8.
Humiliation dans les escaliers
Mon mari, qui ferme la marche, a une vue imprenable dans les escaliers. Mon fessier maltraité par cette énorme main noire, ma chatte humide de plaisir, où se fixe son regard ? Que peut il
bien penser de moi à cet instant ? Soudain, son regard que je sens accroché à la fourche de mes cuisses, me gêne et me contrarie. Je me retourne vers lui et le foudroie d’un regard mauvais.
Il est en contrebas, en train de lorgner mon cul, alors je le toise de mon air le plus supérieur.
- Espèce de vicieux, arrête de me mater le cul ! (Il ne sait que répondre, alors il baisse la tête en guise de soumission) Passe devant ! (Il obéit aussitôt). Tiens, puisque tu matais
mes fesses, montre nous les tiennes ! (Là il hésite) Allez, on va pas y passer la nuit, retire ton short et montre nous ton joli petit cul soumis !
Eric baisse son short en latex et nous révèle ses fesses encore marquées de la fessée reçue quelques heures plus
tôt. Les rougeurs se sont hélas estompées, mais Mona a visiblement l’œil expert.
- Oh mais que vois-je ! lance-t-elle d’une voix moqueuse. Je rêve ou ce postérieur a reçu une fessée il n’y a pas très longtemps ?
Eric, submergé de honte, garde le silence, sans oser bouger, planté comme un con au milieu des escaliers, nous tournant le dos pour une raison que je suis seule à deviner. Mais puisqu’il veut de
l’humiliation, je vais lui en donner.
- Et bien réponds ! Qu’est-ce que tu attends ?
- Oui… C’est vrai…
Marcus silencieux fait glisser un doigt le long de ma crête onctueuse de plaisir.
- N’oublie pas à qui tu t’adresses ! dit il. Mona ne reçoit pas de fessée, elle, alors ne lui manque pas de respect !
- Ca, c’est sûr, j’ai passé l’âge, répond Mona, qui se complaît dans notre scénario. Et d’ailleurs, je suis plutôt du genre à en donner.
Eric ne se tourne toujours pas, il cherche à dissimuler ce qui lui fait probablement terriblement honte à cet instant, mais il répond avec une voix vraiment soumise.
- Vous avez raison, mademoiselle Mona, j’ai reçu une fessée tout à l’heure avant de sortir.
Et il baisse la tête, submergé de honte. Je mouille comme une folle de le voir ainsi humilié devant moi et ce couple sympathique, qui joue a fond le rôle que nous attendions de lui. Je veux faire
durer le plaisir, mais en même temps, si Marcus m’enfonce un doigt dans la chatte, je vais jouir dans l’escalier. Je veux sa queue, pas son doigt. Alors j’achève mon mari d’une remarque
assassine.
- Tourne toi quand tu nous parles ! Tu dois toujours faire face aux personnes à qui tu t’adresses !
- Il n’est pas bien dressé, ricane Mona. Tu ne lui as pas donné assez de fessées…
Eric se tourne alors vers nous, ce qui a pour effet de lui couper la chique. Mona ne s’attendait pas à cela. Mon mari lui présente alors son sexe rasé, recroquevillé entre ses cuisses. Il me
semble minuscule, j’ai honte pour lui, mais aussi pour moi : je suis l’épouse de cette petite bitte. Mona, elle, est la propriétaire d’une grosse queue, j’en devine les dimensions
impressionnantes aux seules ondulations de Marcus contre mon fessier. Je suis surprise d’être gênée, mais cette humiliation inattendue ne me déplaît pas.
- On dirait le zizi d’un petit garçon, pouffe Mona. Je comprends pourquoi tu as besoin d’aller voir ailleurs. (Elle s’approche de moi et dépose un baiser sur ma joue). T’inquiète Petite Linda,
Marcus va te montrer ce que c’est un vrai sexe d’homme. Pas vrai mon chou ? finit-elle à l’adresse de son mari.
Pour toute réponse, Marcus retire la main qui me caresse la chatte et se saisit de mon poignet.
- Tu sens ma queue ? dit-il en attirant ma main sur sa bitte.
