Linda et son mari cocu

Samedi 8 août 6 08 /08 /Août 01:15

3.

La fessée


Je souris tout en m’installant confortablement dans le canapé. Eric se cale sur mes cuisses, il s’arrange pour placer son sexe entre mes jambes. Je passe une main sur son postérieur, musclé à souhait. Eric est plus jeune que moi, six ans de moins, il prend soin de son corps par une activité sportive régulière et moi, je veille à son alimentation. Alors, il n’a pas ce début d’embonpoint qui menace les hommes qui ont passé la trentaine. Il a ce petit cul bombé dont rêvent toutes les femmes. Un cul agréable à fesser… Qui a pris l’habitude du châtiment, que ce soit à la main mais aussi parfois à la badine, au martinet ou à la cravache… Je suis plus que sa femme, je suis sa Maîtresse. Et cela l’excite, je sens son sexe grossir au contact de ma peau.


- Alors mon chéri, on dirait que ça te fait de l’effet de te retrouver au travers de mes cuisses.


- Oh Linda, si tu savais comme tout cela m’excite !


Je laisse échapper un petit rire moqueur.




- Oui, je le sens. Mais je vais te donner une bonne fessée, ça va calmer tes ardeurs, tu vas voir…


J’accompagne ma menace d’une caresse sur les fesses. Il a cru à la première claque et je l’ai senti se crisper. Je souris, j’aime susciter la crainte autant que le désir.


- Je vais te rougir les fesses comme un vrai garnement, je te jure que tu vas le sentir passer.


Je me laisse envahir par une immense envie de frapper, un désir incontrôlable de le dominer, une vraie pulsion de dominatrice. Et mon bras s’abat une première fois au travers de ses fesses. Il se crispe mais ne dit rien. Une seconde fois… La marque de mes doigts s’imprime aussitôt sur sa peau… Puis j’accélère la cadence… Plus vite, mais avec la régularité d’un métronome, je le fustige sans pitié, je sens son sexe durcir entre mes cuisses. Mon traitement lui fait de l’effet. Je frappe plus fort, mes gifles deviennent cinglantes, rasantes, plus douloureuses encore… Son fessier arbore une belle couleur carmine, et plus il rougit, plus je mouille.


- Tu bandes mon cochon ?


Je ponctue ma remarque d’une claque bien sonore, plus plate que les autres. Son petit cul déjà bien bronzé est maintenant plus rouge qu’une tomate.


- Aaah… Oui Linda, pardonne moi… Aaaah


Il ne parvient plus à contenir ses gémissements. Chaque baffe s’accompagne désormais d’un petit cri qu’il tente en vain de réprimer.




- Tu n’as pas honte, espèce de salaud ? Bander en recevant la fessée des mains de ton épouse ?


Il répond par un gémissement plus appuyé.


- Je vais te faire un cul tout rouge moi tu vas voir, espèce de vicieux ! Un vrai cul de baboin !


Il commence à remuer, et il ne bande plus… La douleur devient probablement trop forte. Je ralentis la cadence, mais pas mes coups. Je veux lui laisser le temps de craindre chacune de mes claques. L’appréhension va nourrir son humiliation. Attendre le bon vouloir de sa maîtresse, l’instant où elle va daigner abattre le bras, j’adore ce pouvoir. Je contemple ce fessier comme s’il s’agissait d’une œuvre d’art, mon œuvre d’art… Je peux en user et en abuser comme je l’entends, un pouvoir grisant qui décuple mon excitation.


