4. Cocu et exhibé

Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 10:14

 

Les bandes de cire froide appliquées sur les parties intimes sont un calvaire, mais j’endure en silence, trop heureux et soulagé que ma jeune esthéticienne n’ait fait aucune remarque sur les rougeurs suspectes de mon derrière. J’ignore alors que l’humiliation ultime reste à venir. J’ai les larmes aux yeux à chaque fois que d’un coup sec et habile, Cindy me retire ce que le male considère comme un symbole de sa virilité.

Ma femme me couve d’un regard moqueur, tranquillement assise dans la banquette qui fait face à la table de massage et d’épilation.

 

- Ca va mon chéri ? Ce n’est pas trop douloureux ? demande-t-elle narquoise. Tu vois ce que les femmes doivent endurer pour être belles, c’est ton tour maintenant.

 

Cindy tente de relativiser les propos humiliants de mon épouse, ne pouvant soupçonner le plaisir qu’elle y prend et la relation étrange qui nous lie.

 

- On commence à voir des hommes pour des épilations intégrales, c’est encore rare, mais il y a sept ans quand j’ai commencé, on ne faisait que des épaules, des poitrines, des aisselles, c’est un phénomène qui a deux ou trois ans.

 

- Puis-je vous demander quel âge vous avez ? relance Déborah en croisant les jambes bien hauts.

 

J’aperçois sa petite culotte et elle me sourit pour me signifier qu’elle a surpris mon regard. Si Cindy a jeté un coup d’œil dans sa direction, ce que je ne peux savoir dans ma position (à plat ventre sur la table), elle a obligatoirement vu ce que je viens de voir. Elle répond qu’elle a 25 ans et qu’elle a travaillé dans un autre institut dans le treizième avant d’être embauchée ici il y a trois semaines.



 

- Allez-y, encourage Déborah. N’ayez pas peur de lui faire mal si il faut, mais qu’il ne reste aucun poil, je veux qu’il ait une peau de bébé !

 

- Comptez sur moi, répond elle simplement. (Mais elle ajoute à mon égard). Je ne vous fait pas trop mal j’espère ? Je dis « pas trop », car je sais que malgré tout, c’est douloureux. J’ai presque fini.

 

- Ca va, merci mademoiselle.

 

- Vous devez avoir une allergie ou quelque chose, car vous avez quelques rougeurs et de petits boutons sur les fesses, fait elle remarquer d’une voix qui ne peut suspecter un instant l’origine de mes rougeurs. Je vais appliquer un lait apaisant. Ca ne vous démange pas ?

 

Le monde s’écroule, je bafouille un « non, non ça va », et je m’empourpre en songeant aux consignes de Déborah avant de pénétrer dans le salon : « si le sujet est abordé, je veux que tu avoues avoir reçu une bonne fessée ! » Est-il réellement abordé ? A observer la réaction de ma femme qui me fait les gros yeux, je devine qu’elle veuille entendre mes aveux. Ces instants d’hésitation me donnent un répit car Cindy sort chercher le lait apaisant, me laissant seul avec ma Maîtresse en colère.

 

Charles.

 

En colère, oui, tu as parfaitement raison. Tu connaissais mes consignes avant d’entrer, tu savais ce que j’attendais de toi, je mouille depuis plus d’une demie heure à la seule idée de t’entendre bafouiller une explication sur les rougeurs hélas très atténuées de ton postérieur, et au moment d’aborder enfin le sujet, tu te débines.

A peine notre petite esthéticienne sortie, je me lève et me précipite sur mon mari. Il est tellement surpris qu’il ne bouge pas, mais il y a dans son regard, une grande appréhension… Et il a bien raison d’avoir peur. J’écarte la serviette qui couvre son cul d’un coup sec et avant qu’il n’ait le temps de protéger son postérieur, je lui assène deux belles baffes bien sonores. Mais ce que je souhaite surtout, c’est imprimer la marque de mes doigts sur son cul de soumis, car les rougeurs de ma fessée se sont bien estompées en une heure de temps.



 

- Cette fois, tu ne vas pas pouvoir te défiler, il va bien falloir que tu lui expliques les marques que tu as sur ton cul !

