Samedi 2 novembre 6 02 /11 /Nov 09:49

1. Les consentements

 

Je ne suis pas un fervent catholique, et ne pas organiser d’office religieux  pour mon mariage ne me fait ni chaud ni froid. Bien sûr, dans ma famille, ils sont nombreux à s’en être émus. La foi et plus encore les valeurs chrétiennes font partie intégrante de notre identité familiale. Quand on s’appelle Pierre André Marie de Valendrey, on porte l’étendard catholique dans ses gênes et son patronyme.  Mais ces valeurs, je les ai déjà bien reniées en divorçant deux fois. Deux engagements devant dieu ne m’ont pas empêché de tromper mes précédentes épouses, inutile donc de me parjurer une troisième fois. Beaucoup ont d’ailleurs interprété mes précédents échecs conjugaux comme étant la cause de mon non passage devant monsieur le curé. Deux belles cérémonies religieuses à l’église, ça suffit, inutile de remettre le couvert une troisième fois. Cela m’arrange qu’ils le croient, je n’ai rien fait pour les déjuger, même s’ils s’ont bien loin de la vérité. Notre vérité, à Justine et moi.

Cette vérité, crue et basique, je l’ai occulté jusqu’à ce que l’arrivée de ma future épouse, sublime d’élégance dans sa robe de satin blanc, me la fasse resurgir avec violence. Les regards concupiscents des hommes sur ma femme m’excitent et c’est ce à quoi je songe au moment d’échanger nos consentements devant monsieur le maire.

 

- Pierre André Marie, acceptes tu de prendre Justine pour épouse ici présente ? Lui promets tu fidélité, amour et assistance, dans le bonheur et les épreuves, tout au long de votre vie ?

 

- Oui, je le jure.

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Justine me couve d’un regard pétillant et sensuel. C’est le moment crucial, le moment fort de notre cérémonie, elle partage les mêmes pensées que moi à cet instant, et dans nos esprits, il n’est nullement question d’assistance, d’épreuve et de fidélité. A cet instant, elle pense à la même chose que moi, elle pense à sa nuit de noce… Une nuit torride, sous forme d‘apothéose, qui couronnera comme il se doit cette journée extraordinaire. Comme moi, elle songe à la bite qui va la baiser… Une bite qui ne sera pas celle de son nouveau mari.

Les applaudissements de nos proches brisent cette intense complicité, qui réapparaît néanmoins lorsque monsieur le maire se tourne vers Justine pour lui poser la même question qu’à moi.

 

- Justine, acceptes tu de prendre Pierre André Marie pour époux ici présent ? Lui promets tu fidélité, amour et assistance, dans le bonheur et les épreuves, tout au long de votre vie ?

 

La formule ne manque pas de piquant lorsque l’on sait que ma femme va s’envoyer en l’air avec tous les hommes de la terre… Tous sauf moi, cela fait partie de notre contrat intime.

 

- Oui, je le veux, répond elle en m’adressant un sourire malicieux.

 

Et moi je pense à cet instant : « fidélité mon cul ! Je serai un mari trompé dés le premier jour de notre union, et tous les jours qui suivront. » Justine, qui est plus croyante que moi, plus superstitieuse aussi, n’a pas souhaité jurer. Son « je veux » est moins solennel que mon « je le jure ». Mais qui l’a remarqué ? Tout le monde applaudit.

 

Ne pas célébrer notre mariage à l’église lui permettait de ne pas se renier devant dieu, elle n’allait pas le faire devant monsieur le maire.

