Mercredi 25 mars 3 25 /03 /Mars 00:05

Mon épouse est magnifique dans son ensemble beige. Elle m’en impose autant par son aplomb que par son apparence des plus sensuelle. Son tailleur remonte légèrement lorsqu’elle s’assied dans le fauteuil et malgré moi, je plonge mon regard sur ses cuisses légèrement dénudées. Elle porte des bas voiles couleur chair, classiques mais sexy. Elle va enseigner dans cette tenue et j’envie les étudiants qui vont assister à ses cours. Beaucoup doivent fantasmer sur une prof aussi sexy…

Mais à cet instant c’est moi qui me retrouve dans la position de l’élève qui se fait réprimander. Je suis debout devant elle, tête basse, mains dans le dos, terriblement gêné et humilié par cette posture qu’elle me force à adopter. Elle est la prof, je suis son élève, et elle va me faire la leçon… Non, plus que la leçon, elle va me passer un savon. L’espace d’une seconde, je l’imagine me courbant sur ses cuisses et me donnant une fessée. Ma queue réagit à cette image fantasmagorique. Je crois que j’aimerai, en tous cas, je me laisserai faire. Je me découvre de plus en plus soumis et masochiste… Et je ne suis pas au bout de mes découvertes.

 

- Si je renonce au divorce, et je dis bien si, des choses vont changer dans notre couple, des choses importantes… et il va falloir me prouver que tu es prêt à les accepter.

 

 - Je te l’ai dit, je suis prêt à tout pour éviter ce divorce. Je ne veux pas te perdre.

 

Déborah sourit et croise les jambes, ce qui lui donne une contenance de reine. Un mot de sa part et je tombe à genoux, un ordre d’elle et je lui baise les pieds. C’est quand on est sur le point de perdre ce qu’on a de plus cher qu’on est prêt à tout pour le retenir. Ma femme me donne cette chance de pouvoir la retenir, je ne la laisserai pas passer.

 

- Désormais, c’est moi qui prendrai seule, toutes les décisions qui concernent notre couple. Est-ce que tu es prêt à l’accepter ?

 

Mais qu’entend elle par « toutes les décisions » ? S’agit il vraiment de toutes les décisions ? N’ai-je vraiment plus aucun mot à dire ? Sa décision semble mûrement réfléchie, elle est déterminée, et j’ai conscience qu’en hésitant, la discussion pourrait tourner court. Alors je donne mon accord.

 

- Oui, je suis prêt à payer le prix de ma faute.

 

- Tu t’engages peut être à la légère mon chéri, tu ignores ce que ton engagement va signifier ! Je ne suis pas prête à passer l’éponge aussi facilement, sache le, et j’ai la rancune tenace, tu le sais.

 

C’est vrai qu’elle est rancunière, mais si c’est le prix à payer, je lui dois bien cela, je nous dois bien cela… Et puis, je retiens qu’elle m’a appelé mon chéri, même si le ton employé, narquois et moqueur, était bien plus porteur de sens et de sous entendu que le mot lui-même.

 

- Pour te montrer que je suis sérieuse quand je dis cela, je veux que ce soir quand tu rentres du boulot, tu aies fait le nécessaire auprès de la banque pour clôturer ton compte et transférer tout l’argent qui s’y trouve sur le mien. (Au début de la phrase, j’ai cru qu’elle allait me demandait de rentrer plus tôt pour lui préparer un bon repas ou finir le ménage de Lila, mais là, je suis à mille lieues d’un tel scénario). Tu signeras les papiers pour que ta paye soit virée sur mon compte, exige-t-elle d’une voix calme et froide, mais tu ne verras plus la couleur de cet argent, je serai la seule à avoir la signature, tu dépendras totalement de moi, même pour aller chercher du pain, il te faudra me demander de l’argent.

 

J’accuse le coup, je ne m’attendais pas à cela. Déborah le remarque et s’en offusque aussitôt.

