Samedi 27 juin 6 27 /06 /Juin 00:22
Voilà un thème qui me plaît bien, étant moi-même enseignante en fac. Donc une petite rubrique en forme de clin d’œil à tous les étudiants et bacheliers qui passent leurs exams… Imaginez vos profs dans ces situations, cela va vous remonter le moral… lol…





Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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Vendredi 26 juin 5 26 /06 /Juin 10:44

Déborah : Une pause pour sortir de notre routine propose Lord2A dans un de ses commentaires, il parle bien sûr de la routine de publication qui, il est vrai, se résume à la publication de notre vie intime saucissonnée en petits épisodes…

 

Linda : Se résume ? comme tu y vas… Je suis bien placée pour savoir le travail d’écriture que cela représente. C’est une prise de temps sur autre chose, et cela juste pour partager votre intimité avec des internautes inconnus. Il n’y a aucune considération financière à ce que tu fais, donc je te tire mon chapeau. Continue ainsi, bien écrire, sur la toile, je l’ai vérifié par les centaines de mails reçus lorsque je tenais mon blog, c’est une perle rare qui est très apprécié. Les photos, y’en a partout, mais le récit d’une bonne partie de jambes en l’air, bien raconté, du vécu, c’est très… très rare.

 

Charles : Si je puis me permettre, cela se vérifie au succès de notre audience, nous n’avions que 10 000 visites au mois d’avril, nous en sommes à 100 000, trois mois plus tard. De 400 visites par jour, nous en sommes à 700, il ne manque que quelques commentaires de plus pour être pleinement satisfaits…

 

Linda : Justement, tu tends les verges pour te faire battre, on ne t’avait pas dit de répondre un peu plus aux com’s ? Si tu prenais la peine de répondre, les internautes participeraient plus (Charles prend un air penaud mais demeure silencieux). Alors, on ne t’avait pas dit que tu devrais répondre aux internautes ?

 

Charles : Si Linda, c’est vrai, je suis désolé…

 

Déborah : Il est maso tu sais, il fait exprès de le faire remarquer pour se faire punir. C’est la grande perversité des masochistes. Induire le prétexte d’être puni à sa maîtresse.

 

Linda : Ah oui, quel vicieux alors ! Et c’est aussi pour ça que tu ne réponds pas assez aux coms du blog ? Parce que tu espères être puni ?

 

Charles : Oh non pas du tout, je suis vraiment désolé de ne pas l’avoir fait, mais à ma décharge je suis tout de même très pris.

 

Déborah : Le pauvre petit mari soumis ! Entre deux lessives, deux séances de poussière ou d’aspirateur, il n’a pas le temps de lire le blog.

 

Charles : Tu oublies mon travail au bureau, les courses, les repas à préparer, les lessives à la main que tu m’imposes pour tous tes sous vêtements,

 

Linda : Je crois qu’il a vraiment envie d’être puni. Déborah, tu sais ce qu’il te reste à faire… Mais attention, une vraie punition, pas une de ces fessées auxquelles il prend beaucoup de plaisir.

 

Déborah : T’inquiète ma chérie, j’ai une vraie punition pour lui. Dans trois jours c’est notre anniversaire de mariage, et pour l’occasion, traditionnellement, il a le droit de me sauter. C’est un peu le dernier vestige de notre vie d’avant. Je crois qu’il est temps d’en finir avec cette obligation à la con. Ce jour là, c’est moi qui le baiserai, et toute la nuit, en mémoire de notre nuit de noces fabuleuse.

 

Linda : Et pourquoi ne demanderais tu pas à Michel de le baiser ?

 

Déborah : Il n’est pas prêt.

 

Charles : Merci Maîtresse, merci…

 

Déborah : Je ne parlais pas de toi idiot, mais de Michel.

 

Linda : Un cul est un cul, tu éteins la lumière, tu lui mets un bandeau sur les yeux, tu mets un bâillon à ta lopette et hop le tour est joué…

 

Fin de la discussion, nous éclatons de rire, mais bon, Charles, lui, il rit jaune.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Entretiens avec Linda
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Mardi 23 juin 2 23 /06 /Juin 12:19

Linda vient de partir en vacances, alors vous n’aurez plus de petites photos illustrées pendant un petit moment, mais bon, ce n’est pas l’essentiel… Bonnes vacances ma chérie… Eh oui, Linda, c’est ma chérie… ;-) Enfin bon, façon de parler bien sûr… encore que ? !

