11.
Champagne
Mona me saisit par la nuque et m’attire à elle d’un
geste ferme mais sensuel. Je ne résiste pas, son regard pétille de plaisir et de perversité. Je m’apprête à me lever, pensant l’embrasser, mais Mona ruine mes espoirs en posant son pied sur mon
épaule.
- Non, reste à 4 pattes, tu es à ta place, m’ordonne-t-elle en me décochant un sourire magnifique.
Donner des ordres lui procure un réel plaisir, elle le porte sur elle. Son visage s’illumine de plaisir et de fierté. La fierté de mettre à sa botte une femme de mon espèce, une bourgeoise racée,
dominatrice de surcroît. Le fait que je domine mon mari et que je devais jouer les maîtresses doit l’exciter autant que moi. Je ne m’attendais pas à être réduite à l’état de chienne soumise ce
soir, et probablement que Mona ne devait pas s’attendre à me faire déambuler à 4 pattes devant elle au moment de quitter la boîte tout à l’heure. Le soudain renversement de la situation décuple
mon plaisir. Je suis trempée. Je n’ai jamais connu cet état de soumission. Je perds le contrôle et cela me plaît.
Mona me toise. Le pied sur mon épaule pour me maintenir dans cette position d’infériorité, j’ai une vue imprenable sur la petite culotte qui lui rentre copieusement dans la chatte. Elle mouille
et cela se voit.
- Ca te plaît de te retrouver à mes pieds n’est-ce pas ? Tu peux les embrasser si tu veux ?
J’adore sa façon de s’adresser à moi. Sa voix est ferme mais suave, polie, sensuelle. Elle fait semblant de me laisser le choix. J’adore cette subtilité qui me permet à cet instant de ne pas
perdre totalement la face devant mon mari. Je me saisis alors délicatement du pied posé sur mon épaule et je commence à lécher ses orteils, apparents puisqu’elle porte une jolie paire de mules.
- Oui, c’est bien, m’encourage Mona. Sors ta petite langue de chienne, et nettoie moi les doigts de pieds.
Marcus, qui a remplacé sa petite femme dans le canapé, retire les menottes de mon mari pour se faire servir une coupe de Champagne.
- Eh mec t’as vu ta femme, c’est une vraie chienne ! lui dit il en riant au moment de lui rendre sa liberté. (Mon mari me jette un regard embarrassé mais garde le silence, il n’a de toutes
façons pas le droit de répondre, cela gâcherait mon plaisir). Et t’as encore rien vu, ajoute-t-il, je vais la baiser tu vas voir, elle va jouir, je te jure, je vais la faire grimper au
rideau !
La promesse de Marcus suffit à mon plaisir. Je sens déjà des picotements suspects dans mon bas ventre… Grimper
au rideau… oui… Je redouble de motivation et ma langue se met à parcourir consciencieusement chaque orteil.
- Regarde petit cocu comme ta femme aime me lécher les pieds ! lance Mona à mon mari, pétrifié. Allez ça suffit ajoute-t-elle en me repoussant de son talon.
Je me retrouve à 4 pattes, le cul à l’air, la chatte trempée, le museau maculé de ma propre salive. Mona retire sa jupe en se dandinant, elle a toujours sa coupe de Champagne à la main. Marcus a
éjaculé dedans, je me demande ce qu’elle attend pour s’en débarrasser. La réponse ne tarde pas. Une fois la jupe à ses pieds, Mona joue avec sa petite culotte. L’espace d’un instant, je pense
qu’elle va la retirer. Mais après avoir joué avec l’élastique, elle finit par le maintenir bien écarté au niveau de son pubis.
Je ne comprends ce qu’elle veut faire que lorsqu’elle approche la coupe de Champagne de sa culotte distendue. Elle penche doucement la coupe en direction de son sexe et verse doucement le contenu
à l’intérieur de son slip. Au contact froid du liquide, Mona éclate de rire. Je la regarde déverser dans sa culotte ce mélange de Champagne et de sperme avec une fascination perverse. Sur la fin,
le foutre de son mari s’écoule dans son slip en formant une longue coulée blanche. Mona a maintenant l’entrejambe trempé, et elle part dans un fou rire que Marcus accompagne de petits cris.
