Le cadeau de mariage 2
Pour la première fois dans ma vie d’homme marié, je désire ma femme avec une intensité et une passion dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Est il possible de désirer une femme autant que cela ? Cela ne m’était jamais arrivé auparavant, ni avec Ingrid, ma première femme, encore moins avec Marie Ange, ma seconde épouse. La vigueur de mon érection est impressionnante. La frustration de ces deux dernières semaines ne doit pas être étrangère à ce désir et cette belle érection, mais tout de même, je bande dur et je me dis que c’est un beau gâchis. Je crève d’envie de me désaper et de la culbuter, oubliant que le sexe de ma femme m’est à jamais interdit, qu’elle est désormais ma maîtresse et qu’elle seule peut décider de mon plaisir.
- Quand tu auras fini de me reluquer sous toutes les coutures, tu me retireras ma culotte, me dit elle en me tirant les cheveux pour me forcer à la regarder.
Elle me toise d’un regard qui révèle pour la première fois toute l’étendue de son autorité. Elle a les pleins pouvoirs, et malgré mon énorme frustration, cela m’excite. Elle se penche sur mon visage et m’ordonne.
- Ouvre ta bouche !
J’obéis bien sûr, tout en l’interrogeant du regard sur ses intentions. Elle humecte ses lèvres et dépose au fond de mon gosier un long filet de salive qui me fait penser au spaghetti que partage la belle et le clochard. Je la regarde hébété, mais elle vient de me cracher dessus avec un naturel désarmant, une sensualité remarquable.
- Allez, maintenant file dans ta niche, Bruno ne va pas tarder ! dit elle en ramassant sa petite culotte. Tiens je te la donne, ajoute-t-elle au moment où je m’apprête à tourner les talons. C’est pour que tu puisses sentir la chatte de ta chère épouse lorsqu’elle se fera baiser. Alors, qu’est-ce qu’on dit ? conclut elle en reprenant cet air ironique et moqueur.
- Merci ma chérie. Je t’aime.
Elle s’approche en me souriant tendrement et pendant un instant je me dis qu’elle va m’embrasser. Mais lorsqu’elle est suffisamment proche de moi, elle me saisit le menton, son sourire a disparu, remplacé par un rictus autoritaire.
- Il n’y a plus de chérie qui tienne, maintenant que je t’ai épousé, je suis ta Maîtresse.
Elle est le feu et la glace, elle endosse l’identité de l’épouse aimante puis celle de maîtresse perverse dans la seconde qui suit avec une facilité aussi troublante que déconcertante. Je réponds en lui souriant tendrement et en baissant les yeux, signes évidents de mon amour et de ma soumission, les deux allant désormais de pair.
- Bien Maîtresse.
- Va ! Elle me congédie avec dédain mais me rappelle au moment où j’ouvre l’armoire qui va me servir de planque. Interdiction de te tripoter mon chéri. Tu mates mais tu ne te branles pas. Je te rappelle que ta jouissance m’appartient.
- Oui Maîtresse.
Je referme la porte de mon placard derrière moi, Bruno fait son apparition peu après. On se croit au théâtre ce soir ! Un beau Vaudeville aux entrées minutées, un classique de la comédie : l’amant rejoint l’épouse libertine au moment même où le mari trompé quitte la scène.
Que le spectacle commence…
Novembre 2024 | ||||||||||
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Mon nom est Rob et je suis âgé de 40 ans, je suis un homme typique blanc, j'ai ma propre maison, marié à une belle femme de 30 ans, 1m74 pour 70kg, un vrai mannequin et j’ai aussi une jolie fille adolescente de 14 ans.
C'était un vendredi soir et j'avais mon poker mensuel ce soir avec plusieurs de mes amis. Nous étions tous mariés à l'exception de Frank. Frank était près des 50 ans et un collègue de travail, c’est mon chef direct exactement. Il ne s’est jamais marié. Il a eu une réputation bien connue avec les femmes et ses histoires sont aussi très intéressantes.
Mes autres amis étaient cependant tout simplement heureux de sortir sans leurs épouses pour la nuit.
C'est là que je suis différent, car ma femme était toujours magnifique. Une femme sexy qui, à 30 ans, a encore un étonnant corps et surtout avait toujours son air de jeunesse, par rapport à certaines des femmes de mes copains.
