Linda et son mari cocu

Jeudi 20 août 4 20 /08 /Août 16:30

8.

Humiliation dans les escaliers


Mon mari, qui ferme la marche, a une vue imprenable dans les escaliers. Mon fessier maltraité par cette énorme main noire, ma chatte humide de plaisir, où se fixe son regard ? Que peut il bien penser de moi à cet instant ? Soudain, son regard que je sens accroché à la fourche de mes cuisses, me gêne et me contrarie. Je me retourne vers lui et le foudroie d’un regard mauvais. Il est en contrebas, en train de lorgner mon cul, alors je le toise de mon air le plus supérieur.


- Espèce de vicieux, arrête de me mater le cul ! (Il ne sait que répondre, alors il baisse la tête en guise de soumission) Passe devant ! (Il obéit aussitôt). Tiens, puisque tu matais mes fesses, montre nous les tiennes ! (Là il hésite) Allez, on va pas y passer la nuit, retire ton short et montre nous ton joli petit cul soumis !


Eric baisse son short en latex et nous révèle ses fesses encore marquées de la fessée reçue quelques heures plus
tôt. Les rougeurs se sont hélas estompées, mais Mona a visiblement l’œil expert.


- Oh mais que vois-je ! lance-t-elle d’une voix moqueuse. Je rêve ou ce postérieur a reçu une fessée il n’y a pas très longtemps ?


Eric, submergé de honte, garde le silence, sans oser bouger, planté comme un con au milieu des escaliers, nous tournant le dos pour une raison que je suis seule à deviner. Mais puisqu’il veut de l’humiliation, je vais lui en donner.


- Et bien réponds ! Qu’est-ce que tu attends ?


- Oui… C’est vrai…


Marcus silencieux fait glisser un doigt le long de ma crête onctueuse de plaisir.


- N’oublie pas à qui tu t’adresses ! dit il. Mona ne reçoit pas de fessée, elle, alors ne lui manque pas de respect !


- Ca, c’est sûr, j’ai passé l’âge, répond Mona, qui se complaît dans notre scénario. Et d’ailleurs, je suis plutôt du genre à en donner.


Eric ne se tourne toujours pas, il cherche à dissimuler ce qui lui fait probablement terriblement honte à cet instant, mais il répond avec une voix vraiment soumise.


- Vous avez raison, mademoiselle Mona, j’ai reçu une fessée tout à l’heure avant de sortir.


Et il baisse la tête, submergé de honte. Je mouille comme une folle de le voir ainsi humilié devant moi et ce couple sympathique, qui joue a fond le rôle que nous attendions de lui. Je veux faire durer le plaisir, mais en même temps, si Marcus m’enfonce un doigt dans la chatte, je vais jouir dans l’escalier. Je veux sa queue, pas son doigt. Alors j’achève mon mari d’une remarque assassine.


- Tourne toi quand tu nous parles ! Tu dois toujours faire face aux personnes à qui tu t’adresses !


- Il n’est pas bien dressé, ricane Mona. Tu ne lui as pas donné assez de fessées…


Eric se tourne alors vers nous, ce qui a pour effet de lui couper la chique. Mona ne s’attendait pas à cela. Mon mari lui présente alors son sexe rasé, recroquevillé entre ses cuisses. Il me semble minuscule, j’ai honte pour lui, mais aussi pour moi : je suis l’épouse de cette petite bitte. Mona, elle, est la propriétaire d’une grosse queue, j’en devine les dimensions impressionnantes aux seules ondulations de Marcus contre mon fessier. Je suis surprise d’être gênée, mais cette humiliation inattendue ne me déplaît pas.


- On dirait le zizi d’un petit garçon, pouffe Mona. Je comprends pourquoi tu as besoin d’aller voir ailleurs. (Elle s’approche de moi et dépose un baiser sur ma joue). T’inquiète Petite Linda, Marcus va te montrer ce que c’est un vrai sexe d’homme. Pas vrai mon chou ? finit-elle à l’adresse de son mari.


Pour toute réponse, Marcus retire la main qui me caresse la chatte et se saisit de mon poignet.


- Tu sens ma queue ? dit-il en attirant ma main sur sa bitte.