 

J’accompagne ma remarque de deux nouvelles gifles cinglantes et mon mari tente cette fois de s’interposer. Il place une main que j’écarte aussitôt avec autorité.

 

- Je t’en prie, Deb’ arrête, elle va revenir, je te jure, je vais lui dire…

 

La peur et la panique sont perceptibles dans sa voix. En écartant les jambes pour tenter de se protéger, je remarque aussi la raie de son cul toute lisse, et je passe un doigt sur son anus, ce qui a le don de le faire taire immédiatement. Il a le cul rouge et irrité, mais c’est doux, elle a fait du bon boulot la petite Cindy. Elle réapparaît au même instant, je n’ai que le temps de retirer mon doigt. Je recouvre ses fesses sous son regard intrigué. Elle doit deviner que quelque chose de trouble vient de se passer. Tout à l’heure, elle m’a vu écarter les jambes, cela ne l’a pas choqué ni dérangé. Elle est jeune, mais elle en a vu d’autres, c’est sûr. Je retourne prendre place dans le fauteuil, m’arrange pour croiser les jambes bien haut et surtout pour avoir une vue imprenable sur le visage de notre jeune fille. Je veux voir sa réaction lorsqu’elle découvrira l’empreinte de ma main sur le cul de Charles.

D’ailleurs, qu’attend il pour lui faire son petit aveu ? Elle s’enduit les mains d’un lait blanchâtre et s’apprête à repousser la serviette lorsqu’enfin mon mari se décide.

 

- Vous savez mademoiselle, le lait n’était pas nécessaire…

 

- C’est offert par la maison, vous verrez ça va vous faire du bien…

 

Elle vient de retirer la serviette, et cette fois, elle comprend. Sa phrase demeure en suspens, ses lèvres ne peuvent exprimer autre chose que la stupéfaction. Son regard, d’abord surpris, devient vite malicieux, puis se tournant légèrement vers moi, elle me lance un petit sourire complice.

 

- C’est que… voyez vous… j’ai reçu une fessée, lâche enfin mon mari, le visage plus rouge que les fesses. Alors voyez vous, le lait apaisant n’est pas nécessaire.

 

Il y a comme on dit, un blanc dans la conversation… Trente secondes, une minute… J’en profite pour sourire d’un air moqueur à mon mari, puis de rendre à Cindy son regard complice. J’aimerai lui faire comprendre qu’elle peut participer à son humiliation, mais je n’ose pas. Je me contente de mon petit air satisfait, et d’un nouveau jeu de jambes, censé lui faire deviner mon état d’excitation.

 

- Et quelle bêtise avez-vous fait pour recevoir cette fessée ? finit elle par demander en me regardant.

 

Elle cherche mon consentement et je le lui donne à ma façon en répondant avant mon mari, tout embarrassé qu’il est pour répondre, se demandant même s’il doit le faire.

 

- Eh bien qu’est-ce que tu attends ? Réponds à la demoiselle !

 

- Euh oui, j’ai… Je… Je n’ai pas été sage.

 

Pas été sage ! Qu’est-ce qu’il est allé chercher comme réponse… Je veux le reprendre mais Cindy me devance.

 

- Monsieur n’est pas sage, se comporte comme un garnement et reçoit une bonne fessée, récapitule la jeune fille en riant presque. Mais comme il se comporte comme un vilain garnement, madame a voulu en punition qu’il lui présente également un sexe de petit garçon. Un sexe tout lisse, sans aucun poil !

 



Sa façon de résumer les choses, sa désinvolture, son humour me font sourire et oublier la réponse que j’avais jugée stupide de mon mari. Je le vois pleurer de honte, il voudrait disparaître, il ignore que moi, c’est mon sexe qui pleure… d’un désir inassouvi, d’une frustration longue de presque six semaines… et que les larmes de ce plaisir amer imbibent le fond de ma culotte… Putain, il me faut un homme et vite… Heureusement, j’ai tout organisé pour que cette journée soit extraordinaire. Mon mari vient d’avoir ses soins, à moi d’avoir les miens. A lui les crèmes dépilatoires, je lui laisse sa petite quéquette toute lisse, à moi la queue bien dure d’un amant…

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Mardi 16 juin 2 16 /06 /Juin 17:23

 