 

En attendant, le premier cocufiage de mon mari (à ne pas rater, nous avons vraiment pris soin de tout raconter dans les moindres détails), voici une petite série de clips d’un pauvre petit mari trompé par sa femme en sa présence…




 

 





Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 10:14

 

Les bandes de cire froide appliquées sur les parties intimes sont un calvaire, mais j’endure en silence, trop heureux et soulagé que ma jeune esthéticienne n’ait fait aucune remarque sur les rougeurs suspectes de mon derrière. J’ignore alors que l’humiliation ultime reste à venir. J’ai les larmes aux yeux à chaque fois que d’un coup sec et habile, Cindy me retire ce que le male considère comme un symbole de sa virilité.

Ma femme me couve d’un regard moqueur, tranquillement assise dans la banquette qui fait face à la table de massage et d’épilation.

 

- Ca va mon chéri ? Ce n’est pas trop douloureux ? demande-t-elle narquoise. Tu vois ce que les femmes doivent endurer pour être belles, c’est ton tour maintenant.

 

Cindy tente de relativiser les propos humiliants de mon épouse, ne pouvant soupçonner le plaisir qu’elle y prend et la relation étrange qui nous lie.

 

- On commence à voir des hommes pour des épilations intégrales, c’est encore rare, mais il y a sept ans quand j’ai commencé, on ne faisait que des épaules, des poitrines, des aisselles, c’est un phénomène qui a deux ou trois ans.

 

- Puis-je vous demander quel âge vous avez ? relance Déborah en croisant les jambes bien hauts.

 

J’aperçois sa petite culotte et elle me sourit pour me signifier qu’elle a surpris mon regard. Si Cindy a jeté un coup d’œil dans sa direction, ce que je ne peux savoir dans ma position (à plat ventre sur la table), elle a obligatoirement vu ce que je viens de voir. Elle répond qu’elle a 25 ans et qu’elle a travaillé dans un autre institut dans le treizième avant d’être embauchée ici il y a trois semaines.



 

- Allez-y, encourage Déborah. N’ayez pas peur de lui faire mal si il faut, mais qu’il ne reste aucun poil, je veux qu’il ait une peau de bébé !

 

- Comptez sur moi, répond elle simplement. (Mais elle ajoute à mon égard). Je ne vous fait pas trop mal j’espère ? Je dis « pas trop », car je sais que malgré tout, c’est douloureux. J’ai presque fini.

 

- Ca va, merci mademoiselle.

 

- Vous devez avoir une allergie ou quelque chose, car vous avez quelques rougeurs et de petits boutons sur les fesses, fait elle remarquer d’une voix qui ne peut suspecter un instant l’origine de mes rougeurs. Je vais appliquer un lait apaisant. Ca ne vous démange pas ?

 

Le monde s’écroule, je bafouille un « non, non ça va », et je m’empourpre en songeant aux consignes de Déborah avant de pénétrer dans le salon : « si le sujet est abordé, je veux que tu avoues avoir reçu une bonne fessée ! » Est-il réellement abordé ? A observer la réaction de ma femme qui me fait les gros yeux, je devine qu’elle veuille entendre mes aveux. Ces instants d’hésitation me donnent un répit car Cindy sort chercher le lait apaisant, me laissant seul avec ma Maîtresse en colère.

 

Charles.

 

En colère, oui, tu as parfaitement raison. Tu connaissais mes consignes avant d’entrer, tu savais ce que j’attendais de toi, je mouille depuis plus d’une demie heure à la seule idée de t’entendre bafouiller une explication sur les rougeurs hélas très atténuées de ton postérieur, et au moment d’aborder enfin le sujet, tu te débines.

A peine notre petite esthéticienne sortie, je me lève et me précipite sur mon mari. Il est tellement surpris qu’il ne bouge pas, mais il y a dans son regard, une grande appréhension… Et il a bien raison d’avoir peur. J’écarte la serviette qui couvre son cul d’un coup sec et avant qu’il n’ait le temps de protéger son postérieur, je lui assène deux belles baffes bien sonores. Mais ce que je souhaite surtout, c’est imprimer la marque de mes doigts sur son cul de soumis, car les rougeurs de ma fessée se sont bien estompées en une heure de temps.



 

- Cette fois, tu ne vas pas pouvoir te défiler, il va bien falloir que tu lui expliques les marques que tu as sur ton cul !

 

J’accompagne ma remarque de deux nouvelles gifles cinglantes et mon mari tente cette fois de s’interposer. Il place une main que j’écarte aussitôt avec autorité.