- Hummm, oui elle est grosse, répondis-je en massant le bas ventre de Marcus sans quitter mon mari des yeux. Tu vas me défoncer dis moi ?


- Je vais te faire hurler salope…


Mona s’offusque de l’insulte et prend ma défense en houspillant son homme.


- Non, Mona laisse, ça ne me gêne pas. Et j’ajoute en souriant avec provocation. Je suis une salope, je dois être traitée comme telle.


Le regard de ma jolie métisse change subitement. Je crains un instant l’avoir déçu. Une lueur étrange scintille dans ses yeux, son visage se fait plus dure. Elle qui avait été attendrie tout à l’heure par mon inexpérience avec les femmes est peut être au final choquée par ma perversité. Je donne la fessée à mon mari, je le trompe, je me revendique salope, cela fait peut être beaucoup pour une seule femme.


- Tu aimes être traitée comme une salope ? reprend elle d’une voix neutre.


- Ca ne me gêne pas.


Elle donne le bras à Marcus, en souriant d’un air complice. Puis elle se retourne vers moi. Son sourire a disparu, son visage n’exprime plus que dureté et sévérité.


- Toi aussi tu vas passer devant, m’ordonne-t-elle d’une voix autoritaire. Et tu vas bien écarter les pans de ta jupe que je puisse mater ton cul de salope !


Je demeure abasourdie par la métamorphose de Mona. Ma petite métisse exubérante et sexy s’est transformée en dominatrice. Jamais je n’ai reçu d’ordre de qui que ce soit. Je suis troublée. A-t-elle oublié que c’est moi la maîtresse du jeu ? Que c’est moi qui ai donné la fessée à mon époux ?



La situation m’échappe. Je peux évidemment refuser, mais ce serait tout gâcher, et puis je n’en ai aucune envie. Mona me trouble. Son assurance, depuis le début de la soirée est le fait d’une forte personnalité. J’aurai du m’en douter en entendant Marcus me mettre en garde juste avant son arrivée. Mais je ne comprends pas pourquoi je suis excitée à l’entendre me parler ainsi. Mon indécision, ma surprise, la pousse à se montrer plus dure.


- Allez magne toi salope ! Comment tu as dis à ton cocu tout à l’heure ? On va pas y passer la nuit !


Je suis estomaquée par la virulence du propos, mais une chaleur suspecte se me chauffe le bas ventre et rougit mon visage. Je ne suis pas du genre à être choquée et il en faut beaucoup pour me faire rougir. C’est le plaisir que je ressens à être traitée ainsi qui me fait rougir, nullement l’insulte ou l’exigence de Mona, qui n’a rien d’extraordinaire en soi. J’y prends plaisir, j’en tire une grande culpabilité et j’ai l’impression que mon plaisir se lit sur mon visage, ce qui décuple ma gêne. C’est une sensation nouvelle, troublante, incontrôlable, dérangeante… Moi qui suis habituée à tout contrôler, je perds le contrôle de la situation et… de moi-même. Je tente de sourire mais je me sens crispée. Je prends les pans de ma jupe en les remontant le plus haut possible, comme si je m’apprêtais à faire une révérence ou à entamer un enchaînement de danse classique.  Marcus et Mona, en contrebas, ont une vue imprenable sur mes fesses nues.


- C’est bien salope, me félicite Mona d’un air pervers. Maintenant tu montes chez toi en écartant un peu les cuisses qu’on puisse te reluquer la chatte !


Je me retourne en silence et j’obéis. Mon mari, au dessus, me lance un regard médusé. Il ne s’attendait probablement pas à cela non plus… La soirée promet d’être mémorable.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Lundi 17 août 1 17 /08 /Août 12:07

7.

Promenade érotique


                        Nous quittons la boîte aussitôt la coupe de Mona vidée. J’ordonne à Eric de marcher devant nous, afin de l’exclure de notre trio, le mettre à l’index, et lui rappeler s’il était nécessaire son statut de cocu soumis.

Mona, décidément très entreprenante, passe son bras autour de ma taille et commence à me caresser les fesses à travers ma jupe en cuir.


