Entretiens avec Linda

Mardi 27 octobre 2 27 /10 /Oct 16:48

Déborah : Cet entretien a eu lieu dimanche entre 18h00 et 20h00… présentation à la façon « 24 », pour ceux qui connaissent la série… Sourires ;-)

 

Linda : Ah oui, Jack Bauer, voilà un mec avec qui j’adorerai jouer aux espionnes. lol

 

Déborah : Cet entretien marque une petite pause pour marquer le tournant de notre vie. Nous avons été très « soft » jusqu’à présent, enfin je veux dire, « soft » dans le sens où au final, tromper son mari n’est pas très original…

 

Linda : Je ne peux pas te laisse dire cela ma chérie, des types cocus, c’est vrai qu’il y en a des tonnes, mais ils s’ignorent cocus… Vous, c’est différent, tu trompes ton homme mais il l’accepte et en redemande, il te vénère d’autant plus que tu le trompes.

 

Déborah : Mon homme, mon homme, ma petite lopette tu veux dire…

 

Linda : Oui bien sûr, mais tu vois, je trouve plus humiliant que tu dise tromper ton homme, que tromper ta lopette. Cela te grandit de tromper ton homme, pas une lopette.

 

Déborah : Tu me fais quoi, là ? Tu me donnes la leçon ?

 

Rires…

 

Déborah : Bon, plantons le décor pour nos internautes ; nous discutons autour d’un apéritif servi par nos deux lopettes soumises. Ils sont à poil, enfin façon de parler vu qu’ils sont épilés intégralement tous les deux, et agenouillés face à nous.

 

Linda : Renvoyons les s’il te plaît, je te veux pour moi toute seule.

 

Déborah : Hum, demander ainsi, je ne peux te refuser cette requête, mais je te rappelle que nous devions nous entretenir en vue d’une nouvelle rubrique pour le blog.

 

Linda : Oui, raconter notre histoire en fait. Je vais te faire lire ce que j’ai déjà écrit.

 

Déborah : Le dire ainsi, c’est officialiser notre relation.

 

 

Linda : Notre dialogue nous servira de préliminaires en quelque sorte.

 

 

Déborah : Un secret de Polichinelle, à mon avis, tous nos lecteurs savent que nous prenons du bon temps ensemble.

 

Linda : Oui, c’est vrai, mais c’est plus que du bon temps n’est-ce pas ?

 

Déborah : En effet, c’est une vraie relation que nous avons… moi qui n’était en rien prédestinée à une relation avec une autre femme, je suis la première surprise, même si avant toi, j’ai eu une aventure avec une autre femme, tu le sais, et je le raconterai un jour ici.

 

Linda : Chaque chose en son temps. Pour répondre à la demande de certains internautes, et puisque je suis la « marraine » de votre blog, tu as décidé qu’il était temps de parler de nous, comment nous nous sommes connues, perdues de vue et retrouvées il y a deux ans.

 

Déborah : Oui, je suis comme toi, je l’ai déjà avoué plusieurs fois, et dés le début de notre blog, c’est ton blog qui nous sert de modèle et de référence. Je su comme toi, j’aime avoir du recul sur les événements pour mieux les analyser, ou tout simplement savoir, si ça vaut vraiment la peine de les relater. Toi, ma chérie, tu en vaux la peine.

 

Linda : Humm… Merci. (Déborah a sa main posée sur ma cuisse dénudée, car je suis en jupe, et je frémis de désir). Mais il faut malgré tout glisser certaines allusions au temps présent. Depuis quelques mois, je ne suis pas la seule à jouir de tes faveurs. Beaucoup d’internautes aimeraient savoir où tu en es de ta relation avec Bruno… En rappelant que Bruno est l’amant avec qui tu as passé une grande partie de tes vacances.

 

Déborah : Oui, et lui, c’est un homme. (Ma main remonte sous la jupe de Linda, je suis étonnée, aujourd’hui, elle porte une culotte, mais dans quel état). Avant-hier, il m’a baisé toute la nuit, c’était divin.

 

Linda : Et avec sa femme, ça se passe comment ?

 

Déborah : C’est justement ça qui est super, la glace est brisée, une relation à trois est en train de voir le jour, c’est déroutant, mais comme je ne sais pas encore où tout cela va nous mener, je préfère attendre avant d’en dire plus.

