Mardi 7 avril 2 07 /04 /Avr 19:08

Déborah : Linda vient de me convaincre de « passer » deux clips que je trouve personnellement assez « hard » (surtout le deuxième). Je lui avais donné pour « consigne » qu’il y ait soit un rapport avec ma vie présente, soit un rapport avec le récit que nous sommes en train de raconter, elle a choisi d’évoquer le présent, mais en parlant d’elle également.

 

Linda : Et oui, on ne se refait pas, je suis narcissique, je ne peux pas m’empêcher de parler de moi, de me mettre en scène en quelque sorte. Ne le faisant plus sur mon blogg, je le ferai ici de temps en temps, merci de me laisser cet espace d’expression et de liberté. De toutes façons ma chère Debbie je ne risquais pas de trouver un clip pouvant illustrer ton passage chez le banquier ou au restaurant. Et puis, je voulais contenter mon « ami » Lord2A qui est un fidèle de ce blogg et du mien auparavant. Puisqu’il se donne la peine d’écrire des commentaires réguliers et de donner des conseils, je lui dédie ces deux vidéos.

 

Déborah : Je ne suis pas lesbienne, que les choses soient claires ! Je m’abandonne entre les bras de Linda depuis quelques mois, mais je préfère et de loin, une bonne grosse queue bien dure, chaude et palpitante. Toutefois, nos rapports sont particuliers et cela me change de mes amants parfois peu imaginatifs. Avec Linda,  l’orgasme et la perversion sont inévitablement de la partie. A part Linda, je n’ai couché qu’une seule fois avec une autre femme. Un jour je vous raconterai. Je n’en dis pas plus, je vous laisse regarder ces clips, simplement, je vous laisse dans le « vague » pour savoir qui porte le gode, et qui se fait « défoncer »… Et pour le deuxième, qui suce et se prend les gifles ;-)…

 

Linda : Juste une précision, si tu me permets, celle qui se prend le gode et qui suce dans le premier clip, est aussi celle qui se prend les baffes et les crachats dans le second.

 

Déborah : C’est bon, on s’en serait douté, n’en dis pas plus.



Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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Dimanche 5 avril 7 05 /04 /Avr 11:02

 

Ma femme est sortie de la banque plus épanouie et heureuse que jamais. Ma soumission s’est traduite par un acte qui me maintient sous sa dépendance et qui lui montre combien j’étais sincère lorsque je lui ai déclaré que j’étais prêt à tout. C’est la première pierre de notre nouvel édifice.

 

- Je te paye le restaurant pour fêter cela, dit elle.

 

Elle me paye le restaurant, oui, je n’ai plus un sou, j’ai du rendre ma carte bleue à la banque, je suis sous sa tutelle.  Elle est belle dans son tailleur, perchée sur ses escarpins, elle a de l’allure. Dans le restaurant, elle attire les regards, ce qui ne manque pas de lui plaire, je m’en rends compte dés que nous prenons place à une table.

 

- T’as vu tous ces types qui m’ont reluqué quand on est entré. Je n’avais jamais fait attention avant, mais j’ai l’impression que je n’aurai qu’à claquer des doigts pour te trouver un remplaçant.

 

J’accuse le coup, je fronce les sourcils, et ne peux m’empêcher de lui demander des précisions.

 

- Comment cela ? Que veux tu dire ?

 

- Je t’ai bien dis qu’il était hors de question que tu me fasses à nouveau l’amour, on est d’accord sur ce point ?

 

J’hésite à acquiescer, j’avais compris que je serai privé de sexe un moment mais pas éternellement.

 

- Mais bon, je pensais quand même que tu finirais par me pardonner.

 

- Admettons, on verra… Mais de toutes façons, ce n’est pas demain la veille, donc tu comprends bien que je vais devoir aller voir ailleurs. Je vais te trouver un remplaçant, un homme bien membré pour que je puisse m’éclater au lit. Je ne vais tout de même pas faire vœu de chasteté parce que mon mari m’a fait cocu, ce serait un comble tout de même !