 

- Je t’en prie, Deb’ arrête, elle va revenir, je te jure, je vais lui dire…

 

La peur et la panique sont perceptibles dans sa voix. En écartant les jambes pour tenter de se protéger, je remarque aussi la raie de son cul toute lisse, et je passe un doigt sur son anus, ce qui a le don de le faire taire immédiatement. Il a le cul rouge et irrité, mais c’est doux, elle a fait du bon boulot la petite Cindy. Elle réapparaît au même instant, je n’ai que le temps de retirer mon doigt. Je recouvre ses fesses sous son regard intrigué. Elle doit deviner que quelque chose de trouble vient de se passer. Tout à l’heure, elle m’a vu écarter les jambes, cela ne l’a pas choqué ni dérangé. Elle est jeune, mais elle en a vu d’autres, c’est sûr. Je retourne prendre place dans le fauteuil, m’arrange pour croiser les jambes bien haut et surtout pour avoir une vue imprenable sur le visage de notre jeune fille. Je veux voir sa réaction lorsqu’elle découvrira l’empreinte de ma main sur le cul de Charles.

D’ailleurs, qu’attend il pour lui faire son petit aveu ? Elle s’enduit les mains d’un lait blanchâtre et s’apprête à repousser la serviette lorsqu’enfin mon mari se décide.

 

- Vous savez mademoiselle, le lait n’était pas nécessaire…

 

- C’est offert par la maison, vous verrez ça va vous faire du bien…

 

Elle vient de retirer la serviette, et cette fois, elle comprend. Sa phrase demeure en suspens, ses lèvres ne peuvent exprimer autre chose que la stupéfaction. Son regard, d’abord surpris, devient vite malicieux, puis se tournant légèrement vers moi, elle me lance un petit sourire complice.

 

- C’est que… voyez vous… j’ai reçu une fessée, lâche enfin mon mari, le visage plus rouge que les fesses. Alors voyez vous, le lait apaisant n’est pas nécessaire.

 

Il y a comme on dit, un blanc dans la conversation… Trente secondes, une minute… J’en profite pour sourire d’un air moqueur à mon mari, puis de rendre à Cindy son regard complice. J’aimerai lui faire comprendre qu’elle peut participer à son humiliation, mais je n’ose pas. Je me contente de mon petit air satisfait, et d’un nouveau jeu de jambes, censé lui faire deviner mon état d’excitation.

 

- Et quelle bêtise avez-vous fait pour recevoir cette fessée ? finit elle par demander en me regardant.

 

Elle cherche mon consentement et je le lui donne à ma façon en répondant avant mon mari, tout embarrassé qu’il est pour répondre, se demandant même s’il doit le faire.

 

- Eh bien qu’est-ce que tu attends ? Réponds à la demoiselle !

 

- Euh oui, j’ai… Je… Je n’ai pas été sage.

 

Pas été sage ! Qu’est-ce qu’il est allé chercher comme réponse… Je veux le reprendre mais Cindy me devance.

 

- Monsieur n’est pas sage, se comporte comme un garnement et reçoit une bonne fessée, récapitule la jeune fille en riant presque. Mais comme il se comporte comme un vilain garnement, madame a voulu en punition qu’il lui présente également un sexe de petit garçon. Un sexe tout lisse, sans aucun poil !

 



Sa façon de résumer les choses, sa désinvolture, son humour me font sourire et oublier la réponse que j’avais jugée stupide de mon mari. Je le vois pleurer de honte, il voudrait disparaître, il ignore que moi, c’est mon sexe qui pleure… d’un désir inassouvi, d’une frustration longue de presque six semaines… et que les larmes de ce plaisir amer imbibent le fond de ma culotte… Putain, il me faut un homme et vite… Heureusement, j’ai tout organisé pour que cette journée soit extraordinaire. Mon mari vient d’avoir ses soins, à moi d’avoir les miens. A lui les crèmes dépilatoires, je lui laisse sa petite quéquette toute lisse, à moi la queue bien dure d’un amant…

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Mardi 16 juin 2 16 /06 /Juin 17:23

 

Affirmer que je veuille me retrouver dans le plus simple appareil face à cette gamine serait se fourvoyer. Dans les fantasmes de soumission, on lit ce genre de témoignages excitants : être présenté nu devant une belle inconnue, oui, mais dans « fantasmes de soumission », il y a fantasme. Là, cette parfaite inconnue ne me procure aucune excitation, mais en revanche, une gêne considérable. Elle est bien trop jeune, je trouve humiliant et déplaisant de devoir présenter mes parties intimes à une fille aussi jeune. Mais ma femme doit s’en réjouir, d’ailleurs, elle me regarde ôter mon pantalon en souriant d’un air qui trahit son plaisir. Va-t-elle assister à toute la séance ? Cela aussi, c’est très humiliant. On dirait une mère qui ne veut pas quitter son garnement… Une maîtresse qui veut superviser les opérations, se délecter de la honte et de la souffrance de son esclave…

Au moment de retirer mon slip, alors que j’ai les yeux fixés sur la porte, apeuré à l’idée que l’esthéticienne puisse revenir, Déborah me lance d’une voix moqueuse.