 

- C’est bien ce qu’il me semblait. Tu voulais encore me mener en bateau. Tu comptais t’en tirer avec un dîner aux chandelles, pardonne moi chérie, et hop on efface l’ardoise. Tu t’es foutue de ma gueule, tu m’as convaincu d’engager ta maîtresse pour pouvoir la baiser sous notre toit, dans notre lit conjugal, alors sache que je ne suis pas prête à passer l’éponge, et que je te donne le choix entre accepter mes exigences ou le divorce !

 

Sa colère est palpable, je ne l’avais pas imaginé si blessée, je ne la pensais pas aussi déterminée.

 

- Très bien j’accepte.

 

Elle se calme aussitôt, et l’espace d’un instant, je me dis que sa colère n’était que simulacre. Elle recroise les jambes, plus haut encore que la première fois, un geste incontestablement plus érotique, et j’aperçois la lisière de ses bas. Je m’assieds dans le fauteuil d’en face, heureux que la tension soit si vite retombée, mais oubliant aussi qu’elle m’avait donné l’ordre de rester debout.

 

- Je ne t’ai pas dit de t’asseoir que je sache, me lance-t-elle, le regard noir, le visage fermé. Si tu n’es pas capable de m’obéir au doigt et à l’œil, et de rester debout si je t’en donne l’ordre, ce n’est même pas la peine d’aller plus loin. Il faut que tu comprennes que je suis sérieuse quand je dis que les choses vont changer. Je t’ai laissé mener notre couple pendant 10 ans et vois où cela nous mène, au divorce ! Alors maintenant, je prends les choses en main, à ma façon, et c’est moi qui donne les ordres ! Si tu n’es pas d’accord, tu te casses et tu vas refaire ta vie ailleurs. Mais si tu es d’accord, tu te lèves et tu écoutes la liste de mes exigences, car j’en ai pas fini avec toi !

 

Je suis abasourdi par tant de détermination. Il n’y a cette fois aucun simulacre, elle est sérieuse, et elle m’intimide à un point inimaginable. Jamais elle ne m’a parlé sur ce ton. Je me lève.

 

- Bien, dit elle dans un large sourire. Tu sais, j’ai bien réfléchi et je crois que cette nouvelle vie peut te plaire autant qu’à moi. Il te suffit de prendre plaisir à m’obéir, c’est un état d’esprit, une philosophie de vie, je ne sais pas moi, il suffit de te dire que tu as mené la barque pendant dix ans, que tu as échoué, que c’est mon tour. Mais bien sûr, c’est une philosophie qui implique des actes concrets. L’aspect financier est essentiel pour que tu sois sous mon contrôle, sous ma coupe, tu vois ce que je veux dire, n’est-ce pas ?

 

- Oui, oui, je vois, je suis d’accord, je passerai à la banque dans la journée, je ferai le nécessaire, c’est promis…

 

- Oui, j’y compte bien. Mais tu dois donc te douter que je ne vais pas me contenter de tenir les cordons de la bourse. Ta paye sur mon compte, c’est un moyen de pression indispensable mais je te veux désormais à ma botte au quotidien, je crois que c’est t’avoir vu à mes pieds hier qui m’a donné l’idée. Je me suis dit que c’était là ta vraie place, qu’est-ce que tu en penses ?

 

Elle a raison, cela m’a excité, et je suis content que la scène lui ait plu également, mais je n’ai pas la force de lui avouer, alors je réponds stupidement que « je ne sais pas ».

 

- Ce n’est pas la réponse que j’attendais, je suis déçue, ça commence mal, réplique-t-elle dans un sourire que je ne lui connais pas. S’en suit un long silence où elle me fusille du regard. Je baisse les yeux et elle ajoute. Vas-y recommence, lèche moi les pieds. Cela te permettra de savoir si tu aimes ça ou non… mais fais attention à ta réponse, cela va conditionner mon désir à te garder près de moi ou à te jeter dehors comme le mari infidèle que tu es !

 

J’hésite un instant, conscient de ce que va me coûter cet acte humiliant, c’est le début de mon abdication volontaire, le début d’une nouvelle vie de soumission. Déborah sent que je craque, que je renonce et pense qu’il est inutile d’aller plus loin. Elle se lève, et c’est à cet instant que je cède. Je tombe à genoux, les larmes aux yeux, et je lui baise les pieds.