 

Evidemment, présenté sous cet angle, c’est imparable. Mais c’est la première fois que nous abordons le sujet de son infidélité. Jamais je ne l’ai imaginé dans les bras d’un autre. Je me la représente alors en train d’embrasser un autre homme, lui tailler une pipe, puis à quatre pattes pour recevoir la bitte d‘un inconnu. L’image me révulse et me coupe l’appétit.

 

- Tu… Tu veux dire que tu envisages des me tromper ?

 

- Œil pour œil, dent pour dent, mon chéri.

 

Elle est sérieuse, elle ne dit pas cela pour me faire souffrir, elle n’est pas sous le coup de la colère, elle songe vraiment à me tromper. Elle se penche dans ma direction en souriant d’un petit air sadique.

 

- Je te rappelle, mon chéri, que ta queue a fouillé le cul d’une grognasse, tu dois te mettre dans la tête que je ne vais pas passer l’éponge aussi facilement. (J’acquiesce, silencieux, stupide, honteux). Tu as ramené Lila sous notre toit, tu l’as baisé dans notre lit, alors attends toi à payer pour cela ! Et quand je dis payer, je ne parle pas de fric, cette question a été réglée ce matin, nous n’en parlerons plus, non, je parle de sexe, mon chéri. Je vais te faire cocu comme jamais une femme n’a fait cocu son mari, et tu sais quoi, je suis sûre que je vais adorer ça…

 

Sa tirade est interrompue par le serveur qui vient nous demander si nous avons choisi. Je n’ai pas regardé la carte, mais je veux qu’il parte, alors je commande un steack frites. 

 

- Les salades sont copieuses ? demande Déborah.

 

- Oui, assez, répond le serveur.

 

- Très bien, alors annulez le steack de mon mari et mettez nous deux salades mimosa !

 

Je suis déconfit et surpris.

 

- Les salades mimosas ne sont pas les plus copieuses, prévient néanmoins le serveur.

 

- Ca ne fait rien, ça ira très bien. (Puis se tournant vers moi, elle ajoute, narquoise). Désormais, c’est régime mon chéri, je vais prendre soin de ta ligne, tu vas voir.

 

Ce jour là, elle a bu un demi et un verre de vin tandis que je suis resté à l’eau. Elle a réglé l’addition après avoir exigé mon porte monnaie, et lorsqu’elle me l’a rendu, il ne restait dedans que deux euros. Ma nouvelle vie prenait consistance sous mes yeux et je ne trouvais pas la force de m’y opposer, pire, un trouble naissait au plus profond de moi et je jouissais à l’avance de cette existence de soumission.

 

Charles

 

Par Charles et Déborah - Publié dans : 2. Ma femme prend le pouvoir
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Vendredi 3 avril 5 03 /04 /Avr 00:26

Déborah : Lord2A nous donne un conseil intéressant qui est d'évoquer un peu notre présent, de sortir du récit linéaire de notre passé, et cela fait débat au sein de notre petite équipe à 3 (avec Linda). Linda est très présente dans nos vies, nous la rencontrons au moins une fois par semaine, pour un resto, un ciné, un théâtre, une fessée, un échange de maris… lol… Et parfois tout à la fois, pour des soirées « feu d’artifice ».

Bref, Lord a raison, nous allons essayer d’intercaler quelques « temps présents », mais le problème que nous rencontrons c’est que l’actuel est tellement « hard » qu’il sera difficile de croire en cette situation sans avoir vu les étapes précédentes, et surtout sans comprendre quelles sont les évolutions de nos personnages, car nous avons beaucoup évolué, Charles et moi… Et puis, Gant de velours a aussi raison de nous dire de « prendre notre temps », de n’omettre aucun détail. Après il sera trop tard, et si nous « attaquons » le présent, nous allons aborder des choses plutôt hard, revenir en arrière, découvrir nos premiers pas va vous paraître bien fade. Pour l’instant je n’ai pas encore évoqué mes amants, mais quand ils feront leur apparition, donnant tout le sens à l’intitulé du blog, nous passerons dans une autre dimension. Et l’aspect bourgeois et feutré de notre dialogue, à mon mari et moi, deviendra inévitablement plus grossier. Aujourd’hui, mon cher Lord, je suis ce que les hommes appellent une belle salope, et je n’en suis pas encore une, au stade de notre histoire. Laisse la larve que j’étais devenir papillon et regarde donc le mari si fier que j’avais devenir larve… Ne sois donc pas si pressé.

