Les frémissements d’une érection… Il ne te faut pas grand-chose pour bander mon chéri… Quelques mots suffisent à ton plaisir, j’en ris de bon cœur au moment de taper ces mots sur mon clavier. Mais il faut dire que depuis que tu vis sous ma coupe et ma dépendance, ton plaisir dépend uniquement de mon bon vouloir. Tu es frustré à un point que peu d’internautes peuvent imaginer (ou seulement en fantasmes et c’est différent), cela te rend réceptif, obéissant et… très facile à exciter…
Mais je m’égare, les internautes n’ont que faire de tes atermoiements, ils veulent savoir comment j’ai passé mes nerfs sur cette garce de Lila.
Elle me fait face mais elle est au bord de l’évanouissement.
- Que… Que faîtes vous ? demande-t-elle d’une voix fébrile.
Pour toute réponse, je tire d’un coup sec sur son jogging. Elle laisse échapper un cri de surprise et d’indignation mais elle est maintenant en petite culotte devant moi. Je ne lui laisse pas le temps de réagir, protester ou résister. Je l’attire d’un coup entre mes cuisses, en position pour la fessée.
- Mais enfin, vous êtes folle !!!
Courbée sur mes genoux, le jogging sur les chevilles, Lila me présente un joli cul bombé, et ce que j’ai pris pour une culotte de face se révèle être un string côté pile. Je n’ai même pas besoin de la déculotter pour lui administrer cette fessée tellement méritée.
- Arrêtez, vous n’avez pas le droit, vous avez perdu la tête.
Ma petite salope reprend ses esprits un peu trop vite à mon goût. Mais elle a aussi oublié un peu vite la lettre que je peux remettre à son agence. Je me charge de le lui rappeler, puisque je suis si « douée pour menacer les gens ».
- Vous allez vous calmer et je vais vous donner une bonne fessée…
- Non mais ça va pas, proteste-t-elle en se contorsionnant sur mes cuisses pour tenter de me faire face.
La garce a décidément retrouvé très vite son aplomb. Je me vois mal infliger ma première fessée sur un postérieur remuant, sur une victime non consentante. Mais je ne renonce pas. Je me saisis de son menton, puisqu’elle veut me faire face, et je plonge mon regard dans le sien.
- Soit je vous donne cette fessée et vous n’entendrez plus parler de moi, soit je dépose la lettre à l’agence en sortant de chez vous ! (Ma voix est incroyablement ferme, j’en suis surprise moi-même). Alors ? Que décidez vous ?
Pour toute réponse, elle rougit et baisse les yeux. Je la relâche et elle se positionne au travers de mes genoux, le visage enfoui dans l’accoudoir, honteuse et humiliée comme jamais elle ne l’a été auparavant. Enfin je l’espère. J’admire ses fesses superbes, et je me dis alors que bientôt je vais les rougir. Je suis dans un rêve, non, dans un fantasme, je vais me réveiller. Il n’y a que dans mes délires les plus extravagants que je me voyais administrer une fessée à Lila… La femme qui a baisé avec mon mari, la pute qui m’a fait cocue… La garce, la salope… Ces pensées m’aident à donner la première gifle… Les suivantes viennent avec la régularité du métronome, comme si j’avais fait ça toute ma vie. Je m’en faisais tout un monde, mais la fessée n’a rien de si extraordinaire… Pour celle qui la donne en tous cas.
Les claques, mal assurées au début, pleuvent sur ses fesses à un rythme de plus en plus soutenu. J’adore ça… Une douce chaleur a remplacé la boule que j’avais au ventre avant de venir. Si ça continue, dans peu de temps, je vais mouiller, je le sens.
Lila ne dit rien, elle endure avec courage et en silence. Peut être que je ne tape pas assez fort, pourtant ses fesses commencent à rougir doucement. Je décide d’appuyer mes coups un peu plus. L’effet est presque immédiat. A la seconde gifle rasante, Lila émet enfin un gémissement. Salope, tu vas avoir mal à la fin ! Car c’est bien là un des objectifs tout de même : la faire souffrir ! L’autre objectif étant de me faire la main (jamais cette expression n’a si bien porté son nom) avant de m’attaquer à mon mari.
Je commence à avoir mal aux poignets, et à ressentir un engourdissement dans la main quand Lila se met à gigoter. Mais je n’en ai pas fini avec elle.
Je la recale fermement sur mes cuisses et de cette voix dure et autoritaire qui ne me quitte plus, je lui
lance.
- Arrête de bouger, veux tu !!!
Je l’ai tutoyé, va-t-elle réagir ? Je suis conne, elle est cul nu en train d’être corrigée comme une vulgaire gamine, ce doit être le cadet de ses soucis. Sa docilité m’encourage à aller plus loin, à taper plus fort et à me montrer plus cassante, voire plus vulgaire.
- J’en ai pas fini avec ton cul. Mon mari t’a pris par le cul salope, moi, je vais te le rougir ! Tu ne pourras plus t’asseoir sans penser à la belle fessée que je t’ai mise.
Elle ne dit rien, j’aurais aimé qu’elle me demande pardon, qu’elle me supplie, qu’elle m’appelle Maîtresse… Je la fesse à toute volée, très fort, très vite… 5, 6, 10 fois… Et enfin, elle crie. Elle ne veut pas me faire ce plaisir de m’implorer, mais pourtant elle n’a pas le choix, elle l’ignore encore, mais je ne cesserai que lorsqu’elle m’aura supplié de cesser.
Son cul est maintenant écarlate. Je suis fière de lui avoir mis les fesses dans cet état, fière et excitée. Je ne pensais pas prendre du plaisir à punir quelqu’un. Mais je dois avouer que ce plaisir est réel, et qu’à l’état de ma culotte, je ne peux même pas affirmer qu’il s’agisse d’un plaisir uniquement psychologique.
- Arrêtez je vous en prie !
Lila craque enfin. Elle crie désormais à chaque fois que ma main s’abat sur son cul.
- Arrêtez, je n’en peux plus… Ca fait trop mal… Je vous en prie… Aïe…
Ses suppliques sont ponctuées de pleurs. Elle ne simule pas, elle a vraiment mal et les rougeurs écarlates sur ses fesses peuvent en témoigner. J’ai gagné, j’arrête le châtiment. Je me rends compte que je devais frapper fort car le bruit de mes gifles ne couvre plus désormais les pleurs de Lila. Cette garce reste sur mes cuisses, à hoqueter de honte, à pleurer toutes les larmes de son corps, pétrifiée par l’humiliation qu’elle vient de subir, en attente d’un ordre nouveau. J’en profite pour admirer ses fesses sublimes, ainsi rougies. Je n’ai rien à envier aux photos de culs rougis qui se trouvent dans les revues… Oui, je suis fière de moi, je suis une vraie Maîtresse désormais… Capable de dominer et de châtier… Et là, je viens de châtier un corps impur… Je suis une déesse. Décidément, j’adore cette nouvelle vie.
Déborah
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