Affirmer que je veuille me retrouver dans le plus simple appareil face à cette gamine serait se fourvoyer. Dans les fantasmes de soumission, on lit ce genre de témoignages excitants : être présenté nu devant une belle inconnue, oui, mais dans « fantasmes de soumission », il y a fantasme. Là, cette parfaite inconnue ne me procure aucune excitation, mais en revanche, une gêne considérable. Elle est bien trop jeune, je trouve humiliant et déplaisant de devoir présenter mes parties intimes à une fille aussi jeune. Mais ma femme doit s’en réjouir, d’ailleurs, elle me regarde ôter mon pantalon en souriant d’un air qui trahit son plaisir. Va-t-elle assister à toute la séance ? Cela aussi, c’est très humiliant. On dirait une mère qui ne veut pas quitter son garnement… Une maîtresse qui veut superviser les opérations, se délecter de la honte et de la souffrance de son esclave…

Au moment de retirer mon slip, alors que j’ai les yeux fixés sur la porte, apeuré à l’idée que l’esthéticienne puisse revenir, Déborah me lance d’une voix moqueuse.

 

- Montre moi ton cul ! Allez baisse toi et tend le moi bien !

 

J’obéis bien sûr, en espérant en silence qu’elle ne veuille pas le contempler trop longtemps. Mais je me dis qu’en obéissant au plus vite, elle me permettra plus rapidement de retirer l’objet qui obstrue mes fesses.

 

- Oh mon dieu, elles sont vraiment bien rouges tes fesses ! Je pensais que ça s’atténuerait mais non, elles sont écarlates !

 

C’est donc cela, elle veut me rappeler l’état de mon cul, accentuer mon humiliation. Elle ne s’en rend peut être pas compte, mais elle n’a pas besoin de ça.

 

- Ah quel joli plug, imagine si elle pouvait le voir (je me retourne, tétanisé, nous avions convenu de ne pas m’exhiber avec le plug). Mais non, je ne reviens pas sur ce que j’ai dis. Allez, tu vas pouvoir le retirer ! Mais juste pour que ce soit un peu plus amusant, tu vas le retirer sans les mains !

 

Je me décompose.

 

- Mais enfin, voyons, chérie, tu ne peux pas me demander ça…

 

- Ben si tu vois.

 

- Mais c’est impossible, je t’en prie voyons.

 

- Il te suffit de pousser. A ta place, je me dépêcherai, Cindy ne va pas tarder à revenir.

 

Mon dieu, elle est sérieuse. J’hésite et son regard se durcit.

 

- Si tu n’obéis pas, je m’en vais ! Et ce n’est pas la peine de venir gratter à ma porte ce soir, il n’y aura pas de pardon.

 

Je n’ai plus le choix à ce stade. Je m’accroupis, une position plus adéquate à l’expulsion de mon plug… Et je pousse… Quelle humiliation. J’ai les yeux rivés sur la porte qui peut s’ouvrir d’un instant à l’autre, j’ai le feu aux joues, ma femme me toise en riant, je veux disparaître tellement j’ai honte.

 

Charles

 




La position « toilettes », c’est ainsi que j’ai appelé la position accroupie de mon mari et je pense qu’il est inutile de vous faire un dessin ou de vous donner des explications à ce petit nom ridicule, mais si évocateur. Depuis cette « première fois », il y a eu des centaines de « position toilettes ». J’aime bien d’ailleurs prononcer l’ordre d’une voix sèche, sans fioritures ni ambages, et voir dans la seconde mon mari se déculotter et s’accroupir pour « pondre » l’objet qu’il a dans le cul. Mais cette « première fois », ce fut quelque chose, car mon cher époux a éprouvé les plus grandes difficultés à expulser le plug. Un manque d’entraînement auquel on a vite remédié dans les jours qui ont suivi. La panique se lisait sur son visage, la honte, l’embarras aussi… En ce qui me concerne, je suis animée de sentiments contradictoires. Je suis terriblement excitée, je mouille comme je ne pensais pas pouvoir mouiller sans stimulation physique. Mais je suis aussi fébrile, je ne suis pas prête à affronter une réaction hostile de Cindy. Certes, je la sens « libérée », elle dégage quelque chose de rassurant dans la situation où nous sommes, je ne l’imagine pas plus choquée que ça si elle surprend mon mari à poil et accroupi avec son plug dans l’anus, mais j’ai un doute, elle n’est pas dans le secret, et je dois bien avouer qu’une certaine appréhension me noue l’estomac à moi aussi. Je le suis moins aujourd’hui, mais à l’époque, toute femme normalement constituée, même investie de pouvoirs extraordinaires, aurait nourri les mêmes craintes.