 

Charles : Lord n’a pas tort néanmoins, un blog doit évoquer le temps présent avant tout. Aussi, d’un commun accord avec mon épouse, nous le ferons par le biais de Linda, puisque l’essentiel des internautes nous viennent de son blog, merci à elle pour la publicité qu’elle nous a faite, dommage que son blog cesse… comme elle l’a dit, c’est son site, sa façon de raconter ses expériences qui nous ont incité, et qui nous influencent encore. Elle est notre « marraine » et nous en sommes fiers. Nous essaierons sans nous en cacher, et parce que nous partageons les mêmes goûts, les mêmes désirs, la même passion, de reproduire ici ce qui a fait le succès de son blog : de bons récits, du respect, de l’intelligence et de la sensualité.

 

Linda : C’est trop d’honneurs que vous me faites tous les deux. Des récits, de l’intelligence et de la sensualité, c’est bien, cela vous permettra de vous démarquer des autres bloggs, mais cela ne suffira pas à vous attirer plus d’internautes, ni plus de commentaires… Je vous l’ai dis, vous n’utilisez pas assez l’aspect multimédia de l’outil internet. Je tiens là le discours de Caroline au début de création de notre blogg, c’est fou, mais je m’aperçois qu’elle avait raison. Pas assez de liens, pas assez de photos, de clips… Vous êtes sur un site porno, avec des avertissements « pour adultes », alors lâchez vous un peu… On vous sent tout en retenue, bref on vous sent coincés. Si vous le souhaitez, étant « délestée » de mon blogg, je m’occupe de votre partie « images » pendant un mois, histoire de le rendre plus attractif, qu’en dîtes vous ?

 

Charles : Ce serait un honneur…

 

Déborah : Qui t’a permis de prendre la parole avant moi ? Sale chien !!! Va donc me faire un thé, et file coucher dans ton panier !

 

PS : tu vois Lord… Tu viens d’avoir un « instantané » du présent. Ce dialogue s’est fait via msn il y a une heure, et tu viens d’apprendre que mon mari dort dans un panier ;-) Pour ce qui est de la proposition de Linda, vous n’aurez qu’à revenir sur le blog très vite pour savoir quelle a été finalement ma décision. Car ici, malgré tout, je suis la seule décisionnaire !

 

Par Charles et Déborah - Publié dans : Entretiens avec Linda
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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:09

 

Trop en retard pour mes travaux dirigés à la fac, j’appelle pour excuser mon absence, mais j’indique bien que je serai présente pour assurer le cours du début d’après midi.

Du coup cela nous libère un créneau pour aller à la banque. Nous sommes des clients privilégiés, et bien que n’ayant pas rendez vous, nous sommes immédiatement reçus par un conseiller financier. La scène mérite d’être relatée ici tant mon mari a du être humilié des explications qu’il a du fournir pour justifier le basculement de toutes ses économies et surtout de ses payes futures sur le seul compte de sa chère épouse. Et j’ai été bien inspirée d’être présente pour assister à cet acte de soumission volontaire.

 

- Nous trouvons que ce sera plus simple s’il n’y a qu’un compte, explique Charles, à cet instant encore assez peu embarrassé.

 

- Oui, oui je comprends, réplique le banquier.

 

L’homme est jovial mais pas des plus élégants. Il porte un costume trois pièces trop étroit pour ses cent kilos et il ne cesse de lorgner sur mes jambes. 

 

- Je vous avais conseillé depuis longtemps de tout regrouper sur un même compte joint, cela vous fera des frais en moins.

 

Notre homme n’a pas compris et mon mari hésite à le contredire. Sa gêne le maintient dans une sorte de mutisme ridicule qui a le don de m’exacerber. Je suis contrainte d’intervenir.

 

- Ce n’est pas ce que nous souhaitons, n’est-ce pas chéri ?

 

- Ah bon ? s’étonne notre banquier.

 

- Non… Euh… Pas vraiment. Ce n’est pas un compte joint que nous souhaitons ouvrir, il s’agit juste de supprimer mon compte et d’y faire transférer tous les fonds sur celui de mon épouse.

