Mon épouse coule de plaisir et moi, dans mon cagibi, je bande. Ne rien voir mais tout entendre est incroyablement
excitant. Je bande sans m’être touché (comment aurais-je pu, les mains ligotées dans le dos ?) mais plus étonnant encore, je bande sans même m’en apercevoir immédiatement, hypnotisé que je
suis par la voix de Déborah. Je ne la reconnais pas ; ni dans ses propos, ni dans la provocation extrême dont elle fait preuve. Elle me donne l’impression d’une garce avide de sexe et je ne
l’ai jamais vu comme ça. Encore me direz vous que je ne la vois pas, je l’entends simplement. Mais cela me suffit pour l’imaginer.
Elle est à quatre pattes sur le lit, le cul offert à l’un de ces types et face à elle, l’autre gars lui a fourré sa queue dans la bouche. Je l’entends hoqueter et gémir.
Et ces salauds qui grognent de plaisir, qui se moquent de ma pauvre épouse, j’enrage d’être ici impuissant à les entendre.
- Oh putain elle est bonne !
- C’est pas la première fois qu’elle taille des pipes à des inconnus moi je te le dis, elle sait s’y prendre. Une vraie pute !
Déborah, une pute ! Quel salaud ! Mais aux gémissements étouffés de mon épouse, je l’imagine en train d’approuver chaque remarque, chaque insulte, chaque moquerie. Elle a la bouche pleine de son sexe et j’envie ce rustre, j’aimerais être à sa place. Moi aussi j’aurais eu une belle queue à lui faire sucer.
Charles
Une belle queue à faire sucer ? Laisse moi rire ! Celle de Johnny est deux fois plus grosse que ton misérable vermisseau… Et Georges derrière moi, il sait s’en servir, il m’a déjà fait jouir sans même s’en rendre compte. Si je n’avais pas eu la bouche pleine, tu m’aurais sûrement entendu hurler. Mais la queue de Johnny me bâillonne et je ne peux sortir d’autres sons que ces petits gémissements que tu as relatés.
- Allez, c’est mon tour de la bourrer ! lance Johnny en retirant sa bitte de ma bouche.
Je reprends ma respiration d’un coup, hoquetant comme une traînée et me bavant dessus comme ces filles qui se font défoncer dans les films pornos et que je visionne beaucoup ces derniers temps. Je me surprends même à tirer la langue comme une salope avide de sexe, ce que je suis à cet instant, c’est évident.
Cette posture obscène n’échappe pas à Georges lorsqu’il se poste à son tour en face de moi.
- Eh bien ma petite dame, on dirait qu’elle aime la bitte dîtes moi !
- Oui, oui… Mon mari ne me baise plus depuis des mois, et il n’est pas aussi bien monté que vous !
- T’entends ça Johnny ? Madame est mariée à une petite bitte !
En guise de réponse, Johnny s’enfonce d’un coup dans ma chatte trempée. C’est sûr qu’il est mieux monté que Charles, et il sait s’en servir le salaud ! Il me ramone à une vitesse qui me fait littéralement hurler. Et pour me faire taire, Georges m’enfonce son sexe entre les lèvres. Il se sert de ma bouche comme d‘un sexe et me saisit la nuque pour m’empêcher de le recracher. Dans le même temps, Johnny s’agrippe à mes hanches et me pilonne avec une violence qui m’est inconnue jusqu’alors.
Je me sens prise comme jamais. Livrée à deux hommes, deux brutes qui m’utilisent pour leur propre compte et qui ne se soucient plus de moi et de mon plaisir. Je suis utilisée comme vide couilles
et cette pensée me fait jouir à nouveau. Cette fois, mes livreurs s’en aperçoivent.
- Ahhh !! beugle Johnny. Cette pute jouit en même temps que moi !!! Ahhh !!!
Il se retire d’un coup de ma chatte et le vide crée au fond de moi me coupe le souffle.
- Ahhh je jouis sur ton cul salope !
Et en effet, je sens le sperme chaud de Johnny se répandre sur mes fesses, bientôt imité par Georges qui se retire de ma gorge pour se vider à son tour sur mon cul. Je m’effondre en soupirant de plaisir, les cuisses écartées, la vulve trempée, le cul maculé de leur foutre. Lorsque je reprends mes esprits et du même coup conscience de l’obscénité de ma posture, ils sont déjà rhabillés. Johnny finit sa bière en me regardant d’un air fier et goguenard, Georges quitte la chambre sur la pointe des pieds.
Je me retrouve bientôt seule… Enfin seule, c’est une façon de parler… J’ai mon petit cocu dans le placard.
Déborah
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