Quand le plug se décolle enfin de son trou du cul, Charles a le visage aussi rouge que ses fesses. Il transpire et on croirait qu’il vient de courir le 100 mètres. La porte s’ouvre au même moment. Il se redresse et contemple le plug à terre qu’il n’a pas eu le temps de ramasser.

Cindy fait une entrée pour le moins remarquée, et je dirai très attendue. Heureusement, son regard est plus attiré par la nudité de mon mari que par le plug qui traîne à ses pieds. Elle détourne d’ailleurs les yeux pour ne pas mettre Charles mal à l’aise. Déjà qu’il est au bord de l’apoplexie.

 

- Il y a des serviettes dans l’armoire, lance-t-elle un peu vexée de devoir rappeler à mon mari les règles de base de la pudeur.

 

Charles ramasse le plug et le place dans ses vêtements, puis il part dissimuler son sexe et ses fesses dans une longue serviette prévue à cet effet.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Vendredi 12 juin 5 12 /06 /Juin 09:50

Ma visite « épilatoire » à l’institut de beauté est incontestablement le pire souvenir de mes premiers mois de soumission. Le souvenir d’une cuisante douleur liée à ces saloperies de bandelettes, et d’une tout aussi cuisante humiliation liée à l’explication embrouillée de mon postérieur rougi par la fessée reçue une demie heure plus tôt. Jugez plutôt…

Ma femme me donne les dernières instructions avant de pénétrer dans le salon.

 

- Que les choses soient claires, tu me laisses parler, tu te laisses diriger, un peu comme un petit garçon, je veux profiter de te faire épiler pour t’humilier. Et si la fille qui s’occupe de toi te pose la question pour ton cul, n’oublie pas de lui dire la vérité, tu m’as bien comprise ?

 

- Oui Deb’, j’ai bien compris, ne t’inquiète pas, je serai aussi soumis qu’avec le banquier !

 

- Je veux que tu aies l’air tout penaud, tu sais, genre du type coupable, qui a quelque chose à cacher et à se reprocher.

 

Avec le plug dans le cul et les fesses encore chaudes de la correction reçue sur les cuisses de ma Maîtresse, je ne vais pas avoir besoin de me forcer pour avoir cet « air coupable… J’ai beaucoup de choses à cacher, et tout autant à me reprocher.

 

- Et pour le plug ? Je fais comment ?

 

Ma voix trahit mon angoisse. J’espère qu’elle ne va pas me demander de m’exhiber avec devant l’esthéticienne, ce serait au dessus de mes forces.

 

- T’inquiète mon chéri, pour la première fois, je te permettrai de le retirer juste avant. Normalement, elle va te laisser seul quelques instants pour te déshabiller, tu en profiteras pour l’enlever.

 

Le sourire qu’elle m’adresse alors témoigne de son intense jubilation. Je note le « pour la première fois » qui me fait craindre à l’avance la deuxième fois.

 

Nous entrons dans le salon et première gêne, il n’ y a que des femmes. Je m’y attendais, mais bon…

Une femme d‘une cinquantaine d’années, cheveux de paille tout raides, nous aborde tout sourire.

 

- Madame Carter ! Pile à l’heure, comme d’habitude, alors cette fois, c’est votre mari que vous nous amenez !

 

Elle ne croit pas si bien dire. Je baisse les yeux pour paraître plus empoté, mais je n’ai guère à me forcer car je suis sincèrement gêné et troublé. Ma femme est ici cliente et je n’ai pas trop envie que l’on sache qu’elle me donne la fessée.

Déborah la salue, lui demande des nouvelles de sa fille qui fait des études de lettres classiques (ma femme est enseignante à la fac je le rappelle).