 

- Oui, je vois, mais le compte sera au nom de madame et monsieur…

 

Il ne voit pas encore mais déjà il pressent quelque chose d’anormal. Il fronce les sourcils et sa voix trahit un certain trouble. Il faut dire qu’il a de plus en plus de mal à détacher ses yeux de mes jambes et que cela m’amuse d’adopter des poses de plus en plus équivoques. Jamais auparavant je ne me serai permise ce genre d’attitude, une femme s’amusant à croiser les jambes, relever doucement son tailleur, exhiber la lisière de ses bas, je l’aurais volontiers qualifié de salope et d’allumeuse. Et pas au sens sexy que les hommes peuvent imaginer. Mais à cet instant, cela me plaît, surtout que mon mari commence à percevoir mon petit manège. Il lance un regard noir au banquier qui plonge les yeux entre mes cuisses, même si je suis persuadée qu’il ne peut entrevoir ni le haut de mes cuisses, encore moins ma petite culotte.

 

- En fait il n’y a aucune création ou modification de compte, il s’agit de tout transférer sur celui de mon épouse.

 

- Oui mais je mentionne tout de même votre nom. Ce sera un compte madame ou monsieur, ainsi vous pourrez signer et utiliser le chéquier.

 

Je croise les jambes bien haut pour attirer l’attention du banquier et répond à la place de mon mari, qui est rouge de honte. Mais est-ce mon jeu de jambes qui le met mal à l’aise ou le fait de devoir lui expliquer sa nouvelle situation financière, si embarrassante et humiliante pour lui ?

 

- Mon mari est un vilain dépensier, dis-je sur le ton de la plaisanterie et de la réprimande. Le compte sera à mon nom et à mon nom uniquement. Il est hors de question qu’il est accès à l’argent qui s’y trouve. Je serai donc la seule à gérer nos économies, il n’y a donc pas de signature pour lui.

 

Sur la fin j’utilise un ton vraiment autoritaire. Il sait maintenant à qui il a à faire, et pour clore mon intervention, lui montrer que la partie est finie, je me recale sur mon siège et rajuste mon tailleur. Il se tourne aussitôt vers Charles, embarrassé d’avoir été surpris à reluquer mes jambes. Voilà comment en quelques minutes on met deux hommes dans l’embarras. Je jubile intérieurement. La situation m’excite.

 

- Monsieur est-ce bien là ce que vous souhaitez ? Cela vous prive de tout droit de regard sur ce compte, et donc vous ne jouissez plus de votre paye ni des fonds que vous venez de transférer et qui sont tout de mêmes assez conséquents.

 

- Ma femme vous l’a très bien expliqué. Elle gère désormais les comptes toute seule, et elle seule peut avoir accès à l’argent qui s’y trouve.

 

Le banquier, surpris par cette situation inhabituelle, ne se résigne pas.

 

- Monsieur, excusez moi d’insister, mais il est important que vous compreniez les conséquences de vos actes. L’argent qui se trouvera sur le compte de votre épouse échappera totalement à votre contrôle, et même dans le pire des cas, sans signature ni procuration, vous ne serez pas en droit de réclamer le moindre centime, même si vous en êtes le principal approvisionneur.

 

Charles se tourne vers moi, en attente d’une ultime approbation de ma part. A moins qu’il ne regrette déjà son geste, ou se demande si je vais bien aller jusqu’au bout ? Alors je prends mes responsabilités… la fierté, la provocation, l’autorité, tout cela perce dans ma voix au moment de répondre.

 

- Mon mari est peut être le principal approvisionneur du compte, mais je serai la seule décisionnaire, c’est ainsi que nous l’avons décidé. Et c’est irrévocable.

 

Le banquier acquiesce enfin dans un rictus qui marque malgré tout sa désapprobation.

 

- Alors monsieur, il ne vous reste plus qu’à signer cet acte de renoncement et celui-ci pour résilier votre compte. (Et pour détendre l’atmosphère soudainement devenue plus solennelle, il ajoute sur le ton de la plaisanterie). Madame tient désormais les cordons de la bourse.

 

Je ne peux m’empêcher de répondre d’une voix narquoise.

