Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 23:34

Tout se conjugue dans ma tête, la douleur, le plaisir, le côté irréel de la situation. Les deux plus belles femmes du monde s’occupent de moi. Mon corps leur est livré en pâture, je suis leur jouet. J’ai dis de mon épouse qu’elle était cérébrale, mais c’est évidemment mon cas également.

Je sens le gode pousser entre mes fesses, les mains de mon épouse, écarter mes chairs et me griffer, la bouche de Linda gober mon sexe.


19
 

- Allez petite lopette, regarde comme ta Maîtresse va bien te casser le cul…

 

Oh merde, sous l’effet de la douleur, je sens ma bitte ramollir, il faut que je jouisse.

 

- Dire que tu m’as tant rabattu les oreilles avec ton fantasme de vouloir m’enculer, poursuit elle en ricanant de plus bel. C’est toi, tous les soirs qui te fait enculer mon chéri…

 

Elle rit, elle a un rire cristalin, juvénile, je récupère un peu de ma virilité… Mais elle exagère, je ne me fais pas enculer tous les soirs, une ou deux fois par semaine, selon son bon vouloir, et jamais avec ce gode monstrueux… La bouche de Linda est chaude, humide et accueillante, si seulement, elle pouvait faire quelques mouvements, ou sortir sa langue. La garce est obéissante, elle joue le jeu…

 

- Hummm, regarde, tu vois, je m’enfonce en toi comme dans du beurre, un vrai cul de pédé… Bien ouvert, mes amants vont adorer te prendre le cul… Ce sera un préliminaire avant qu’ils ne m’enculent. Ah oui, parce que je ne t’ai pas dit, j’adore me faire enculer…

 

Ces mots grossiers dans la bouche de mon épouse, l’image de ma femme à quatre pattes en train de se faire sodomiser, la douceur des lèvres de Linda… Tout se conjugue pour me faire exploser de plaisir. Je ferme les yeux, j’ai mal, je jouis, j’ai le cul explosé, Déborah me l’a mise bien profond, du moins est-ce l’impression que j’en ai, et je déverse dans la gorge de Linda qui s’étrangle un flot de foutre ininterrompu.

 

Charles

 

Mise bien profond… Tu parles… A peine un tiers de ma queue est entrée dans ton petit trou du cul… Le gland dirais-je, à peine plus… Bon d’accord, c’est un gland de titan, mais bon… Je t’entends gémir soudain différemment… pas ce petit gémissement craintif, geignard, douloureux qui te caractérise à chaque fois que je te prends le cul… non, un gémissement d’extase, de libération, de plaisir… Je sais alors que tu viens de jouir !

Conformément aux règles que j’ai fixé je me retire doucement de ton cul, mais ma colère n’est pas tombée, elle va simplement se retourner sur Linda, qui n’a pas su retarder ton plaisir.

 

Déborah

 

Le sperme de Charles me gicle au fond de la gorge avec puissance, et m’arrache un cri de surprise. Je suis toute proche de me retirer, un peu dégoûtée, je dois le confesser. Mais Déborah, vigilante, dompte tout de suite, ce réflexe, déplacé pour une soumise à qui l’on a assigné la position de vide-couilles. Car c’est bien ce que je suis, j’en ai conscience… A cet instant plus que toute autre…

 

- Toi la salope, tu recraches rien, je te préviens…

 

19b

Elle pointe sur moi un doigt menaçant tout en tenant de son autre main, le long gode qui vient de pénétrer Charles. Elle me semble terriblement menaçante.

 

- Et ne t’avise pas à en laisser perdre une goutte !

 

J’en ai plein la bouche, Charles n’en finit pas de se répandre. Après les premiers jets puissants qui m’ont arrosé les amygdales, c’est un mince filet qui s’écoule de son gland, mais un filet gluant, amer, et qui n’en finit plus de me remplir le gosier.