La nuit a commencé comme n'importe quel autre nuit, nous étions assis autour de ma table de poker dans le sous-sol, jeu, alcool et musique. Ma femme descendait de temps en temps nous apporter quelques bières. Ma femme a également bu mais pas de la bière, elle avait l'habitude de boire du rhum et coca et était déjà à son troisième ou quatrième verre. Je pourrais dire qu'elle devenait amicale avec mes copains dragueurs. Frank essayait de flirter avec elle, la plupart des ses commentaires portaient sur ses seins, fesses et son visage. Ma femme rigole, j'étais un peu énervé, mais je ne dis rien !
Il commençait à se faire tard, nous étions tous éméchés et notre jeu de poker a été ralenti. Ma fille Julie est descendue, m'a donné un baiser pour me dire bonne nuit. Je pouvais voir Frank la lorgner de haut en bas, il regardait avec insistance ses petits seins.
Quel pervers, je pensais alors. Frank a ensuite dit qu'elle était en train de devenir un peu chaudasse. Julie a juste ri.
Ma fille et ma femme sont parties dormir au 1er étage.
Nous avons encore joué 1 heures avec, bien sur, des bières. Finalement, mes amis ivres sont rentrés à leur maison, car ils sont tous dans le même bloc de ma maison. Frank lui habite plus loin et avait conduit jusque chez moi, il a demandé s'il pouvait dormir sur le canapé.
Je lui ai dit qu'il pouvait dormir dans notre chambre d'amis à l'étage c'était en face de la chambre de ma fille. Il a dit merci et il est monté. J'ai dit à Frank d’utiliser la salle de bains à l'étage, à côté de ma chambre à coucher.
J'ai d'autre part dû rester pour tous nettoyer et ranger le désordre que nous avons fait toute la nuit. Nettoyer la salle de bains du bas car sinon, le sous-sol va sentir mauvais dès la matinée. Bref cela m’a pris environ 30-35 minutes.
J'avais fini le nettoyage jusqu'à l'escalier et avait fait mon chemin à l'étage. J'ai d'abord vérifié la chambre d’amis pour voir si Frank allait bien, mais il n’était nulle part. J'ai ensuite vérifié si ma fille dormait bien. Puis, finalement, je suis allé dans la salle de bain et là, j'ai entendu des gémissements, des gémissements de ma femme. J'ai eu d’un seul coup mal à l’estomac. Je commençais à imaginer l’inimaginable. Je me suis dis non pas ça, pas à moi !
Je me rapprochai de la porte. J’éteignis la lumière et j’ai ouvert doucement la porte et ce que j'ai vu m'a choqué :
Je pouvais voir mon ami Frank, nu sur mon lit matrimonial, qui baisait ma femme !
J'étais sous le choc et incapables de me déplacer ou faire quoi que ce soit. Comme mes yeux s'habituaient mieux à la lumière faible, je pouvais voir ma femme qui dormait ou somnolait, mais elle réagissait instinctivement à l'assaut de Frank sur son corps. Frank la labourait à un bon rythme, ma femme gémissait fort et le lit faisant beaucoup de bruit. C’était un viol. Mon pote violait ma femme. Devant moi et j’étais tétanisé, incapable de bouger !
Au rythme de Frank, je savais qu’il se rapprochait de sa fin mais j'étais encore sous le choc, juste debout encore à la porte comme un idiot. J'aurai dû courir là-bas et retirer Frank de mon lit et de ma femme.
Elle ne prenait pas sa pilule, car cela la rend malade, nous utilisation des préservatifs ou sinon, je finis sur ses seins. Je ne pouvais pas bouger, j’ai continué à être surpris et choqué. Je ne pouvais pas croire que mon ami Frank baisait mon épouse. J’étais comme dans un film où le cocu découvre sa femme au lit avec un inconnu.
Frank avait presque atteint son point de non-retour, il jeta les jambes de ma femme sur ses épaules et a commencé à la baiser aussi fort qu'il le pouvait. De mon point de vue, je pouvais voir le pilonnage de sa bite dans et hors de la chatte de ma femme. Sa queue était beaucoup plus grande et grosse que la mienne. Je pouvais maintenant entendre Frank gémir bruyamment et gicler en elle, avec sa queue entièrement plantée dans sa chatte. Je savais alors qu'il avait éjaculé tout son sperme dans ma femme fertile.
