Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 09:39

4.

Sexy dance


                        En entrant dans la boîte, à moitié vide malgré l’heure avancée, je repère tout de suite l’heureux élu, celui qui va me baiser jusqu’à satiété devant mon époux impuissant. Il est grand, il est fort, il est noir… Il ne reste plus qu’à espérer qu’il soit bien membré, et je serai alors une femme comblée.


C’est notre jour de chance, nous allons réaliser deux fantasmes en même temps. Celui de mon cher mari qui rêve d’une épouse infidèle, et le mien, qui ai toujours rêvé de baiser avec un black. Il est accoudé au comptoir, l’air blasé, presque ennuyé, en train de siroter un verre… seul. Avec sa carrure de déménageur, son pantalon en cuir et son marcel blanc moulant qui attire la lumière, je flashe sur lui tout de suite. Il détonne dans le paysage, mais c’est lui que je veux, je ne pensais pas trouver aussi facilement. D’un autre côté, l’affaire n’est pas conclue, c’est à moi de le séduire. Mais une belle blonde en mini jupe, ne suis-je pas irrésistible ?


Un coup d’œil circulaire à la boîte et je remarque que je ne suis pas la seule belle femme à exhiber mes charmes. Il est vrai que nous sommes dans une boîte échangiste, et toutes ces dames sont là pour la même chose : trouver un couple pour finir la nuit. Sur ce point, je pars avec un handicap, je n’ai pas d’homme à proposer ! Juste un petit cocu au sexe imberbe… Un époux passif et voyeur. Cette pensée me fait sourire. Je me tourne vers mon mari, qui est vêtu d’un short en latex moulant et d’un petit gilet en cuir. Perchée sur mes talons, je le domine de quelques centimètres. Nous formons un couple de vampires aux goûts affichés. Il fait très soumis avec ce short, et comme il marche la tête baissée, accablé par le poids de sa soumission, j’apparais par contraste comme la dominatrice sûre d’elle qui a su dresser son compagnon.


Je traverse la boîte d’un pas décidé et sensuel, en accentuant les ondulations et en évitant de croiser le regard de ma proie, mais je m’arrange pour trouver une banquette qui lui fait face. J’ignore s’il m’a vu entrer, il discute avec un serveur. Sa carrure d’athlète me fait penser à un personnel de la sécurité… Un videur… Cela expliquerait son air blasé, des jolies femmes, il en voit défiler des dizaines tous les soirs. L’entreprise de séduction n’est peut être pas gagnée d’avance, mais je ne suis pas femme à renoncer à la première difficulté, bien au contraire. Et ce soir, je suis si excitée que je compte bien me donner les moyens de satisfaire mes envies.




Je me lève lorsque le DJ lance un remix d’un vieux tube de Donna Summer. Je saisis les pans de ma jupe afin de m’assurer qu’elle ne virevolte pas trop haut, je ne souhaite pas dévoiler mon absence de culotte à ce moment de la soirée, et surtout pas à tous les mâles en chaleur que je ne manque pas d’attirer autour de moi sur la piste. Mon mari me lance des regards éperdus d’amour et de reconnaissance, de vénération aussi, il ne me quitte pas des yeux, accompagne chacun de mes déhanchements, chacune de mes ondulations. Je suis plus troublée par son admiration que par les regards envieux des autres hommes. Tous cherchent à accrocher mon attention par un regard ou un sourire... Tous sauf mon black qui continue de siroter son verre avec indifférence. Je me détends un peu et je finis par lâcher ma jupe. Mes bras se lèvent, et je commence à onduler du bassin en posant les mains sur ma nuque. Je me trémousse ainsi sur la piste pendant un bon quart d’heure, consciente de l’effet produit sur les hommes. J’attire le male comme des abeilles vers un pot de miel... Et mon miel s'écoule déjà de sa fleur… l’idée de me faire butiner et pilonner par ce noir devant mon mari distille un plaisir qui me fait regretter presque de ne pas porter de culotte. Je coule littéralement. Mon Apollon d’ébène a enfin cessé de m’ignorer, il cache son intérêt, ne montre aucun signe d’excitation particulière, mais au moins, il sait que j’existe... La première phase de mon opération séduction est atteinte, je regagne ma place à côté de mon mari avant que la sueur ne l’emporte sur mon subtil Cacharel.