Nous échangeons les alliances, puis un baiser de circonstance scelle notre mariage sous les vivats de nos amis, surtout les siens d’ailleurs, plus jeunes et plus bruyants. Justine est de quinze ans ma cadette, une différence d’âge réprouvée à l’unanimité par ma famille. Il n’y a eu guère que mon plus jeune frère, Louis, pour prendre ma défense ces derniers temps. Il a toujours été très tolérant, et c’est bien le seul de la famille. Mais je le soupçonne aussi d’être tombé sous le charme de ma fiancée. Ils ont le même âge, 27 ans, et Justine sait plaire aux hommes, c’est même un don chez elle. Avant que je n’annonce nos fiançailles, j’entendais parler d’elle en des termes peu reluisants : salope ou allumeuse étant ceux qui revenaient le plus souvent. Ces rumeurs ne me sont plus parvenues aux oreilles dés lors que nos bans furent publiés. Mais si l’on prenait bien soin de ne plus faire allusion devant moi aux mœurs légères de ma future femme, ces rumeurs persistaient. Je les sais fondés, et cela ne m’a pas empêché de faire ma demande, bien au contraire.

Notre engagement, nous le prenons l’un et l’autre en pleine connaissance de cause. Nous nous connaissons bien mieux que ce que pensent croire nos invités, et cela nous amuse beaucoup. Nous profitons du moment des signatures des témoins pour nous rapprocher et nous prendre la main. Certains observateurs interpréteront notre geste comme un excès de romantisme. Justine se penche à mon oreille et me murmure d’une voix langoureuse.

 

- Je suis toute excitée, j’ai une énorme envie de baiser. Je crois que je vais me taper ton beau frère.

2.jpg  

Pour le romantisme, on a vu mieux. Mes parents, mon frère, ma soeur, sont à quelques mètres à peine. Je rougis comme un gamin de quinze ans, honteux à cet instant d’en avoir 30 de plus et de s’entendre dire le jour de son mariage que sa femme veut s’envoyer en l’air avec son beau frère. Je me tourne vers l’heureux élu qui ignore encore la chance qu’il a. Bruno m’adresse un clin d’œil complice. Pour l’instant, il ne connaît pas sa bonne fortune et croit, comme tout le monde, que c’est moi le chanceux. Je ne suis pas laid, loin s’en faut, mais je n’ai pas le physique d’un tombeur. Beaucoup pensent que Justine m’a séduit pour l’épaisseur de mon compte en banque. Ils n’ont pas totalement tort. Si c’est le prix à payer pour vivre avec une femme ravissante et sexy, on a vu placement d’argent moins bien utilisé. Autant que mon pognon serve à quelque chose ! Evidemment, mes parents ne le voient pas de cet œil, je les comprends sans les approuver.

Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu
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Commentaires

J’aime me sentir femme avec ma femme
Ma femme Nadia aimait me caresser l'anus. J'aimais fort cette sensation d'interdit.
Je lui ai dit que j'adorais cette caresse. Et puis un jour, elle me dit : puisque tu aimes tant te faire caresser le cul, pourquoi je ne pourrais pas t'enculer avec un de mes godes ? Tu n'aimerais pas te sentir femme ?
Et c'est vrai que mes amis et amies trouvent que j'ai un corps très féminin.
J'ai accepté et je me suis préparé à me faire prendre. Elle m'a lubrifié mon petit trou, puis doucement, elle a commencé à me rentrer un gode de 4 cm de diamètre. Ça me faisait mal, mais je voulais recevoir cette queue factice. Elle m'encourageait en me disant qu'une femme doit souffrir un peu avant de jouir. J'ai joui incroyablement, je me sentais hyper femelle, ça a été une découverte terrible.
On a recommencé ça plusieurs fois, et je dois dire que progressivement, je préférais qu'elle m'encule plutôt que de la baiser. Elle s'en est aperçue, mais ne s'en est pas offusquée.
Un jour, elle m'a proposé qu'on change de rôle : elle s'habille en homme (c'est pas compliqué parce que les femmes sont actuellement habillées en homme la plupart du temps) et moi en femme (là c'est différent puisque, nous les hommes, on met rarement des minijupes et des talons aiguille).
Donc un soir, elle commence à me transformer en femme.
Putain que c'est long et compliqué, mais super excitant. Elle m’a rasé les jambes et les quelques poils de mon torse. Elle m'a maquillé, fond de teint, rouge à lèvres,...Puis porte-jarretelles, bas brun foncé à couture, soutien et string.
J'étais très troublé et hyper excité.
En me regardant dans le miroir, je me voyais très femelle et même très salope.
Elle était aussi habillée très sexy. Et elle me disait, oui on est deux femelles putes et salopes.
Pour la première fois, je me suis senti entièrement femme puisque c'est elle qui menait le jeu en me godant le cul et en me suçant l'anus, tout en s'enfonçant un gode dans le vagin.
Le lendemain, j'étais épuisé.
Je me sentais vraiment femelle et, à chacune de nos soirées, elle m'obligeait à m'habiller à nouveau en femme pour préparer le dîner, ce que je faisais avec plaisir.
Puis un jour, elle m'a dit qu'elle m'offrirait à un de ses amants. J'étais abasourdi. Mais en même temps, j'attendais ce moment avec impatience, partager des hommes avec ma femme, puisque je devenais aussi une femme.