- J’adore cette matière, me confie-t-elle.


Je me tourne vers elle pour lui répondre dans un sourire charmeur.


- Moi aussi…


Mais avant que je ne termine ma phrase, elle a plaqué sa bouche sur la mienne. Ses lèvres sont incroyablement douces, sa peau est chaude, ses gestes plein d’attention. Elle me caresse la joue en poussant doucement sa langue entre mes lèvres. C’est divin. C’est la première fois qu’une femme m’embrasse. Le baiser est doux, sensuel, je fonds littéralement.


- Et le mari ! Attends une minute, lance Marcus de sa voix rieuse.


Je tourne les yeux en direction d’Eric sans décoller ma bouche des lèvres humides de Mona. Mon époux s’arrête et se retourne dans notre direction. Son regard ne peut dissimuler la surprise, puis l’intérêt et la gêne d’être le témoin impuissant d’un baiser donné par sa propre femme à une autre femme. Il est passé deux heures du matin mais dans cette station, près des boîtes, des couples sortent et se promènent, goûtent à la douceur du climat ou cherchent à surprendre des ébats interdits.




- Oula ! regarde ta femme comme elle est chaude ! continue Marcus en se positionnant derrière moi. Elle a le feu au derrière, ajoute-t-il en se plaquant contre mes fesses. Je vais te la baiser, tu vas voir, mec, elle va en redemander. (Je sens à travers son pantalon que je lui fais un bel effet). Elle pourra plus se passer de moi après !


Je suis prise en sandwich au pied des immeubles de locations, j’ai la langue de Mona qui me fouille le palais, sa poitrine contre la mienne, et le sexe déjà en érection de Marcus qui me frotte le cul à travers le cuir de son pantalon et de ma jupe. D’ailleurs, celle-ci finit par le gêner, il la relève, dévoile mon cul nu à mon époux pétrifié ainsi qu’à toutes personnes qui se trouvent là à cet instant. Il y a souvent du monde aux terrasses et balcons des immeubles qui nous entourent.

J’ai peur d’être surprise. J’essaie de protester, mais Mona me bâillonne de ses lèvres, et la sensation d’être ainsi prisonnière de ce couple étonnant emporte mes dernières réticences. Je frissonne de désir en apercevant dans le lointain un autre couple qui nous mate. Mais plus que ces inconnus que j’aperçois à peine, c’est l’attitude de mon mari qui me trouble le plus. Il me regarde avec vénération rouler des pelles à Mona. Le spectacle l’excite. Sa passivité, sa soumission et son plaisir contribuent à m’exciter. Je commence à remuer doucement du bassin, à répondre aux ondulations de Marcus et au jeu de langue de Mona. Mais au moment où je me laisse submerger par mon désir, Mona se retire doucement de ma bouche.


- Je crois qu’il est temps de rentrer, me dit elle en me désignant des yeux quelques personnes accoudées à des balcons, un peu plus haut.


Je ris doucement, un rire de nervosité, un rire qui dissimule mon embarras, car je ne suis pas ce que l’on appelle une exhibitionniste. Je me rajuste en repoussant gentiment Marcus mais celui-ci maintient sa grosse main sous ma jupe, directement sur mon cul qu’il pelote sans vergogne. Nous louons un appartement à deux pas d’ici, je ne me sens ni l’envie ni le courage de lui demander d’arrêter. Je décide au contraire d’exploiter la situation pour humilier encore un peu plus mon mari.


- Chéri, mets toi derrière nous ! (Eric obéit aussitôt). Comme ça tu auras une vue imprenable sur les fesses de ta chère épouse, ajoutai-je au moment de passer devant lui.


- Et ta femme, elle a un super cul ! ajoute Marcus en me malaxant les fesses comme de la pâte à gaufre. (S’il n’y va pas plus tendrement, mes fesses vont ressembler à celles de mon mari). Je vais la défoncer, je te dis pas !




La « menace », promesse de plaisirs, me fait doucement ricaner. Une délicieuse appréhension me noue l’estomac.
Mona me donne le bras et m’incite à regagner au plus vite l’intimité de notre chambre. Entre Marcus, taillé dans le roc, membré comme un étalon, et Mona, entreprenante et à l’esprit directif, je sens la situation m’échapper. Moi, qui ai toujours tout dirigé, je trouve la sensation grisante et délicieuse.