 

Charles

Par Charles et Déborah - Publié dans : 2. Ma femme prend le pouvoir
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Samedi 21 mars 6 21 /03 /Mars 19:00

 

Sans argent, sans papier, sans téléphone, je peux vous assurer qu’on se trouve bien démuni aujourd’hui. Pour la première fois de ma vie, j’ai pris le métro sans payer… Moi Charles de la Sauverie (nom fictif), grand bourgeois s’il en est, cadre sup d’une grande boîte de la Défense, j’en suis réduit à sauter au dessus du portique et guetter les issues de peur d’être contrôlé. J’ai basculé dans une autre dimension, j’ai l’impression d’avoir changé de vie. J’ai échangé le confort d’une vie bourgeoise contre la précarité d’une vie de roture et de galère. Mais malgré mon inconfort, s’il n’y avait cette peur de perdre mon épouse, je dois avouer, sans pouvoir le comprendre pour autant, que le fait d’avoir été chassé de chez moi par ma propre femme a quelque chose d’excitant. Je me remets en question, mais les réponses que j’apporte me font honte : je suis excité par la soumission, la colère de Déborah m’a beaucoup plu, me retrouver à ses pieds et être giflé m’a fait bander tout à l’heure. Je suis un pervers qui se croyait obsédé par la sodomie et qui se découvre soumis.

C’est dans cet état d’esprit, celui d’un homme brisé et soumis, que je me présente chez Lila. Je ne sonne pas à sa porte parce que je suis à la rue (enfin si un peu quand même), je sonne parce que ma femme m’en a donné l’ordre : « Va rejoindre ta pute… Va passer la nuit chez elle, je ne veux plus de toi chez moi. »

Lila est plus que surprise de me voir débarquer chez elle, mais après lui avoir expliqué ce qui s’était passé après son départ, elle se montre attentionnée, compatissante et douce. Le tact et la gentillesse dont elle fait preuve à mon égard, s’accordent à merveille avec ma docilité. Je suis totalement désorienté et j’accepte tout. Je l’écoute, je l’approuve, je dîne quand elle me dit de dîner, je me douche quand elle me dit de me doucher, je me couche quand elle me met au lit…

Le lendemain, Lila me dépose près de chez moi, et j’intercepte ma femme lorsqu’elle quitte notre appartement. J’espère seulement qu’elle ne va pas me faire une scène.

 

Charles

 

Je m’attendais à ce que Charles m’accoste en bas de chez moi, je ne suis pas surprise, il a besoin de se changer, de ses papiers, de son portable, il doit aller travailler. J’ai pensé toute la nuit à cette confrontation, je sais comment le cueillir, pas l’accueillir… Le cueillir…

 

- Chérie, j’ai besoin de monter à l’appartement avant d’aller travailler… commence-t-il d’un air intimidé. (Son manque d’assurance convient parfaitement à la suite que j’ai prévu de donner à cet entretien, mais je ne dis rien, afin de l’obliger à me faire de nouvelles excuses et lui montrer que la nuit ne m’a pas rendu plus indulgente). Ecoute, je ne te demande pas de me pardonner, mais tu comprends que je dois aller travailler… Je t’en prie.

 

Je garde le silence mais je fais demi tour pour le raccompagner. Une petite surprise l’attend une fois dans l’appartement.

 

- J’ai décidé de demander le divorce, dis-je en refermant la porte derrière moi d’un air menaçant.

 

Charles blêmit. Une vraie descente de mine, mon premier effet est réussi.

 

- Déborah, je t’en prie, prend le temps d’y réfléchir…

 

- J’ai eu la nuit pour y réfléchir.

 

- Je ferai ce que tu veux mais ne divorçons pas !

 

Voilà ce que je voulais entendre… Premier cap de notre entretien franchi avec succès et rapidement, c’est encourageant pour la suite. Je gagne en assurance, et part m’asseoir dans le canapé derrière nous.

Charles veut s’asseoir en face de moi mais je le coupe dans son élan.

 

- Non, reste debout ! Pour ce que j’ai à te dire, tu restes debout.