 

- Montre moi ton cul ! Allez baisse toi et tend le moi bien !

 

J’obéis bien sûr, en espérant en silence qu’elle ne veuille pas le contempler trop longtemps. Mais je me dis qu’en obéissant au plus vite, elle me permettra plus rapidement de retirer l’objet qui obstrue mes fesses.

 

- Oh mon dieu, elles sont vraiment bien rouges tes fesses ! Je pensais que ça s’atténuerait mais non, elles sont écarlates !

 

C’est donc cela, elle veut me rappeler l’état de mon cul, accentuer mon humiliation. Elle ne s’en rend peut être pas compte, mais elle n’a pas besoin de ça.

 

- Ah quel joli plug, imagine si elle pouvait le voir (je me retourne, tétanisé, nous avions convenu de ne pas m’exhiber avec le plug). Mais non, je ne reviens pas sur ce que j’ai dis. Allez, tu vas pouvoir le retirer ! Mais juste pour que ce soit un peu plus amusant, tu vas le retirer sans les mains !

 

Je me décompose.

 

- Mais enfin, voyons, chérie, tu ne peux pas me demander ça…

 

- Ben si tu vois.

 

- Mais c’est impossible, je t’en prie voyons.

 

- Il te suffit de pousser. A ta place, je me dépêcherai, Cindy ne va pas tarder à revenir.

 

Mon dieu, elle est sérieuse. J’hésite et son regard se durcit.

 

- Si tu n’obéis pas, je m’en vais ! Et ce n’est pas la peine de venir gratter à ma porte ce soir, il n’y aura pas de pardon.

 

Je n’ai plus le choix à ce stade. Je m’accroupis, une position plus adéquate à l’expulsion de mon plug… Et je pousse… Quelle humiliation. J’ai les yeux rivés sur la porte qui peut s’ouvrir d’un instant à l’autre, j’ai le feu aux joues, ma femme me toise en riant, je veux disparaître tellement j’ai honte.

 

Charles

 




La position « toilettes », c’est ainsi que j’ai appelé la position accroupie de mon mari et je pense qu’il est inutile de vous faire un dessin ou de vous donner des explications à ce petit nom ridicule, mais si évocateur. Depuis cette « première fois », il y a eu des centaines de « position toilettes ». J’aime bien d’ailleurs prononcer l’ordre d’une voix sèche, sans fioritures ni ambages, et voir dans la seconde mon mari se déculotter et s’accroupir pour « pondre » l’objet qu’il a dans le cul. Mais cette « première fois », ce fut quelque chose, car mon cher époux a éprouvé les plus grandes difficultés à expulser le plug. Un manque d’entraînement auquel on a vite remédié dans les jours qui ont suivi. La panique se lisait sur son visage, la honte, l’embarras aussi… En ce qui me concerne, je suis animée de sentiments contradictoires. Je suis terriblement excitée, je mouille comme je ne pensais pas pouvoir mouiller sans stimulation physique. Mais je suis aussi fébrile, je ne suis pas prête à affronter une réaction hostile de Cindy. Certes, je la sens « libérée », elle dégage quelque chose de rassurant dans la situation où nous sommes, je ne l’imagine pas plus choquée que ça si elle surprend mon mari à poil et accroupi avec son plug dans l’anus, mais j’ai un doute, elle n’est pas dans le secret, et je dois bien avouer qu’une certaine appréhension me noue l’estomac à moi aussi. Je le suis moins aujourd’hui, mais à l’époque, toute femme normalement constituée, même investie de pouvoirs extraordinaires, aurait nourri les mêmes craintes.

Quand le plug se décolle enfin de son trou du cul, Charles a le visage aussi rouge que ses fesses. Il transpire et on croirait qu’il vient de courir le 100 mètres. La porte s’ouvre au même moment. Il se redresse et contemple le plug à terre qu’il n’a pas eu le temps de ramasser.

Cindy fait une entrée pour le moins remarquée, et je dirai très attendue. Heureusement, son regard est plus attiré par la nudité de mon mari que par le plug qui traîne à ses pieds. Elle détourne d’ailleurs les yeux pour ne pas mettre Charles mal à l’aise. Déjà qu’il est au bord de l’apoplexie.

 

- Il y a des serviettes dans l’armoire, lance-t-elle un peu vexée de devoir rappeler à mon mari les règles de base de la pudeur.

 

Charles ramasse le plug et le place dans ses vêtements, puis il part dissimuler son sexe et ses fesses dans une longue serviette prévue à cet effet.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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