Durant tout le reste du trajet, Marcus me masse les fesses, parfois un peu brutalement, mais cela me change des caresses tendres et douces de mon mari. Je le laisse faire, docile, et excitée comme une puce, au bras de Mona, qui ne cesse de me chuchoter des trucs sexy.


- Petite Linda, la situation m’excite à un point, tu peux pas t’imaginer !


J’adore qu’elle m’appelle « petite Linda », car j’ai au moins dix ou douze ans de plus qu’elle. Je lui réponds au moment de passer la porte de notre immeuble.


- Oh que si, je peux l’imaginer, moi aussi je suis trempée.


- Je vais te manger la chatte, et te boire jusqu’à plus soif ! sourit elle.


Nous pénétrons à l’intérieur et Marcus, qui a parfaitement saisi la subtilité de nos rapports, repousse la porte au nez de mon mari. Exclu et humilié jusqu’au bout…


- Tu sais, Mona… (devant mon hésitation, elle dépose un petit smack sur mes lèvres) Je n’ai jamais fais l’amour à une autre femme.


Son visage s’illumine.


- Ouuaahh, c’est trop génial, je vais te dépuceler, j’adore jouer les initiatrices. T’as quel âge ?


- 39.


Elle se tourne vers son mari et lui lance d’une voix pleine de promesses.


- Marcus, mon chou, ce soir Linda est pour moi ! (Marcus n’ayant pas entendu ma confidence faite à son oreille, elle se justifie). Petite Linda n’a jamais couché avec une femme, ses orgasmes sont à moi.


Marcus acquiesce sans pour autant me lâcher les fesses, et au moment de monter, je sens sa main vigoureuse se refermer sur mon petit pognon de cul comme une mâchoire implacable.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Vendredi 14 août 5 14 /08 /Août 13:42

6.

Présentations (Mona)


C’est une femme terriblement sexy qui se dirige dans notre direction, une jeune métisse à la peau brune, aux cheveux coupés courts. Elle porte une mini robe blanche qui moule son corps comme une seconde peau. Le blanc tranche à merveille avec le teint métissé de ses bras et de ses jambes. Marcus fait les présentations et mon mari se lève pour proposer sa place. Il se retrouve debout à mes côtés, comme un con, déjà à tenir la chandelle. Mona, c’est le nom de la jeune épouse de Marcus, se propose de s’asseoir sur les cuisses de son mari.


- Non, ne vous occupez pas de lui, dis-je à Mona alors qu’elle s’apprêtait déjà à céder sa place. Il va s’asseoir à mes pieds, c’est très bien pour lui. (Puis je me tourne vers Eric et lui lance en souriant de mon air le plus perfide). N’est-ce pas mon chéri ? Etre à mes pieds, c’est bien ta place ?


Eric regarde autour de lui pour s’assurer qu’il ne connaît personne. Il a honte, il hésite un instant, mais s’il n’obéit pas maintenant, il sait que toute la soirée est fichue. Il essaie de sourire, de prendre un air décontracté, mais je le connais bien, il est terriblement humilié. Au fond, c’est ce qu’il voulait, est-il aussi excité que moi ? Je doute que ce soit possible. Je suis trempée.


- Dans le couple, c’est madame qui porte la culotte, explique Marcus à l’attention de son épouse, visiblement intriguée. Enfin, quand elle en porte, ajoute-t-il en riant.


Sa remarque fait sourire Mona. Elle est magnifique. Subjuguée par ce joli minois, je ne réagis pas lorsque Marcus pose sa main sur mes cuisses pour m’obliger à les écarter. Il veut que je montre à son épouse que je me balade à poil sous ma jupe. Je me laisse faire et j’offre à Mona une vue imprenable sur ma chatte. La jeune femme laisse échapper un oh de surprise et éclate de rire.


- Bonjour l’état de la banquette après votre passage, plaisante Mona, visiblement peu farouche.


