Vendredi 15 mai 5 15 /05 /Mai 10:05

                  

Les frémissements d’une érection… Il ne te faut pas grand-chose pour bander mon chéri… Quelques mots suffisent à ton plaisir, j’en ris de bon cœur au moment de taper ces mots sur mon clavier. Mais il faut dire que depuis que tu vis sous ma coupe et ma dépendance, ton plaisir dépend uniquement de mon bon vouloir. Tu es frustré à un point que peu d’internautes peuvent imaginer (ou seulement en fantasmes et c’est différent), cela te rend réceptif, obéissant et… très facile à exciter…

Mais je m’égare, les internautes n’ont que faire de tes atermoiements, ils veulent savoir comment j’ai passé mes nerfs sur cette garce de Lila.

Elle me fait face mais elle est au bord de l’évanouissement.

 

- Que… Que faîtes vous ? demande-t-elle d’une voix fébrile.

 

Pour toute réponse, je tire d’un coup sec sur son jogging. Elle laisse échapper un cri de surprise et d’indignation mais elle est maintenant en petite culotte devant moi. Je ne lui laisse pas le temps de réagir, protester ou résister. Je l’attire d’un coup entre mes cuisses, en position pour la fessée.

 

- Mais enfin, vous êtes folle !!!

 

Courbée sur mes genoux, le jogging sur les chevilles, Lila me présente un joli cul bombé, et ce que j’ai pris pour une culotte de face se révèle être un string côté pile. Je n’ai même pas besoin de la déculotter pour lui administrer cette fessée tellement méritée.

 

- Arrêtez, vous n’avez pas le droit, vous avez perdu la tête.

 

Ma petite salope reprend ses esprits un peu trop vite à mon goût. Mais elle a aussi oublié un peu vite la lettre que je peux remettre à son agence. Je me charge de le lui rappeler, puisque je suis si « douée pour menacer les gens ».

 

- Vous allez vous calmer et je vais vous donner une bonne fessée…

 

- Non mais ça va pas, proteste-t-elle en se contorsionnant sur mes cuisses pour tenter de me faire face.

 

La garce a décidément retrouvé très vite son aplomb. Je me vois mal infliger ma première fessée sur un postérieur remuant, sur une victime non consentante. Mais je ne renonce pas. Je me saisis de son menton, puisqu’elle veut me faire face, et je plonge mon regard dans le sien.

 

- Soit je vous donne cette fessée et vous n’entendrez plus parler de moi, soit je dépose la lettre à l’agence en sortant de chez vous ! (Ma voix est incroyablement ferme, j’en suis surprise moi-même). Alors ? Que décidez vous ?

 

Pour toute réponse, elle rougit et baisse les yeux. Je la relâche et elle se positionne au travers de mes genoux, le visage enfoui dans l’accoudoir, honteuse et humiliée comme jamais elle ne l’a été auparavant. Enfin je l’espère. J’admire ses fesses superbes, et je me dis alors que bientôt je vais les rougir. Je suis dans un rêve, non, dans un fantasme, je vais me réveiller. Il n’y a que dans mes délires les plus extravagants que je me voyais administrer une fessée à Lila… La femme qui a baisé avec mon mari, la pute qui m’a fait cocue… La garce, la salope… Ces pensées m’aident à donner la première gifle… Les suivantes viennent avec la régularité du métronome, comme si j’avais fait ça toute ma vie. Je m’en faisais tout un monde, mais la fessée n’a rien de si extraordinaire… Pour celle qui la donne en tous cas.

Les claques, mal assurées au début, pleuvent sur ses fesses à un rythme de plus en plus soutenu. J’adore ça… Une douce chaleur a remplacé la boule que j’avais au ventre avant de venir. Si ça continue, dans peu de temps, je vais mouiller, je le sens.

Lila ne dit rien, elle endure avec courage et en silence. Peut être que je ne tape pas assez fort, pourtant ses fesses commencent à rougir doucement. Je décide d’appuyer mes coups un peu plus. L’effet est presque immédiat. A la seconde gifle rasante, Lila émet enfin un gémissement. Salope, tu vas avoir mal à la fin ! Car c’est bien là un des objectifs tout de même : la faire souffrir ! L’autre objectif étant de me faire la main (jamais cette expression n’a si bien porté son nom) avant de m’attaquer à mon mari.

Je commence à avoir mal aux poignets, et à ressentir un engourdissement dans la main quand Lila se met à gigoter. Mais je n’en ai pas fini avec elle.