 

Linda : Je te comprends. J’étais pareille. Bon, tu veux lire ce que j’ai déjà écrit ou quoi.

 

Déborah : Non… Toi tu vas lire, et prends un ton des plus sensuel, j’espère que c’est chaud ce que tu as écrit, parce que moi je suis chaude.

 

Linda : Ce n’est que le début, ce sont nos retrouvailles, c’est assez soft.

 

Déborah : Mais moi là, il me faut du « hard », j’ai trop envie de toi ma chérie. Retire ta culotte, approche, tu me liras ce que tu as écrit après.

 

Linda : Non, attends, j’ai mieux à te proposer.

 

Linda me tend les feuillets qu’elle a écrits, retire sa culotte comme je le lui ai demandé, se met à quatre pattes devant moi, écarte doucement mes cuisses et plonge son visage vers la source de mon désir. L’instant suivant, elle fait glisser ma culotte sous mes fesses et se délecte du nectar abondant qui coule de ma chatte… Je lis sa prose en même temps, c’est extraordinaire…

 

A la fin de nos ébats, et de nos orgasmes mutuels, j’ai autorisé Linda à me trouver un clip ou deux qui relaterait assez bien ce plaisir pris dans les bras l’une de l’autre. Elle cherche encore, elle m'a promis de les publier demain...

Par Charles et Déborah - Publié dans : Entretiens avec Linda
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Lundi 7 septembre 1 07 /09 /Sep 16:50

Linda : Ma chère Déborah, je te souhaite un bon retour parmi nous. Je suis heureuse de te retrouver toute bronzée, apaisée et épanouie. Et je crois que tous les internautes sont heureux de te retrouver. Jadis on remettait les clés de la ville à son seigneur suzerain en guise de bienvenue, moi, je te rends donc les clés de ton blog à défaut de ville !

 

Déborah : De bienvenue et de soumission…


Linda :
Pardon ?

 

Déborah : Les clés étaient données au seigneur suzerain comme tu le dis si bien en guise de bienvenue et surtout de soumission… Pour éviter qu’il ne ravage la ville !

 

Linda : Certes mais bon, il ne s’agit que d’une métaphore…

 

Déborah : En es tu sûre ?

 

Linda : Heu, je ne vois pas où tu veux en venir… Veux tu nous dire un peu comment se sont passées tes vacances ?

 

Déborah : Non, ce n’est pas le moment, ce n’est pas ce dont j’ai envie pour l’instant.

 

Linda : Et de quoi as-tu envie alors ?

 

Déborah : Faire le point sur ce qui s’est passé ici sur mon blog pendant mon absence.

 

Linda : C’est ton blog, ta rubrique, la conversation, tu la mènes comme tu l’entends, mais je pense sincèrement que les internautes sont plus curieux de savoir comment tu as dominé et trompé Charles pendant les vacances plutôt que de revenir sur ce qui s’est passé ici !

 

Déborah : Ils sauront en temps voulu. Il y aura bien quelques allusions au présent de temps à autre, mais ce blog, et en cela je copie le tien, respectera la chronologie que je lui fixerai. Charles accepte tant de choses aujourd’hui que je ne veux pas « brûler » les étapes.

 

Linda : Si je peux me permettre, c’est toi, bien plus que Charles, qui aujourd’hui accepte les choses. C’est toi qui a évolué, et c’est toi, aujourd’hui, qui te permets un peu plus de fantaisie.

 

Déborah : Et moi je trouve que tu te permets beaucoup de choses. Je sais que je te dois beaucoup de mon audience, grâce à ta notoriété et le lien sur ton blog, mais tout de même, je trouve que tu abuses !

 

Linda : C’est vrai, c’est dans ma personnalité, désolée. Mais tout de même, tu as vu la progression de l’audience du blog ce mois d’août !

 

Déborah : C’est vrai, bravo, mais à quel prix ?

 

Linda : Comment cela à quel prix ?

 

Déborah : Tu t’es compromise, et par là même, la réputation de mon blog, dans une diffusion à tout va de vidéos pornos racoleuses.

 

Linda : Mais tu m’as toujours dit aimer le porno, tu as même avoué ici sur ton blog, que tu avais trouvé beaucoup d ‘inspiration dans les vidéos pornos au début de ta relation BDSM avec Charles, que cela t’avait donné des idées, excité même !

