Ma femme porte des bas blancs brodés, un string blanc et une longue nuisette de soie blanche transparente qui
laisse percevoir la forme de ses seins et surtout ses tétons. Je suis horrifié et excité par sa tenue ultra sexy. Il s’agit de la tenue qu’elle me réservait les soirs d’anniversaire ou de saint
Valentin, mais c’était dans notre ancienne vie.
- Alors mon chéri, comment tu me trouves ? lance-t-elle d’un air faussement innocent.
Elle tourne autour de moi en ondulant du bassin. On perçoit tout : la peau nue de ses fesses, l’échancrure de
son string, les motifs en dentelles de ses bas. Je suis paniqué, horrifié. C’est le début des aventures adultérines de ma femme. A part Bruno (qu’elle a revu plusieurs fois), elle n’a pas eu
d’autres amants. Je le sais car elle m’a promis de me dire chaque fois qu’elle me tromperait, et pour accentuer mon humiliation, elle me fait tenir un cahier avec le nom de ses amants, leurs
pratiques sexuelles, le lieu où ils ont baisé et autres appréciations que ma Maîtresse me fait noter sous sa dictée. A cet instant, je n’ai que le nom de Bruno sur mon cahier, mais aujourd’hui,
huit ans plus tard, j’en suis à mon quatrième cahier : une page, une rencontre, à défaut de 92 pages par cahier, faîtes le compte vous-même du nombre de fois que mon épouse a ouvert les
cuisses pour se faire baiser. Il y a eu des amants réguliers, certains noms sont récurrents, certains sont parfaitement au courant de notre situation, d’autres pas du tout.
Mais revenons à nos livreurs. Ils vont avoir une attaque lorsque mon épouse va leur ouvrir dans cette tenue. Elle
va se faire violer… Ou alors, c’est pour cela qu’elle veut que je demeure présent, je ne sais pas, je ne sais plus, je suis sous le choc.
- Tu … Tu ne vas pas oser les recevoir dans cette tenue… C’est vraiment…
- Vraiment quoi ?
- Ben vraiment très équivoque, ça fait très provoc.
- C’est l’effet recherché mon chéri. Je n’ai pas envie qu’ils se posent de question, il faut qu’ils sachent chez
qui ils viennent d’entrer. Ta petite femme a envie de baiser et elle doit bien le montrer, non ?
Elle relève alors sa nuisette et ajoute, faussement indécise.
- Peut être que je devrais retirer ma culotte, qu’est-ce que tu en penses ?
Ce n’est pas une culotte, c’est un string… Et mini avec ça… Mais je me retiens de ce genre de propos déplacé. Je
la sais excitée et capable de tout, y compris de me donner une fessée et m’obliger à rester au coin devant les livreurs. D’ailleurs je suis toujours nu, et je commence à m’inquiéter. Je n’ai pas
envie de déambuler nu, le sexe lisse, devant ces inconnus. Cela fait encore partie de mes prérogatives à cette époque, j’ai pu lui arracher la possibilité de dissimuler ma nudité aux gens que je
ne connais pas. Quand va-t-elle donc me congédier ?
Charles
Te congédier ? Tu n’y songes pas sérieusement… Si je t’ai demandé de prendre une RTT, ce n’est pas pour simplement me servir et m’apprêter, je te veux présent et bien présent au moment où je
vais te faire cocu. C’est cela qui m’excite, et je te l’ai dit dans le commentaire précédent, je suis bien plus perverse et machiavélique que tu ne l’imagines : j’ai tout prévu, je suis une
vraie salope désormais, et tu vas pouvoir t’en rendre compte.
- Bon, moi, je suis fin prête à recevoir mes amants, mais toi ?
Charles blêmit avant de bredouiller un « quoi moi ? » des plus risibles.
- Ben oui, il faut te préparer, tu es ma petite lopette
maintenant, j’ai décidé que ce serait plus excitant pour moi de te savoir présent dans l’appartement lorsque je m’enverrai en l’air.
Très honnêtement, je dois ajouter par souci de vérité (quitte à perdre un peu en érotisme), que sa présence me
donne aussi du courage. Je suis terriblement excitée à l’idée de faire l’amour à ces inconnus (et je ne doute pas de mon charme et de mon pouvoir de séduction… Merci à Bruno de m’avoir montré son
désir, merci à Charles de me vénérer comme il fait… une femme se sent bien plus belle ainsi adulée… Essayez mesdames, vous emmagasinez alors un potentiel confiance énorme, une force nouvelle),
mais j’éprouve malgré tout une certaine crainte que la présence de mon époux, tout soumis qu’il est, apaise. Allez comprendre !
- Enfin Deb’… Tu ne peux pas exiger de moi que je reste comme ça devant eux ! Nous avions
convenu…
- Je sais ! Je ne t’ai pas demandé de les accueillir à poil, encore moins de leur tailler une pipe !
Commence par mettre ton collier et ta laisse !
Charles déglutit bruyamment. Il a peur. Mais moi, sa peur m’excite. Il s’absente quelques instants et revient
avec le collier en cuir clouté que je lui ai offert pour son anniversaire… Un vrai collier de chien ou de chienne, c’est selon. J’aime le féminiser, je le traite plus facilement de salope que
« salaud » qui fait plus vulgaire. Il s’agenouille et me tend la laisse, respectant ainsi le cérémonial que je lui ai imposé la première fois lorsque je lui ai offert ce petit attirail.
Je le toise en souriant, satisfaite que sa soumission soit plus forte que son appréhension. Je lui accroche la laisse et lui intime l’ordre de me suivre à quatre pattes dans ma chambre à coucher.
