Mercredi 27 janvier 3 27 /01 /Jan 14:30

Je vois Linda se traîner aux pieds de Déborah et lui lécher les bottes sans même que ma femme ne lui en donne l’ordre.

 

- Oui, brave petite chienne, lèche mes bottes, fais les briller, n’oublie pas les talons, à mes pieds tu es à ta place…

 

Déborah est radieuse, la fierté d’avoir dressé cette femme que je portais aux nues, la rend plus belle et désirable que jamais. Je suis terriblement excité, et fait extraordinaire, je bande sans même avoir eu besoin d’une stimulation physique et manuelle (si vous voyez ce que je veux dire). Je suis très fier d’ailleurs que ma femme s’en soit aperçue. Cela me donne un petit regain de virilité qui n’est pas désagréable. Depuis l’entrée où elle laisse Linda honorer ses cuissardes de sa langue, son regard se porte enfin sur moi et je lui laisse percevoir toute la vénération que je lui porte.


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- Allez ça suffit, fait elle en retirant brusquement son pied de ses lèvres. (Elle s’accroupit face à Linda pour se mettre à son niveau, et lui flatte le museau comme à un animal). Regarde là bas, derrière moi, le joli toutou… Viens je vais te le présenter, ajoute-t-elle en se relevant et en tirant sur sa laisse pour la forcer à la suivre. Tu vois ma chienne, je te présente Charles, un beau spécimen de chien, il est bien dressé, tu sais… Dressé et excité, poursuit elle en me saisissant les bourses. (Il faut dire qu’ainsi attaché, les pieds dans les étriers, les jambes bien écartées, j’offre mon cul et le reste aux regards). Mais j’y pense, reprend Deb d’une voix narquoise. Quand deux chiens se rencontrent, qu’et-ce qu’ils font ? Ils se sentent le cul… Allez ma chienne, viens sentir le cul de mon petit soumis, le cul que tu fouettais il y a encore une heure !

 

Dans la seconde qui suit, je sens le visage de Linda se plaquer contre mes fesses, probablement sous la pression de Déborah.

 

- Allez ma chienne, renifle son cul, ordonne-t-elle en m’écartant fermement les fesses pour rendre mon anus accessible. Vas-y, salope, et te gêne pas pour lui lécher le cul, c’est bon hein !

 

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Pour elle je ne sais pas, mais pour moi, c’est l’extase. Je n’ai pour ainsi dire jamais eu l’occasion qu’une femme me lèche l’anus. Sa langue, douce et chaude me fouille le trou du cul, c’est d’une douceur merveilleuse.

 

- Alors mon chéri, ça te plaît de te faire lécher le cul ?

 

- Oh oui Maîtresse, c’est bon, merci Maîtresse.

 

Cela fait des lustres qu’elle ne m’a pas appelé « mon chéri »… Une posture face à Linda probablement. Mais en ce jour, rien n’est comme d’habitude, je suis sans la quatrième dimension.

 

- Cette chienne, elle sait s’y prendre on dirait ? Et elle aime ça, tu sais… si tu la voyais comme elle te bouffe le cul !

 

Je ne la vois pas, mais je sens qu’elle a posé ses mains sur mes fesses encore brûlantes du châtiment qu’elle m’a administré et qu’elle s’enfonce dans le sillon fessier pour me lécher le plus profondément possible. Je soupire d’aise, je pousse pour m’ouvrir davantage à cette caresse buccale des plus agréables. J’ai son nez et sa langue dans mon cul, jamais je n’ai imaginé Linda dans cette posture. Je suis au bord de l’extase.

 

- T’aimerais qu’elle te bouffe les couilles, pas vrai ?

 

- Oh oui Maîtresse j’aimerai beaucoup.

 

Dans le scénario que Deb’ échafaude, je tiens indéniablement le beau rôle, et je ne vais pas m’en plaindre pour une fois. Elle se sert de moi pour humilier davantage Linda.

 

- Allez la pute, ça suffit avec son cul, tu l’as suffisamment lubrifié, je vais pouvoir l’enculer comme il faut, et lui faire passer l’envie de s’envoyer en l’air avec la première chienne venue.