- Allez ma petite salope, viens donc me lécher la chatte, je suis sûre que tu n’attends que ça ! dit elle d’une voix sensuelle et rieuse, en mettant bien l’accent sur le mot salope.
Elle plaque une main sur sa culotte trempée de Champagne et de foutre et se masturbe à travers l’étoffe du sous vêtement. Et tandis qu’elle tend la coupe à mon mari qui la débarrasse dans
l’instant, tel un serveur zélé, je m’approche de son entrejambe trempé. Le slip est tâché, et le Champagne qui coule le long de ses cuisses me fait penser à de l’urine. L’image qui m’est alors
donnée de ses cuisses et de son sexe encore voilé de sa culotte toute humide me fait évidemment penser qu’elle a pissé dans sa culotte. Mais loin de me rebuter, alors que je me suis toujours
refusée à pisser sur mon mari, pourtant demandeur, l’idée de sentir et de boire son urine, m’excite. Je colle mon nez entre ses cuisses, ma langue se saisit d’une fine coulée de Champagne et
remonte doucement vers son sexe.
- Une vraie petite bourgeoise, commente Mona en riant. Tu aimes le Champagne, toi, ça se voit, une vraie salope.
A l’époque j’ignorais la signification ambiguë du mot « Champagne », alors je dis oui et je colle ma bouche contre son sexe pour lécher l’alcool intime qui transperce le tissu.
- Oui, je vais t’en donner, du Champagne, moi, tu vas voir, ajoute-t-elle en posant une main sur ma nuque.
Mon visage est maintenant plaqué contre sa chatte. Je la respire toute entière : cela sent fort, un mélange détonnant d’odeurs de femme, de transpiration, de sperme et de Champagne. Je sens
sa chaleur intime, j’ai envie de passer ma langue sur son sexe, je n’ai jamais léché une autre femme : ce soir est pour moi une grande première dans bien des domaines… Et je ne suis pas au
bout de mes surprises.
Soudain, je sens un liquide chaud imbiber la petite culotte de Mona. Il n’y a aucun doute sur ce qu’elle est en train de
faire… Elle me maintient fermement la nuque entre ses cuisses et elle me pisse dessus. Sa culotte, déjà bien humide, est vite inondée. L’urine s’écoule à travers l’étoffe et me coule sur le
visage, le nez et les lèvres. Quelques gouttes de pisse me tombent dans la bouche, puis c’est un mince filet. J’étouffe, j’essaie de contenir mon dégoût, mais lorsque l’urine brûlante parvient à
se frayer un chemin jusqu’au fond de mon gosier, je m’étrangle.
Mona consent alors à relâcher son étreinte, et j’en profite pour me dégager. Je tousse et je crache tandis que Mona finit son petit pipi en se moquant de moi.
- Ben alors, fait elle en souriant. T’aimes pas mon Champagne ?
- C’est parce que c’est du Champagne des Antilles, plaisante Marcus derrière mon dos.
C’est là que je comprends toute la signification du mot « Champagne ».
- Mais elle me pisse dessus, dis-je en m’essuyant la bouche.
Mona prend un air catastrophé.
- Tu ignorais que le Champagne était le pipi ? dit elle en s’accroupissant à mes côtés. Oh je suis désolée, je pensais que tu connaissais le jargon.
Elle me prend alors dans ses bras et m’attire à elle tendrement pour me consoler.
- Excuse moi ma chérie, si j’avais su…
Sa douceur tranche avec l’autorité dont elle faisait encore preuve une minute plus tôt. Le « ma chérie » fait aussitôt
oublier ma déconvenue. Je lui présente mes lèvres et elle y dépose aussitôt un baiser tendre et sensuel.
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