La remarque me déstabilise, comme si d’un coup, je venais de perdre de ma superbe, tomber de mon piédestal… Mise à jour pour ce que je suis, une salope, une vraie… Il n’aura fallu que deux minutes à Mona pour voir à qui elle avait à faire. Je mouille et ça se voit, même en boîte, dans une pénombre relative. Une certaine gêne m’envahit, et je ressers les cuisses.


- Chéri va donc chercher à boire pour Mona. (Elle commande une coupe de Champagne et avant que mon mari ne tourne les talons, j’ajoute avec perfidie). Tu peux te reprendre un verre d’eau si tu veux ?


Mon mari esquisse un sourire figé avant de se diriger vers le bar. Mona lui lance un regard amusé. C’est un bon début.


- Vous êtes sa maîtresse, c’est ça ? dit elle en se retournant subitement dans ma direction.


- Euh oui… On peut voir les choses comme ça.




Mona est du genre direct, peut être même directive. Marcus avait raison de la décrire comme étant ni « dressée » ni « docile ». Elle me plaît, son naturel, sa décontraction sa sensualité, son caractère. Mon regard plonge sur sa poitrine, qu’elle me met sous les yeux en se penchant vers moi.


- Je vous plais ?


Elle a surpris mon regard dans son décolleté. Je suis troublée, et pas seulement par la main de Marcus qui s’est à nouveau posée sur ma cuisse.


- Oui, beaucoup.


- Tant mieux.


Décidément, elle a le don de me surprendre.


- Tant mieux ? relevai-je en esquissant un sourire.


Elle se penche un peu plus et pose une main à l’intérieur de mes cuisses.


- Je suis du genre active avec les filles, enfin je veux dire, j’aime les filles autant que les garçons et j’aime prendre l’initiative.


Jamais une femme ne m’avait parlé ainsi avant ce soir là, quelques amants occasionnels, jamais une femme. Ses mots renforcent mon excitation. Je suis si troublée que je ne réponds pas immédiatement, c’est Marcus qui me devance.


- Son mari ne participe pas ma puce, dit il en posant sa main libre sur la cuisse de sa femme. Son autre main est sous ma jupe, tout au bord de mon sexe. Il regarde et c’est tout.


Mona me lance un regard étrange avant de répondre, sous forme de conclusion.


- Alors il te faudra être active pour deux, et je te préviens, j’ai de l’appétit.


Mon mari revient et nous surprend en train d’échanger nos consentements.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Mercredi 12 août 3 12 /08 /Août 10:19

5.

Présentations (Marcus)


Je suis mon époux du regard en imaginant l’embarras qui doit être le sien. Jamais je n’aurai imaginé qu’il puisse prendre plaisir à s’humilier de la sorte. L’obliger à inviter lui-même l’amant que j’ai choisi, l’aborder ainsi, sans laisser planer le doute sur mes intentions, sans la moindre équivoque sur son statut de mari cocu et soumis, je trouve cela incroyablement excitant, et lorsque je le vois s’approcher de l’homme que j’ai choisi, les coupes à la main, le gobelet dans l’autre, une bouffée de chaleur m’envahit. Eric me désigne du doigt, les jeux sont faits, j’ai honte pour mon mari qui vient de se rabaisser comme jamais auparavant.

Le noir lève son verre dans ma direction pour me remercier, puis il le repose pour prendre la coupe que mon mari lui offre. La seconde qui suit, Eric le conduit à moi à travers la piste. Mon mari, qui n’est pourtant pas de petite taille, lui rend dix bons centimètres. Ce black est un colosse, charpenté comme un boxeur. Mon mari fait les présentations tout en reprenant sa place à mes côtés.


- Chérie, je te présente Marcus… Marcus, je vous présente Linda, ma femme.


- Madame, je vous remercie, dit il en s’asseyant sur un pouf minuscule.


Il a un sourire enjôleur. Il est conscient de son charme et du charisme qu’il dégage.


- Chéri, laisse donc la place à Marcus, dis-je en fronçant les sourcils d’un air contrarié. Je le veux à côté de moi. (J’ajoute d’une voix douce et pleine de promesses). Venez Marcus vous serez mieux assis à mes côtés.