 

Voilà, j’ai parlé trop vite. Linda demeure à quatre pattes derrière mes fesses trempées de sa salive tandis que Déborah s’harnache du gode que j’ai sucé il y a moins d’une heure. Mais que je n’ai fait que sucer… Tant il est énorme. Je ne m’en suis jamais pris de si gros, celui-ci m’a jusqu’à présent été réservé à l’humiliation d’une bonne pipe. Il me déforme le visage car je n’arrive pas à le prendre totalement en bouche, je finis même par m’étrangler et cela fait bien rire ma Maîtresse. Mais là, elle est en train de l’enduire de lubrifiant et prend déjà position derrière moi.

 

- Oh Maîtresse, je vous supplie, il est vraiment gros et…

 

- La ferme ! (Une baffe violente sur mon cul meurtri réveille en moi la douleur de la correction) Tu as mérité une vraie punition, non ?

 

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Je n’ai pas la force d’approuver tant j’ai peur de souffrir sous les coups de boutoir de ce gode monstrueux.

 

- Réponds moi enfoiré ! Tu t’envoies en l’air avec une chienne sous mon toit pendant mon absence, je crois que ça mérite bien une punition, non ?

 

- Oui Maîtresse.

Je suis tétanisé de peur, mais je n’ai d’autre solution que d’approuver.

 

- Mais comme tu as une bonne maîtresse… Une maîtresse qui ne veut que ton bien, on va faire un petit jeu. Linda va prendre en bouche ta petite bitte mais elle ne te sucera pas, ne fera aucun mouvement, et dans le même temps, je vais te prendre le cul, bien profond, tu auras mal, c’est sûr, tu vas geindre comme une petite fiotte mais comme tu sais que je veux te transformer de plus en plus en petit pédé pour t’offrir à mes amants, cela me ferait grand plaisir que tu jouisses pendant que je t’encule. J’arrêterai lorsque tu auras craché tout ton sperme dans la bouche de Linda.

 

Je reconnais bien là le côté créatif et ludique de mon épouse. Le SM est un jeu pour elle, un jeu de pouvoir et de sexe, un jeu où son rôle ne se cantonne pas à me dominer mais plutôt à imaginer de nouveaux tourments, de nouvelles exigences. Je la savais intellectuelle et cérébrale, depuis quelques années, je la sais aussi perverse et cruelle. Je m’en délecte. Ce dernier petit jeu est d’ailleurs pour moi une porte de sortie forte agréable, dans sa cruauté, elle me tend une perche que je me dois de saisir. La bouche de Linda aura-t-elle raison de l’énorme gode de Déborah ? Je suis si excité que je me dis que le moindre contact des lèvres de Linda devraient suffire à mon plaisir et du même coup à ma délivrance. Cela fait trois semaines que je ne me suis pas touché, trois semaines que je n’ai eu le plaisir de me masturber et jouir devant ma Maîtresse. Dans l’état actuel des choses, il ne me faudra pas grand-chose pour cracher ma semence et du même coup échapper à la brûlure de la sodomie.

 

Charles

 

18d

Déborah me saisit par les cheveux et me tire sans ménagement entre les jambes de Charles de manière à ce que je prenne son sexe en bouche tout en lui faisant face. Je suis accroupie, cuisses bien ouvertes pour qu’elle puisse reluquer ma chatte luisante de mouille. Je veux qu’elle sache que tout cela m’excite au plus point. Ma posture indécente est un appel au regard et comme rien ne lui échappe de toutes façons, elle relève mon état avec ironie.

 

- C’est pratique le fait que tu n’aies aucun poil sur la chatte, on voit au premier coup d’œil combien tu mouilles. Tout ça te plaît bien on dirait, pas vrai ?

 

- Déborah, tu es bien placée pour t’en rendre compte par toi-même. Je suis trempée.

 

- Oui, t’es une vraie salope. Ca te plaît de m’obéir, t’en as toujours rêvé au fond. Allez, prends la queue de mon chéri en bouche, lui aussi ça l’excite, regarde comme il est bien dur. Ca fait des lustres que je ne l’ai pas vu aussi viril. Mais attention, interdit de le sucer, interdit de faire le moindre mouvement, s’il jouit, c’est toi que je punirai, et ton cul dérouillera alors, le sien fera pale figure en comparaison. Tu m’as bien comprise ?

 

- Oui Déborah, très bien.

 

Elle m’adresse un petit coup de menton pour me signifier qu’il est temps pour moi d’emboucher le sexe de Charles, tandis qu’elle positionne son engin énorme entre les fesses de son mari.

 

Linda

 

Par Charles et Déborah - Publié dans : 6. Déborah et Linda
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  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
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  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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