- Si tu voyais tes fesses mon chéri, elles sont d’un rouge, hummm… Tu vas garder les marques un bon moment,
demain au tennis, Jacques et Laura vont se poser des questions… Tu ne pourras pas leur refaire croire à un coup de soleil…




Et je pars dans un rire moqueur en resongeant à son embarras la semaine dernière lorsque nous avons fais un tennis avec ce couple d’amis. Je lui avais donné une bonne fessée avant de partir et son cul était tout rouge. Il était tellement honteux qu’il avait espéré se désister. J’avais alors du faire preuve de toute mon autorité pour le forcer à venir. Il a prétexté un coup de soleil pour expliquer ces rougeurs suspectes sur son derrière, ce qui est assez courant les premiers jours d’exposition dans un camp naturiste. Mais demain, il ne pourra pas renouveler cette excuse. Je malaxe ses fesses en songeant à ce qui nous attend. Je suis incroyablement excitée. Au contact de sa peau bouillante, que je pince et pétris sans pitié, je me dis que dans quelques heures, je pourrai exposer ses fesses bien rouges à celui que j’aurai choisi pour me baiser devant lui.


- Tout à l’heure, je montrerai ton cul tout rouge à mon amant, il va bien rigoler…


- Oh Linda, oui, ce soir, je ne suis plus ton mari, je suis ton esclave, tu pourras m’humilier devant lui si tu veux, je
t’obéirai.


Sa docilité me déçoit presque. J’espérai lui faire peur, l’obliger à me supplier, mais le salaud en redemande. Il ne m’a visiblement confié que l’aspect le plus avouable de son fantasme : celui d’assister à son cocufiage, et non celui d’être soumis devant mon amant. Je me remets à le frapper plus fort, je veux qu’il souffre, qu’il me supplie d’arrêter. Mais il a beau gémir et gigoter, il endure. Eric me surprend, il veut sûrement me montrer combien il est motivé pour cette soirée spéciale. Mais il ignore aussi sûrement que je suis très excitée à cette idée de le tromper sous ses yeux et que je ne vais pas me priver de le rabaisser et l’humilier. Je finis par le repousser et le mettre au coin, main sur la tête. Il a les larmes aux yeux, mais dans son regard, il n’y a que vénération. Le nez contre le mur, puni comme un garnement dans une salle de classe, il ne peut voir mon sourire satisfait en contemplant ses fesses écarlates… Un sourire de carnassière…


Je me suis défoulée, je suis sereine, je me sens d’humeur sauvage et prédatrice, la chasse à l’homme peut commencer.


Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Mercredi 5 août 3 05 /08 /Août 00:22

2.

Sexy pour aller danser ;-)


                        Ce qu’il y a de surprenant pour les néophytes du naturisme, c’est le changement de comportement et de population entre le jour et la nuit à l’intérieur de la station. Familiale et bon enfant tant que le soleil brille, les jeunes y côtoient les vieux, les moches y croisent les beaux sans la moindre lueur de convoitise dans le regard. La nuit tombée, c’est une toute autre faune qui investit les ruelles et les commerces… les vampires commencent à sortir… Les vampires, ce sont des hommes et des femmes, mordus de désir, assoiffés de sexe, en quête d’expériences interdites et de partenaires inoubliables. Ce soir, mon mari et moi, formons un joli couple de vampires.


Je porte un joli bustier en velours noir et une jupe en cuir très courte et très évasée. Lorsque je me penche, même légèrement, on me voit tout, mon absence de culotte d’abord, mais aussi les premiers ourlets de ma chatte si j’écarte légèrement les cuisses.  Le noir me va à merveille. Il tranche avec le blond de mes cheveux, que j’ai tiré en chignon pour faire plus sévère, et met en valeur le teint bronzé de ma peau que j’expose cinq heures par jour dans ce seul but de séduire et d’allumer les hommes. Ce soir, je veux mettre toutes les chances de mon côté pour attirer à moi le plus viril des amants. Je rajuste le bustier sur ma poitrine. Il est minimaliste mais il me fait des seins pigeonnant comme des obus. Pour achever ma panoplie de séductrice, j’ai enfilé des escarpins aux talons démesurés, dont les lacets noués autour de ma cheville, me donnent un port  de reine. Oui, ce soir, je suis une reine… je suis la reine des vampires. Et si je nourrissais un doute quant à l’effet produit sur les hommes, mon mari le dissipe à ma sortie de salle de bain, après une heure passée à m’apprêter.




