Les bandes de cire froide appliquées sur les parties intimes sont un calvaire, mais j’endure en silence, trop heureux et soulagé que ma jeune esthéticienne n’ait fait aucune remarque sur les rougeurs suspectes de mon derrière. J’ignore alors que l’humiliation ultime reste à venir. J’ai les larmes aux yeux à chaque fois que d’un coup sec et habile, Cindy me retire ce que le male considère comme un symbole de sa virilité.
Ma femme me couve d’un regard moqueur, tranquillement assise dans la banquette qui fait face à la table de massage et d’épilation.
- Ca va mon chéri ? Ce n’est pas trop douloureux ? demande-t-elle narquoise. Tu vois ce que les femmes doivent endurer pour être belles, c’est ton tour maintenant.
Cindy tente de relativiser les propos humiliants de mon épouse, ne pouvant soupçonner le plaisir qu’elle y prend et la relation étrange qui nous lie.
- On commence à voir des hommes pour des épilations intégrales, c’est encore rare, mais il y a sept ans quand j’ai commencé, on ne faisait que des épaules, des poitrines, des aisselles, c’est un phénomène qui a deux ou trois ans.
- Puis-je vous demander quel âge vous avez ? relance Déborah en croisant les jambes bien hauts.
J’aperçois sa petite culotte et elle me sourit pour me signifier qu’elle a surpris mon regard. Si Cindy a jeté un
coup d’œil dans sa direction, ce que je ne peux savoir dans ma position (à plat ventre sur la table), elle a obligatoirement vu ce que je viens de voir. Elle répond qu’elle a 25 ans et qu’elle a
travaillé dans un autre institut dans le treizième avant d’être embauchée ici il y a trois semaines.
- Allez-y, encourage Déborah. N’ayez pas peur de lui faire mal si il faut, mais qu’il ne reste aucun poil, je veux qu’il ait une peau de bébé !
- Comptez sur moi, répond elle simplement. (Mais elle ajoute à mon égard). Je ne vous fait pas trop mal j’espère ? Je dis « pas trop », car je sais que malgré tout, c’est douloureux. J’ai presque fini.
- Ca va, merci mademoiselle.
- Vous devez avoir une allergie ou quelque chose, car vous avez quelques rougeurs et de petits boutons sur les fesses, fait elle remarquer d’une voix qui ne peut suspecter un instant l’origine de mes rougeurs. Je vais appliquer un lait apaisant. Ca ne vous démange pas ?
Le monde s’écroule, je bafouille un « non, non ça va », et je m’empourpre en songeant aux consignes de Déborah avant de pénétrer dans le salon : « si le sujet est abordé, je veux que tu avoues avoir reçu une bonne fessée ! » Est-il réellement abordé ? A observer la réaction de ma femme qui me fait les gros yeux, je devine qu’elle veuille entendre mes aveux. Ces instants d’hésitation me donnent un répit car Cindy sort chercher le lait apaisant, me laissant seul avec ma Maîtresse en colère.
Charles.
En colère, oui, tu as parfaitement raison. Tu connaissais mes consignes avant d’entrer, tu savais ce que j’attendais de toi, je mouille depuis plus d’une demie heure à la seule idée de t’entendre bafouiller une explication sur les rougeurs hélas très atténuées de ton postérieur, et au moment d’aborder enfin le sujet, tu te débines.
A peine notre petite esthéticienne sortie, je me lève et me précipite sur mon mari. Il est tellement surpris
qu’il ne bouge pas, mais il y a dans son regard, une grande appréhension… Et il a bien raison d’avoir peur. J’écarte la serviette qui couvre son cul d’un coup sec et avant qu’il n’ait le temps de
protéger son postérieur, je lui assène deux belles baffes bien sonores. Mais ce que je souhaite surtout, c’est imprimer la marque de mes doigts sur son cul de soumis, car les rougeurs de ma
fessée se sont bien estompées en une heure de temps.
- Cette fois, tu ne vas pas pouvoir te défiler, il va bien falloir que tu lui expliques les marques que tu as sur ton cul !