 

Déborah : Et alors ? On peut aimer certaines choses et ne pas les retrouver sur mon blog. J’aime la cuisine chinoise, je vais pas diffuser pour autant la recette du canard laqué


Linda :
Mais là, on est quand même dans le même domaine. On parle de sexe…

 

Déborah : Il y a plusieurs façons de le faire. Ton récit était excellent. Original, bien écrit, brillant, talentueux… Les photos superflues (une de temps en temps aurait suffi), et les vidéos, alors là, c’était le pompon ! Beaucoup trop nombreuses, certaines médiocres, et la plupart en rapport avec tes lubies de vieille soumise lesbienne, et non en rapport avec le thème du blog, la soumission d’une petite lopette de mari, trompé par sa femme !!!

 

Linda : Je… Je croyais bien faire… Merci pour la vieille lesbienne soumise.

 

Déborah : Pas de quoi, tu l’as bien cherché… Bon, d’accord, je suis ingrate et cruelle, mais c’est comme ça que tu m’aimes… Enfin je veux dire, tu aimes qu’on te rabaisse ton caquet, voilà, c’est fait. Je n’allais pas débarquer et jouer les « fleurs bleues » en te remerciant à tout va d’avoir tenu le blog ! Allez viens, nos maris sont au lit, on va pouvoir jouer un peu…

Par Charles et Déborah - Publié dans : Entretiens avec Linda
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Vendredi 26 juin 5 26 /06 /Juin 10:44

Déborah : Une pause pour sortir de notre routine propose Lord2A dans un de ses commentaires, il parle bien sûr de la routine de publication qui, il est vrai, se résume à la publication de notre vie intime saucissonnée en petits épisodes…

 

Linda : Se résume ? comme tu y vas… Je suis bien placée pour savoir le travail d’écriture que cela représente. C’est une prise de temps sur autre chose, et cela juste pour partager votre intimité avec des internautes inconnus. Il n’y a aucune considération financière à ce que tu fais, donc je te tire mon chapeau. Continue ainsi, bien écrire, sur la toile, je l’ai vérifié par les centaines de mails reçus lorsque je tenais mon blog, c’est une perle rare qui est très apprécié. Les photos, y’en a partout, mais le récit d’une bonne partie de jambes en l’air, bien raconté, du vécu, c’est très… très rare.

 

Charles : Si je puis me permettre, cela se vérifie au succès de notre audience, nous n’avions que 10 000 visites au mois d’avril, nous en sommes à 100 000, trois mois plus tard. De 400 visites par jour, nous en sommes à 700, il ne manque que quelques commentaires de plus pour être pleinement satisfaits…

 

Linda : Justement, tu tends les verges pour te faire battre, on ne t’avait pas dit de répondre un peu plus aux com’s ? Si tu prenais la peine de répondre, les internautes participeraient plus (Charles prend un air penaud mais demeure silencieux). Alors, on ne t’avait pas dit que tu devrais répondre aux internautes ?

 

Charles : Si Linda, c’est vrai, je suis désolé…

 

Déborah : Il est maso tu sais, il fait exprès de le faire remarquer pour se faire punir. C’est la grande perversité des masochistes. Induire le prétexte d’être puni à sa maîtresse.

 

Linda : Ah oui, quel vicieux alors ! Et c’est aussi pour ça que tu ne réponds pas assez aux coms du blog ? Parce que tu espères être puni ?

 

Charles : Oh non pas du tout, je suis vraiment désolé de ne pas l’avoir fait, mais à ma décharge je suis tout de même très pris.

 

Déborah : Le pauvre petit mari soumis ! Entre deux lessives, deux séances de poussière ou d’aspirateur, il n’a pas le temps de lire le blog.

 

Charles : Tu oublies mon travail au bureau, les courses, les repas à préparer, les lessives à la main que tu m’imposes pour tous tes sous vêtements,

 

Linda : Je crois qu’il a vraiment envie d’être puni. Déborah, tu sais ce qu’il te reste à faire… Mais attention, une vraie punition, pas une de ces fessées auxquelles il prend beaucoup de plaisir.