 

- Oui, et de toutes les bourses ! précisai-je en posant ma main sur le haut de la cuisse de mon époux. N’est-ce pas chéri ?

 

Charles s’empourpre et répond un « oui chérie » qui cloue le banquier sur place. Probablement n’aura-t-il jamais rencontré de couple comme nous ! Mais il doit savoir que cela existe, que les femmes aussi peuvent mener la barque. C’est tout un passé de femme soumise, des siècles d’humiliations qui viennent d’être rayés d’un coup de plume. Il aura suffi de quelques signatures pour faire de moi une femme riche, indépendante, et dépositaire des pleins pouvoirs sur mon mari. Je suis grisée et excitée en sortant de la banque. Il ne doit pas y avoir beaucoup de femmes qui soient sorties d’une officine bancaire aussi excitée que je l’étais à cet instant.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 2. Ma femme prend le pouvoir
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Dimanche 29 mars 7 29 /03 /Mars 12:01

 

Je contemple mon mari en train de me baiser les pieds. C’est une sensation troublante que de voir son époux, habituellement si digne et si fier ramper devant vous. Et il met du cœur à l’ouvrage. Il me caresse doucement la cheville pendant que sa langue me besogne le pied et le talon avec application. Cette fois, j’ai gagné, il est disposé à obéir, il acceptera sans tout sans exception, il y prendra plaisir, c’est sûr, et moi aussi. D’ailleurs, je sens une douce chaleur se nicher au creux de mon ventre, je suis excitée. Et lui qui met tant de zèle à me baiser les pieds… Est il excité ? Je veux savoir.

 

- Déshabille toi ! dis-je en me rasseyant. Il obéit aussitôt et cela me donne envie de pousser plus loin mon avantage. Je me cale confortablement dans le fauteuil et j’ajoute. Désormais tu vivras nu sous mon toit. Tout le temps ! La première chose que tu feras en rentrant du boulot, c’est de passer à la douche et ensuite tu resteras tout nu… Pour le repas, pour dormir, la journée, le midi, le soir, tout le temps !!!

 

C’est une exigence que je n’avais pas imaginé avant ce moment précis, je me laisse portée par mes désirs. Mais c’est fabuleux car je prends conscience que mes fantasmes vont devenir réalité… Mais c’est encore plus fabuleux de constater que l’homme qui va exaucer tous vos caprices prend lui aussi plaisir à la faire. Charles bande… Il est nu comme un ver et ne peut dissimuler sa belle érection. Le souhaite-t-il d’ailleurs ? Non, il en est fier le salaud… Il bande… Il est dur et ferme… Il m’obéit, il est à ma botte, il est humilié mais il bande… Quelle révélation… Je suis troublée car des plus surprises. Mon mari n’est pas un modèle de virilité, elles se comptent sur les doigts d’une main, les fois où je l’ai vu bander sans avoir besoin d’une branlette ou d’une pipe. Mon mari est soumis, mon mari est masochiste, comment n’ai-je pu m’en rendre compte plus tôt ?  Il aura fallu qu’il me fasse cocue et que j’exerce mon désir de vengeance pour prendre conscience de son désir de se soumettre… et du mien, jusqu’alors refoulé à commander.

 

Déborah

 

C’est un curieux mélange de honte et de plaisir qui m’envahit lorsque je baisse mon slip et présente mon sexe en érection à mon épouse tranquillement assise devant moi. Elle sait maintenant que je prends plaisir au traitement qu’elle m’inflige. Il n’y a plus d’ambiguïté ente nous, je suis mis à nu au propre comme au figuré et c’est très embarrassant. Je suis un peu étonné par la vigueur de mon excitation, mais guère plus, étant donné mon ressenti après lui avoir déjà léché les pieds la veille et ma réaction très passive face à ses gifles.

 

- Tu vois, fait elle en souriant. Il semble bien que cela te plaise. Quand je te disais que ta nouvelle vie pouvait te plaire autant qu’à moi, je ne pensais pas être à ce point dans le vrai. J’ai même l’impression que je suis en dessous de la vérité.