Après, Frank s'est effondré sur le dos, à côté d'elle. C'est alors que je pouvais voir tout le sperme de Frank qui suintait de sa chatte. J'ai commencé à revenir à moi et me dirigeai enfin vers lui. J'ai jeté une partie du couvre-lit sur ma femme et commencé à secouer Frank qui était déjà assoupi et prêt à dormir. Il fut surpris style « Oups, je me suis trompé de lit, désolé ! ». J’ai joué son jeu stupide, je ne savais pas comment réagir. Je lui ai dit d’aller dormir dans la chambre à coté, la chambre d'amis.
Frank a certainement pensé qu'il a été pris, il savait qu'il était nu avec ma femme nue également. Il est sorti de la chambre.
Après, je l'ai entendu marcher dans le couloir, j'ai fermé la porte et tirai les couvertures de mon épouse pour inspecter ce qu'il a fait avec elle. Je pouvais voir sa chatte toute humide, sa chatte était également étirée. J'ai décidé de ne pas la nettoyer, Frank avait déjà éjaculé une énorme quantité de sperme en elle et elle pourrait déjà être enceinte.
J’ai regardé ma femme remplie de sperme, j'ai réalisé que j’étais excité. J'ai hésité. J'ai décidé de la baiser, de toute façon Frank venait juste de jouir en elle il y a quelques minutes.
Ma femme était encore évanouie ou endormie et semblait inconsciente. Je l'ai laissée sur le dos et aligné ma bite devant sa chatte fraîchement baisée. Je l’ai enfoncée et il a été facile de la pénétrer, elle était si humide avec le sperme de Frank. Immédiatement, j'ai remarqué à quel point son vagin était écarté, je pouvais à peine obtenir un plaisir d'elle. Frank avait étiré sa chatte tellement que maintenant ma bite n'était pas assez grosse pour remplir convenablement son vagin. J'ai essayé de continuer à la baiser, mais pas de plaisir. Au lieu de cela, je suis sorti de sa chatte dilatée, je me suis masturbé et joui sur les lèvres de son trésor !
Vaincu, gêné et triste, je me suis retiré à la salle de bain pour un verre d'eau et nettoyer ma bite. J'étais sur le point de retourner au lit après cette nuit de merde mais j'ai remarqué, dans le couloir, des vêtements de Frank sur le sol, à la base de la porte de la chambre de ma fille. J'ai commencé à avoir à nouveau un sentiment écœurant. J'ai vu la façon dont il la regardait plus tôt, il ne pouvait pas avoir le culot de perdre son temps avec ma fille de 14 ans !
Surtout après avoir tiré ma femme comme une putain !
Je marchais lentement dans le couloir j’ai fait attention à ne pas faire beaucoup de bruit. Quand je suis arrivé à la porte de sa chambre, je pouvais les entendre chuchotant, ma fille et Frank parlaient. J'étais aussi capable de les voir parce que la porte était entrouverte, juste assez pour moi. Ce que je vis m’a consterné. Ma fille était nue et ce mec de 50 ans dans son lit. Il m'a semblé que Frank montrait sa bite et elle était curieuse et hypnotisée par sa taille.
Frank lui ordonnait de la toucher et de la maintenir. Encore une fois, j'étais en état de choc à ce qui se passait, ici chez moi. Je me suis dit que tout père normal aurait déchiré ce pervers et probablement tué, mais pour une raison inconnue, je ne pouvais pas réagir à ce que je voyais. J'ai simplement continué mon observation, congelé et incapable de bouger.
Frank a commencé à caresser ses jeunes seins et elle n'a offert aucune résistance.
Je ne pourrais dire si ma fille jouissait, ma femme soupçonnait qu'elle était sexuellement active déjà mais personnellement je ne voulais pas le croire à l'époque.
Frank a continué à jouer avec ma fille, sucer ses mamelons et a commencé à abaisser sa main le long de ses jambes. Ma fille Julie n'a pas contesté, elle gémissait doucement, il lui frottait sa chatte. Il a commencé à la doigter lentement, elle a commencé à gémir assez fort, tout comme sa mère. Après quelques minutes, il murmura quelque chose à Julie que je ne pouvais pas entendre. Il a commencé à la diriger. J’ai vu comment ma fille a monté sur Frank et obtenu la position 69. Elle a commencé à le sucer comme une pro, sans hésitation.