 

Déborah : T’inquiète ma chérie, j’ai une vraie punition pour lui. Dans trois jours c’est notre anniversaire de mariage, et pour l’occasion, traditionnellement, il a le droit de me sauter. C’est un peu le dernier vestige de notre vie d’avant. Je crois qu’il est temps d’en finir avec cette obligation à la con. Ce jour là, c’est moi qui le baiserai, et toute la nuit, en mémoire de notre nuit de noces fabuleuse.

 

Linda : Et pourquoi ne demanderais tu pas à Michel de le baiser ?

 

Déborah : Il n’est pas prêt.

 

Charles : Merci Maîtresse, merci…

 

Déborah : Je ne parlais pas de toi idiot, mais de Michel.

 

Linda : Un cul est un cul, tu éteins la lumière, tu lui mets un bandeau sur les yeux, tu mets un bâillon à ta lopette et hop le tour est joué…

 

Fin de la discussion, nous éclatons de rire, mais bon, Charles, lui, il rit jaune.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Entretiens avec Linda
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Jeudi 16 avril 4 16 /04 /Avr 12:38

Déborah : Je suis heureuse de voir que notre blog fonctionne plutôt bien : 500 visiteurs uniques en moyenne par jour, et plus heureuse encore de lire les nombreux commentaires postés en réaction à notre dernière conversation avec Linda, celle où nous donnions quelques explications à ce renversement si brutal de notre vie de couple. J’avais un mari la veille de ce jour et le lendemain un esclave… Leurs réactions donnent lieu à une réponse, ce qui me paraît normal au fond, puisqu’ils ont pris la peine de laisser une trace de leur passage. Le premier commentaire est de soumisadomi.

 

« Je suis curieux d'une chose. Charles est-il présent lorsque les amants de Deb sont là ? Lui fait elle jouer un rôle dans ses ébats ? Ma Domina me promet de m'inviter un jour que sera là son amant. Je n'en suis pas encore au point où je devine que se trouve Charles et j'appréhende... »

 

Charles : Tu peux l’appréhender mon cher soumisadomi, car c’est une réelle épreuve. Très humiliante, très éprouvante… Surtout la première fois. Je t’en dirai plus lorsque nous évoquerons cette première fois où Déborah m’a trompé. Mais tu peux aussi te dire que tu auras de la chance d’avoir une épouse qui te dit qu’elle te trompe, avec qui et quand ! Combien y-a-t-il de cocus qui s‘ignorent ? Et lorsque tu seras présenté à celui qui te fait cocu, alors tu pourras te dire que ta femme te fait pleinement confiance, qu’elle est fière de ta soumission, de ton renoncement, qu’elle est fière de te présenter à celui qui a l’honneur de partager son lit et lui donne du plaisir. C’est une nouvelle forme de complicité en fait.

 

Linda : Ce dialogue auquel je participe me permet de comprendre comment le cocu voit les choses et c’est très instructif. Je ne regrette pas d’être votre superviseuse, même si sur ce dialogue je n’ai pas grand-chose à dire.

 

Déborah : Ne minore pas ton rôle dans cette histoire Linda, c’est toi qui nous a « poussé » à réagir à ces deux commentaires.

 

Linda : Merci, d’ailleurs voici le second.

 

 

« Bonjour, après chaque post je voudrais écrire un commentaire et poser des questions, mais malheureusement le site ne permet pas de poster depuis un mobile (les commentaires ne s'enregistrent pas)... mais bon rien de grave.

Chaque jour j'attends vos récits avec impatience... contrairement à certain d'entre nous, je trouve que le rythme est excellent... inutile de verser dans le porno dès les premiers écrits, pour cela il y a assez d'autre site :-)continuer comme cela... Les vidéos, surtout en français, c'est sympa, mais personnellement c'est votre histoire propre qui m'intéresse. C'est pourquoi j'avais plein de questions.. auxquels Linda vous à fait répondre sans même que je les pose :-)

Car pour moi aussi, c'est difficile à imaginer que vous sommes qu'au deuxième jour de votre nouvelle vie. Je ne peux pas croire que Déborah n'aie jamais eu de pulsions de dominatrice et que Charles n'a jamais rêver de se soumettre. Et pourtant... difficile de vous imaginer étranger ce ces jeux et si rapidement actifs. Déborah comment avez vous trouver autant d'inspiration en une seule nuit? Le fait que ça devienne si vite un jeu sexuel me fait penser que finalement vous avez vite oublié sa tromperie pour tirer profit des avantages que la situation vous offre. Vous semblez complètement excitée par la tournure de la situation... et en jouissez pleinement, hummmm!