 

Sa remarque me procure une gêne immense. C’est une intimité refoulée et jusqu’à présent inconnue qu’elle est en train de mettre à jour. C’est comme un viol, mais en plus délicieux. Je baisse les yeux tellement j’ai honte, mais qu’est-ce que j’aime ça.

 

- A genoux devant moi, ordonne-t-elle en constatant le plaisir que je prends. Lorsque je serai assise dans ce fauteuil, je veux que tu te présentes à quatre pattes et que tu attendes je te donne l’ordre de venir me lécher les pieds. De toutes façons, je t’interdis désormais de t’asseoir dans le fauteuil ou le canapé. Ta place est à mes pieds désormais. (Je suis stupéfait, notre relation prend un tour franchement sado maso, mais mon silence n’est pas au goût de mon épouse). Tu comprends ce que je dis ? lance-t-elle avec agressivité.

 

- Oui… Oui Déborah je comprends.

 

- Tu dois comprendre qu’à partir de maintenant tu n’es plus mon époux, reprend elle en se penchant dans ma direction pour donner plus de poids à ses propos. Tu seras… mon chien. Je te considèrerai comme mon chien tu vivras en chien, je te dresserai comme un chien. Tu vivras à poil tout le temps, tu devras m’obéir au doigt et à l’œil, tu feras toutes les corvées, je déciderai de tout, tu comprends bien ce que je dis ?

 

- Oui Déborah je comprends.

 

- Et tu l’acceptes ? reprend elle visiblement étonnée.

 

- Oui, je te l’ai dit, je ne veux pas te perdre.

 

- Certes, mais tu ne regagneras jamais une épouse, tout juste une maîtresse. (Maîtresse, le mot est lâché. Il me fait frissonner. Je suis excité). Tu ne me baiseras plus, il est hors de question que je repasse derrière l’autre poufiasse. Je contrôlerai ta sexualité… Et je te frapperai si tu n’obéis pas ! Est tu prêt à accepter tout cela ?

 

Humilié, soumis, et maintenant homme battu… Dois-je ainsi renoncer à toute dignité pour pouvoir continuer à vivre à ses côtés ? Même si c’est en chien plus qu’en mari ? Mais la perspective de cette vie nouvelle m’est tout aussi effrayante qu’excitante.

 

- Oui Déborah, j’obéirai à toutes tes volontés, et j’accepterai les châtiments ou punitions que tu m’imposeras.

 

Voilà, je ne peux pas être plus explicite.

 

- Appelle le boulot ! Tu es encore malade aujourd’hui ! ordonne-t-elle d’une voix qui ne souffre aucune contestation.

 

J’appelle aussitôt ma secrétaire pour lui dire que je suis souffrant, qu’elle reporte mes rendez vous au lendemain. Ma femme passe derrière moi au moment où je raccroche.

 

- Et ta secrétaire, tu te l’aies faîtes aussi ? demande-t-elle méchamment en m’empoignant le cul avec fermeté.

 

- Non Déborah je te jure, il n’y a eu que Lila, et hier, c’était la première fois.

 

Elle me fixe sans me croire, je le vois à son regard et son air suspicieux.

 

- Je vais demander à Lila, je te préviens, si tu m’as menti, je te jette dehors, et je ne te reprendrai pas, même pour vivre sous mon toit comme un chien. Je ne tolèrerai plus aucun mensonge de ta part. Tu dois intégrer cela dans les paramètres de ta vie nouvelle. Et maintenant, va t’habiller, tu vas m’emmener à la fac !

 

- Ais-je le temps d’aller prendre une douche ?

 

Je veux lui montrer que je suis déjà dompté, parfaitement disposé à lui obéir en tout, je suis zélé, motivé et excité. Elle sourit, satisfaite que je lui demande la permission pour un acte aussi futile, mais qui révèle mon nouvel état d’esprit à son égard.

 

- Tu as cinq minutes ! sourit elle avec cruauté.

 

Je déguerpis aussitôt, plus servile que jamais. Et ce jour là, ma douche ne m’a pas pris plus de cinq minutes, soucieux que j’étais de montrer que mon engagement était sérieux, que ma motivation était grande, que ma soumission n’était nullement simulée.

 

Charles

Par Charles et Déborah - Publié dans : 2. Ma femme prend le pouvoir
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