Frank léchait et suçait cette jeune adolescente. Ils sont restés dans cette position pendant environ 15 minutes jusqu'à ce que ma fille arrive à l'orgasme. À ce stade, Frank l’a immédiatement renversée et aligné sa queue devant l’entrée humide et certainement serrée de Julie.
Il se pencha sur elle, l’embrassa et commença à pousser en elle. Je pouvais voir sa grosse queue essayant d
Il fait beau et chaud sur la plage, pas loin de Rabat. La mer est bleue, l’endroit est idyllique. Et c’est le cœur battant que ma femme Nadia et moi, nous nous sommes engagés sur le petit chemin, qui au travers la végétation dense mène à la petite crique, à l’abri des regards indiscrets. Qu’allons-nous y découvrir. Nous avons profité de cette journée de semaine pour venir ici. Nous avons envie de nous mettre nus et de voir l’effet que cela va nous faire de se montrer à d’autres.
Manque de chance pour l’excitation, l’endroit est désert, mais il peut encore arriver d’autres baigneurs.
Fébriles d’excitation, nous nous sommes dévêtus et avons laissé de côté nos maillots de bain. Une heure passe, nous sommes seuls au monde, déçus. Allongés l’un à côté de l’autre, nous ne tardons pas à nous embrasser. Cet endroit même désert nous échauffe, agit sur notre libido, je bande et ma petite femme m’ouvre ses cuisses. L’invite est sans équivoque.
- Karim Viens, prends-moi avec ton petit zizi, fais-le moi ici !
- t’es folle et si on vient !
- Il n’y a personne, mon chéri j’ai trop envie !
- Coquine, l’endroit t’excite ?
- Oui, il doit y avoir plein de gens qui, avant nous, l’ont fait ici.
C’est trop tentant. Allongé sur ma petite femme, je la baise lentement. Nadia sous moi ferme les yeux. Moi aussi, cela m’excite de faire çà ici.
Tout en la limant, je regarde autour de nous. Merde, là, à quelques dizaines de mètres, à demi caché dans les rochers, un homme, un pêcheur nous observe. Il a vu que je l’ai aperçu et ne bouge pas. Le cochon se rince l’œil. Voyant que je ne réagis pas à sa présence, il en profite.
Sous moi, Nadia geint doucement à mes poussées. Mon gland frappe le fond de sa grotte d’amour. Elle bouge sous moi, remue son petit cul et l’autre se régale. La situation m’excite. Le cochon doit bander, sans doute se branler.
- Ma puce !
- Quoi ?
- un type est là bas dans les rochers et nous regarde.
- Il nous voit ?
- Oui !
- On fait quoi ?
- Rien ma puce, il mâte et alors ? Cela m’excite, pas toi ? Il nous regarde baiser !
- Cochon….
- Ça ne t’excite pas ?
- Euh..... !!
- Petite cochonne avoue, ça t’excite toi aussi ?
- Oui……mais tu crois qu’il me voit toute nue sous toi ?
- Oui, ma chérie, tu es belle ma petite femme, il en profite. Je crois qu’il se branle.
- T’es sûr ? Il se caresse en me regardant ?
- Oui….
Sous moi, ma petite femme s’anime de plus en plus. Puis elle parle, je vois l’excitation intense dans ses yeux.
- Dis, il doit avoir une grosse queue noire.
- Oui ma chérie, il bande et s’imagine au fond de toi en se caressant son zob. Il te baise en rêve le cochon !
- Il s’imagine qu’il me baise ?
- Oui, oui ma puce. Il bande pour toi, il a envie de te baiser, de te mettre sa grosse queue dans ta petite chatte. Il la voit, il voit ma bite qui entre en toi….Tu aimes qu’il te voie, qu’il voie ton petit cul, ta chatte ?
- oh Ouiiiiii !!! Oh ouiiiii ! Sa bite, sa grosse bite noire !!!
- Tu as envie de sa queue, qu’il te la mettre et te baise devant moi ? J’ai envie moi !