- Ma chérie, tu es superbe quand tu danses, dit il d’un air admiratif.


- Seulement quand je danse, répondis-je en me calant au fond du fauteuil. D’autres regards, moins admiratifs, plus lubriques, se portent sur moi au moment de m’asseoir. Je couvre le haut de mes cuisses pour ne pas encourager la convoitise. Va me chercher à boire, je meurs de soif ! (Mon mari se lève aussitôt, je le retiens par le coude juste avant qu’il ne s’éloigne). Tu vois ce black là bas au bar ? (Il fait oui, comment ne pas le remarquer ?) Fais lui porter une coupe de Champagne ! (Puis, perverse jusqu’au bout des ongles, je me corrige sans le lâcher) En fait, tu vas lui porter toi-même la coupe en disant que ta femme le trouve très sexy et l’invite à boire un verre en sa compagnie.


Son expression se fige. Est-ce mon choix arrêté sur un noir qui le gêne ou le simple fait que les choses sérieuses commencent ? Heureusement son hésitation cède vite la place à un petit sourire complice. J’ajoute d’une voix autoritaire.


- Tu me prends une coupe également. Mais en ce qui te concerne tu prends de l’eau, et je veux que tu sois servi dans un gobelet en plastique !


- Oui ma chérie, j’y vais tout de suite.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Samedi 8 août 6 08 /08 /Août 01:15

3.

La fessée


Je souris tout en m’installant confortablement dans le canapé. Eric se cale sur mes cuisses, il s’arrange pour placer son sexe entre mes jambes. Je passe une main sur son postérieur, musclé à souhait. Eric est plus jeune que moi, six ans de moins, il prend soin de son corps par une activité sportive régulière et moi, je veille à son alimentation. Alors, il n’a pas ce début d’embonpoint qui menace les hommes qui ont passé la trentaine. Il a ce petit cul bombé dont rêvent toutes les femmes. Un cul agréable à fesser… Qui a pris l’habitude du châtiment, que ce soit à la main mais aussi parfois à la badine, au martinet ou à la cravache… Je suis plus que sa femme, je suis sa Maîtresse. Et cela l’excite, je sens son sexe grossir au contact de ma peau.


- Alors mon chéri, on dirait que ça te fait de l’effet de te retrouver au travers de mes cuisses.


- Oh Linda, si tu savais comme tout cela m’excite !


Je laisse échapper un petit rire moqueur.




- Oui, je le sens. Mais je vais te donner une bonne fessée, ça va calmer tes ardeurs, tu vas voir…


J’accompagne ma menace d’une caresse sur les fesses. Il a cru à la première claque et je l’ai senti se crisper. Je souris, j’aime susciter la crainte autant que le désir.


- Je vais te rougir les fesses comme un vrai garnement, je te jure que tu vas le sentir passer.


Je me laisse envahir par une immense envie de frapper, un désir incontrôlable de le dominer, une vraie pulsion de dominatrice. Et mon bras s’abat une première fois au travers de ses fesses. Il se crispe mais ne dit rien. Une seconde fois… La marque de mes doigts s’imprime aussitôt sur sa peau… Puis j’accélère la cadence… Plus vite, mais avec la régularité d’un métronome, je le fustige sans pitié, je sens son sexe durcir entre mes cuisses. Mon traitement lui fait de l’effet. Je frappe plus fort, mes gifles deviennent cinglantes, rasantes, plus douloureuses encore… Son fessier arbore une belle couleur carmine, et plus il rougit, plus je mouille.


- Tu bandes mon cochon ?


Je ponctue ma remarque d’une claque bien sonore, plus plate que les autres. Son petit cul déjà bien bronzé est maintenant plus rouge qu’une tomate.


- Aaah… Oui Linda, pardonne moi… Aaaah


Il ne parvient plus à contenir ses gémissements. Chaque baffe s’accompagne désormais d’un petit cri qu’il tente en vain de réprimer.




- Tu n’as pas honte, espèce de salaud ? Bander en recevant la fessée des mains de ton épouse ?


Il répond par un gémissement plus appuyé.