- Hummm, oui elle est grosse, répondis-je en massant le bas ventre de Marcus sans quitter mon mari des yeux. Tu vas me défoncer dis moi ?
- Je vais te faire hurler salope…
Mona s’offusque de l’insulte et prend ma défense en houspillant son homme.
- Non, Mona laisse, ça ne me gêne pas. Et j’ajoute en souriant avec provocation. Je suis une salope, je dois être traitée comme telle.
Le regard de ma jolie métisse change subitement. Je crains un instant l’avoir déçu. Une lueur étrange scintille dans ses yeux, son visage se fait plus dure. Elle qui avait été attendrie tout à
l’heure par mon inexpérience avec les femmes est peut être au final choquée par ma perversité. Je donne la fessée à mon mari, je le trompe, je me revendique salope, cela fait peut être beaucoup
pour une seule femme.
- Tu aimes être traitée comme une salope ? reprend elle d’une voix neutre.
- Ca ne me gêne pas.
Elle donne le bras à Marcus, en souriant d’un air complice. Puis elle se retourne vers moi. Son sourire a disparu, son visage n’exprime plus que dureté et sévérité.
- Toi aussi tu vas passer devant, m’ordonne-t-elle d’une voix autoritaire. Et tu vas bien écarter les pans de ta jupe que je puisse mater ton cul de salope !
Je demeure abasourdie par la métamorphose de Mona. Ma petite métisse exubérante et sexy s’est transformée en dominatrice. Jamais je n’ai reçu d’ordre de qui que ce soit. Je suis troublée.
A-t-elle oublié que c’est moi la maîtresse du jeu ? Que c’est moi qui ai donné la fessée à mon époux ?
La situation m’échappe. Je peux évidemment refuser, mais ce serait tout gâcher, et puis je n’en ai aucune envie. Mona me trouble. Son assurance, depuis le début de la soirée est le fait d’une
forte personnalité. J’aurai du m’en douter en entendant Marcus me mettre en garde juste avant son arrivée. Mais je ne comprends pas pourquoi je suis excitée à l’entendre me parler ainsi. Mon
indécision, ma surprise, la pousse à se montrer plus dure.
- Allez magne toi salope ! Comment tu as dis à ton cocu tout à l’heure ? On va pas y passer la nuit !
Je suis estomaquée par la virulence du propos, mais une chaleur suspecte se me chauffe le bas ventre et rougit mon visage. Je ne suis pas du genre à être choquée et il en faut beaucoup pour me
faire rougir. C’est le plaisir que je ressens à être traitée ainsi qui me fait rougir, nullement l’insulte ou l’exigence de Mona, qui n’a rien d’extraordinaire en soi. J’y prends plaisir, j’en
tire une grande culpabilité et j’ai l’impression que mon plaisir se lit sur mon visage, ce qui décuple ma gêne. C’est une sensation nouvelle, troublante, incontrôlable, dérangeante… Moi qui suis
habituée à tout contrôler, je perds le contrôle de la situation et… de moi-même. Je tente de sourire mais je me sens crispée. Je prends les pans de ma jupe en les remontant le plus haut possible,
comme si je m’apprêtais à faire une révérence ou à entamer un enchaînement de danse classique. Marcus et Mona, en contrebas, ont une vue imprenable sur mes fesses nues.
- C’est bien salope, me félicite Mona d’un air pervers. Maintenant tu montes chez toi en écartant un peu les cuisses qu’on puisse te reluquer la chatte !
Je me retourne en silence et j’obéis. Mon mari, au dessus, me lance un regard médusé. Il ne s’attendait probablement pas à cela non plus… La soirée promet d’être mémorable.
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Un grand merci de partager votre histoire.
bisousssssssssssss
Quel bonheur de retrouver l'histoire de ton initiation à la soumission et aux amours saphiques. Les détails que tu donnes dégagent un érotisme torride, dans un style que je trouve parfait. Quel dommage de ne pas publier ce fameux livre...
Merci de continuer ainsi, pour notre plus grand plaisir
Merci et vivement la suite de cette nuit torride
Bises
En tout cas, la métamorphose relance le récit à point nommé :)