Charles : je souhaite la bienvenue à tous les internautes qui auront atterri ici sur mon blogg en
suivant le lien que Linda aura bien voulu laisser sur le sien. Je sais l’audience de son blogg et le coup de pouce que cela peut représenter pour le lancement du mien. Aussi, pour ce premier
billet, je voulais rendre hommage à leur blogg extraordinaire, à leur relation hors du commun, en copiant leur rubrique et me présenter un peu à leur manière, sous la forme de ces dialogues qui
ont rythmé leurs écrits tout au long des trois années passées en leur compagnie.
Linda : Mais il n’y a pas sur ce blogg que les internautes qui ont suivi le lien depuis « la vie intime d’une bourgeoise
soumise », alors entre donc dans le vif du sujet.
Charles : Vous l’aurez donc compris, pour ce premier billet, je rends hommage à Linda qui m’a fait le plaisir d’accepter ce petit
entretien.
Linda : Mais c’est tout à fait naturel dans la mesure où nous sommes de vrais amis, que nous nous connaissons depuis maintenant 6 ans, et que vous
êtes passé plus d’une fois entre mes cuisses pour y recevoir une copieuse fessée… A l’époque où je ne perdais pas la moindre occasion pour les administrer.
Charles : Ah Linda, vous avez le don d’entrer tout de suite dans le vif du sujet. Je suis un homme soumis, très soumis.
Linda : Je confirme… Vous êtes aussi soumis qu’Eric (mon mari). Et vous avez une femme qui vous domine et vous trompe en même
temps.
Charles : Tout a fait. J’ai à peu de chose près le même âge que vous, nous avons les mêmes goûts, nous nous sommes rencontrés au Cap dans une boîte
échangiste lors d’une soirée très particulière que je raconterai peut être un jour, et nous sommes restés en contact depuis. J’ai suivi vos pérégrinations avec Caroline depuis le début puisque
vous avez eu la gentillesse de nous confier votre « revirement » dés le départ. Cela m’a personnellement très surpris étant donné votre caractère très affirmé. Mais pour avoir rencontré
Caroline une fois, je peux aussi confirmer que la demoiselle est un phénomène au niveau du caractère et de l’autorité. Je comprends qu’elle vous ait fait plier.
Linda : Oui, la page est aujourd’hui tournée, et bien tournée. Mais c’est votre histoire que vous voulez relater ici, c’est votre blogg, alors pouvez
vous nous dire un peu ce que nous allons y trouver, enfin moi je le sais, mais pour nos amis internautes… Mettez leur l’eau à la bouche.
Charles : Votre vie, votre relation avec Caroline, votre blogg nous ont beaucoup inspiré ma femme et moi. Aussi, avons-nous décidé de relater nous
aussi notre histoire sur internet…
Linda : Nous ?
Charles : Oui, car nous essaierons de publier chacun notre tour notre point de vue sur notre vie et les situations que nous avons vécues. Un blogg
écrit à quatre mains en quelque sorte, le point de vue du mari soumis et de sa femme dominatrice. C’est moi qui en ai eu l’envie et l’idée, mais c’est Déborah qui a pris la décision. C’est elle
qui décide de tout dans notre couple depuis presque 8 ans.
Linda : Mais vous m’avez confié que cela fait aujourd’hui 15 ans que vous êtes mariés, cela n’a donc pas toujours été le
cas ?
Charles : Non, en effet, nos premières années de mariage sont tout ce qu’il y a de plus classique, c’est un incident de ma part qui a failli mettre
un terme à notre mariage et qui a en fait orienté notre couple dans une autre direction…
Linda : Celle qui est la votre aujourd’hui, et que vous assumez pleinement.
Charles : Oui, je suis un mari trompé, cocu si vous préférez les termes un peu crus que je n’hésiterai pas à employer lorsque je raconterai notre
histoire. Et déjà lors de notre rencontre, il y a six ans, alors que j’étais régulièrement cocu, Deborah me dominait totalement.
Linda : Si bien qu’aujourd’hui vous êtes cocu et soumis, d’où ce titre pour votre blogg.
Charles : Totalement.
Linda : C’est le cheminement de cette relation que vous allez exposer ici sans la moindre pudeur. Soyez conscient que vous allez essuyer bien plus de
critiques, railleries et moqueries que d’encouragements. Je suis bien placée pour le savoir.
Charles : Je m’en doute, oui. Mais nous assumons totalement. Nous avons la même démarche que vous, je pense. Le blogg, Déborah l’a accepté pour
m’humilier davantage. Et quant à moi, je peux révéler que vous avez accepté de relire mes publications afin de les corriger, ce à quoi je ne serai jamais assez reconnaissant.
Linda : Dans la mesure où je n’ai plus de blogg et que vous avez accepté de me laisser un espace d’expression sur le votre, c’est à moi de vous dire
merci.
Charles : C’est un honneur pour moi d’avoir une rubrique qui porte votre nom, qui transmettra vos pensées, vos idées, vos écrits, si vous vous
décidez à les passer sur ce blogg.
Linda : Cet espace de liberté m’a séduite… Vous m’avez séduit tous les deux. Votre histoire évoque une passion toute aussi dévorante que celle que
j’ai pu partager avec Caroline. Et notre ancienne amitié a achevé de me convaincre.
Charles : Et nous aurons, Déborah et moi, la même démarche que vous aviez pour raconter vos aventures, puisque nous écrirons avec plusieurs années de
recul… Enfin, vous, c’était de quelques mois.
Linda : Je trouve cette idée de faire participer votre épouse et maîtresse vraiment excellente.
Charles : Merci mais je n’ai pas eu de mal à convaincre Déborah pour écrire. C’est une intellectuelle, et une grande amatrice de littérature. Elle a
une très belle plume vous savez.
Linda : Je sais, elle n’est pas prof pour rien. Et il n’y a pas que la plume qui est belle chez elle. Elle est resplendissante, magnifique,
sensuelle, vous avez beaucoup de chance de l’avoir pour femme.
Charles : Ah Linda, ce que vous dîtes là est bien cruel puisque vous savez que je ne suis plus autorisé à lui faire l’amour depuis des années. Mais
assez dialogué, j’ai déjà abusé de votre précieux temps, Sora vous lance un regard noir depuis l’étage, je crois qu’elle s’impatiente de vous coucher entre ses cuisses… Quant à moi, Deborah me
veut à la maison lorsqu’elle rentrera de chez son amant, je suis déjà en retard. Je vous remercie de vous être prêté à ce petit jeu, et vous dit à bientôt ici sur ce blogg lorsque vous
manifesterez le plaisir de vous y exprimer.
Voilà, je rentre, je suis à la bourre, je serai peut être puni… Pendant que j’étais dans
l’appartement cossu de Linda et Eric, mon épouse se faisait prendre dans un hôtel sordide par un amant que je ne connais pas encore. Et c’est cette relation étrange et passionnelle que je vous
propose d’étaler ici, sur la place publique, depuis son commencement à nos jours…
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