Je la recale fermement sur mes cuisses et de cette voix dure et autoritaire qui ne me quitte plus, je lui lance.



 

- Arrête de bouger, veux tu !!!

 

Je l’ai tutoyé, va-t-elle réagir ? Je suis conne, elle est cul nu en train d’être corrigée comme une vulgaire gamine, ce doit être le cadet de ses soucis. Sa docilité m’encourage à aller plus loin, à taper plus fort et à me montrer plus cassante, voire plus vulgaire.

 

- J’en ai pas fini avec ton cul. Mon mari t’a pris par le cul salope, moi, je vais te le rougir ! Tu ne pourras plus t’asseoir sans penser à la belle fessée que je t’ai mise.

 

Elle ne dit rien, j’aurais aimé qu’elle me demande pardon, qu’elle me supplie, qu’elle m’appelle Maîtresse… Je la fesse à toute volée, très fort, très vite… 5, 6, 10 fois… Et enfin, elle crie. Elle ne veut pas me faire ce plaisir de m’implorer, mais pourtant elle n’a pas le choix, elle l’ignore encore, mais je ne cesserai que lorsqu’elle m’aura supplié de cesser.

Son cul est maintenant écarlate. Je suis fière de lui avoir mis les fesses dans cet état, fière et excitée. Je ne pensais pas prendre du plaisir à punir quelqu’un. Mais je dois avouer que ce plaisir est réel, et qu’à l’état de ma culotte, je ne peux même pas affirmer qu’il s’agisse d’un plaisir uniquement psychologique.

 

- Arrêtez je vous en prie !

 

Lila craque enfin. Elle crie désormais à chaque fois que ma main s’abat sur son cul.

 

- Arrêtez, je n’en peux plus… Ca fait trop mal… Je vous en prie… Aïe…

 

Ses suppliques sont ponctuées de pleurs. Elle ne simule pas, elle a vraiment mal et les rougeurs écarlates sur ses fesses peuvent en témoigner. J’ai gagné, j’arrête le châtiment. Je me rends compte que je devais frapper fort car le bruit de mes gifles ne couvre plus désormais les pleurs de Lila. Cette garce reste sur mes cuisses, à hoqueter de honte, à pleurer toutes les larmes de son corps, pétrifiée par l’humiliation qu’elle vient de subir, en attente d’un ordre nouveau.  J’en profite pour admirer ses fesses sublimes, ainsi rougies. Je n’ai rien à envier aux photos de culs rougis qui se trouvent dans les revues… Oui, je suis fière de moi, je suis une vraie Maîtresse désormais… Capable de dominer et de châtier… Et là, je viens de châtier un corps impur… Je suis une déesse. Décidément, j’adore cette nouvelle vie.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 3. Un mari soumis et humilié
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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 18:55

 

Lila vit dans un petit appartement de la banlieue nord. Cela fait vingt jours que je ne l’ai pas revu, elle n’a pas eu l’audace de se représenter chez nous depuis ce « fameux jour ». Cela fait vingt jours mais ma colère est intacte, logée au fond de moi, formant une boule à l’estomac. Lorsque je sonne chez elle, je suis conditionnée et remontée comme un coucou. Il y a trois semaines, je ne m’aurais jamais cru capable d’une telle confrontation. J’ai gagné en assurance, je suis devenue Maîtresse depuis… Finie la femme bafouée et cocufiée. L’heure de la revanche a sonné !

J’ai l’avantage de la surprise pour moi. Lorsqu’elle ouvre, elle se décompose littéralement. Elle est célibataire, et visiblement, lorsque je m’impose pour entrer chez elle, il n’y a personne. Cette salope vit seule et c’est tant mieux pour ce que j’ai prévu. Si elle avait été avec quelqu’un, je me serai contentée de lui remettre la lettre que j’ai écrite, là, je vais avoir droit à une franche explication.

Quand elle réagit, je suis déjà entrée.

 

- Que voulez vous ? demande-t-elle d’une voix peu assurée en fermant la porte derrière moi.

 

Il me faut tout de suite m’imposer, lui montrer qui tient les rennes. J’ai tous les atouts en main, il me suffit de les abattre avec intelligence, et que je montre persuasive.

 

- Je suis venue vous remettre une copie de la lettre que je vais déposer à votre agence.