Marcus semble hésiter un instant, mais mon mari, qui se lève aussitôt pour répondre favorablement à ma demande, lui coupe toute envie de décliner même poliment mon invitation. Ils échangent leurs places en silence. Mais je vois la confusion et la gêne sur le visage de mon mari qui baisse les yeux pour ne pas croiser mon regard ou celui de mon futur amant. Marcus ne se départit pas de son sourire. Il semble curieux, peut être pas encore tout à fait excité, mais curieux, c’est un bon début.




Nous trinquons aux vacances mais il nous fait alors savoir qu’il est videur, nullement en vacances, qu’il a été appelé en renfort pour des troubles tout à l’heure et qu’il a terminé son service voilà à peine une demie heure. Il ne veux pas s’attarder sur le sujet et embraye aussitôt sur une question qu’il pose à Eric.


- Vous ne buvez jamais d’alcool ? demande-t-il en fixant le gobelet.


Je lance un regard dur à mon mari pour lui signifier de garder le silence, puis je pose une main sur celle de Marcus. Je suis le feu et la glace… Ma main est chaude, mon regard glacé. Eric baisse les yeux en rougissant, submergé de honte.


- Marcus, cessez donc de vous occuper de lui ! Il n’a pas la parole, il boit ce que je lui dis de boire, il fait ce que je lui dis de faire. Il ne peut me satisfaire, alors je vais chercher ailleurs, vous comprenez ?


Marcus plante un regard incrédule sur le crâne baissé de mon mari.


- En gros, c’est vous qui portez la culotte, s’esclaffe-t-il.


L’occasion est trop bonne pour la rater. J’attire sa main entre mes cuisses et la guide fermement vers mon bas ventre.


- Porter la culotte n’est peut être pas l’expression que j’aurai choisie, soupirai-je en sentant ses gros doigts entrer au contact de ma chatte.


Je souffle en roulant des yeux. La banquette est dans un coin, mais il y a quand même du monde partout, et ils sont nombreux à pouvoir se rendre compte de ce qui se passe. Mon mari, lui est aux premières loges. Je le vois reluquer entre mes jambes, les yeux exorbités. Que peut il penser en voyant sa femme se faire tripoter comme une salope par le premier inconnu qui passe ? La situation est excitante. Ma chatte est une source qui n’en finit plus de se répandre. Marcus passe sur le clito sans insister, mais cela suffit à me faire sursauter et je me mords la lèvre pour être sûre de ne pas crier. J’ai l’impression que la musique est moins forte et que tout le monde va m’entendre hurler de jouissance… Car je suis au bord de l’orgasme. Marcus s’en aperçoit et lorsqu’il sort la main de mes cuisses, c’est pour observer de plus près la mouille qui couvre ses doigts.


- Je vous fais un drôle d’effet, rigole-t-il.


C’est la situation, depuis quelques heures, qui me rend incontinente, mais je préfère bien sûr lui faire croire qu’il est le seul responsable de mon état.


- Je vous ai repéré dés que je suis entrée.


Et pour le conforter dans l’idée qu’il m’a fait tourner la tête, et le reste, je reprends sa main et la dirige vers ma bouche. Je prend son gros doigt noir tout couvert de sécrétions et le gobe en faisant mine de me délecter.


- Vous… Vous avez le feu au derrière, relève-t-il sans cesser de rire.




J’acquiesce en bavant sur son doigt et en sortant ma langue. Mon mari ne sait plus où se mettre. Je m’étonne de mon audace… Certes nous sommes dans une boîte échangiste où les pratiques sexuelles sont courantes, mais je suis tout de même en train de mimer une fellation avec le doigt d’un videur noir devant mon époux et tout le reste du night club. Je libère son doigt une fois nettoyé. J’ai un goût de chatte dans la bouche, et c’est bien la première fois que cela ne me dégoûte pas, signe supplémentaire de mon état d’excitation.


- Vous me semblez être une belle cochonne, conclut Marcus avant de plonger ses lèvres dans la coupe.


Je réponds en prenant un air offusqué.


- Cochonne ? C’est tout ? Moi j’aurai dit salope !


