1. Le jour où tout a basculé

Mercredi 25 février 3 25 /02 /Fév 17:50

 

Lila porte une mini jupe et rien en dessous. Je le sais, elle s’est penchée dans les escaliers alors que je me trouvais en contrebas. Après le sourire explicite en guise de bonjour et les œillades qui ont suivi, je sais qu’elle ne me repoussera pas.

Je chasse les dernières pensées de culpabilité et me dis au contraire que c’est maintenant ou jamais. J’ai prétexté une bonne migraine pour rester au lit, j’ai même demandé à ma femme d’appeler le bureau pour excuser mon absence. Je ne peux décemment pas revenir en arrière, c’est maintenant ou jamais… J’ai pris une douche et j’ai accueilli Lila avec la même serviette autour de la taille que deux jours plus tôt… Comme s’il s’agissait d’un signal… Et celui-ci fut reçu 5 sur 5 car dans le quart d’heure qui a suivi, elle m’interpellait depuis les escaliers.

 

- Monsieur ! Me permettez vous d’aller dans votre chambre pour y passer l’aspirateur ?

 

D’habitude, elle ne me demande pas… Bon c’est vrai que d’habitude, je ne suis pas là à attendre, à moitié nu dans le salon… Mais d’habitude, elle ne tourne pas du cul comme elle le fait, et elle ne se penche pas de cette façon pour m’exhiber son postérieur magnifique. Et d’habitude elle porte une culotte… Cela, j’en suis sûr. Alors je lui emboîte le pas, le feu aux joues, tel un petit garçon qui s’apprête à commettre une grosse bêtise… Mais la bêtise n’est rien au regard de ce cul que je vais pouvoir défoncer.

 

Charles

 

Et non mon chéri, la bêtise n’est pas rien… Pour un cul défoncé et donc une petite bitte dans un petit trou, moi, c’est plus d’une centaine que j’ai reçue depuis. Le vilain garçon a commis une grosse bêtise et la punition a été très sévère… Au-delà de tout ce que tu pouvais imaginer…

Le coup de la migraine, tu me l’as fait une fois, depuis, tu y as droit tous les soirs, enfin les soirs où je t’autorise à partager mon lit… Ce lit où tu as osé coucher une autre que moi… Ah j’enrage rien qu’à l’imaginer gémir sous tes coups de reins… Mais ce furent les derniers mon salaud ! Les derniers coups de reins et les derniers plaisirs donnés à une femme… La dernière fois aussi que ta bitte a pu visiter une chatte… Tu dois bien le regretter aujourd’hui que ta petite queue ne te sert plus qu’à pisser ?

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 1. Le jour où tout a basculé
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Lundi 23 février 1 23 /02 /Fév 11:30

 

Lila est super bandante ce matin. Cela fait deux semaines que je lui fais des avances. Oh rien de fabuleux, je ne lui fais pas du « rentre dedans », je suis plutôt bien éduqué et réservé. Ce sont des sourires, des attentions, des compliments, des regards aussi. Plusieurs fois, elle m’a surpris en train de la détailler. Avant-hier déjà, pour passer l’aspirateur, elle portait une petite blouse moulante assez courte, qui me laissait percevoir les marques de sa culotte, très échancrée, à chaque fois qu’elle se penchait. J’ignorais alors quand ma femme devait rentrer, je n’ai pas osé courir le risque… Mais ma décision s’est prise à cet instant précis, lorsqu’elle s’est retournée et qu’elle m’a souri, histoire de me faire comprendre qu’elle avait bien repéré mon petit manège, et que celui-ci ne lui déplaisait pas. J’ai aussitôt pris une douche pour me calmer, mais il m’a fallu une vigoureuse masturbation pour me chasser de la tête la vision extatique de son cul s’empalant sur ma queue dressée.