- Je vais te faire un cul tout rouge moi tu vas voir, espèce de vicieux ! Un vrai cul de baboin !


Il commence à remuer, et il ne bande plus… La douleur devient probablement trop forte. Je ralentis la cadence, mais pas mes coups. Je veux lui laisser le temps de craindre chacune de mes claques. L’appréhension va nourrir son humiliation. Attendre le bon vouloir de sa maîtresse, l’instant où elle va daigner abattre le bras, j’adore ce pouvoir. Je contemple ce fessier comme s’il s’agissait d’une œuvre d’art, mon œuvre d’art… Je peux en user et en abuser comme je l’entends, un pouvoir grisant qui décuple mon excitation.


- Si tu voyais tes fesses mon chéri, elles sont d’un rouge, hummm… Tu vas garder les marques un bon moment,
demain au tennis, Jacques et Laura vont se poser des questions… Tu ne pourras pas leur refaire croire à un coup de soleil…




Et je pars dans un rire moqueur en resongeant à son embarras la semaine dernière lorsque nous avons fais un tennis avec ce couple d’amis. Je lui avais donné une bonne fessée avant de partir et son cul était tout rouge. Il était tellement honteux qu’il avait espéré se désister. J’avais alors du faire preuve de toute mon autorité pour le forcer à venir. Il a prétexté un coup de soleil pour expliquer ces rougeurs suspectes sur son derrière, ce qui est assez courant les premiers jours d’exposition dans un camp naturiste. Mais demain, il ne pourra pas renouveler cette excuse. Je malaxe ses fesses en songeant à ce qui nous attend. Je suis incroyablement excitée. Au contact de sa peau bouillante, que je pince et pétris sans pitié, je me dis que dans quelques heures, je pourrai exposer ses fesses bien rouges à celui que j’aurai choisi pour me baiser devant lui.


- Tout à l’heure, je montrerai ton cul tout rouge à mon amant, il va bien rigoler…


- Oh Linda, oui, ce soir, je ne suis plus ton mari, je suis ton esclave, tu pourras m’humilier devant lui si tu veux, je
t’obéirai.


Sa docilité me déçoit presque. J’espérai lui faire peur, l’obliger à me supplier, mais le salaud en redemande. Il ne m’a visiblement confié que l’aspect le plus avouable de son fantasme : celui d’assister à son cocufiage, et non celui d’être soumis devant mon amant. Je me remets à le frapper plus fort, je veux qu’il souffre, qu’il me supplie d’arrêter. Mais il a beau gémir et gigoter, il endure. Eric me surprend, il veut sûrement me montrer combien il est motivé pour cette soirée spéciale. Mais il ignore aussi sûrement que je suis très excitée à cette idée de le tromper sous ses yeux et que je ne vais pas me priver de le rabaisser et l’humilier. Je finis par le repousser et le mettre au coin, main sur la tête. Il a les larmes aux yeux, mais dans son regard, il n’y a que vénération. Le nez contre le mur, puni comme un garnement dans une salle de classe, il ne peut voir mon sourire satisfait en contemplant ses fesses écarlates… Un sourire de carnassière…


Je me suis défoulée, je suis sereine, je me sens d’humeur sauvage et prédatrice, la chasse à l’homme peut commencer.


Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Vendredi 7 août 5 07 /08 /Août 09:27

Il y a quelques semaines, juste avant que nous partions en vacances, j’ai organisé à la maison une spanking’s  party. Il s’agit pour moi d’y inviter des amies  et de nous relayer pour fesser mon mari. Parmi ces amies, il y avait Déborah, mais aussi Véronique pour ceux qui suivaient mon autre blogg, ainsi qu’une autre maîtresse et deux autres copines qui se disaient intriguées par mes rapports mais qui n’osaient franchir le pas.

Le but du jeu est simple : je bande les yeux de mon mari, et nous le fessons toutes à  tour de rôle pendant trois minutes, il doit reconnaître qui est sa fesseuse. Amusant non ? Il y a des gages et parfois on rigole bien. Après, quand il a le cul bien rouge, il nous sert… et on commente. Les filles novices ne sont pas les plus douces loin s’en faut, il en est une qui s’est promis d’essayer sur son mari… lol…

Voici une vidéo qui s’approche assez (mais en plus sérieux et plus sévère) de cette spanking’s party.