 

- Si vous patientez un quart d’heure, je m’occupe de votre mari en personne, dit elle avec l’air de nous faire une faveur. Parce que Cécile est malade, et je n’ai que Cindy sous la main, ajoute-t-elle en désignant au bout de la boutique une toute jeune fille en train de faire du rangement.

 

Je comprends qu’étant donné sa jeunesse, elle ne soit pas à l’aise pour une épilation intégrale sur un homme. Mais Déborah n’est pas de cet avis.

 

- Si c’est parce qu’elle ne l’a jamais fait, ce n’est pas grave, il faut bien qu’elle se fasse la main, en ce qui nous concerne ça ne nous gêne pas. N’est-ce pas Charles ?

 

- Euh non… Pas de problème…

 

Deb’ m’a souvent rabâché les oreilles sur la douleur de l’épilation, alors confier mes couilles à une gamine de vingt ans ne m’emballe pas vraiment. J’ai peur, et plus encore de sa réaction quand elle verra mon cul tout rouge. Il ne manquerait plus qu’elle soit choquée et fasse un scandale !

 

Charles

 



Mon pauvre Charles, mais dans quel monde vis tu ? Une gamine de 20 ans, pour la choquer, il lui en faut plus qu’un cul rouge ! Les filles de cette génération se sont déniaisées sur internet à la lecture de nos blogs, à chatter de sexe sur msn, à  mater des clips montrant comment rougir des culs, alors contempler simplement le produit fini, même sur ton corps d’Apollon, laisse moi doucement rigoler. Et puis, si elle travaille dans un institut qui est mixte, elle verra d’autres fesses de mecs et d’autres queues autrement plus attractives que la tienne.

La suite va d’ailleurs me donner raison. Mais je m’en suis rendue compte aussitôt les présentations effectuées.

 

- Cindy, vous allez vous occuper de monsieur, je n’ai pas fini avec madame Mercier.

 

Cindy est une blonde décolorée, très maquillée et très sexy, mais qui ne sait pas encore très bien doser le maquillage. Elle me semble un peu vulgaire, et je m’étonne que la patronne (que je connais) ne lui en ai pas encore fait le reproche. Mais d’un autre côté, ça la vieillit un peu, et elle dégage un charme un peu trouble. On ne saurait dire si elle a 17 ou 25 ans.

 

- C’est pour quel type de soin ? demande-t-elle à mon mari.

 

Charles hésite à répondre et je mets un certain temps avant de prendre la parole afin de laisser poindre le malaise.

 

- C’est pour une épilation intégrale, dis-je dans un sourire malicieux.

 

Elle jauge Charles d’un air étrange, intrigué par son silence.

 

- Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas aussi douloureux qu’on le prétend, dit elle en l’invitant à la suivre.

 

Mon mari passe dans le couloir devant elle et je réponds au moment de lui emboîter le pas.

 

- De toutes façons, il faut souffrir pour être belle, alors ne vous inquiétez pas pour lui, il peut bien souffrir un peu.

 

- C’est vrai que c’est le lot de toutes les femmes, me sourit elle d’un air complice. Mais j’ai pu remarquer que les hommes étaient plus douillets.

 

Elle nous invite alors à pénétrer dans une cabine.

 

- Mettez vous à l’aise, il y a tout ce qu’il faut dans l’armoire derrière vous, je reviens dans cinq minutes.

 

Aussitôt la porte refermée, Charles se débarrasse de ses vêtements. Je le regarde faire en souriant. Il a hâte de retirer ce plug, il doit absolument l’éjecter de son petit trou avant que Cindy ne revienne. Mais je vais lui compliquer un peu la tâche.

 

Déborah

PS : les noms sont fictifs, ainsi que celui de notre petite esthéticienne, mais nous trouvons plus érotique la lecture de noms « imaginaires » plutôt que l’initiale d’un nom soit-disant réel… nos prénoms sont en revanche bien les nôtres ;-)

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 14:02

 

La rapidité avec laquelle je reçois cette gifle et me retrouve sur tes genoux, me laisse pantois… Ahuri, dis-tu, tu as entièrement raison. Je suis désolé de ne pas t’avoir procuré plus de plaisir en résistant davantage. J’ai tellement peur que cette situation nouvelle ne se désintègre si j’ose m’élever contre toi, tellement effrayé à l’idée que ce rapport de force nouvellement établi entre nous, ne se brise avec mes premières réticences, que j’endure tout sans broncher… Mieux, je l’endure avec zèle… Et toujours avec plaisir. Je vais recevoir la fessée, et depuis que je te suis soumis, j’en rêve nuit et jour… Alors non, je n’ai pas résisté, je ne me suis pas débattu, j’ai attendu sagement le premier coup.