Lorsque je sors de la douche, c’est moi qui cette fois, surprend son regard sur mon corps ruisselant. Je suis uniquement vêtu d’une serviette et je vois une lueur perverse dans ses yeux, une incitation au viol, un désir ardent de voir l’unique rempart vers mon sexe, se dénouer le long de ma taille et tomber à mes pieds. Je suis fier et un peu surpris de lire ce désir dans le regard de cette superbe jeune femme, plus jeune que moi, plus jeune que ma femme.

 

Charles

 

Ah quel salaud, je le crois pas de lire ça… Je suis plutôt bien éduqué… Ben voyons, est-ce dans l’éducation des jeunes hommes que de se taper leur bonne ? Est-ce une bonne éducation que de vouloir à tout prix sodomiser son épouse et la tromper parce qu’elle s’y refuse ? Nous ne sommes plus au 19ème siècle lorsque les jeunes fils de famille se déniaisaient entre les cuisses de leur personnel de maison, le 20ème siècle a donné l’égalité aux femmes, le 21ème sera celui de leur supériorité.

Et puisque tu parles d’éducation, il te faudra détailler celle que je t’ai donnée depuis ton incartade avec la petite Lila… tu ne risques plus de susciter le désir chez une femme, tout juste son hilarité lorsque son regard se portera sur ton sexe minuscule, recroquevillé dans sa cage, soigneusement épilé.

Quant à la vision extatique d’un cul s’empalant sur une queue dressée, tous les soirs, sous notre toit, un cérémonial humiliant me permet d’admirer ton petit trou se faire défoncer par mes soins, mais je n’irai pas jusqu’à dire que c’est une vision extatique.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 1. Le jour où tout a basculé
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Vendredi 20 février 5 20 /02 /Fév 00:46

 

Pourquoi ai-je autant fantasmé sur la sodomie ? Deb a raison, les levrettes que je lui imposais n’avaient d’autre but que de tenter de forcer le passage de son cul ? Pourquoi cette obsession ? La beauté de son cul peut être ?

En tous cas, c’est cette lubie qui m’a poussé à regarder d’autres culs que celui de ma chère épouse. Quand il y a eu une compression de personnel dans la boîte, deux femmes du personnel d’entretien ont été renvoyées. L’une d’elle avait un joli cul, plusieurs fois je m’étais surpris de penser que je la baiserai bien. Hypocritement, je lui ai proposé de faire des heures de ménage chez nous… Je savais qu’à la moindre occasion je lui ferai des avances… Oh ce ne serait pas un viol, ce n’est pas mon genre, ce ne serait même pas un chantage, si elle refuse je me jurai de ne pas la renvoyer… Juste une possibilité de prendre une femme par le cul une fois dans ma vie. Cela se ferait chez moi, dans le lit conjugal, car ce ne serait pas Lila que je sodomiserai, mais ma femme…

 

Charles

 

Régalez vous des propos que mon cher mari vient de vous tenir : ce sont les derniers que vous pourrez lire de cette teneur. Cela fait dix ans qu’il est obsédé par mon cul, et il l’est aujourd’hui plus qu’hier… Mais il y a une différence majeure entre hier et aujourd’hui… Hier, il pouvait nourrir l’espoir insensé mais réalisable de me prendre le cul… un jour où j’aurais eu follement envie de lui faire plaisir… un jour où j’aurais trop bu… un jour où je me serai sentie chienne… Cela s’est réalisé… que je me sente chienne j’entends… Mais hélas pour mon époux, pas avec lui…

Aujourd’hui, c’est lui qui se prend des bittes dans le cul… Délicieux retournement de situation n’est-ce pas ? O pas des vraies, pas encore, ça viendra bien un jour, juste mon gros gode ceinture, celui que je porte actuellement à la taille et que suce mon époux sous le bureau alors que je tape ce petit billet. Il me suce comme un pied, je ne sens rien du tout, je finirai même par l’oublier s’il n’y avait pas ce bruit de succion très humiliant que je lui impose.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 1. Le jour où tout a basculé
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Mercredi 18 février 3 18 /02 /Fév 09:57

 

Puisque je dois confesser ma vie et mes travers sans le moindre travestissement, je dois reconnaître qu’aujourd’hui, je récolte ce que j’ai semé.

