Bruno se retire
du vagin trempé de ma femme et aussitôt, Justine descend doucement de la table pour lui tailler une pipe. Elle prend garde de ne pas froisser sa robe, toujours remontée de manière obscène sur
ses hanches et s’accroupit en face de Bruno. Elle pose les mains sur son cul blanc, je vois ses doigts manucurés lui peloter les fesses avec vigueur. Ses mitaines en dentelles sont du plus
bel effet, mais je n’aurai jamais imaginé les voir se poser le jour de mon mariage sur le cul de mon beau frère.
- Oh putain,
c’est bon ! lâche Bruno, au bord de l’extase. T’es une sacrée suceuse dis moi !
J’imagine ma
femme engloutir la bite au fond de sa gorge et lui titiller le gland comme elle sait si bien le faire. Je ne la vois pas, mon beauf me dissimule le spectacle de mon épouse en train de lui
bouffer la queue, mais ce que je vois, côté pile, est bien pire. Justine ne se contente plus de caresser le postérieur de Bruno, elle le griffe et le malaxe de plus en plus vigoureusement.
Soudain, une claque s’abat sur sa fesse, laissant immédiatement la marque de sa main sur son cul.
- Ey !
s’étonne Bruno.
Mais une seconde
gifle cingle son cul, plus forte et plus sonore, réduisant à néant toute velléité de révolte. Elle a la bouche pleine du sexe de son amant et trouve néanmoins la ressource de lui donner la
fessée. Ma femme est vraiment hors du commun, mais en ai-je jamais douté ?
La cadence des
baffes s’accélère et laisse l’empreinte sensuelle de ses doigts sur son gros cul de rouquin. En moins d’une minute, ses fesses présentent une belle couleur d’orange sanguine.
- Et qu’est-ce
que tu fais ? s’étonne Bruno.
Que peut elle
bien faire qui puisse surprendre mon beauf ? Je perçois dans ses propos et dans son timbre de voix une forme d’inquiétude. Est il envisageable de penser qu’elle ne veuille pas aller plus
loin ? Ah ce que j’aimerai qu’elle le laisse en plan, la queue bien dure, aussi frustré que je le suis. Je dresse l’oreille pour comprendre ce qui se passe.
- Je retire la
capote. Je veux que tu me jouisses dans la bouche, dit elle sur un ton exalté.
Je suis
décidément bien loin de la vérité, je ne connais pas encore les ressorts intimes de mon épouse dans ce genre de situation, c’est la première fois qu’elle me trompe. Je ne la connaissais pas
aussi perverse, Bruno encore moins.
- Tu veux
prendre mon sperme dans ta bouche ? s’étonne-t-il. T’aimes le foutre ?
- Oui, je veux
boire tout ton jus. J’adore ça.
Je l’imagine
retirer le préservatif tout en répondant, puis emboucher à nouveau le sexe de Bruno, qui lâche un long soupir de contentement. La salope va le sucer jusqu’à la moelle. C’est sûr qu’il n’est
pas prêt d’oublier le jour de mon mariage. Je ne peux la voir engloutir cette queue qui me cocufie mais ce que je vois est pire. La fessée n’aura pas excédé une minute, il s’agissait de lui
chauffer et lui rougir le cul, rien de plus. Mais pour autant, les doigts de Justine ne demeurent pas inactifs, je les vois s’approcher de son trou du cul avec une appréhension grandissante.
Elle ne va quand même pas… ?
Je n’ose
formuler la question dans mon esprit tellement je suis révulsé par la perspective qu’elle puisse lui mettre un doigt dans le cul. Mais elle ne s’embarrasse pas de tels préjugés, elle n’a
aucune barrière morale, seul le désir guide de ses actes. Et tout en suçant Bruno, si elle a envie de lui fourrer un doigt dans le fion, elle ne va pas s’en priver. Elle écarte ses fesses, et
commence à chercher l’entrée de son petit trou.
- Ey !
Qu’est-ce que tu fais ? s’inquiète Bruno en tentant d’écarter les mains qui lui fouillent le cul.
- Je vais te
mettre un doigt, t’aimes pas ? répond Justine, toute essoufflée. A l’entendre, on jurerait qu’elle vient de battre un record d’apnée. Cela signifie qu’elle vient de lui bouffer la bite
jusqu’aux couilles, jusqu’à n’en plus pouvoir respirer, une vraie gorge profonde. Laisse toi faire, tu vas aimer. Elle retire une main et la porte à ses lèvres pour lubrifier le doigt qui va
l’enculer. Pierre adore jouir avec un doigt dans le cul, je suis sûre que tu vas aimer aussi.
Justine me cite
pour dévoiler un pan de mon intimité que j’aurais aimé ne pas avoir à partager avec Bruno. Elle lui rappelle mon existence alors qu’elle est en train de le sucer, histoire de bien lui montrer
qu’elle a conscience de ses actes, qu’elle n’en éprouve aucun remords. C’est une gifle pour moi, une humiliation de plus.
Je devine au
bruit de suçion que fait sa bouche en taillant la pipe qu’elle a de nouveau la bouche pleine. Son doigt a aussitôt repris sa place entre les
fesses de Bruno. J’enrage d’être le témoin de cet acte répugnant et plus encore de l’excitation que j’en retire. J’ai honte de mon érection, honte du plaisir à regarder ma femme enculer un
autre homme. Bruno pousse un gémissement… ça y est, le doigt s’est enfoncé dans son trou du cul et commence à remuer doucement dans son fondement. Il imprime des mouvements de bassin pour
s’enfoncer plus profondément dans le palais de ma femme, et soudain se met à gémir plus fort. L’enfoiré est en train de jouir dans la bouche de mon épouse. Il lui gicle tout son foutre et ma
femme le boit avec gourmandise… Quelle salope !