 

Et je lui tends la lettre, où je dénonce l’acte qui m’a obligé à la renvoyer. J’y écris que je l’ai surprise en train de forniquer avec mon mari, dans le lit conjugal. Rien n’est inventé, ce n’est que la stricte vérité, mais avec une telle déclaration, elle n’est pas prête de retrouver du travail comme femme de ménage. Je l’observe lire avec attention. Elle est mignonne, elle est jeune, et cela contribue à ma colère. Elle porte un jogging qui ne la met pas en valeur, mais du haut de ses 25 ans, elle n’a pas besoin d’une mini jupe et d’un décolleté pigeonnant pour attirer les hommes. Cette garce est drôlement bien fichue.

 

- Vous n’allez pas remettre cette lettre à l’agence ? finit elle par dire avec des trémolos dans la voix. Si vous faîtes ça, je serai grillée, ils vont m’éjecter de leurs listes et je ne pourrai plus retrouver de boulot.

 

Elle est terrifiée, je sais alors que j’ai gagné. Je me détends et me permets un sourire à la fois ironique et vengeur.

 

- Je suis venue pour peut être vous éviter le pire… Je peux m’asseoir ?

 

Je n’attends pas sa réponse, qui tarde, car elle est déstabilisée, et je prends place dans le minuscule canapé deux places qui face à une télé format poche.



 

- Si vous le souhaitez, je pourrai venir faire votre ménage gratuitement…

 

Ma pauvre petite Lila, l’argent n’est pas un problème pour nous… Mais elle est disposée à des sacrifices, je ne lui ai rien demandé que déjà elle cherche à se racheter, c’est de bon augure pour la suite.

 

- J’ai des questions d’abord, puis ensuite je vous donnerai mes exigences.

 

- Je vous écoute, déglutit elle avec difficulté.

 

Je n’en attendais pas moins. Elle s’assied sur une chaise en paille, n’osant pas venir à côté de moi, et pose religieusement ses mains sur ses cuisses, comme une petite fille qui veut se donner des airs de première de la classe. Je la regarde intensément pour la mettre mal à l’aise, et elle baisse les yeux. Elle a un beau visage, un teint méditerranéen que j’attribuerai à une origine italienne.

Je lui pose alors une série de questions sur la relation qu’elle entretenait avec mon mari. Je veux savoir s’ils baisaient déjà ensemble avant que nous l’embauchions, s’ils avaient une relation au boulot, s’ils s’étaient déjà envoyés en l’air avant que je ne les surprenne. Elle répond à toutes mes questions avec les larmes aux yeux, et la voix tremblante d’émotion. Elle est au bord de la crise de nerfs.

 

- Vous savez, je le vis mal, je regrette tous les jours ce qui s’est passé…

 

Je ne peux pas lui dire que je le vis plutôt bien, et que depuis je tire profit de la situation…

 

- Je regrette aussi pour votre mari, il ne faut pas lui en tenir rigueur, c’est un homme bien.

 

C’est le mot de trop. Charles, un homme bien… Oui, c’est ce que je pensais aussi avant. Mais il m’a trahi, et même si ça n’a été qu’une fois, comme vient de me le jurer Lila, je ne le considère plus comme un homme bien. J’ai envie de le rabaisser plus bas que terre, et c’est ce que je fais tous les jours depuis 3 semaines. Une idée fait alors son chemin dans mon esprit : le rabaisser devant son ancienne maîtresse.

 

- Vous savez, depuis ce jour là, mon mari me montre tous les jours qu’il tient à moi. Je ne vous cache pas l’avoir menacé de divorcer mais comme il a dit m’aimer, depuis, il fait tout ce que je dis.

 

- Ah ! fait elle, suspicieuse ou impressionnée, je ne saurai dire. Décidément, vous êtes très douée pour menacer les gens.

 

La salope, comment se permet elle cette remarque. Ca me met hors de moi, et d’un coup, je tends la main et lui décoche une gifle retentissante. Je ne retiens pas mon bras, et elle tombe de sa chaise.