 

- Allez la salope, debout ! (J’obéis) Ouvre la bouche que je vois un peu la quantité de foutre qu’il t’a donné ! (J’ouvre). Humm, le salopart t’a mis la dose… Allez viens avec moi, approche, n’avale pas et n’en laisse pas perdre une goutte, je te préviens…

 

Je la suis en silence, résignée, docile, la bouche pleine du foutre de son époux. Elle me conduit en me tenant en laisse pour faire face à Charles, qui lui, affiche un sourire radieux. Elle aussi d’ailleurs… Elle approche le gode de la bouche de Charles et en tirant sur ma laisse m’oblige à m’approcher également de la bitte en latex. Je crois deviner ce qu’elle souhaite.


19c
 

- Allez la petite fiotte, taille moi une pipe ! Faut t’entraîner, bientôt, tu auras à sucer les queues de mes amants !

 

Le sourire radieux de Charles s’efface et laisse place à une mine dégoûtée. Cela réjouit Déborah.

 

- Ben quoi, fais pas ta mijaurée… Tu vas voir comme c’est bon une bonne queue. (Et elle enfonce le gode entre ses lèvres, puis s’adressant à moi, elle ajoute.) Et toi la salope, tu vas déverser ton sperme doucement sur mon gode… Je veux que ma queue sente le foutre… Qu’il ait l’impression que je lui éjacule dans la bouche.

 

Charles roules des yeux, écoeuré lorsque je commence à saliver sur le gode. Déborah sourit, aux anges, et enfonce le gode plein de sperme dans la bouche de son mari. J’ai une telle quantité de foutre dans la bouche que je mets bien une minute à tout répandre sur la queue de Déborah.

 

- Oui, petite lopette, tu sens comme ta Maîtresse vient d’éjaculer. Bois mon jus enfoiré, bois tout. Nettoie moi ce gode.

 

Ses va-et-viens s’accélèrent. Elle se saisit de sa nuque et lui enfourne tout le gode, m’obligeant à verser le sperme qui me reste en bouche sur son menton et ses joues.

 

- Oui, m’encourage Déborah, crache lui dessus à ce salopart. Et toi, mon chéri, suce moi bien, oui, vas-y, c’est bon.

 

Charles, comme par enchantement, accélère le mouvement, bave comme un chien, fait preuve de gourmandise, suffoque mais indéniablement, prend plaisir… Pourtant, le gode est énorme, ses joues sont déformées, et il s’étrangle. Mais devant le plaisir affiché de sa Maîtresse, il prend peu à peu plaisir à bouffer la queue qui vient de lui fouiller le cul, toute souillée qu’elle est de son propre sperme… C’est beau l’amour…

 

Linda.

 

19D

Je laisse le mot de la fin à Linda, car nous aimerions passer à autre chose, même si, nos ébats, ce jour là, ce sont prolongés bien tard dans la nuit, se poursuivant au-delà d’un repas mémorable et copieusement arrosé. Pour mémoire, Linda fut attachée, fessée durement, sur mes genoux, devant Charles qui n’en a pas perdu une miette, et a passé une nuit dans un cachot... Une première pour elle. Je n’ai appris que le lendemain son passé de soumise avec cette jeune maîtresse, mais cela m’a un peu refroidi… J’aurais aimé avoir été la première. Maintenant, étant donné son degré de soumission, son endurance, sa motivation, je comprends mieux… Mais du coup, nous avons eu là encore une aventure sans lendemain… Je suis une femme exclusive, je ne partage pas… Toutefois, nous avons gardé le contact, avons entretenu des relations amicales, et avons suivi son blog qui nous a inspiré pour le notre.

Je l’ai « épaulé » dans sa relation naissante avec Sora, bien qu’étant intimement persuadée que celle-ci était vouée à l’échec, je l’ai soutenu lorsque Caroline l’a quitté, et enfin recueilli lorsqu’enfin « libre et orpheline », elle m’a fait la Cour, comme une dame, avec élégance et subtilité. Et depuis quelques mois, nous avons noué une relation passionnelle, depuis la naissance de ce blog en fait, vous l’aurez sans doute deviné… D’où son ombre qui plane sur ce blog, sa rubrique, et ses interventions régulières…

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 6. Déborah et Linda
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  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
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  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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