Cette salope de Linda boit littéralement mes paroles. Je nourris des doutes sur son endurance à la douleur et son acceptation de tous mes ordres le moment venu, mais je ne peux pas nier qu’elle en a envie. Son regard brille de malice et de désir, elle semble prête à n’importe quoi, je sens l’excitation qui monte en moi.
Soudain, je me rappelle du string que je lui ai ordonné d’enfiler.
- Au fait, ton sous vêtement n’est pas trop petit ?
- Si Maîtresse, hélas, je n’ai pas la taille… De ma nièce… Et je vous avouerai qu’il me fait même un peu mal.
- Et avoir mal, tu aimes cela ?
Je la fixe intensément et elle baisse les yeux en rougissant. Je jubile.
- Oui j’aime cela, finit elle par répondre sans oser me regarder. Mais tout est question de contexte, et je préfère l’humiliation à la douleur pure.
- Il te faut un contexte érotique fort, c’est cela ? Une forte excitation facilite grandement l’obéissance, je l’ai vérifié sur Charles, sur toi, je suppose que c’est la même chose ?
- Oui, tout à fait.
- Je prends note que tu préfères l’humiliation à la douleur, je saurais m’en souvenir. Mais lorsque je domine, je frappe, je gifle et je fesse… Et cela, sans faire semblant, seras tu capable d’endurer mes coups sans être obligée de demander grâce au bout de cinq minutes ?
Je n’ai pas eu l’occasion de relater vraiment les corrections que j’administre à Charles car nous avons fait ce blog d’une manière chronologique, et les premières fessées digne de ce nom datent de l’année qui a suivi notre rencontre au Cap, quelques mois après que je me sois faites baiser par nos deux livreurs. Mais désormais, quand je frappe, je frappe fort… Et ça ma vieille, tu vas vite t’en rendre compte !
Déborah
Enfin, nous abordons le vif du sujet. Me demander si je vais endurer ses fessées, ma pauvre Déborah si tu savais… Evidemment que j’en suis capable, encore que je n’ai jamais été vraiment dominée en dehors de la présence de Caroline qui connaît mieux que quiconque au monde mes véritables limites. Son avertissement m’excite plutôt qu’autre chose.
- Vous ne serez pas déçue, promis-je.
- Je vais tout de suite m’en rendre compte. Je veux que tu passes une main sous ta robe et que tu te caresses.
Voilà le type d’exigence que je me suis mise à raffoler au contact de Caroline. Je suis gênée au début mais au final terriblement excitée. Caroline m’a donné cet ordre des dizaines de fois. J’obéis dans la seconde pour bien lui montrer que je suis prête et que je ne la décevrai pas. Elle en est étonnée, je le vois dans ses yeux, l’espace d’une seconde.
- C’est bien, c’est bon pas vrai ?
- Oui, c’est une sensation très troublante que de se retrouver devant une ancienne amie et devoir lui obéir.
Déborah vide son demi et répond le plus posément du monde. J’aime son calme, sa maîtrise, cet air posé qui lui donne une supériorité indéniable.
- C’est un sentiment très excitant que de voir une maîtresse telle que toi, obéir avec autant d’empressement.
- Et vous n’avez encore rien vu.
- Non, en effet, d’ailleurs à ce propos, montre moi !
Je ne sais pas trop ce que je dois comprendre, je perçois un sous entendus ironique, mais ferme, et lui fait comprendre par un léger froncement de sourcils que j’attends une précision.
- Tes doigts sont bien au contact de ta chatte ? (L’entendre prononcer ce mot magique, « chatte », dans la bouche de cette grande bourgeoise, me fait frissonner ; je réponds un « oui » timide et elle poursuit.) Si tu es aussi troublée que tu le prétends, tes doigts doivent être tout mouillés ?
- Oui, en effet.
- Alors présente les moi ! Je veux sentir ton odeur intime !
Je passe une main dans ma culotte et récolte une abondante quantité de mouille. Je suis trempée et ne m’en étais pas rendue compte. Le string me rentre dans la vulve, me fait mal, me cisaille, et pourtant je mouille. Déborah ne sera pas déçue, elle va pouvoir se rendre compte combien je suis excitée, car je la sens encore un peu réticente à croire en ma soumission.
Néanmoins, au fil de la conversation, je la sens se décontracter, elle ose employer des termes un peu plus crus… Chatte, bitte… Elle a pris l’ascendant, c’est indéniable.
Lorsque je ressors ma main de mes cuisses, que je sens mes doigts tout moites, je suis persuadée qu’elle va voir en moi la salope et oublier enfin la maîtresse qu’elle a connue. Je lui tends ma main en regardant autour de moi, inquiète d’être surprise en flagrant désir, et Déborah s’en saisit avec une grande délicatesse.
Elle les porte à son nez et les respire pleinement.
- Ca alors, c’est incroyable, la situation t’excite vraiment ! relève-t-elle sans dissimuler sa surprise.
- Vous en doutiez ?
Elle porte mes doigts entre ses lèvres et les suce délicatement, puis les retire, satisfaite.
- Il m’est désormais impossible d’en douter, dit elle d’une voix qui a gagné en assurance. Mais avoue que l’on peut nourrir quelques doutes quand on t’a connu avec cette identité de dominatrice, t’entendre aujourd’hui revendiquer celui de soumise. Sache Linda, que depuis que je domine, j’ai rencontré beaucoup de personnes qui fantasmaient la soumission et qu’une fois qu’il la vivait, ne la supportait pas.
- Je sais de quoi vous parlez, mais je ne suis pas comme ça, je vous l’assure, vous ne serez pas déçue avec moi…
- C’est ce que je sens, oui, répond elle en portant une dernière fois mes doigts sous son nez. (Puis elle me lâche et ajoute en guise de conclusion). Voici mon adresse, je t’y retrouve, disons dans une heure !
Linda
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