La spanking’s party peut être décliné en gode’s party : le mari doit reconnaître les déhanchements et coups de reins de sa maîtresse. Ci-dessous, la maîtresse pourrait être soumise sans qu’il la voie malmenée par d’autres femmes, il suffirait qu’il ait des boules caisses dans les oreilles. Tiens, ça me donne des idées…


Enfin pour terminer en cette période de vacances, un conseil avec cette dernière vidéo, pensez à ne pas oublier votre soumise au camping. Elle s’empale si bien sur un crochet d’attelage. Regardez ce clip français étonnant et excitant.



Enfin, j’attends vos commentaires, je sais que ce sont les vacances, mais vu la fréquentation qui dépasse allègrement les 500 visites uniques quotidiennes, il y en a un paquet qui passe sur la pointe des pieds sans rien dire… Pas gentil ça, pas gentil du tout… Mériteraient une bonne fessée lol ;-)… Merci à Maîtresse Tatiana, quelle joie de te relire, ton blogg est merveilleux, mrci à gant de velours, et merci aux petits nouveaux que je ne connaissais pas : Zak, Donatien, ann et laurent… Pour eux tout particulièrement, je publierai demain la suite du récit de ma tromperie au Cap…

Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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Mercredi 5 août 3 05 /08 /Août 00:22

2.

Sexy pour aller danser ;-)


                        Ce qu’il y a de surprenant pour les néophytes du naturisme, c’est le changement de comportement et de population entre le jour et la nuit à l’intérieur de la station. Familiale et bon enfant tant que le soleil brille, les jeunes y côtoient les vieux, les moches y croisent les beaux sans la moindre lueur de convoitise dans le regard. La nuit tombée, c’est une toute autre faune qui investit les ruelles et les commerces… les vampires commencent à sortir… Les vampires, ce sont des hommes et des femmes, mordus de désir, assoiffés de sexe, en quête d’expériences interdites et de partenaires inoubliables. Ce soir, mon mari et moi, formons un joli couple de vampires.


Je porte un joli bustier en velours noir et une jupe en cuir très courte et très évasée. Lorsque je me penche, même légèrement, on me voit tout, mon absence de culotte d’abord, mais aussi les premiers ourlets de ma chatte si j’écarte légèrement les cuisses.  Le noir me va à merveille. Il tranche avec le blond de mes cheveux, que j’ai tiré en chignon pour faire plus sévère, et met en valeur le teint bronzé de ma peau que j’expose cinq heures par jour dans ce seul but de séduire et d’allumer les hommes. Ce soir, je veux mettre toutes les chances de mon côté pour attirer à moi le plus viril des amants. Je rajuste le bustier sur ma poitrine. Il est minimaliste mais il me fait des seins pigeonnant comme des obus. Pour achever ma panoplie de séductrice, j’ai enfilé des escarpins aux talons démesurés, dont les lacets noués autour de ma cheville, me donnent un port  de reine. Oui, ce soir, je suis une reine… je suis la reine des vampires. Et si je nourrissais un doute quant à l’effet produit sur les hommes, mon mari le dissipe à ma sortie de salle de bain, après une heure passée à m’apprêter.




- Ma chérie, tu es magnifique ! s’exclame-t-il en s’empressant de m’apporter le thé que je lui ai réclamé.


Mais plus que cette phrase sibylline, ce compliment maintes fois lancé avant ce soir, c’est la lueur de désir et d’admiration qui brille dans ses yeux qui retient mon attention. Oui je suis magnifique, j’en suis convaincue.

Je m’approche d’un pas langoureux, le sourire carnassier, le regard narquois.
Je suis excitée, je me sens prête à faire voler en éclats les derniers tabous de notre mariage. Il se tient à mes côtés, entièrement nu, je me saisis de la tasse qu’il me présente en saluant d’un air dédaigneux et moqueur son sexe de petit garçon. Il baisse les yeux, honteux du sourire narquois que je viens de lui adresser, honteux de ce pubis imberbe et de cette verge qui n’en paraît que plus minuscule.  Je  trempe le bout des lèvres dans ma tasse en gardant les yeux rivés sur son bas ventre. C’est trop chaud, je grimace. Il est 23 heures, un peu tôt pour sortir en boîte, j’ai du temps devant moi pour m’amuser un peu.