Nous avions une vie bien rangée, sexuellement stable, levrette –cuni- pipe, un peu trop à mon goût, mais je n’avais pas à me plaindre, Deb ne me faisait pas souvent le coup de la migraine. Deb est le surnom de mon épouse, vous l’aurez compris.

J’ai 39 ans, je viens d’être promu dans ma boîte au rang de directeur, j’ai des fantasmes plein la tête, et une débordante vigueur sexuelle lorsque des événements bien regrettables vont se produire dans notre vie… Encore que aujourd’hui, je n’ai rien à regretter, ce sont ces événements qui m’ont fait devenir ce que je suis, et pour rien au monde je reviendrai en arrière…

 

Charles

 

Si une débordante vigueur sexuelle, c’est d’avoir envie de baiser tous les soirs, alors je confirme, monsieur se collait à moi tous les soirs, se frottait sur ma cuisse chaude et dénudée, et attendait que je m’astreigne au devoir conjugal. Mais dix minutes plus tard, dodo… Pour ce qui est de grimper au rideau, je pouvais repasser.

Et si avoir des fantasmes plein la tête, c’est de tenter tous les soirs de passer par la porte de derrière, alors là aussi, je confirme, cela tournait à l’idée fixe chez lui. Mais je n’ai jamais cédé.

Moi, j’ai donc 29 ans, je suis l’épouse fidèle, qui rentre tous les soirs pour préparer la popote, corriger des copies (je suis prof) et repasser les chemises de mon mari. Mais comme je suis cultivée, intelligente, de bonne compagnie et au physique très agréable, j’ai le droit d’accompagner mon mari à ses soupers d’affaire. IL paraît même que j’y brille et certaines mauvaises langues avancent que mon charme n’est pas étranger à la promotion de mon époux.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 1. Le jour où tout a basculé
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Lundi 16 février 1 16 /02 /Fév 20:32

 

Au commencement de notre histoire, vit un couple des plus équilibré : Déborah, 29 ans, blonde, un corps de déesse, mais avec des formes comme il faut où il faut, ce qui la rend sensuelle et gourmande. Ce n’est pas un mannequin anorexique, elle a un cul bombé à souhait, de longues jambes, des seins hauts perchés, fermes et ronds, un regard d’allumeuse quand elle a envie de faire l’amour, un sourire carnassier, et un regard qui sait en dire long sur ses intentions et son caractère. Dés le départ, j’ai été charmé par cet air déluré qui me laissait promettre de belles parties de jambes en l’air.

 

Charles

 

Ah les hommes sont bien tous les mêmes, il suffit d’un regard explicite, d’une jupe un peu courte, ou d’un décolleté pigeonnant pour les accrocher dans nos filets. Moi la description que je ferai de mon mari au début de notre mariage est beaucoup moins axée sur le physique. Certes, il n’est pas doté d’un physique désagréable, surtout depuis que je surveille son régime alimentaire, son hygiène de vie, que je le force à faire un peu de sport et de muscu… Non, moi, j’ai aimé son côté rassurant (il a 10 ans de plus que moi), son éducation, sa façon de me faire la cour, sa grande intelligence… Et le fait qu’il ait été le seul, le soir de notre rencontre, à ne pas avoir lorgné sur mes seins… trop largement exposés ce soir là.

J’étais encore étudiante lorsque nous nous sommes mariés, l’attrait de l’âge, de la sécurité et du confort matériel ont achevé de me convaincre qu’il était un bon parti… Mais ne me prenez pas pour autant pour une femme vénale dépourvue de sentiments… ;-)

 

Déborah.

Par Charles et Déborah - Publié dans : 1. Le jour où tout a basculé
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  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
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  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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