucement le gode s’enfonce en moi. La douleur est progressive, ascendante et de plus en plus insupportable. C’est une brûlure… On m’écartèle… On m’empale… C’est un fer rouge, un tison chauffé dans les forges de l’enfer que l’on m’enfonce dans le cul… Je fais de la prose aujourd’hui, huit ans plus tard, mais je peux vous assurer qu’à ce moment précis, je n’en mène pas large. La douleur me surprend par sa vivacité, je pensais bien que ce serait douloureux, mais pas à ce point…
- Aïe… Ahhh… Putain j’ai mal… Deb’ arrête… Je t’en supplie… Arrête… Ahhh…
Je ne suis pas du genre grossier. Je n’ai jamais fait l’amour à ma femme en l’insultant de salope, de garce ou de
pute, même si cela me faisait fantasmer parfois. Je ne jure jamais. Mais là, à cet instant, je ne suis que douleur. On me torture, et la douleur ne se dissipe pas. La pénétration n’en finit pas.
Ma Maîtresse m’encule lentement pour limiter ma souffrance, ou la prolonger peut être, je ne sais pas, j’ai hâte que ça se termine, je ne bande plus.
- Oh quelle chochotte tu fais, se moque Déborah en m’agrippant fermement les hanches (je sens ses ongles se planter dans ma peau, mais ce n’est rien en comparaison de la douleur logée dans mes entrailles). Arrête de te plaindre, si cela avait été moi à ta place, je n’aurai pas fait un cinéma pareil !
- Je t’en supplie Deb’… C’est pas du cinéma…J’ai mal… Ahh…
Elle n’en finit plus de s’enfoncer en moi. Ce gode n’avait rien d’effrayant, et pourtant lorsqu’il est dans mon cul, j’ai l’impression que c’est un pieu, une poutre, un baobab.
- Oh putain, t’aurais du mettre plus de lubrifiant !
Ce n’est pas une plainte, ce n’est pas un reproche, c’est une agonie. Ma voix s’étrangle, j’ai les larmes aux yeux, et là, je comprends tout le sens de cette expression vulgaire : « je vais te faire bouffer l’oreiller ». J’enfouis le visage dans le coussin pour y étouffer mes plaintes, mes pleurs, ma honte…
Charles
Oui, ce jour là, tu as bien bouffé l’oreiller, je confirme. Je t’ai dépucelé et parfois, les dépucelages sont douloureux. Tu couinais comme une petite fiotte, celle que tu n’étais pas encore tout à fait mais que tu n’allais pas tarder à devenir. Et moi, ce que tu n’as pas compris, c’est que j’ai adoré t’entendre hurler de la sorte. J’ai pris un pied incroyable à t’entendre me supplier. Je voulais me venger, je voulais que tu souffres, c’était une punition mon chéri, tu ne m’as pas entendu ou tu n’as pas écouté, je t’ai bien dis que j’allais te punir, pas te donner du plaisir. Le but pédagogique d’une punition (et je suis prof, je sais ce qu’est la pédagogie), est de faire en sorte qu’elle serve de leçon… Punition, prof, leçon, quelle sémantique ! Bref, il me fallait te faire passer l’envie de recommencer, te montrer que je ne plaisante pas, que je saurai me montrer cruelle en cas de manquement… M’aurais tu prise au sérieux si tu avais pris ton pied ? M’aurais tu respecté si je n’avais pas été capable ce jour là de me montrer violente et sadique ? J’en doute.
Ton cul, je l’ai ravagé ce jour là. Ton pucelage est resté collé à mon gode ceinture. J’ai moi aussi connu la sodomie depuis… Les sensations que tu décris, je les ai moi aussi connues, mais en plus soft, car pour moi, le plaisir devait être au rendez vous, c’était le but…
Lorsque je t’entends hoqueter dans le fauteuil, je n’ai aucune pitié, je suis trempée de plaisir. Je passe une main entre mes cuisses, et me délecte de sentir ma chatte si chaude, si accueillante, en un mot si réceptive à ces nouveaux plaisirs. Je prends alors conscience que j’ai envie de baiser, envie de jouir, envie d’un homme, un vrai… pas de cette fiotte qui me sert de mari et que je suis en train de baiser.
D’ailleurs, il ne dit plus rien, il pleurniche dans le coussin. Mon gode tout entier a été avalé par son petit cul de pédé. Je commence alors à remuer… Effectuer quelques va et viens… Lentement, précautionneusement, j’ai peur de ressortir et ne pas être capable de le pénétrer à nouveau. Je sais, c’est con, mais c’est ce que j’ai pensé… Pour moi aussi, c’est un dépucelage…
- Alors, ça te fais quoi de te faire enculer par ta propre femme ?
Il ne dit rien, il gémit, il a le souffle coupé. J’accélère le mouvement. Je me prends au jeu, je deviens le macho qu’il rêvait d’être, je le harponne, je m’accroche à ses hanches, et je le baise… Bien fort. Mon ventre claque sur ses fesses. Et je mouille, dieu que je mouille.
- Tu dis rien, tu préfèrerais te prendre une vraie bitte si ça se trouve ?
Cette allusion lui fait enfin retrouver l’usage de la parole.
- Non, toi seulement, je t’en prie…
Je le pistonne avec plus de violence encore, et mon coup de rein le réduit au silence. Il s’étrangle de douleur.
- Y’a des filles qui disent non, mais au fond, elles en ont envie, tu te rappelles quand tu me disais ça ? Si ça se trouve, c’est ton cas !
Je ponctue ma remarque d’un rire sonore, un rire qui couvre sa maigre protestation, un rire nerveux qui masque ma jouissance. Ma main qui ne quitte plus mon entrejambe, vient de trouver la clé de l’orgasme, le dénouement de ma chevauchée fantastique. Je m’écroule sur le dos de mon mulet, écrasant mes seins sur ses omoplates, petite compensation de plaisir tactile à la douleur d’un cul défoncé.
Déborah
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