La rapidité avec laquelle je reçois cette gifle et me retrouve sur tes genoux, me laisse pantois… Ahuri, dis-tu, tu as entièrement raison. Je suis désolé de ne pas t’avoir procuré plus de plaisir en résistant davantage. J’ai tellement peur que cette situation nouvelle ne se désintègre si j’ose m’élever contre toi, tellement effrayé à l’idée que ce rapport de force nouvellement établi entre nous, ne se brise avec mes premières réticences, que j’endure tout sans broncher… Mieux, je l’endure avec zèle… Et toujours avec plaisir. Je vais recevoir la fessée, et depuis que je te suis soumis, j’en rêve nuit et jour… Alors non, je n’ai pas résisté, je ne me suis pas débattu, j’ai attendu sagement le premier coup.
Il n’y a plus aucun bruit, tu veux m’apprendre à obéir, je n’attends que cela, désolé pour ma docilité… Mais ce silence très cérémonieux, ce calme avant la tempête, je le goûte en frémissant de plaisir. Ma queue palpite contre ta cuisse chaude et dénudée. Il fait beau ce jour là, tu n’as pas mis de bas pour sortir, j’ai le privilège d’un contact corporel qui m’est interdit depuis belle lurette.
Et soudain, la première claque… Pas très appuyée, mais surprenante… Ma femme me donne la fessée… Je n’en reviens pas… La seconde est
toute aussi érotique, pas encore douloureuse… Je remue imperceptiblement les fesses pour bien me caler, me préparer à une longue et bonne correction… Les suivantes sont un peu plus fortes, un
léger picotement m’envahit le postérieur, mais j’ai encore le sourire aux lèvres, et je sens ma bitte se raidir doucement sur la cuisse de ma fesseuse…
- Oh, mais dis moi, je rêve ou je sens ta queue qui bande ?
Le rythme et l’intensité des coups deviennent subitement plus soutenus.
- C’est qu’il aime ça, on dirait. Si j’avais su que tu aimais recevoir la fessée, je te l’aurais donné bien plus tôt, crois moi… Mais on va rattraper le temps perdu, tu vas voir…
Ses paroles décuplent mon excitation… Maintenant, je suis bien dur… Et j’ai le cul qui commence à me chauffer sérieusement. Ce ne sont plus des picotements, la souffrance est réelle.
- Au salon, l’esthéticienne va bien se marrer en découvrant ton cul tout rouge.
Mon dieu, l’épilation… Le salon… L’esthéticienne… Je l’avais complètement oublié ! Les rougeurs auront-elles disparu dans une heure ? Je me doute que non, je cesse de sourire… J’ai peur, j’ai honte, j’ai mal… Je commence à remuer doucement pour signifier à mon épouse que je commence à avoir vraiment mal.
- Quel vicieux tu fais, j’en reviens pas. Je te donne la fessée, et tu bandes. Je t’interdis de jouir !
- Oui Maîtresse. Pardonnez moi.
De toutes façons, je ne bande plus bien longtemps. J’ai trop mal. L’échauffement de la fessée se transforme en brûlure. Je ne tiens plus en place et je sens Déborah qui me recale fermement sur ses cuisses.
- Bouges pas mon cochon, j’en ai pas fini avec toi ! Tu la méritais cette fessée… Je vais te la donner jusqu’au bout… Et si l’esthéticienne te demande ce qui s’est passé pour ton cul, tu auras intérêt à lui dire que ta petite femme t’a donné une bonne fessée cul nu (comme je garde le silence, elle me saisit par les cheveux et ajoute d’une voix autoritaire et moqueuse). Compris ?
- Oui… Oui Maîtresse, j’ai compris…
Ma voix s’étrangle sous l’effet de la douleur, et Déborah cesse enfin… Le silence revient enfin, j’ai le cul qui boue littéralement,
et mon sexe est redevenu ridiculement petit.
Charles
Je contemple mon œuvre avec fierté. Les fesses de mon mari sont écarlates. Plus rouges que celles de Lila. Est-ce que je deviendrai plus habile ? Plus cruelle ? Plus perverse ? Les trois probablement…
J’aurai bien continué mais nous allons être en retard… Je me saisis du plug et du lubrifiant qui se trouve sur la petite table devant le canapé, mais en prenant bien soin de ne pas repousser mon époux, toujours allongé au travers de mes cuisses.
Je tartine le plug d’un gel abondant, j’écarte ses fesses sans ménagement, et sans douceur aucune, je plonge l’objet dans son anus encore poilu (pour la première et dernière fois). Je pousse et je tourne délicatement le plug, qui, à mon plus grand étonnement, rentre comme dans du beurre.
- Tu vois mon chéri. Après ce que tu t’es pris dans le cul la dernière fois, le plug rentre tout seul, c’était pas la peine d’en
faire toute une histoire ! Allez lève toi et va t’habiller, on va finir par être en retard !
Il obéit et se lève. Avec le petit plug noir planté dans son cul tout rouge, il est trop mignon. Il m’excite le salaud. Je mouille comme une folle, et je m’en rends compte seulement au moment de partir. Et qui donc pour me faire jouir ? Bordel, il faut que je règle cette question au plus vite… J’en ai trop envie. Je sais maintenant ce que signifie « avoir le feu au cul »… Mais si ma journée se passe comme prévue, cet après midi, un amant devrait pouvoir user de sa lance pour éteindre le feu (lol).
Déborah
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