J’en profite pour bien onduler de la croupe, ainsi dans les escaliers, il doit avoir une vue imprenable sur le string qui me rentre bien profond dans le sillon de mes fesses.
- Je veux que tu te mettes le plug mon chéri, dis-je une fois dans la chambre en désignant le gros calibre qui
se trouve sur la commode (nous en avons un petit que je lui autorise à mettre lorsque nous sortons).
Il me regarde, incrédule, mais s’exécute sans un mot. Il lubrifie le plug, s’essuie la noisette de gel dans
son trou du cul tout lisse et je mouille de le voir s’exécuter. Il a un beau cul, j’aurais du le lui rougir… Si j’ai le temps, après, je le couche sur mes genoux. Il place le plug à terre puis,
face à moi, en contenant ses grimaces, il s’empale doucement sur l’objet. Il en est devenu adepte, cela fait maintenant quatre mois qu’il doit se pénétrer de la sorte tous les jours. Alors bien
sûr, son petit cul est désormais bien dilaté. Le plug, qui n’a pas la taille de ceux qu’il peut endurer aujourd’hui, arbore tout de même une belle largeur. J’admire la facilité avec laquelle il
vient de s’enculer devant moi… sans un mot (que de plaintes et de gémissements au début !) et contenant ses rictus de douleur (que j’ai réprimé plusieurs fois à coups de fouet avant ce
jour).
- Viens ici ! Prends les menottes !
Il sort de la commode, la paire de menottes métallique que je lui ai préparé bien en évidence sur ma lingerie,
preuve s’il est malin, que tout est prémédité de ma part.
Il s’approche et me tend les menottes.
- Tourne toi ! (Il se tourne, et me présente son joli petit cul musclé… mais un petit cul bien rempli, je
souris mais il ne peut me voir) Une vraie petite lopette. C’est bon dis moi d’être enculé de la sorte ?
- Oui Déborah.
Je le corrige d’une violente gifle sur les fesses.
- Maîtresse Déborah, je te l’ai déjà dit cent fois, lorsque tu as le collier, tu dois m’appeler Maîtresse
Déborah, c’est vrai ou c’est pas vrai ?
- Oui Maîtresse Déborah, pardon.
- Mais figure toi que j’en ai marre de répéter toujours la même chose. Tu dois être puni ! Donne tes
poignets !
Il obéit et je lui passe les menottes dans le dos. Ainsi réduit à l’impuissance, totalement à ma merci, je
m’assieds une dernière fois sur le lit où il a baisé Lila, puis je le courbe sur mes genoux.
- Puisque mes livreurs sont un peu en retard, cela me laisse le temps de te donner une bonne
fessée.
A peine ma menace prononcé, et j’abats mon bras pour la première claque. Trop molle à mon goût, elle surprend
malgré tout mon époux qui lâche un petit cri de surprise. La seconde est bien plus violente… Et la troisième carrément cinglante. Je n’ai que peu de temps, je les sens arriver, je veux que mon
cocu ait le cul brûlant au moment où ils me baiseront. La fessée est donc donnée avec violence, rapidité et sadisme… Je n’y vais pas de mainmorte, ce n’est pas une de ces fessées crescendo, c’est
une vraie fessée punitive.
- Je vais te dresser, petit pédé, tu vas voir !
J’aime parler pendant les corrections que je lui administre, je l’ai remarqué au fil des punitions. Cela
l’excite énormément, j’ai remarqué cela à ses réponses et encouragements que mes remarques ne manquent pas de susciter chez lui. J’ai aussi remarqué qu’il aimait que je sois vulgaire, qu’il
aimait être insulté. Alors je ne m’en prive plus. Le vernis de la bourgeoise bien élevée se craquelle au gré des fessées et autres corrections que je lui donne… La professeur BCBG se transforme
en pro-fesseuse sadique et perverse. Et ce n’est pas pour me déplaire, loin s’en faut…
Mais ce mot « pédé », c’est très rare que je l’emploie, il faut que je sois excitée, pire que cela
même : sur les nerfs ! Oui, c’est cela, je passe mes nerfs sur le cul de mon mari en attendant que mes amants arrivent et me soulagent de mon trop plein de désir… Si j’étais un mec, je
dirais de testostérone.
- Dire que ton fantasme était de m’enculer et que depuis des mois tu vis comme « un petit enculé »…
Je trouve ça trop marrant.
Je m’accorde une courte pause dans le châtiment pour lui visser le plug plus profond encore dans son cul. Il
gémit, mais ce n’est rien en comparaison de son petit couinement lorsque je retire le plug en le dévissant comme un tire bouchon.
- Espèce de salaud, tu aimes ça en plus !
- Oui… oui maîtresse… Ah !
Et paf, je lui recolle une bonne baffe et lui renfonce le plug d’un coup. Il hurle de plus bel et pour couvrir
ses cris je double la cadence de mes gifles et l’intensité de mes coups. Il ne tarde pas à avoir un cul bien rouge, comme je les aime… bien sanguin, pour ne pas dire saignant (ce n’est pas un
steak non plus ;-)…
Déborah
PS : j'ai ccepté de remettre quelques photos pour illustrer nos textes, Linda ayant reçu pas mal de mails allant dans ce sens. Je lui ai donné le feu vert pour une photo (deux maxi) pour chaque
texte publié. Mais du coup, on met plus de temps à se coordonner, nos publications ralentissent... Pour les amateurs (il y en a), j'ai fait un album diaporama des photos qui sont parues pour
illustrer le précédent récit de linda.