9.
Mona Maîtresse
Notre appartement se compose d’une pièce salon avec
cuisine américaine et arcade ouverte sur notre chambre à coucher, si bien qu’il paraît très spacieux. Mon mari, qui sait ce qu’il a à faire, allume les bougies que nous avons disposé avant de
partir pour créer une ambiance feutrée et érotique. Je le houspille un peu, histoire de lui montrer que je tiens encore les rennes. Après l’exhib imposée par Mona dans l’escalier, je dois redorer
mon blason d’épouse dominatrice.
- Allons chéri, dépêche toi un peu ! Et mets nous de la musique, qu’est-ce que tu attends ?
Mon mari s’affaire aux quatre coins de l’appartement, les fesses à l’air, un briquet à la main, puis il lance le CD que nous avions préparé, la musique d’un film où une belle blonde exhibe sa
blondeur intime dans un jeu de jambes devenu culte. Il ne porte que son petit débardeur en cuir, je le trouve très sexy en mari soumis et dévoué.
Mona s’installe dans le canapé et se penche sur la table basse pour se saisir des menottes que nous avons laissées en évidence. Je la vois sourire d’un air pervers et prometteur. Marcus, que je
n’ai pas vu venir dans mon dos, plaque ses grosses mains sur ma poitrine. Il pose ses lèvres dans mon cou tout en libérant mes seins de leur bustier. Ils jaillissent comme de véritables obus,
heureux de se retrouver à l’air libre. Marcus se saisit aussitôt de mes pointes et les fait rouler entre ses doigts. Je gémis.
- Elle démarre au quart de tour, remarque Mona. Et elle ajoute en se tournant vers Eric. Toi le cocu, sers nous une coupe de Champagne !
Mona confirme son rôle de dominatrice. C’est elle qui donne les ordres, et mon mari ne s’y trompe pas.
- Bien Mademoiselle tout de suite.
Je le regarde s’éloigner du coin de l’œil tandis que Marcus n’en finit plus de me pincer les bouts. Le plaisir alterne avec la douleur. Il s’est plaqué derrière moi pour que je sente sa grosse
queue.
- Oui, vas-y, encourage Mona. Tu peux lui tordre les nichons, cette salope n’attend que cela.
Je ne suis pas vraiment fan des caresses mammaires et surtout pas lorsqu’il s’agit de me pincer les aréoles. Marcus est trop brutal à mon goût. Pourtant je ne dis rien, je grimace mais souffre en
douleur. Le contexte de soumission dans lequel je suis plongée suffit à mon excitation. Le regard hautain et dédaigneux de Mona me fait plus mouiller que les doigts de Marcus qui martyrise ma
poitrine.
- Lâche la Marcus ! ordonne-t-elle.
Marcus me lâche. Elle a visiblement l’habitude de donner des ordres, même dans son couple, et Marcus a l’habitude de lui obéir. Dans la seconde ses mains m’ont libéré. Quel couple
fascinant ! Ce petit bout de fille qui commande un colosse comme lui. Il s’agit d’un couple qui a les mêmes goûts que nous, nous ne pouvions pas mieux tomber.
- Toi la salope, je veux que tu te foutes à poil !
Son ordre est ponctué par le claquement de la bouteille de Champagne. J’obéis, consciente de renoncer totalement à mes droits d’épouse, à mes privilèges de dominatrice. C’est Mona qui décide du
déroulement de la soirée, et cela m’excite au plus haut point. Je suis dans un état proche de la transe. Jamais l’on m’a donné des ordres et encore moins sur ce ton.
Eric lui amène sa coupe de Champagne et elle se cale confortablement sur la banquette avant de la porter aux lèvres. Elle croise les jambes bien haut et me révèle le fond d’une petite culotte
blanche. Je suis toute nue et Marcus a ôté son pantalon. La nature l’a doté d’un sexe aux dimensions impressionnantes. Il est en semi érection mais il me semble déjà bien gros.
- Allez Linda, prends le en bouche, me lance Mona depuis le canapé. C’est autre chose que la quéquette de ton mari, ajoute-t-elle en riant.
Elle se tourne alors vers Eric qui reste debout à ses côtés comme un domestique attendant d’être appelé.
- Et toi le cocu, poursuit-elle d’une voix autoritaire, tu vas mettre les mains dans le dos, je ne voudrai pas que tu te tripotes en reluquant ta salope en train de tailler une
pipe à mon Marcus.
Eric s’exécute et Mona lui passe les menottes. Je n’ai plus alors qu’à honorer ce membre à moitié dressé, palpitant de désir devant moi. Je m’accroupis et me saisis de ses bourses pleines et
lisses. Ma langue parcoure son sexe et gobe ses couilles. Sa bitte se dresse vite, et le majestueux braquemart manifeste le désir de visiter ma gorge. Son gland tente de forcer le barrage de mes
lèvres. Il est énorme et j’hésite à le prendre en bouche. Il est trop gros, trop large, trop…
Je sens une main qui se presse sur ma nuque pour me forcer à l’accueillir. L’espace d’une seconde, je crois qu’il s’agit de Marcus.
- Allez salope, avale-le ! Joue pas les saintes nitouches !
Il s’agit de Mona. Elle est passée à califourchon sur mon dos et elle presse mon visage contre le sexe énorme de son mari. Je cède à sa volonté et entrouvre la bouche.
Novembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | |||||
|
(depuis, j'ai fait le chemin inverse du votre, je suis devenu une maitresse...la maitresse de mon dernier p'tit mari-soumis...lol)
Mais c'est excellent de connaitre les deux positions...et vous, vous avez la double casquette en permanence, n'est-il pas?vous êtes la maitresse de votre mari et soumise à une maitresse...toujours?
J'adoooooooooore vous lire
Bises.