J’accompagne ma remarque de deux nouvelles gifles cinglantes et mon mari tente cette fois de s’interposer. Il place une main que j’écarte aussitôt avec autorité.
- Je t’en prie, Deb’ arrête, elle va revenir, je te jure, je vais lui dire…
La peur et la panique sont perceptibles dans sa voix. En écartant les jambes pour tenter de se protéger, je remarque aussi la raie de son cul toute lisse, et je passe un doigt sur son anus, ce qui a le don de le faire taire immédiatement. Il a le cul rouge et irrité, mais c’est doux, elle a fait du bon boulot la petite Cindy. Elle réapparaît au même instant, je n’ai que le temps de retirer mon doigt. Je recouvre ses fesses sous son regard intrigué. Elle doit deviner que quelque chose de trouble vient de se passer. Tout à l’heure, elle m’a vu écarter les jambes, cela ne l’a pas choqué ni dérangé. Elle est jeune, mais elle en a vu d’autres, c’est sûr. Je retourne prendre place dans le fauteuil, m’arrange pour croiser les jambes bien haut et surtout pour avoir une vue imprenable sur le visage de notre jeune fille. Je veux voir sa réaction lorsqu’elle découvrira l’empreinte de ma main sur le cul de Charles.
D’ailleurs, qu’attend il pour lui faire son petit aveu ? Elle s’enduit les mains d’un lait blanchâtre et s’apprête à repousser la serviette lorsqu’enfin mon mari se décide.
- Vous savez mademoiselle, le lait n’était pas nécessaire…
- C’est offert par la maison, vous verrez ça va vous faire du bien…
Elle vient de retirer la serviette, et cette fois, elle comprend. Sa phrase demeure en suspens, ses lèvres ne peuvent exprimer autre chose que la stupéfaction. Son regard, d’abord surpris, devient vite malicieux, puis se tournant légèrement vers moi, elle me lance un petit sourire complice.
- C’est que… voyez vous… j’ai reçu une fessée, lâche enfin mon mari, le visage plus rouge que les fesses. Alors voyez vous, le lait apaisant n’est pas nécessaire.
Il y a comme on dit, un blanc dans la conversation… Trente secondes, une minute… J’en profite pour sourire d’un air moqueur à mon mari, puis de rendre à Cindy son regard complice. J’aimerai lui faire comprendre qu’elle peut participer à son humiliation, mais je n’ose pas. Je me contente de mon petit air satisfait, et d’un nouveau jeu de jambes, censé lui faire deviner mon état d’excitation.
- Et quelle bêtise avez-vous fait pour recevoir cette fessée ? finit elle par demander en me regardant.
Elle cherche mon consentement et je le lui donne à ma façon en répondant avant mon mari, tout embarrassé qu’il est pour répondre, se demandant même s’il doit le faire.
- Eh bien qu’est-ce que tu attends ? Réponds à la demoiselle !
- Euh oui, j’ai… Je… Je n’ai pas été sage.
Pas été sage ! Qu’est-ce qu’il est allé chercher comme réponse… Je veux le reprendre mais Cindy me devance.
- Monsieur n’est pas sage, se comporte comme un garnement et reçoit une bonne fessée, récapitule la jeune fille en riant presque. Mais comme il se comporte comme un vilain garnement, madame a voulu en punition qu’il lui présente également un sexe de petit garçon. Un sexe tout lisse, sans aucun poil !
Sa façon de résumer les choses, sa désinvolture, son humour me font sourire et oublier la réponse que j’avais jugée stupide de mon mari. Je le vois pleurer de honte, il voudrait disparaître, il
ignore que moi, c’est mon sexe qui pleure… d’un désir inassouvi, d’une frustration longue de presque six semaines… et que les larmes de ce plaisir amer imbibent le fond de ma culotte… Putain, il
me faut un homme et vite… Heureusement, j’ai tout organisé pour que cette journée soit extraordinaire. Mon mari vient d’avoir ses soins, à moi d’avoir les miens. A lui les crèmes dépilatoires, je
lui laisse sa petite quéquette toute lisse, à moi la queue bien dure d’un amant…
Déborah
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