- T’es fou !
- Non ma puce, il te ferait jouir. Tu n’as pas envie d’une queue plus grosse que la mienne?
- Je ne sais pas. Et toi tu veux ? Tu ne vas pas être jaloux s’il vient me le faire?
- Oui, un peu mais c’est tellement excitant. Tu te souviens avec Omar ?
- Oui, il voulait me baiser devant toi. Il en avait une bien plus grosse, mais il ne savait pas comment me la mettre. Il n’a pas pu l'entrer !
- Lui, il va pouvoir ma chérie, tu me dis toujours que tu as envie qu’un autre baise avec nous.
- OUI, je sais, je dis çà. Dis, il nous regarde encore? Je ne le vois pas.
- Il est toujours là. Je crois qu’il a compris qu'on veut bien. Je lui fais signe de venir ma puce ?
- T'es fou!
- C'est l'occasion ma puce, on ne se connaît pas, après on le reverra plus. J'ai envie de te voir avec un autre.
- Oui, oui vas-y, après tout, tu as raison, personne ne nous connaît ici. Rien qu’une fois pour voir comment c'est. Je veux bien mon amour puisque que tu en as envie.
- Toi aussi?
- Quoi?
- Tu as envie qu'il te baisse?
- Oui....mais tu ne seras pas jaloux après?
- Non, promis ma chérie, promis, ça va être si bon de le voir sur toi. De te voir jouir sous lui.
- Bon, dis-lui.....
De la tête, tout en besognant ma petite femme, je fais signe au pêcheur. Il est sans doute aussi excité que nous et, après une courte hésitation, sort de derrière ses rochers. C’est un homme de moyenne corpulence, assez petit. Nadia l’a vu. Elle tremble un peu sous moi, ne participe plus trop.
- Chéri, c’est fou ! J’ai peur !
- Ne crains rien, je reste là. Je vais lui dire de faire attention.
L’homme est vite tout près et nous regarde d’un air interrogatif. Je lui souris, tourné vers lui, Nadia aussi mais timidement. Je suis encore sur elle, mais mon membre n’est plus dans sa petite chatte.
- Bonjour.
Nous lui avons répondu. Il y a un silence, un moment de gêne. Si nous ne disons rien, il va repartir. Alors, je me lance.
- Elle te plait?
- Oui!
- Tu nous regardais baiser?
- Euh...Oui! J'ai vu que tu voulais bien, tu ne m'as pas fait signe de partir.
- Elle est belle ma femme, elle a une belle chatte bien douce et chaude en dedans
Je vois la bosse de son sexe encore bandé sous la toile de son short. Ma femme aussi le voit et a les yeux fixés dessus. Cela encourage notre nouvel ami.
- Oui ! Oh oui, elle est belle. C’est ta femme ?
- Oui. Elle a envie de …………, enfin tu comprends…….avec toi.
- Baiser avec moi ?
- Oui ! Tu veux ?
- Oui, elle est belle ! Je ne l’ai jamais fait avec une aussi belle femme !
- Viens ! Mets-toi sur elle, prends-la, elle a envie de ta grosse queue !
Je me suis relevé, lui laissant la place. Nadia, consentante, a gardé les cuisses ouvertes, lui explose sa chatte avec impudence.
- Oui, j’ai envie de ta grosse machine, viens sur moi, moi c’est Nadia et toi ?
- Ali, t’es belle, tu as une belle chatte!
- Ton zob est gros, bien plus gros que celui de mon mari, mets-le moi doucement, viens me baiser devant mon mari cocu !
Elle se fait cochonne ma chérie, elle a franchi le pas, s’apprête à faire l’amour avec un autre. Elle a les yeux mi-clos et je devine qu’elle regarde cependant notre ami qui s’agenouille entre ses cuisses. Il baisse son short. Il ne porte rien dessous. Comme je le pensais, il a une bite longue et épaisse, noueuse aussi car il a bien cinquante ans notre gaillard. Ma petite femme va la sentir passer. Elle qui a envie d’une grosse bite va être bien servie. J’espère qu’elle va bien jouir. Car avec moi, c’est rare à cause de mon petit zizi.
- Oh ! Ta bite est belle, bien grosse, mets-la doucement mon chéri, ma petite chatte n’est pas habituée à une si belle queue.