Cette fois, Marcus semble déstabilisé. Mais il ne se départit pas de son adorable sourire.


- Beaucoup de femmes ont horreur d’être traitée de salope, répond il comme pour s’excuser.


- Moi pas, j’assume, rétorquai-je en lui lançant un regard provocateur. Je ne suis pas comme les autres femmes, j’aime beaucoup de choses que les autres femmes n’oseraient jamais faire.


- Comme sortir en mini jupe sans mettre de culotte, rétorque Marcus à son tour. Ou comme se faire caresser la chatte par un inconnu au milieu d’une boîte de nuit.


- Et vous êtes loin d’avoir tout vu, répondis-je en croisant les jambes de manière équivoque.


Ma jupe remonte et je me tourne vers lui en gardant cette position.


- En tous cas, je vois que vous êtes une vraie blonde, réplique-t-il en ne se gênant pas pour regarder entre mes cuisses.


Le spectacle de ma chatte trempée et de ma toison clairsemée ne peut lui échapper malgré la pénombre. Mon manque de discrétion attire les regards d’un autre couple sur la banquette d’à côté.


- Si vous le souhaitez, je peux vous en montrer bien plus chez nous, à l’abri des regards indiscrets.


Marcus prend pour la première fois un air sérieux et perd du même coup un peu de son charme.


- J’ai peur de ne pas être le genre d’homme obéissant qu’il vous faut, dit il en posant la coupe sur la petite table en face de la banquette.


Je sers un peu les cuisses pour le priver de ma chatte et répondre avec le même sérieux que lui.


- Mais ce n’est pas ce que je recherche. Dans le rôle de l’homme obéissant, j’ai un mari, et ça me suffit. (Je me penche vers lui et j’ajoute sur un ton langoureux et pervers). J’ai juste besoin d’une bonne bitte pour combler mes trous de salope en chaleur. (Je pose ma main sur son entre jambe et je commence à malaxer sa bitte à travers le pantalon en cuir). Et tu as tout ce qu’il faut pour cela Marcus…


Je le tutoie à cet instant précis pour faire voler en éclats ses dernières réticences. Mais je suis étonnée par sa résistance et son dernier argument me fait carrément sourire.


- Je suis marié se défend il.


- Et alors, moi aussi. Mais t’inquiète pas, je l’ai bien dressé. Il regarde mais ne participe pas.


Il lâche alors un gros rire.


- Ma femme, c’est tout le contraire, elle n’est pas dressée, elle n’est pas docile, et elle participe ! (Aïe l’affaire se corse… Il est hors de question que mon mari baise avec une autre femme). Mais vous allez vous en rendre compte par vous-même, là voila qui arrive !

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 09:39

4.

Sexy dance


                        En entrant dans la boîte, à moitié vide malgré l’heure avancée, je repère tout de suite l’heureux élu, celui qui va me baiser jusqu’à satiété devant mon époux impuissant. Il est grand, il est fort, il est noir… Il ne reste plus qu’à espérer qu’il soit bien membré, et je serai alors une femme comblée.


C’est notre jour de chance, nous allons réaliser deux fantasmes en même temps. Celui de mon cher mari qui rêve d’une épouse infidèle, et le mien, qui ai toujours rêvé de baiser avec un black. Il est accoudé au comptoir, l’air blasé, presque ennuyé, en train de siroter un verre… seul. Avec sa carrure de déménageur, son pantalon en cuir et son marcel blanc moulant qui attire la lumière, je flashe sur lui tout de suite. Il détonne dans le paysage, mais c’est lui que je veux, je ne pensais pas trouver aussi facilement. D’un autre côté, l’affaire n’est pas conclue, c’est à moi de le séduire. Mais une belle blonde en mini jupe, ne suis-je pas irrésistible ?