 

Il obéit, je marque un nouveau point, il est, je le sens, disposé à tout accepter…

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 2. Ma femme prend le pouvoir
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Jeudi 19 mars 4 19 /03 /Mars 15:27

10 000… Nous avons franchi Le cap des 10 000 visites en seulement un mois… Mais hélas,  les commentaires ne sont pas légions, nous aimerions un peu plus de réactions… Merci à Lord2a pour ses encouragements et ses commentaires constructifs !

10 000 visites pour les 10 premiers billets concernant ce jour où j’ai été surpris en train de tromper ma femme, ce jour où nous avons basculé dans une « autre dimension ». Une autre dimension, oui, c’est le mot, j’ignore si d’autres hommes ont connu cette sensation où tout s’écroule… Une peur panique, puis une honte infinie… La sensation d’avoir commis l’irréparable, la sensation d’avoir tout perdu en une seconde. Heureusement, ce qui a été perdu, s’est reconstruit ensuite sous une forme différente, dés le lendemain… C’est ce que nous allons vous proposer dans la rubrique « 2. ma femme prend le pouvoir ».

 

Charles

 

L’irréparable a bien été commis mon chéri, pas question pour moi de passer l’éponge… Dire que tu as tout perdu en une seconde, je ne sais pas… Moi, en tous cas, tu m’as perdu… Mon corps t’est interdit depuis ce jour là. Ma chatte, tu peux la contempler, parfois la lécher (quand je suis bien lunée), mais la pénétrer… Non, ça, c’est bien fini… Tu as perdu une femme et gagné une Maîtresse… Si tu es bien sincère dans tes propos, et à voir le plaisir que tu prends à me servir, je te crois, tu y as gagné au change. En ce qui me concerne, je n’ai jamais été aussi épanouie… J’ai perdu un mari mais gagné un larbin… J’ai troqué un mauvais coup contre des dizaines d’amants tous mieux montés que toi mon chéri, alors oui, dans cette histoire, je suis bien gagnante, au lit comme aux fourneaux. Mais tu as raison, maintenant que nous sommes revenus dans les détails de cette fichue journée, passons à celles qui ont suivi et qui marquent ma « prise de pouvoir ».

 

Déborah

 

Parce que le titre de notre blog n’est pas encore totalement en adéquation avec son contenu, nous avons décidé de publier les vidéos d’un pauvre mari ridicule et trompé…

Cocu et soumis, tel est le titre de notre blog… Peut être aurions nous du inverser les mots. Soumis, je vais le devenir très vite, vous allez vous en rendre compte dans les textes que nous allons publier bientôt… Mais cocu, il va falloir patienter un peu, alors pour vous donner un avant goût de ce que je vis depuis 8 ans, voici quelques vidéos glanées sur le net. Elles se suivent, alors visionnez les dans l'ordre ;-)


 


Et lâchez vos commentaires !!! Sur nous, les vidéos, le blog, l'arrivée du printemps, que sais-je encore !
Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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Dimanche 15 mars 7 15 /03 /Mars 22:24

 

Je me laisse chasser du domicile sans opposer de résistance… Je suis mis à la porte de chez moi par ma femme… Mais n’a-t-elle pas revendiquer notre demeure comme étant la sienne ? Je ne veux plus de toi chez moi… Ce sont ces mots… Et maintenant je me retrouve à la rue comme un con. Oui, comme un con… Je l’ai trompé comme un con, je me suis laissé surprendre comme un con, j’ai bandé à ses pieds comme un con… Je suis sur le trottoir, il pleut, et je ne suis vêtu que d’un pantalon et d’un sweat. Je n’ai nulle part où aller, et je prends conscience à cet instant que je suis dans un beau pétrin : je n’ai pas un sou en poche, je n’ai ni papiers ni carte bleue, et je n’ai pas eu la présence d’esprit d’emporter mon portable. Je suis à la rue, plus démuni qu’un clochard.

Je ne peux me résoudre à aller chez des amis, ils ne comprendraient pas pourquoi je suis dans cette situation et je me vois mal leur raconter ce qui s’est passé. Je reste une heure en bas de chez moi, puis quand je suis bien trempé, bien frigorifié aussi, je me résous à remonter chez moi.