- Ma chérie, tu es magnifique ! s’exclame-t-il en s’empressant de m’apporter le thé que je lui ai réclamé.


Mais plus que cette phrase sibylline, ce compliment maintes fois lancé avant ce soir, c’est la lueur de désir et d’admiration qui brille dans ses yeux qui retient mon attention. Oui je suis magnifique, j’en suis convaincue.

Je m’approche d’un pas langoureux, le sourire carnassier, le regard narquois.
Je suis excitée, je me sens prête à faire voler en éclats les derniers tabous de notre mariage. Il se tient à mes côtés, entièrement nu, je me saisis de la tasse qu’il me présente en saluant d’un air dédaigneux et moqueur son sexe de petit garçon. Il baisse les yeux, honteux du sourire narquois que je viens de lui adresser, honteux de ce pubis imberbe et de cette verge qui n’en paraît que plus minuscule.  Je  trempe le bout des lèvres dans ma tasse en gardant les yeux rivés sur son bas ventre. C’est trop chaud, je grimace. Il est 23 heures, un peu tôt pour sortir en boîte, j’ai du temps devant moi pour m’amuser un peu.


- Je t’ai déjà dis de ne pas faire mon thé si chaud ! Tu le fais exprès ou quoi ?


Eric est surpris. Il bafouille des excuses.


- Pardonne moi, je vais rajouter un peu d’eau fraîche, dit il en reprenant la tasse.


Je joue les divas capricieuses et croise les bras sur la poitrine pour lui signifier mon mécontentement.


- Non, c’est trop tard. Je crois que tu l’as fais exprès !


- Exprès, relève-t-il, désappointé. Non chérie, je te jure…


- Moi si, ce n’est pas la première fois, tu mérites une bonne correction.


Je m’assieds dans le fauteuil sans le quitter des yeux. Je le toise tandis que son regard se perd sur mes cuisses fuselées. Il est confus, hébété, mais aussi excité. Je le vois quand au moment de m’asseoir, son regard se perd sous ma jupe pour reluquer ma chatte.


- Que regardes tu comme ça ? Petit vicieux !


- Rien… Je te jure, bafouille-t-il. C’est toi, tu es très en beauté chérie.


- Moi je crois que tu reluquais sous ma jupe et que tu mérites une bonne correction.


Il me regarde en fronçant les sourcils et se demande s’il a bien entendu. Je ne lui laisse pas le temps de tergiverser, j’ajoute d’une voix des plus autoritaires.




- Allez approche, petit vicieux, je vais t’apprendre à regarder sous les jupes des dames.

Puisqu’il a désormais un sexe de petit garçon, j’ai très envie de le traiter comme un enfant. Et puis, cela le mettra en condition pour tout à l’heure. Eric, submergé de honte, se met à rougir.


- Enfin chérie, tu… Tu vas pas ? Nous allons sortir…


- Justement, je vais te chauffer le derrière avant de sortir, il ne faudrait pas que tu aies froid. Allez, approche, je vais te donner une bonne fessée !


Mon mari hésite, mais au fond, je suis persuadée qu’il n’attend que ça. Je suis de nature dominatrice, je dirige mon couple comme je dirige mon bureau. J’ai toujours été autoritaire, j’ai toujours le dernier mot et j’obtiens toujours ce que je veux… Avec mon mari qui est de nature soumise, plus qu’avec n’importe qui… Alors je ne suis pas surprise de le voir se coucher docilement au travers de mes genoux.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Lundi 3 août 1 03 /08 /Août 11:04

1.