Après la découverte de ma féminité, je me sentais de plus en plus femelle. J’adorais que ma femme m'encule avec ses godes, mais moi je ne la baisais plus. En fait, au fil du temps, j'adorais m'habiller en femme sexy, un peu comme elle, qui en tant que coiffeuse était toujours habillée hyper sexe : jupes courtes, talons aiguille, maquillage très précis, et une chevelure très bien coiffée.

Elle me godait mais, évidemment, elle se faisait prendre de plus en plus par ses amants, d'où des soirées où elle s'absentait de plus en plus longtemps.

Elle « travaillait » parfois les week-ends, pendant lesquels je perfectionnais mon maquillage et mon habillement en femme. Je me suis acheté moi-même des habits et des sous-vêtements féminins. Les soirs, je m'habillais quasiment tous les jours en femme. Comme elle travaillait tard, c'est moi qui faisais le dîner. Finalement, elle rentrait dîner un soir sur 2.

Un soir, elle me téléphone pour me demander si cela ne m'ennuie pas si elle revient dîner avec un de ses amants. J'étais perplexe, habillée en femme très sexy, avec une minijupe au ras des fesses, des talons aiguille, un maquillage super réussi. Je lui demande s'il est au courant. Oui, justement cela l'excite, me dit-elle. Je lui réponds, ok alors.
J'étais hyper attisé en les attendant.

Ils sont arrivés, elle toujours superbe et sexy. Lui, un bel homme de près de 50 ans. L'apéro a été très chaud. Ils ne s'arrêtaient pas de se caresser et de flirter. Moi, je me faisais aussi caresser les fesses quand je passais leur servir des chips et des olives. Puis, je me suis retrouvée assise à côté de lui, pendant que ma femme est partie à la cuisine terminer la préparation du repas. Elle nous dit : amusez-vous bien pendant que je ne suis pas là !
Il m'a caressée les cuisses. J'avais mis un panty brun foncé sans slip sous ma minijupe. Il m'a baissé le panty pour me caresser le petit trou. Je mouillais fort parce que j'avais mis du lubrifiant pour me goder 2 heures auparavant. Il m'a embrassée. On a flirté plusieurs minutes. Je m'abandonnais dans ses bras en me sentant de plus en plus femelle. Puis, folle de lui, je lui ai dit : "prends-moi comme une salope !". Je me suis mise à 4 pattes sur le divan et il m'a pénétrée en douceur.
C'était divin. Enfin, une vraie queue dans mon ventre de femelle. Elle rentrait facilement après tous les godes que j'avais reçus.
Il a pris son temps. Il m'a limée pendant une dizaine de minutes avant de lâcher son sperme. J'étais heureuse et je me sentais vraiment devenue femme.