N’ayant pas de clé, et me voyant mal supplier Déborah dans l’Interphone sur le trottoir, j’attends qu’un voisin rentre pour lui emboîter le pas.

Je sonne à la porte, fébrile et honteux, ignorant si ma femme a quelque peu digéré ce qu’elle a vu.

Elle m’ouvre sans retirer la chaîne de sécurité, et l’expression de son visage se durcit aussitôt qu’elle me voit.

 

- Qu’est-ce que tu veux encore ? Je t’ai dis que je ne voulais plus te voir ! Il faut te le dire dans quelle langue ?

 

Sa colère n’est nullement retombée. Son agressivité est palpable. Si je force le passage, nul doute qu’elle est prête à me gifler. Je préfère parlementer.

 

- Allez Déborah s’il te plaît, laisse moi entrer… Donne moi au moins mes papiers et de l’argent !

 

Deborah sourit enfin et je crois un instant qu’elle va se raviser.

 

- T’as qu’à faire la pute pour te trouver du fric… Sinon, je te l’ai dis, tu vas dormir chez l’autre pétasse !

 

Et elle me re-claque la porte au nez. Je suis abasourdi par l’attitude de mon épouse, sa dureté, et le vocabulaire qu’elle utilise. Pute, pétasse, et moi je suis un salaud, un salopart… Ce sont des mots crus que je ne lui aurai jamais prêté si je ne les avais entendu ce matin dans sa bouche. Et si j’ajoute qu’elle m’a giflé tout à l’heure, donné des coups de pied, viré de chez moi, je ne peux même pas dire qu’elle a changé, je suis en dessous de la vérité, elle s’est métamorphosée… Cet adultère n’est pas en train de provoquer un bouleversement de notre vie, c’est un véritable cataclysme. Et c’est au moment où je me retrouve seul comme un con devant la porte close de notre appartement, que j’entrevois le divorce et la fin de notre couple. J’ai tout gâché par ma faute, comme un con…

 

Charles

 

J’ai mis mon mari dehors et pour de bon… Il ne s’est pas rebellé, il a tout accepté, je l’ai vu comme jamais je ne l’ai vu auparavant : soumis, encaissant mes coups et mes remarques humiliantes ; et cela me trouble plus que je ne le souhaiterai. Maintenant qu’il est à la rue, je me sens incroyablement bien et tout aussi incroyablement… excitée… Est-ce la vision de mon époux en train d’enculer Lila ? Est-ce le corps gracieux de cette jeune fille ? Car c’est la première fois que je vois une autre femme dans une position aussi scabreuse… Est-ce le sentiment de pouvoir que m’a donné le fait de gifler mon mari ? Me serais-je laissée griser par les suppliques qu’il m’a adressées, les baisers qu’il a déposé à mes pieds ?

Ces questions ne sont bien évidemment que pure rhétorique, je les pose ici et maintenant dans l’unique but de vous expliquer l’excitation qui me tenaille dés lors que je me retrouve seule dans cet appartement immense… Mon appartement immense… Car ma décision est prise, et Charles devra l’accepter s’il ne veut pas d’un divorce à ses torts, je prends ce soir les rennes du pouvoir dans notre couple !

Qu’il y réfléchisse maintenant qu’il est à la rue, qu’il croit avoir tout perdu, qu’il souffre et qu’il marine un bon moment dans ses remords, qu’il se mette bien en tête la connerie qu’il a faite, alors il me reviendra plus docile, plus malléable, et je l’accueillerai comme une reine froide et distante, je lui mettrai sous le nez un nouveau contrat de mariage…

Oui, je vais être une reine et il devra me considérer comme sa souveraine toute puissante s’il veut que je le reprenne. Cette perspective me plaît et me fait mouiller au-delà du raisonnable. Je décide de songer à ma nouvelle vie dans un bon bain bien chaud, et de calmer mes sens en ébullition dans une baignoire d’eau parfumée… Et si cela ne suffit pas à m’apaiser, je le ferai avec ce joli flacon acheté la semaine passée. Je me dis d’ailleurs qu’à partir de ce jour je n’userai plus d’expédients aussi grossiers pour me livrer à mes plaisirs solitaires, mes masturbations seront assumées, j’achèterai bientôt des sex toys… Ces derniers remplaceront avantageusement le sexe de mon époux infidèle, car parmi toutes les décisions prises ce soir là, avant, pendant et après le bain, il en est une bien sûr qui m’est apparue comme évidente : ce n’est pas demain la veille que ce salaud va pouvoir me toucher, me baiser encore moins…