Comment expliquer que le lendemain de tromperie vous ayez l'idée très "BDSM" d'imposer la nudité à votre soumis?

Ne croyez pas pas que je doute de votre sincérité... je trouve votre histoire tellement "vraie" qu'elle ne peux être que vraie... :-> j'en suis presque jaloux... :-) car finalement, tout le monde est content, n'est-ce pas Charles?

Ho vivement la suite... postez vite, mais ne précipitez rien dans le récit, tout les détails sont si bons.

Allez. mes respects Déborah, salut charles... et bisou à Linda »

 

Déborah : Le commentaire de s_raph, très long et très élogieux, nous conforte dans l’idée de prendre le temps de bien décrire le début de notre relation, car il n’y pas eu de retour en arrière possible depuis, et comment comprendre  le quotidien de Charles aujourd’hui sans connaître le cheminement que fut le notre. Il s’est passé beaucoup de choses la première journée, et tout m’est venue presque naturellement. Pour répondre à ta question, s_raph, cette imagination que tu m’attribues et qui t’étonnes (le contraire serait quand même justement étonnant), je le dois à Linda. Elle vous a raconté que nous sommes rencontrés au Cap dans le camp naturiste mais elle a été un peu vite en besogne en ne remontant qu’à six ans. C’est un raccourci « littéraire » qui nous permettait de présenter le blog simplement. En réalité, nous nous connaissons depuis plus longtemps, et elle dominait déjà son mari alors que j’étais encore cette bourgeoise effacée, fidèle et sage. Je l’enviais, elle ne l’a jamais su et je profite du blog pour le lui avouer,

 

Linda : J’aurai préféré susciter le désir plutôt que l’envie… Car moi, j’avais très envie de toi, déjà.

 

 Déborah : Je sais cela, j’avais bien compris ton petit manège de séduction, mais alors que tu me draguais et souhaitais me mettre dans ton lit, moi j’espérais que tes démonstrations d’autorité et de punition sur ton mari donnent des idées au mien. J’aurais adoré qu’il me dise « dis donc, ce soir, tu veux pas faire comme Linda et Eric ; tu m’attaches, tu m’insultes, tu me donnes des ordres ».  Mais ce con n’a jamais eu l’idée de cette proposition, tout juste me présentait il ardemment sa bitte un peu plus raide qu’à l’accoutumée à honorer. Les idées de soumission me viennent sûrement inconsciemment de cette époque où pendant deux ans, Linda et Eric nous ont fait leurs "shows sado maso" chaque été. Linda aimait à montrer son emprise sur son homme, y compris financièrement, et lui se montrait toujours très courtois, même à l’extérieur. Mais tout cela fut inconscient car ce jour où nous sommes allés chez le banquier, au resto, à la fac et très bientôt au sex shop, pas une fois je n’ai repensé à Linda. (Désolée ma chérie si cela te déçoit)…

De même, je dois avouer que mes fantasmes de domination sont bien antérieurs à notre rencontre avec Linda (là encore désolée ma chérie), j’ai des souvenirs très précis qui remontent à mon adolescence. Mais, je l’ai déjà dit, rien dans mon esprit n’imaginait qu’un jour j’irai aussi loin qu’aujourd’hui. ;-)

Par Charles et Déborah - Publié dans : Entretiens avec Linda
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Lundi 13 avril 1 13 /04 /Avr 20:56

Déborah : Nous nous sommes vus à quatre ce week end de Pâques (Charles et moi, Linda et son mari) et nous en avons profité pour faire le point sur le blogg. Et puisque au moment de publier mon billet, je lis le commentaire de Lynna qui se plaint du « manque de sexe », j’en profite pour répondre qu’elle soit patiente, cela va devenir plus hard très bientôt. Mais je suis comme Linda, j’aime laisser s’installer les choses, poser le contexte, bien rentrer dans les détails, présenter nos états d’âmes et nos états d’esprit…

 

Linda : Et tu as raison, Deb’, et c’est d’ailleurs l’objet de ce billet. Puisque je « supervise » un peu votre blogg en ce moment, j’ai lu deux coms très intéressants et vos réponses peuvent intéresser tous les internautes. Lord semble s’étonner d’une soumission aussi rapide de ta part, mon petit Charles, et c’est vrai que tout ce que vous racontez en ce moment s’est déroulé le lendemain où tu as été surpris avec Lila. Peux tu donner quelques « éclaircissements » sur cette rapide soumission ?

