10.
Gorge profonde
Marcus s’enfonce dans la brèche. Je prends alors conscience, mais trop tard, qu’il est énorme. Ma bouche est trop petite, je grimace, mes joues se creusent, il continue de pousser, il veut que je
l’avale en entier. Je refoule un haut de cœur, j’essaie de reculer, mais Mona me maintient fermement.
- Oui, il est gros, je sais, se moque-t-elle. Mais tu voulais de la queue, je te donne du premier choix.
Marcus continue de pousser. Il va me perforer. Son gland heurte mes amygdales et commence doucement un va-et-viens libératoire et jouissif. Je sens les veines de sa bitte palpiter contre mon
palais. Je respire par le nez, bruyamment, pour accompagner la cadence qu’il m’impose, puis de petits gémissements parviennent à s’échapper de mon gosier. Je n’ai jamais eu la bouche aussi
pleine, un véritable bâillon de chair, une chair chaude et douce, légèrement odorante, je commence à aimer. Je bave sur sa queue, de la salive coule sur mon menton. Je roule des paupières en le
fixant droit dans les yeux, et lui caresse tendrement les bourses. Mona relâche son étreinte, je suis domptée.
- Regarde petit cocu comme ta femme est une bonne suceuse. Une salope de premier choix. A mon avis c’est pas la première queue qu’elle suce.
Eric garde le silence. Il baisse la tête, les yeux sur son sexe imberbe, conscient de ne pouvoir rivaliser avec l’énorme braquemart de Marcus. Il se sent ridicule, il aime sa femme plus que tout
pour le magnifique cadeau qu’elle lui fait.
Marcus commence à grogner. Je prends alors l’initiative de sortir sa bitte de ma bouche. Je ne veux pas qu’il me gicle dans la gorge. Je le suce alors avec avidité et énergie, en jetant des coups d’œil furtif à mon époux qui n’en perd pas une miette. Son regard m’excite tout autant que celui de Mona à mes côtés. J’accentue mes coups de tête sur le gland noir de mon amant, je crache sur sa queue et la branle avec une vigueur qui trahit mon état d’excitation.
- T’as vu mon chéri comme il a une grosse queue, dis-je en écarquillant les yeux d’émerveillement. Tu fais pas le poids avec ton zizi de petit garçon, ça c’est un homme, un vrai… Et après il va
me baiser à fond !
Les râles de Marcus s’accentuent.
- Tu veux qu’il te gicle dessus ? demande Mona, redevenue avenante l’espace d’un instant.
Je lui suis reconnaissante de sa demande, j’ai horreur de cela. Je fais signe non de la tête et Mona place sa coupe de Champagne, presque vide, sous le sexe de son mari.
- Vas-y mon chou, tu peux te vider.
Je continue de le branler vigoureusement et soudain je sens la sève remonter le long de ce gourdin d’ébène. Je n’ai que le temps de rabattre son sexe sur la coupe. De puissants jets éclaboussent
aussitôt le reste de Champagne. Le sperme n’en finit plus de se répandre dans la coupe. Des traînées blanchâtres coulent le long du cristal.
Marcus gémit à n’en plus finir et remplit de sa semence la moitié de la coupe de Champagne. Je reste accroupie, sa queue à la main, encore vigoureuse et palpitante, impressionnée par la quantité
de foutre qu’il vient de libérer.
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