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 1. Le jour où tout a basculé
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Vendredi 13 mars 5 13 /03 /Mars 11:20

 

Je suis aux pieds de ma femme, et sans comprendre pourquoi, une violente pulsion m’incite à lui baiser les pieds. Je suis totalement désorienté, humilié, et dans cette situation extrême, je me découvre masochiste. Elle veut me foutre dehors, c’est son droit, mais le mien, c’est de tout faire pour ne pas la perdre. Alors je lui baise les pieds. Ce geste me semble totalement naturel à cet instant précis mais en revanche, il me procure un plaisir trouble et violent, qui lui, me semble déplacé et contre nature. Je viens de jouir mais je sens ma queue se dresser. L’excitation renaît avec l’attitude hautaine et dominatrice de mon épouse.

 

- Oh Déborah, ne me met pas dehors… S’il te plaît… Je saurai me faire pardonner…

 

Elle demeure immobile, campée sur ses positions, silencieuse et probablement surprise par ma réaction. Je ne suis pas du genre à faire des excuses, même quand j’ai tort, alors là, la supplier, à quatre pattes, nu, en lui léchant les pieds. Cela va peut être la faire flancher ?

Elle porte de jolis escarpins et des bas voile, elle est magnifique, comment ai-je pu la tromper avec notre bonne ? Je ne la mérite pas, je suis juste bon à lui lécher les pieds. Le cuir de ses chaussures a un goût que j’arrive à trouver sensuel. Maintenant je bande dur, elle ne peut pas ne pas s’en apercevoir…


Charles

 

Ai-je la berlue ? Mon mari bande à nouveau ? Il est à mes pieds, je sens sa langue sur ma cheville, il me supplie de le pardonner et trouve encore le moyen de prendre du plaisir à cet acte dégradant. Lui qui éprouve les plus grandes difficultés à retrouver un peu de virilité pour me faire l’amour une seconde fois, me présente une érection des plus honorables simplement en me léchant les pieds. Jamais je ne l’aurai cru de nature à aimer l’humiliation et la soumission. Mais ce qui me dégoûte le plus finalement, c’est qu’il prenne encore du plaisir.

 

- Je t’ai dis que je ne voulais plus te voir ! Casse toi, espèce de salaud ! (Je fais un pas en arrière et lui indique la porte). Tire toi ! Tu me dégoûtes.

 

Il enfile un slip et un pantalon, se saisit d’un sweat à la hâte, et passe devant moi en baissant la tête, honteux de ce qu’il vient de faire. Je crois aussi déceler dans son attitude la peur de se prendre une nouvelle baffe. Cela conforte mon pouvoir, et au moment où il passe, je lui retourne une gifle, plus violente que la précédente. Puis une seconde et un troisième, et bientôt, c’est une avalanche de coups… Je me lâche, c’est une délivrance, un défouloir. Charles demeure passif puis il finit par se protéger avec ses bras. Mais je suis portée par une rage destructrice, emportée par la violence et la haine, je frappe fort et précis, ses joues sont écarlates. Il finit par se laisser glisser le long du mur pour échapper à mes coups.

 

- Salaud ! Comment t’as pu me faire ça ?

 

Je lui décoche un violent coup de pied en hurlant de plus bel.

 

- Tire toi ! Je ne veux plus te voir… Va rejoindre ta pute… Va passer la nuit chez elle, je ne veux plus de toi chez moi… Allez casse toi, tu me files la nausée…

 

Charles ramasse le sweat qu’il a fait tomber en tentant de se protéger de mes baffes et file sans demander son reste, à 4 pattes, sans même oser se redresser. Cette ultime vision, mon mari s’enfuyant pour échapper à mes coups et mon courroux, me comble de plaisir.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 1. Le jour où tout a basculé
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  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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