 

Charles : Je comprends, je dirai simplement que c’est cette rapidité dans le changement qui m’a le plus déstabilisé. Etre surpris par sa femme dans le lit conjugal en train de baiser la bonne, je peux vous assurer que c’est traumatisant. C’est un vrai choc, un vrai traumatisme. Tout s’écroule autour de vous, alors quand dans l’enchaînement des événements, vous vous retrouvez à la rue, que vous revenez à la maison « la queue entre les jambes » passez moi l’expression, vous êtes disposé à vous montrer humble. Car c’est bien sûr quand vous sentez avoir perdu l’être aimé que vous vous rendez compte combien vous tenez à elle.

Quand s’ajoute à tout cela le trouble réel de se sentir inférieur, le frémissement de votre queue lorsque votre épouse adorée se comporte en Maîtresse, vous ne réfléchissez plus vraiment, vous vous laissez emporté. Je crois donc que la rapidité des événements explique au contraire l’esclavage que j’ai immédiatement consenti. Car c’est plus que de la soumission, vous l’aurez compris, de l’esclavage… De l’esclavage par amour…

 

Linda : Comme c’est bien dit… Lord es tu satisfait de sa réponse ? L’autre point soulevé par un internaute m’a semblé intéressant à relever ici, c’est celui de Dorian qui s‘étonne de la capacité de Déborah à dominer et humilier son mari, « à croire » ajoute-t-il « qu’elle en a toujours rêvé… » Alors ma chère Déb’ avais tu rêvé avant ce jour pouvoir dominer ton mari de la sorte ?

 

Déborah : La réponse est à la fois oui et non. Dominer Charles oui, mais l’occasion ne s’est jamais présenté, et puis il y avait le poids de mon éducation : petite bourgeoise de province, j’avais déjà beaucoup de chance d’être épousé par un homme comme Charles : élégant, bien élevé, une très bonne situation, que demander de plus ?

 

Linda : Un bon coup au lit peut être ? Enfin excuse moi, car en fait, je n’en sais rien…

 

Déborah : Au lit, c’était pépère, c’est vrai, mais je serai ingrate de dire que je ne prenais pas mon pied de temps en temps. C’est sûr que comparativement à aujourd’hui, il n’y a pas photo, j’y ai gagné au change, mais bon, ça ne me chagrinait pas plus que ça. Toutefois, j’avais quelques fantasmes où je me voyais bien l’attacher, le chevaucher et le malmener un peu. L'obliger à me lécher les pieds ou écraser ma chatte sur son visage, rien de bien méchant, juste de quoi pimenter nos ébats un peu monotones je l’avoue. Sinon, je suis de nature autoritaire dans la vie, j’ai simplement mis en sommeil cette partie de mon caractère une fois mariée. Charles assurait financièrement, j’ai emménagé dans son loft, je me suis laissée « impressionnée » par ses responsabilités dans son entreprise, son milieu, son éducation. Sans me sentir inférieure, je me suis alors mise en retrait. Tout a resurgi lorsque mon « monde d’illusions » s’est écroulé. J’ai même voulu prendre une revanche sur ce passé où j’ai été bernée. J’avais du temps à rattraper, une frustration à combler. Sans parler bien sûr de l’humiliation à voir sa bonne dans votre lit en train de se taper votre mari. J’ai laissé exploser ma colère, et le lendemain, quand on est allés à la banque, au resto, puis à la fac, ma colère n’était pas retombée, elle était « froide », plus « calculée », plus impitoyable au fur et à mesure que je relevais la soumission de Charles.

 

Linda : Bien, je crois qu’on comprend mieux ce revirement dans votre vie. Merci de ses explications. J’ajoute que je viens de rouvrir mon ancienne boîte mail. J’ai voulu « couper les ponts » un moment. J’ai beaucoup de messages, je vais vous répondre.

 

Déborah : Demain, je publierai la suite de notre progression dans l’esclavage de mon mari. Le cocufiage est venu après Lynna, soit patiente, tu ne seras pas déçue…

Par Charles et Déborah - Publié dans : Entretiens avec Linda
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Présentation

  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
  • :
  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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