Ma femme me regarde alors que l’homme se couche sur elle. D’une main passée entre leurs deux ventres, je le vois qu’il se guide. Déjà son gros gland est en contact avec la vulve de ma douce. Pour l’aider, Nadia ouvre largement ses jambes. Elle m’a tendu sa main et je la prends dans la mienne.
Elle me regarde encore alors que le gros gland ouvre sa fente et se place devant l’entrée de son petit vagin. Je vois soudain ses yeux s’écarquiller, sa main serre fort la mienne. D’une brève poussée, l’homme vient de la pénétrer. D’abord le gland épais qui distend ses chairs intimes. Puis le mâle pousse encore et la tige noueuse s’enfonce. Nadia pousse un soupir rauque, un autre, puis un autre encore. D’une dernière poussée, l’homme vient de lui entrer toute la longueur de sa grosse verge. Trop excité sans doute pour lui laisser le temps de s’habituer à la dimension de son membre, il la pistonne de suite, la baise à grands coups de reins. Sous lui, ma petite femme, les yeux fermés, concentrée sur les sensations que lui procure ce gros zob qui la prend, s’anime. Elle a lâché ma main, s’accroche au cou de l’homme qui la chevauche. Elle joint ses jambes derrière les reins de son amant pour mieux l’avoir en elle.
Ils baisent. Sont l’un à l’autre, moi je ne compte plus. Moi, je regarde et je bande. Je bande comme jamais cela ne m’est arrivé.
Les grosses fesses noires, ceintes des cuisses blanches de ma douce s’élèvent, puis s’abaissent en cadence. Ma femme geint à chacune des poussées de l’homme. Gémissements plaintifs au début car elle avait mal, puis de ravissement maintenant.
La tête nichée dans le creux de l’épaule de cet homme, elle s’abandonne complètement, se livre toute entière à l’assaut fougueux de son amant improvisé.
Nous sommes seuls sur la plage tous les trois. A part le bruit des vagues frappant le récif, je n’entends que les bruits des deux corps qui se frottent, se frappent, les gémissements de plus en plus ravis de ma douce, le souffle rauque de l’homme qui la baise maintenant depuis plus de dix minutes.
Je vois le gros zob brun entrer et ressortir presque complètement de la chatte de ma petite épouse. Elle mouille abondamment, preuve de son excitation et de l’effet qu’il lui fait.
Puis je vois ma douce moins passive maintenant, caresser le corps de l’homme, le prendre par les fesses comme pour l’enfoncer encore plus loin. Les râles de plaisirs arrivent de plus en plus forts, de plus en plus rapprochés L’homme
Bonjour à tous,
Ce que j’aime par dessus tout dans le sexe, c’est d’être cocufié par ma femme. Je pense que c’est ma condition. Je
suis fait pour ça, pour être cocu.
Ma femme m’a déjà cocufié 3 fois et j’aimerais qu’elle continue le plus souvent possible. Je vais vous raconter sa
dernière aventure qui vient de se terminer au bout 2 ans.
Il y a donc 2 ans, ma femme s’est fait draguer dans une soirée où nous ne connaissions presque personne. C’était un
client à moi qui invitait. Je m’emmerdais pas mal pendant que ma femme causait avec un type d’environ 45 ans,
grand (plus de 1m85), brun, assez costaud, pas mal sans être un top model. Il avait l’air d’avoir de l’humour car ma
femme rigolait beaucoup ! Mauvais signe pour moi car ma femme aime les hommes avec de l’humour…
Ils ont discuté une heure et puis elle est partie se balader. Je la cherche sans la trouver. Au bout d’une demi heure, je
la retrouve de nouveau en grande conversation avec cet homme.
Après 1 heure d’attente - car je ne me permets jamais de la déranger quand elle parle avec un autre homme, je reste
à distance et je sais que c’est ce qu’elle préfère – elle vient me voir et me dit qu’elle veut rentrer. Moi aussi.
Arrivés à la maison, je lui parle de l’homme avec qui elle parlait.
- il avait l’air sympa ?
- oui très ! Très drôle, beaucoup d’humour ! Heureusement qu’il était là sinon je me serais emmerdée !
- Il était pas mal, grand ?