On s'est un peu rafraîchis, puis on a dîné à 3. Ils ont été se coucher pour faire l'amour.
Le lendemain matin, il est venu me baiser avant de partir. Je crois que c'est à ce moment là que j'ai décidé de me faire prendre par des hommes, puisque c'était beaucoup mieux que par des godes ou des adolescents du quartier !

Un samedi, quand ma femme était partie vers 10h dans son salon de coiffure, je m'étais habillée très sexy. Une jupe rouge très courte, bas à couture brun foncé, talons aiguille vernis noirs, un soutien noir sur mes petits seins (par miracle mes seins étaient un peu bombés sans hormone...) dont je m'étais maquillée les bouts en brun foncé, un top en dentelle noire.
Je déambulais dans la maison, me regardant dans les miroirs. Je me sentais très pute et je me godais le cul dès que j'en sentais le besoin.

Vers midi, je reçois un coup de téléphone d’un homme qui me dit que c’est ma femme qui l’envoie pour voir s'il peut réparer la machine à laver en panne depuis quelques jours.
20 minutes plus tard, ding dong. J'étais complètement paniquée à l'idée d'ouvrir habillée super sexy à ce technicien. J'ouvre, il entre sans rien me dire, il va directement dans la buanderie et examine la machine à laver. Il la démonte, chipote pendant 30 minutes, sans me regarder. Je suis finalement très déçue qu'il ne me trouve pas appétissante.

Puis, fier, il revient en me disant « voilà c'est réparé », et en me regardant d'un air vicieux, il me dit « tu es super sexy », puis il vient contre moi et me dit « donne-moi une bière et viens avec moi au salon ! ». Troublée et rassurée, je me suis exécutée. Je suis venue m'asseoir à côté de lui sur le divan avec 2 bières.

On était tous les 2 très chauds. Je me demandais comment il allait poursuivre. Puis il m'a demandé si je ne voulais pas qu'on essaie de jouer ensemble. Il m'a avoué qu'il était bisexuel et qu'un de ses phantasmes était de baiser un travesti. J'étais hyper excitée et je lui ai dit que j'aimais me faire prendre et que j'adorais vivre habillée en femme et exciter des hommes pour me faire prendre.

A partir de ce moment-là, tout s'est détendu rapidement. On se sentait bien tous les deux. Il a commencé à me caresser les cuisses et à m'embrasser. A nouveau, je me sentais de plus en plus femelle sous ses caresses et ses baisers. Puis, il m'a demandé de me mettre à 4 pattes sur le tapis du salon, et il m'a pénétré. Il me disait que j'étais une super salope femelle. Moi, j'étais très heureuse de m'entendre dire ces mots cochons. On a baisé pendant plus d'une heure. Je crois qu'il a giclé 3 fois dans mon ventre. Il est parti vers 16h.

Puis épuisée, j'ai dormi près de 2 heures. Ma femme est revenue vers 19h. J'étais toujours en train de somnoler quand elle est venue m’embrasser en me disant : « Et bien ma salope, tu as bien fait jouir le technicien ! ». Il lui avait téléphoné pour lui dire que j'étais super bonne.

J'étais un peu soûle, mais c'était bon. Elle m'embrassait en me caressant mon petit trou.

Puis, après m'avoir fait jouir, elle m'a annoncé l'arrivée d'un de ses amants. Après m'être endormie sur le divan en attendant son amant, j'ai entendu des soupirs venant de la chambre.
Je me suis levée, titubante pour aller voir ce qu'elle faisait. J'ai alors vu qui était son amant : le technicien qui la pénétrait avec des coups délicats pour la faire jouir au mieux. J'ai observé, sans être vue, ses pénétrations délicates. C'était un amant merveilleux. Puis, ma femme a explosé en criant des mots obscènes du style : « Fils de pute, tu m'exploses comme une grosse salope !!! »
commentaire n° :1 posté par : lailatvx le: 02/11/2013 à 14h42

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  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
  • :
  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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