Le zizi rasé


                        Je reprends un peu de mousse à raser… Il n’y a presque plus de poils, il s’agit juste d’éliminer les derniers récalcitrants. C’est le cinquième passage, il faut que ce soit lisse, bien lisse, une vraie peau de bébé. J’étale la mousse à raser sur le bout de mes doigts et en tartine le pubis avec une délectation gourmande. Je trempe le rasoir dans le bol d’eau tiède, puis je le positionne sur le bas ventre, un sourire aux lèvres. Le geste me plaît, réticente à l’idée lorsqu’elle m’a été soumise, le plaisir que me procure l’acte et le résultat qui commence à se dessiner sous mes yeux me procurent un plaisir étrange et dérangeant, presque malsain. La lame ne crisse plus, elle n’a plus de poils à se mettre sous la dent.




Je me saisis du sexe de mon mari et le tire entre ses cuisses afin de permettre au rasoir de passer partout. Il se laisse faire, docile, soumis, penaud. Je tiens entre mes mains toute la virilité du mâle et en lui rasant les bourses tout à l’heure, une bouffée de chaleur s’est emparée de moi. Elle ne m’a pas quitté. C’est un sentiment de puissance extraordinaire que de tenir entre ses mains le sexe de son homme. J’ai le pouvoir d’émasculer, c’est grisant… je me contente d’infantiliser. Car maintenant, avec son sexe chauve, tout recroquevillé, comme apeuré par la lame, mon mari présente les attributs d’un petit garçon. Son regard trahit l’émotion que son sexe, entre mes mains, est bien incapable d’exprimer. Mon regard, dur et autoritaire, tranche avec l’immense reconnaissance que je peux lire dans ses yeux. Ce matin, il a surmonté ses appréhensions pour me confier ses fantasmes les plus inavouables. Je dois avouer ne pas avoir été très excitée à l’idée de raser le sexe et le pubis de mon mari. J’aime les hommes, les vrais, avec de grosses bittes et non des sexes d’enfants. Mais maintenant que c’est fait, je ne regrette pas. Je passe le pommeau de douche sur sa petite queue afin d’en retirer la mousse, puis je contemple le résultat, le regard hautain, le sourire satisfait. Eric n’est pas très poilu, si bien que le contraste entre son torse et son bas ventre n’est nullement choquant. Je n’ai jamais vu d’homme au sexe rasé, Eric est le premier, pourtant, depuis quelques années, je le trompe régulièrement, et des candidats, j’en ai vu défiler pas mal dans mon lit.


- Alors ? demande-t-il, impatient de connaître mon avis. Comment tu trouves ?


Il est mignon, même attendrissant, mais ce n’est pas le genre de propos qu’il attend de moi, ce n’est pas ce que j’ai compris en l’écoutant me décrire son fantasme ce matin.


- Si tu te voyais mon chéri, tu as l’air vraiment ridicule !




Eric se penche sur son sexe pour admirer le travail de sa chère épouse et dissimuler son embarras.


- Ca fait drôle, dit il d’un air penaud.


- Ca c’est sûr, on dirait un zizi de petit garçon. Demain sur la plage, tu vas attirer les regards, tu auras la honte de ta vie !


Depuis des années, nous passons nos vacances au Cap d’Agde, dans le plus grand camp naturiste d’Europe. Alors demain, à la plage ou dans les magasins, lorsqu’il ira chercher le pain ou lorsqu’il se promènera à mon bras, il arborera ce sexe minuscule et glabre. Quelle honte pour lui…

Il ose relever la tête et affronter mon regard narquois.


- Ca ne te plaît pas, tu regrettes ? lance-t-il d’un air désespéré.


Je m’approche en souriant. Je jubile.


- Au contraire, ça me plaît beaucoup. Je me saisis de sa main et la guide entre mes cuisses. Je ne porte rien, nous sommes dans un camp naturiste. Alors ? Tu crois que ça ne me plaît pas ?


Je suis trempée. Mon mari récolte sur ses doigts les fruits de mon excitation.


- Je suis si heureux que cela te plaise, me confie-t-il avant de déposer dans mon cou un baiser reconnaissant.