- Oui et des mains superbes ! Très viril aussi ! Il m’a d’ailleurs donné son numéro de téléphone !
- Ah oui ?
- Oui… je vais voir ce que j’en fais…
Je suis aussitôt allé aux WC pour branler ma queue qui était déjà dure depuis un moment. J’ai joui en moins d’une
minute chrono.
Les jours suivants, j’ai un peu insisté pour qu’elle contacte l’homme de la soirée. Elle a fini par le faire au bout
d’une semaine.
Quand je suis rentré du boulot, elle m’a dit qu’elle déjeunait avec lui demain…
J’ai senti que le cocufiage n’était plus très loin pour moi !
De retour de son déjeuner, je reçois un SMS :
« Déjeuner très sympa ! Alain est charmant et très agréable. Conversation assez chaude aussi ! Tu bandes ? »
« Oui, je file aux toilettes pour astiquer un peu ma petite queue de cocu… »
« Pas trop, gardes-en un peu pour ce soir »
« T’inquiète pas »
Le WE suivant, elle me dit qu’elle va au bois courir. Elle a aussi rende- vous avec Alain pour un café. Il habite les environs et va souvent au Bois pour courir.
De retour du bois, elle me raconte son café et la ballade dans les sous-bois qui s’est terminée par une pelle très
intense. Elle a adoré ! Ma femme aime beaucoup se faire embrasser en extérieur. Elle me dit qu’il a l’air très
accroché. Il lui fait beaucoup de compliments, beaucoup de gentilles attentions. Elle pense qu’il est un peu
amoureux. Je demande si elle lui a parlé de moi.
- Oui bien sur, mais je lui ai dit que tu me laisses beaucoup de liberté.
- Tu lui as dit que j’aimais être cocu ?
- Non pas encore… patience mon chéri !
Nouveau déjeuner le mardi avec Alain et flirt assez intense dans un parc. Je sens ma femme qui commence à
être très accrochée par cette histoire. Elle me parle peu de lui mais les SMS tombent sans arrêt et ils se téléphonent
tous les soirs ou presque. Je demande :
- Il ne t’a pas encore invité chez lui ?
- Non mais ça ne saurait tarder
- Tu as envie de coucher avec lui ?
- Oui… il m’excite assez. J’aime comment il m’embrasse et j’adore ses mains ! Il a l’air aussi vraiment costaud
mais très naturellement et, l’autre jour, j’ai glissé ma main dans sa chemise : beau torse bien poilu comme j’aime. (Je précise que je suis imberbe) ça devrait être une bonne soirée !
- Et c’est quand ?
- Pas prévu encore. J’attends qu’il m’invite.
- J’aimerais être en contact avec lui pour qu’il me donne ses impressions. Ça te dérangerait ?
- Non mais je ne sais pas s’il est d’accord pour ça…
- Tu peux lui demander ?
- Oui je le ferais. Je lui dis quoi ? Que tu veux lui parler ?
- Oui je veux lui parler de mon futur cocufiage…
- Ok mon chéri, je lui demanderais.
Le lendemain au bureau, je reçois un mail :
« Salut, Claire m’a dit que tu voulais me parler ? Je t’écoute »
« Bonjour, oui je voulais juste vous dire que je suis heureux que votre relation avec ma femme prenne cette tournure. Vous avez vraiment l’air de lui plaire. Pour ma part, je serais très fier d’être cocufié totalement par un homme comme vous car vous semblez être d’une virilité qui ne fait aucun doute. Moi, ma condition est celle du cocu. J’espère que vous profiterez bientôt totalement de Claire et que vous lui donnerez beaucoup de plaisir… je ferais évidemment tout mon possible pour faciliter cette rencontre. Franck »
« Et bien ! J’ai de la chance de tomber sur un bon cocu dans ton genre. Je vais inviter Claire demain soir à la maison. Elle a l’air très heureuse de cette soirée. Moi aussi. Je lui ferais l’amour toute la soirée et elle pourra te raconter ce que c’est qu’un vrai mec. Salut cocu. »
J’ai fait une copie des mails à Claire. Voici sa réponse :
« Tu es heureux mon chéri ? Je crois que tu vas être cocu comme jamais là ! Vivement mardi… travaille bien… »
Le mardi soir en question, Alain et ma femme ont dîné dans un resto très sympa et ils ont terminé la soirée chez lui.