 

- Excusez moi, excusez moi, pleurniche-t-elle. Je vous demande pardon, je vous demande pardon…

 

Je suis stupéfaite par ma réaction, ma violence, mon manque de self contrôle. Cela ne me ressemble pas, et alors que j’étais sur le point de quitter les lieux en courant, effrayée par mon geste, j’entends Lila qui m’implore et qui pleure. Les images des films sado maso qui accompagnent mes soirées remontent à la surface. Combien de jeunes soumises supplient elles leurs maîtresses pour une faute qu’elles n’ont parfois même pas commises ? Lila, elle, l’a bien commise cette faute, et elle en a conscience. Dans ces cas là, les Maîtresses sévissent, réprimandent, punissent… Suis-je une Maîtresse, ou juste une épouse en colère ? C’est le test. Je dois profiter de la situation. Elle est dans un état d’extrême fragilité, c’est le moment ou jamais d’agir.

Je m’approche d’elle, toujours à terre, recroquevillée sur elle-même, le visage entre les mains. Je la toise puis je m’accroupis en face d’elle. Elle ne cesse de pleurnicher et d’hoqueter comme une petite fille. Je pose une main sur son bras et elle se détourne, comme si elle voulait se refuser à moi. Pense-t-elle que je vais la réconforter ? Alors là ma salope, tu te fourres le doigt dans l’œil ! Je lui saisis fermement le coude et la force à se relever. Elle ne dit rien, elle cesse toutefois de pleurer.

Je regagne le petit canapé en la tirant vers moi. Je ne lâche pas ma proie et j’assure mon emprise en lui lançant un regard noir et menaçant. Lorsque je m’assieds, je lui serre le poignet pour l’empêcher de prendre ses distances. Je lis la peur et l’incompréhension dans ses yeux. Je jubile, car je me sens plus forte que jamais. Je tiens ma vengeance.

 

Déborah

 

Alors là ma chérie, je goûte plus que jamais ton style vraiment extraordinaire… Plus que jamais aussi, je me félicite d’avoir eu l’audace de te proposer ce blog… Plus que jamais enfin, je te remercie de m’avoir livré cet épisode de notre vie, qui m’était totalement inconnu…

Tu écris divinement bien ma chérie, et sur la fin de ton billet, j’avoue avoir ressenti les frémissements d’une érection… Fais moi lire la suite très vite, je t’en supplie, j’ai hâte de savoir dans quel état d’esprit tu as abordé cette vengeance avec Lila.

 

Charles

Par Charles et Déborah - Publié dans : 3. Un mari soumis et humilié
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 10:01

Ah mon petit Switch, petit curieux, tu veux savoir si Christine a cherché à « exploiter » la situation lorsqu’elle a deviné l’état d’infériorité de Charles vis-à-vis de moi, eh bien… Va savoir ?? lol

 

Une petite pause « vidéo » la veille du 8 mai, alors que je viens d’envoyer le récit de ma « confrontation » avec Lila à Charles et à Linda. Le premier risque de tomber des nues en lisant mon mail (il n’était pas là) et la seconde doit me trouver des photos pour « illustrer » mes propos, puisque le procédé semble vous plaire… Et à nous aussi finalement (alors que je nourrissais quelques réticences je l’avoue).

 

Deux vidéos qui illustrent des pratiques que nous affectionnons particulièrement.

La première concerne le cuni simple. J’adore alors frotter ma chatte sur son museau, soit debout, jupe relevée, cuisses écartées, soit en lui écrasant les fesses sur le visage. Dans tous les cas, quelque soit la position il est devenu un excellent bouffeur de minou, je parviens à l’orgasme plus d’une fois sur deux. Ca détend après une journée de stress, essayer mesdames, c’est très efficace. Je n’y vois que des avantages, vous arrêtez quand vous voulez, pas besoin d’attendre que monsieur ait craché sa semence, vous ne vous souciez que de vous, vous imprimez votre rythme, vous donnez vos directives, bref vous vous lâchez de la manière la plus égoïste qui soit, et c’est bon, mais bon… lol…

 

 

 

Ce petit plaisir peut se combiner bien sûr avec un suçage d’orteils et un massage de pieds des plus relaxants après une journée en escarpins.

Egalement, je peux lui interdire tout contact avec ma chatte pour qu’il s’occupe exclusivement de mon cul. J’adore le contact de sa langue au fond de mon petit trou. C’est doux, chaud, humide, également très relaxant. Mais en revanche, cela attise mon excitation et l’apaise nullement. ;-)

 



Enfin pour terminer cette rubrique vidéo, une pratique que j’adore et que mon cher mari aime beaucoup moins : j’aime me faire lécher après l’avoir fait cocu, la chatte pleine de sperme de mon amant. Bien sûr, je prends mes précautions, je prends le foutre de leur préservatif, le recueille dans une seringue et hop je me l’injecte dans le vagin. Je me présente alors à lui,la chatte dégoulinante et lui fait tout nettoyer.