- Je t’ai déjà dis de ne pas faire mon thé si chaud ! Tu le fais exprès ou quoi ?


Eric est surpris. Il bafouille des excuses.


- Pardonne moi, je vais rajouter un peu d’eau fraîche, dit il en reprenant la tasse.


Je joue les divas capricieuses et croise les bras sur la poitrine pour lui signifier mon mécontentement.


- Non, c’est trop tard. Je crois que tu l’as fais exprès !


- Exprès, relève-t-il, désappointé. Non chérie, je te jure…


- Moi si, ce n’est pas la première fois, tu mérites une bonne correction.


Je m’assieds dans le fauteuil sans le quitter des yeux. Je le toise tandis que son regard se perd sur mes cuisses fuselées. Il est confus, hébété, mais aussi excité. Je le vois quand au moment de m’asseoir, son regard se perd sous ma jupe pour reluquer ma chatte.


- Que regardes tu comme ça ? Petit vicieux !


- Rien… Je te jure, bafouille-t-il. C’est toi, tu es très en beauté chérie.


- Moi je crois que tu reluquais sous ma jupe et que tu mérites une bonne correction.


Il me regarde en fronçant les sourcils et se demande s’il a bien entendu. Je ne lui laisse pas le temps de tergiverser, j’ajoute d’une voix des plus autoritaires.




- Allez approche, petit vicieux, je vais t’apprendre à regarder sous les jupes des dames.

Puisqu’il a désormais un sexe de petit garçon, j’ai très envie de le traiter comme un enfant. Et puis, cela le mettra en condition pour tout à l’heure. Eric, submergé de honte, se met à rougir.


- Enfin chérie, tu… Tu vas pas ? Nous allons sortir…


- Justement, je vais te chauffer le derrière avant de sortir, il ne faudrait pas que tu aies froid. Allez, approche, je vais te donner une bonne fessée !


Mon mari hésite, mais au fond, je suis persuadée qu’il n’attend que ça. Je suis de nature dominatrice, je dirige mon couple comme je dirige mon bureau. J’ai toujours été autoritaire, j’ai toujours le dernier mot et j’obtiens toujours ce que je veux… Avec mon mari qui est de nature soumise, plus qu’avec n’importe qui… Alors je ne suis pas surprise de le voir se coucher docilement au travers de mes genoux.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Lundi 3 août 1 03 /08 /Août 11:04

1.

Le zizi rasé


                        Je reprends un peu de mousse à raser… Il n’y a presque plus de poils, il s’agit juste d’éliminer les derniers récalcitrants. C’est le cinquième passage, il faut que ce soit lisse, bien lisse, une vraie peau de bébé. J’étale la mousse à raser sur le bout de mes doigts et en tartine le pubis avec une délectation gourmande. Je trempe le rasoir dans le bol d’eau tiède, puis je le positionne sur le bas ventre, un sourire aux lèvres. Le geste me plaît, réticente à l’idée lorsqu’elle m’a été soumise, le plaisir que me procure l’acte et le résultat qui commence à se dessiner sous mes yeux me procurent un plaisir étrange et dérangeant, presque malsain. La lame ne crisse plus, elle n’a plus de poils à se mettre sous la dent.