Moi, je suis resté à la maison devant mon ordinateur ou devant la télé. Le pantalon baissé et la queue dure comme de la pierre. De temps en temps, je l’astiquais mais pas trop pour garder ma jouissance quand ma femme serait revenue.
Elle est rentrée à 1 h du matin. Elle avait l’air un peu fatigué. Sourire aux lèvres. J’étais au lit à attendre.
- Alors ? J’ai été bien cocu ?
- Oh oui !!! Comme jamais ! Quel amant ! Une des meilleures nuits d’amour de ma vie ! Et j’ai découvert une chose…
- Quoi ?
- Que j’aimais les sexes longs ! Il en a une très belle ! Plus longue que la tienne avec un très gros gland et quand
il l’a enfoncée entièrement, j’ai vraiment pris mon pied ! Je m’en doutais un peu car, avec toi, j’ai toujours envie que tu ailles plus profond. Je crois que j’aime être remplie complètement et avec lui c’est le cas. Il a aussi de belles et grosses couilles, bien poilues comme j’aime.
- Il t’a fait jouir combien de fois ?
- 3 fois. Une en me caressant et en me doigtant, 2 autres en me faisant l’amour dont une en levrette ! Le pied !
Des orgasmes vraiment forts !
- C’est bien chez lui ?
- Oui super appart ! Il a les moyens. Le resto était super et il a un super grand lit ! Comme dans les hôtels !
- Tu vas le revoir ?
- Ah oui et très vite. J’ai trop hâte de me faire reprendre. Tu voulais être cocu et bien tu vas être servi !
- Je peux sentir ta chatte ?
- Oui si tu veux…
Elle se place au dessus de moi, écarte bien sa chatte. Je sens la mouille de ma femme encore fraîche. Ça sent aussi
très fort la capote et aussi une odeur d’homme. Ma femme me dit :
«Lèche ma chatte et jouis vite car je suis crevée là ! »
« Oui je fais vite. Traite-moi de cocu ! »
« Oui mon cocu, je vais me faire rebaiser cette semaine par Alain et tu seras encore plus cocu comme tu aimes et moi, je vais prendre mon pied avec mon amant. Tu es d’accord mon cocu ? »
« Ouiiiiii !!! » et je vide mes petites couilles.
« Allez ! Une douche et au lit mon cocu chéri ! »
2 jours plus tard, ma femme me dit qu’Alain est un peu gêné par cette relation qui commence. Je demande ce qui se
passe. Claire me dit qu’il est en fait assez amoureux et qu’il a du mal à partager. Ma femme me dit qu’elle a été
claire sur le fait qu’elle ne me quitterait pas, qu’elle veut conserver sa vie de famille avec moi mais qu’elle apprécie le trio amoureux. Lui a plus de mal avec la situation. Je sens ma femme un peu embêtée par la situation. Je lui dis que je vais essayer de lui en parler… Je lui envoie un mail :
« Monsieur,
(je préfère tout de suite lui montrer mon infériorité de cocu en l’appelant Monsieur). Ma femme m’a dit que vous étiez gêné par cette situation à 3 et que vous souhaitiez une relation à 2 exclusivement. Je pense que ma femme
n’acceptera jamais ça. En revanche, pour vous arranger, on pourrait établir une hiérarchie. Vous pourriez être le mâle dominant. Je vous laisserais alors l’exclusivité de la sexualité de Claire. Et vous pourriez même contrôler la mienne par l’intermédiaire de ma femme. Je ferais aussi tout mon possible pour vous faciliter des vacances et des WE avec Claire. Qu’en pensez-vous ? »
Copie à ma femme. Les réponses :
« Je vais réfléchir cocu »
« Mon chéri. Je crois que la position de mâle dominant pour Alain ne fait aucun doute dans mon esprit. Je te
remercie de me laisser vivre cette relation qui risque de m’apporter beaucoup sur le plan sexuel et amoureux. Tu es
vraiment un gentil cocu et j’ai de la chance de t’avoir… Ce soir, tu pourras lécher ma petite chatte autant que tu
veux… »
Le lendemain soir, ma femme reçoit un coup de fil d’Alain. Il avait l’air d’avoir pris sa décisi