Voilà, la prochaine fois que vous vous ferez lécher mesdames, vous penserez à moi… ;-)

Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 19:45

 

Le contraste entre ma vie d’esclave au foyer et celle de directeur sur mon lieu de travail est incroyable. C’est comme si je passais d’un monde à l’autre, d’une dimension à l’autre. J’endosse ma personnalité de directeur commercial autoritaire et dynamique à partir du moment où j’endosse mes vêtements, mais aussitôt rentré, je laisse toute cette « autorité » au vestiaire, avec mes habits. La nudité est un très bon moyen pour se sentir soumis… ainsi exposé au regard de Deb, je ne peux dissimuler les imperfections de mon corps et encore moins les pulsions qui m’excitent, et elles sont de plus en plus fréquentes avec cette pesante abstinence.

 

Mais à l’extérieur, même si personne ne peut deviner la vie qui est la mienne, il y a des éléments qui me rappellent en permanence ma dépendance à l’égard de ma femme. Elle me donne de l’argent de poche comme à un gamin, et c’est au centime près, c’est très humiliant. Je dois ramener du pain, j’ai un euro, j’ai droit à un café, pas plus, ce qui est gênant car je n’ai même plus assez d’argent pour en offrir un à mes collègues. Pour éviter de passer pour un pingre, j’évite la machine à café et je mets de côté l’argent de  mon épouse dans une petite cagnotte. Ainsi lorsque je m’y rends, j’ai de quoi payer 3 ou 4 cafés… Au cas où…

 

La comptable de l’entreprise, est une honorable vieille fille de 55 ans, à qui j’ai longuement fait la cour à mon arrivée dans l’entreprise. C’était avant de connaître mon épouse, et avant d’apprendre que Christine était lesbienne. Bien sûr, je ne me la suis jamais faîtes. Mais nous avons gardé une grande complicité et il y a entre nous, un jeu de séduction que nos sexualités pourtant divergentes n’ont fait que renforcer. A partir du moment où elle a su qu’elle me plaisait, elle en a joué, et nous sommes devenus encore plus proche lorsqu’elle m’a fait comprendre que les hommes n’étaient pas sa tasse de thé.

Elle me connaît bien, mieux que quiconque, peut être même mieux que Déborah à cette époque là. Lorsqu’elle enregistre les modifications de virement concernant ma paye, elle ne peut s’empêcher de venir me voir, un petit sourire ironique sur les lèvres. Elle est encore sexy dans son tailleur marine, malgré ses 55 printemps. Brune, elle se teint peut être mais j’en doute, fine, avec de belles jambes toujours gainées de bas, elle prend place dans mon bureau et me tend le formulaire que je lui ai déposé discrètement pendant son absence, trop honteux pour lui expliquer de vive voix de quoi il s’agissait.

 

- Alors comme ça, c’est votre épouse qui tient désormais les cordons de la bourse ? lance-t-elle sur le ton de la plaisanterie. Votre compte est supprimé !

 

Je n’ai pas envie de mentir ou me dérober. Je réponds oui, simplement, en espérant pouvoir compter sur sa discrétion.

 

- Ce n’est pas un compte joint, c’est voulu ? poursuit elle intriguée.

 

- Oui.

 

- Je ne sais pas pourquoi mais cela ne me surprend pas, conclut elle dans un sourire malicieux.

 

Je rougis, elle a tout compris. Elle se lève, tout sourire et quitte le bureau.

 

Charles

Par Charles et Déborah - Publié dans : 3. Un mari soumis et humilié
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Dimanche 3 mai 7 03 /05 /Mai 11:15

 

Je n’ai pas souvenir avoir employé cette expression qui ne faisait pas partie de mon vocabulaire à cette époque, mais si elle t’a blessé, je concède volontiers l’avoir dite. De toutes façons, elle résume bien mon état d’esprit de cette période que je qualifierai « d’apprentissage ». Je reconnais donc que j’ai pu me montrer maladroite parfois, en parole ou en actes. Et c’est vrai que l’homme est encore dans la société du vingt et unième siècle le référant ou le dominant dans un couple. Tu faisais exception à mes yeux, tu faisais tâche : qui pouvait s’enorgueillir d’un mari aussi soumis ?