Un coup d’œil circulaire à la boîte et je remarque que je ne suis pas la seule belle femme à exhiber mes charmes. Il est vrai que nous sommes dans une boîte échangiste, et toutes ces dames sont là pour la même chose : trouver un couple pour finir la nuit. Sur ce point, je pars avec un handicap, je n’ai pas d’homme à proposer ! Juste un petit cocu au sexe imberbe… Un époux passif et voyeur. Cette pensée me fait sourire. Je me tourne vers mon mari, qui est vêtu d’un short en latex moulant et d’un petit gilet en cuir. Perchée sur mes talons, je le domine de quelques centimètres. Nous formons un couple de vampires aux goûts affichés. Il fait très soumis avec ce short, et comme il marche la tête baissée, accablé par le poids de sa soumission, j’apparais par contraste comme la dominatrice sûre d’elle qui a su dresser son compagnon.


Je traverse la boîte d’un pas décidé et sensuel, en accentuant les ondulations et en évitant de croiser le regard de ma proie, mais je m’arrange pour trouver une banquette qui lui fait face. J’ignore s’il m’a vu entrer, il discute avec un serveur. Sa carrure d’athlète me fait penser à un personnel de la sécurité… Un videur… Cela expliquerait son air blasé, des jolies femmes, il en voit défiler des dizaines tous les soirs. L’entreprise de séduction n’est peut être pas gagnée d’avance, mais je ne suis pas femme à renoncer à la première difficulté, bien au contraire. Et ce soir, je suis si excitée que je compte bien me donner les moyens de satisfaire mes envies.




Je me lève lorsque le DJ lance un remix d’un vieux tube de Donna Summer. Je saisis les pans de ma jupe afin de m’assurer qu’elle ne virevolte pas trop haut, je ne souhaite pas dévoiler mon absence de culotte à ce moment de la soirée, et surtout pas à tous les mâles en chaleur que je ne manque pas d’attirer autour de moi sur la piste. Mon mari me lance des regards éperdus d’amour et de reconnaissance, de vénération aussi, il ne me quitte pas des yeux, accompagne chacun de mes déhanchements, chacune de mes ondulations. Je suis plus troublée par son admiration que par les regards envieux des autres hommes. Tous cherchent à accrocher mon attention par un regard ou un sourire... Tous sauf mon black qui continue de siroter son verre avec indifférence. Je me détends un peu et je finis par lâcher ma jupe. Mes bras se lèvent, et je commence à onduler du bassin en posant les mains sur ma nuque. Je me trémousse ainsi sur la piste pendant un bon quart d’heure, consciente de l’effet produit sur les hommes. J’attire le male comme des abeilles vers un pot de miel... Et mon miel s'écoule déjà de sa fleur… l’idée de me faire butiner et pilonner par ce noir devant mon mari distille un plaisir qui me fait regretter presque de ne pas porter de culotte. Je coule littéralement. Mon Apollon d’ébène a enfin cessé de m’ignorer, il cache son intérêt, ne montre aucun signe d’excitation particulière, mais au moins, il sait que j’existe... La première phase de mon opération séduction est atteinte, je regagne ma place à côté de mon mari avant que la sueur ne l’emporte sur mon subtil Cacharel.


- Ma chérie, tu es superbe quand tu danses, dit il d’un air admiratif.


- Seulement quand je danse, répondis-je en me calant au fond du fauteuil. D’autres regards, moins admiratifs, plus lubriques, se portent sur moi au moment de m’asseoir. Je couvre le haut de mes cuisses pour ne pas encourager la convoitise. Va me chercher à boire, je meurs de soif ! (Mon mari se lève aussitôt, je le retiens par le coude juste avant qu’il ne s’éloigne). Tu vois ce black là bas au bar ? (Il fait oui, comment ne pas le remarquer ?) Fais lui porter une coupe de Champagne ! (Puis, perverse jusqu’au bout des ongles, je me corrige sans le lâcher) En fait, tu vas lui porter toi-même la coupe en disant que ta femme le trouve très sexy et l’invite à boire un verre en sa compagnie.


Son expression se fige. Est-ce mon choix arrêté sur un noir qui le gêne ou le simple fait que les choses sérieuses commencent ? Heureusement son hésitation cède vite la place à un petit sourire complice. J’ajoute d’une voix autoritaire.


- Tu me prends une coupe également. Mais en ce qui te concerne tu prends de l’eau, et je veux que tu sois servi dans un gobelet en plastique !


- Oui ma chérie, j’y vais tout de suite.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
  • :
  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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