Il n’y a plus aucun bruit, tu veux m’apprendre à obéir, je n’attends que cela, désolé pour ma docilité… Mais ce silence très cérémonieux, ce calme avant la tempête, je le goûte en frémissant de plaisir. Ma queue palpite contre ta cuisse chaude et dénudée. Il fait beau ce jour là, tu n’as pas mis de bas pour sortir, j’ai le privilège d’un contact corporel qui m’est interdit depuis belle lurette.

Et soudain, la première claque… Pas très appuyée, mais surprenante… Ma femme me donne la fessée… Je n’en reviens pas… La seconde est toute aussi érotique, pas encore douloureuse… Je remue imperceptiblement les fesses pour bien me caler, me préparer à une longue et bonne correction… Les suivantes sont un peu plus fortes, un léger picotement m’envahit le postérieur, mais j’ai encore le sourire aux lèvres, et je sens ma bitte se raidir doucement sur la cuisse de ma fesseuse…



 

- Oh, mais dis moi, je rêve ou je sens ta queue qui bande ?

 

Le rythme et l’intensité des coups deviennent subitement plus soutenus.

 

- C’est qu’il aime ça, on dirait. Si j’avais su que tu aimais recevoir la fessée, je te l’aurais donné bien plus tôt, crois moi… Mais on va rattraper le temps perdu, tu vas voir…

 

Ses paroles décuplent mon excitation… Maintenant, je suis bien dur… Et j’ai le cul qui commence à me chauffer sérieusement. Ce ne sont plus des picotements, la souffrance est réelle.

 

- Au salon, l’esthéticienne va bien se marrer en découvrant ton cul tout rouge.

 

Mon dieu, l’épilation… Le salon… L’esthéticienne… Je l’avais complètement oublié ! Les rougeurs auront-elles disparu dans une heure ? Je me doute que non, je cesse de sourire… J’ai peur, j’ai honte, j’ai mal… Je commence à remuer doucement pour signifier à mon épouse que je commence à avoir vraiment mal.

 

- Quel vicieux tu fais, j’en reviens pas. Je te donne la fessée, et tu bandes. Je t’interdis de jouir !

 

- Oui Maîtresse. Pardonnez moi.

 

De toutes façons, je ne bande plus bien longtemps. J’ai trop mal. L’échauffement de la fessée se transforme en brûlure. Je ne tiens plus en place et je sens Déborah qui me recale fermement sur ses cuisses.

 

- Bouges pas mon cochon, j’en ai pas fini avec toi ! Tu la méritais cette fessée… Je vais te la donner jusqu’au bout… Et si l’esthéticienne te demande ce qui s’est passé pour ton cul, tu auras intérêt à lui dire que ta petite femme t’a donné une bonne fessée cul nu (comme je garde le silence, elle me saisit par les cheveux et ajoute d’une voix autoritaire et moqueuse). Compris ?

 

- Oui… Oui Maîtresse, j’ai compris…

 

Ma voix s’étrangle sous l’effet de la douleur, et Déborah cesse enfin… Le silence revient enfin, j’ai le cul qui boue littéralement, et mon sexe est redevenu ridiculement petit.

Charles



Je contemple mon œuvre avec fierté. Les fesses de mon mari sont écarlates. Plus rouges que celles de Lila. Est-ce que je deviendrai plus habile ? Plus cruelle ? Plus perverse ? Les trois probablement…

J’aurai bien continué mais nous allons être en retard… Je me saisis du plug et du lubrifiant qui se trouve sur la petite table devant le canapé, mais en prenant bien soin de ne pas repousser mon époux, toujours allongé au travers de mes cuisses.