Je repousse doucement la main qui tente de me fouiller la chatte.


- Je veux que tu baises les doigts qui t’ont rasé ta petite quéquette !


Ma voix est moqueuse mais mon regard est celui d’une femme déterminée. Eric aime les maîtresses femmes, et aujourd’hui plus encore que les précédents, je suis cette Maîtresse. Il n’hésite pas un seul instant, il se saisit de ma main et dépose un baiser sur l’extrémité de mes doigts. Perverse, je profite de l’occasion pour introduire un doigt dans sa bouche. Il se met à le sucer comme s’il tétait un biberon.


- Tu es bien sûr de vouloir pour ce soir ? dis-je en introduisant un second doigt dans sa bouche.


Il ne peut prononcer le moindre mot mais il marmonne et acquiesce en roulant des yeux. Il n’attend visiblement que cela, cela fait même sûrement des années qu’il attend ce moment sans oser me l’avouer. Mais ce soir, son fantasme sera une réalité… C’est une chose d’imaginer sa femme baiser avec un autre homme, c’en est une autre que de la voir à l’œuvre. Mon mari m’a toujours été soumis, et il y a quelques années, ne pouvant répondre à mes désirs d’hommes plus virils, il a accepté que j’aille voir ailleurs. Le fait de lui raconter mes escapades, le soir sur l’oreiller, a réveillé des ardeurs endormies et a crée entre nous un lien nouveau, une complicité, et paradoxalement, une plus grande confiance. Notre couple en est sorti renforcé, mais ce soir, sa femme se présentera à lui sous un autre jour : il me verra baiser comme il ne m’a jamais baisé. Je suis excitée, mais j’ai peur que cela soit un choc pour lui. Que pensera-t-il de moi si je jouis devant lui comme une salope ?


- Je choisirai un type costaud, et il aura une grosse queue, toi, tu auras l’air minable avec ta petite quéquette toute lisse.


Je retire doucement les doigts de sa bouche car je veux l’entendre me répondre.


- Oui, j’en ai envie. Comme je te l’ai dis ce matin, ça m’excite de pouvoir te voir…


Je le coupe d’une voix sèche.


- Tu regardes mais tu ne dis rien ! Aucun commentaire, aucune protestation, à partir du moment où nous quitterons l’appartement, nous ne pourrons plus revenir en arrière, et il faudra que tu m’obéisses au doigt et à l’œil !


- Oh ma chérie, tu sais que je n’attends que cela.


- Oui, mais là, tu le feras devant un autre homme. Tu le feras devant mon amant, et cela ne m’excitera que si j’ai à mes côtés un petit mari cocu très obéissant.


- Oh chérie, je suis excité rien qu’à l’idée !




Je m’approche en souriant. Ma cuisse frôle son sexe. J’effectue quelques mouvements langoureux et subtils afin d’éveiller en lui quelques ardeurs.


- Mais tu ne pourras rien faire, dis-je en branlant son sexe contre ma cuisse chaude et douce. Je serai la seule à prendre du plaisir, je t’interdirai de te toucher, je pourrai même te passer les menottes !


- Oh Linda, ma chérie, oui, tu peux m’attacher et m’humilier devant ton amant, c’est pour ça que je t’ai demandé de me raser. C’est ta soirée, j’obéirai à toutes tes exigences.


Je sens contre ma cuisse que ce ne sont pas des paroles en l’air. Son sexe n’a plus rien d’enfantin. Le scénario lui plaît et à en croire la dureté de sa bitte, je peux dire qu’il espérait cette tournure.


- Tu ne seras pas déçu mon chéri, tu peux me faire confiance…


Je lui susurre cette promesse avant de tourner les talons. Je le laisse contempler ma croupe ferme et bronzée par le soleil méditerranéen et je l’abandonne avec sa trique en imaginant le regard concupiscent qu’il porte sur mes fesses. La soirée s’annonce sous les meilleurs auspices…

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
  • :
  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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