Certes, il est de bon ton lorsque je parle avec mes copines de ne pas paraître trop bobonne vis-à-vis de son mari, mais Delphine, qui mène Gérard à la baguette passait alors pour une pimbêche, et lui pour un con. Je ne voulais pas de cela entre nous… En tous cas, je ne voulais pas que l’on nous perçoive ainsi… mais c’était il y  huit ans, j’ai beaucoup évolué, et aujourd’hui, j’assume totalement ce statut de Maîtresse Infidèle et Perverse. Je suis fière d’avoir asservi totalement mon mari, fière de vivre ma vie sans rendre de comptes à personne, je suis celle que je veux être, quand je veux et comme je veux… C’est ma définition de la liberté, et en ce qui me concerne, je l’ai gagné au détriment de mon tendre et cher époux…

 

Mais il y a huit ans, j’étais encore une petite oie blanche qui n’y connaissait pas grand-chose, alors que toi, je peux bien te l’avouer aujourd’hui, tu étais un apprenti soumis très doué, et tu m’impressionnais par ta faculté à accepter toutes mes nouvelles exigences et humiliations. Je me devais donc d’être à la hauteur de ta soumission, et de tes attentes aussi peut être.

Alors j’ai lu, j’ai visionné, j’ai surfé aussi un peu. Mais il y huit ans, il n’y avait pas cet engouement pour les blogs, encore moins pour les blogs de culs, et encore moins pour les blogs sado masos.

J’ai découvert un monde entièrement nouveau, avec ses codes, ses rituels, ses vices et ses pratiques. Je me suis masturbée jour et nuit devant les vidéos de dominatrices en cuir donnant la fessée à des galopins ou des machos. Je me suis construite un monde de fantasmes à la lecture d’humiliations infligées par des Maîtresses impitoyables à des hommes qui étaient prêts à toutes les bassesses pour les servir. Et à chaque fois, je t’imaginais à la place de ces esclaves…

Aucune pratique ne me rebutait, toutes me surprenaient, me faisaient frissonner de désir, je devenais avide de sexe moi aussi, curieuse et perverse, mais à la différence de mon époux, je m’endormais repue et satisfaite. J’ai essayé les sex toys et je confesse avoir été vite déçue par leur aspect un peu trop classique. Je me suis mise les pinces afin d’évaluer le degré de douleur que mon soumis aurait bientôt à endurer, et j’ai été effrayée par la souffrance qu’elles provoquaient… Je suis fière de dire que j’ai testé les instruments de souffrance avant mon esclave, car il y a un grand décalage entre la souffrance magnifiée par des mots (ce que nous ferons ici bientôt) et la souffrance réelle… Il y a un gouffre entre la beauté d’un cul écarlate et la douleur ressentie et endurée pour obtenir un si beau rouge. Encore que pour le cul écarlate, je ne revendiquerai pas plus de 4 ou 5 coups de martinet, cela ayant suffi à refroidir mes ardeurs, mais nullement à me donner cette belle teinte rouge que j’affectionne sur le derrière de Charles.

Mais nous n’en sommes pas encore à relater les châtiments infligés… Et cela pour une raison toute simple… Cela fait 16 jours seulement que je vis en Maîtresse, et je n’ai rien eu à reprocher à mon mari. Il y a toutefois une autre explication : je n’arrive pas à surpasser mon dégoût ou ma haine envers lui de m’avoir trompé. Malgré tous les efforts qu’il fait pour se racheter, je m’interdis de le toucher. Ce matin, j’ai fais exception en lui soupesant les couilles pour la première fois depuis ce jour que mon mari a surnommé de « fameux » dans son précédent billet.

J’ai envie de sexe, mais pas celui de mon mari, car ce serait trop facile, trop rapide, il doit payer plus longtemps. J’ai aussi en moi cette peur de ne pas être à la hauteur. Tant que je ne le touche pas, tant que je le domine en paroles et non en actes, je suis, je le sens, performante. Et il y a ce fantôme de Lila qui rôde dans cette chambre que j’ai pourtant profondément modifié.

Alors me vient cette idée, qui pourrait me soulager de tous mes maux… Anéantir le fantôme, gagner mes galons de Maîtresse… Devenir vraiment Domina, me venger, affirmer mon autorité, étendre mon pouvoir… Oui, comment n’y ai-je pensé plus tôt ? Je vais aller rendre visite à Lila.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 3. Un mari soumis et humilié
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  • : Cocu-soumis
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  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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