Je tartine le plug d’un gel abondant, j’écarte ses fesses sans ménagement, et sans douceur aucune, je plonge l’objet dans son anus encore poilu (pour la première et dernière fois). Je pousse et je tourne délicatement le plug, qui, à mon plus grand étonnement, rentre comme dans du beurre.

 

- Tu vois mon chéri. Après ce que tu t’es pris dans le cul la dernière fois, le plug rentre tout seul, c’était pas la peine d’en faire toute une histoire ! Allez lève toi et va t’habiller, on va finir par être en retard !



 

Il obéit et se lève. Avec le petit plug noir planté dans son cul tout rouge, il est trop mignon. Il m’excite le salaud. Je mouille comme une folle, et je m’en rends compte seulement au moment de partir. Et qui donc pour me faire jouir ? Bordel, il faut que je règle cette question au plus vite… J’en ai trop envie. Je sais maintenant ce que signifie « avoir le feu au cul »… Mais si ma journée se passe comme prévue, cet après midi, un amant devrait pouvoir user de sa lance pour éteindre le feu (lol).

 

Déborah

 

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Vendredi 5 juin 5 05 /06 /Juin 11:05

 

Rébellion, voilà un bien grand mot pour qualifier une petite réticence, d’ailleurs très vite réprimée. Loin de moi l’idée de remettre en question le nouvel ordre établi. Par contre, puisque tu as choisi ce terme, c’est que tu l’as ressenti ainsi… Don’t act…

A l’origine donc de ma… rébellion, il y a, et tu t’en souviens chérie, l’ordre que tu m’as donné avant de partir pour l’institut de beauté… juste avant l’ordre de m’habiller puisque je suis nu en permanence.

 

- Je veux que tu mettes ça pour aller au salon !

 

Tu ne me tends pas alors un pantalon ou une chemise… Non, tu me tends un plug… Je ne me suis jamais enfilé ce genre de « truc » dans le cul, mais après le gode de la semaine passée, nous sommes dans la continuité des exercices d’assouplissement anal. Simplement le moment ne me paraît pas opportun, nous devons nous rendre dans un institut de beauté, (celui que tu fréquentes depuis des années), et tu m’y as pris un rendez vous pour une épilation recto verso de mon intimité. Je me décompose devant l’objet que tu me présentes.

 

- Enfin Deb… Je veux bien porter ce genre de truc… Mais à l’extérieur, vraiment, je sais pas… Et puis pour aller au salon, je peux pas, tu te rends compte un peu ? Ce ne serait pas raisonnable.

 

Charles



 

Oh que oui, je me rends compte… Enfin une contestation, une tentative de résistance… Une rébellion… Je ne l’espérais plus, et pourtant j’en avais diablement envie. J’avais besoin de sentir que tu étais encore un homme avant de te mener à celle qui allait physiquement te transformer en soumis… Besoin de t’affronter, de tester mon autorité, de te rabaisser… Quel plaisir pourrais-je tirer sinon à dominer un type qui n’est qu’une larve ? Quel plaisir à rabaisser un homme qui est déjà au trente sixième dessous ? Je veux que tu ressentes l’humiliation pour pouvoir en jouir… Alors, oui, tu vas te mettre le plug dans le cul, mon chéri, mais en plus, tu vas te prendre une bonne fessée pour avoir osé protester…

D’abord, il y a la gifle, pas préméditée, qui part toute seule quand je vois ta petite face arborer cette moue de donneur de leçon. Je suis désormais la seule à décider si c’est raisonnable ou pas… Tu ne t’y attendais pas, tu t’es décomposé une première fois lorsque je t’ai montré le plug, puis une seconde fois lorsque tu t’es pris cette baffe. Tu te masses la joue en me regardant d’un air ahuri. Ah ce que j’aurais aimé que tu me résistes, j’aurai pris plus de plaisir à te briser. Au lieu de ça, tu me marmonnes un « excuse moi » à peine audible.

 

- Je vais t’apprendre à m’obéir au doigt et à l’œil mon chéri, tu vas voir !

 

Je lui saisis le poignet et l’entraîne vers le canapé. Sans le lâcher, et sans lui laisser le temps de réagir, je m’assieds confortablement et l’attire sur mes genoux. C’est à ton tour de recevoir la fessée.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Présentation

  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
  • :
  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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