Je me saisis du sexe de mon mari et le tire entre ses cuisses afin de permettre au rasoir de passer partout. Il se laisse faire, docile, soumis, penaud. Je tiens entre mes mains toute la virilité du mâle et en lui rasant les bourses tout à l’heure, une bouffée de chaleur s’est emparée de moi. Elle ne m’a pas quitté. C’est un sentiment de puissance extraordinaire que de tenir entre ses mains le sexe de son homme. J’ai le pouvoir d’émasculer, c’est grisant… je me contente d’infantiliser. Car maintenant, avec son sexe chauve, tout recroquevillé, comme apeuré par la lame, mon mari présente les attributs d’un petit garçon. Son regard trahit l’émotion que son sexe, entre mes mains, est bien incapable d’exprimer. Mon regard, dur et autoritaire, tranche avec l’immense reconnaissance que je peux lire dans ses yeux. Ce matin, il a surmonté ses appréhensions pour me confier ses fantasmes les plus inavouables. Je dois avouer ne pas avoir été très excitée à l’idée de raser le sexe et le pubis de mon mari. J’aime les hommes, les vrais, avec de grosses bittes et non des sexes d’enfants. Mais maintenant que c’est fait, je ne regrette pas. Je passe le pommeau de douche sur sa petite queue afin d’en retirer la mousse, puis je contemple le résultat, le regard hautain, le sourire satisfait. Eric n’est pas très poilu, si bien que le contraste entre son torse et son bas ventre n’est nullement choquant. Je n’ai jamais vu d’homme au sexe rasé, Eric est le premier, pourtant, depuis quelques années, je le trompe régulièrement, et des candidats, j’en ai vu défiler pas mal dans mon lit.


- Alors ? demande-t-il, impatient de connaître mon avis. Comment tu trouves ?


Il est mignon, même attendrissant, mais ce n’est pas le genre de propos qu’il attend de moi, ce n’est pas ce que j’ai compris en l’écoutant me décrire son fantasme ce matin.


- Si tu te voyais mon chéri, tu as l’air vraiment ridicule !




Eric se penche sur son sexe pour admirer le travail de sa chère épouse et dissimuler son embarras.


- Ca fait drôle, dit il d’un air penaud.


- Ca c’est sûr, on dirait un zizi de petit garçon. Demain sur la plage, tu vas attirer les regards, tu auras la honte de ta vie !


Depuis des années, nous passons nos vacances au Cap d’Agde, dans le plus grand camp naturiste d’Europe. Alors demain, à la plage ou dans les magasins, lorsqu’il ira chercher le pain ou lorsqu’il se promènera à mon bras, il arborera ce sexe minuscule et glabre. Quelle honte pour lui…

Il ose relever la tête et affronter mon regard narquois.


- Ca ne te plaît pas, tu regrettes ? lance-t-il d’un air désespéré.


Je m’approche en souriant. Je jubile.


- Au contraire, ça me plaît beaucoup. Je me saisis de sa main et la guide entre mes cuisses. Je ne porte rien, nous sommes dans un camp naturiste. Alors ? Tu crois que ça ne me plaît pas ?


Je suis trempée. Mon mari récolte sur ses doigts les fruits de mon excitation.


- Je suis si heureux que cela te plaise, me confie-t-il avant de déposer dans mon cou un baiser reconnaissant.


Je repousse doucement la main qui tente de me fouiller la chatte.


- Je veux que tu baises les doigts qui t’ont rasé ta petite quéquette !


Ma voix est moqueuse mais mon regard est celui d’une femme déterminée. Eric aime les maîtresses femmes, et aujourd’hui plus encore que les précédents, je suis cette Maîtresse. Il n’hésite pas un seul instant, il se saisit de ma main et dépose un baiser sur l’extrémité de mes doigts. Perverse, je profite de l’occasion pour introduire un doigt dans sa bouche. Il se met à le sucer comme s’il tétait un biberon.


- Tu es bien sûr de vouloir pour ce soir ? dis-je en introduisant un second doigt dans sa bouche.


Il ne peut prononcer le moindre mot mais il marmonne et acquiesce en roulant des yeux. Il n’attend visiblement que cela, cela fait même sûrement des années qu’il attend ce moment sans oser me l’avouer. Mais ce soir, son fantasme sera une réalité… C’est une chose d’imaginer sa femme baiser avec un autre homme, c’en est une autre que de la voir à l’œuvre. Mon mari m’a toujours été soumis, et il y a quelques années, ne pouvant répondre à mes désirs d’hommes plus virils, il a accepté que j’aille voir ailleurs. Le fait de lui raconter mes escapades, le soir sur l’oreiller, a réveillé des ardeurs endormies et a crée entre nous un lien nouveau, une complicité, et paradoxalement, une plus grande confiance. Notre couple en est sorti renforcé, mais ce soir, sa femme se présentera à lui sous un autre jour : il me verra baiser comme il ne m’a jamais baisé. Je suis excitée, mais j’ai peur que cela soit un choc pour lui. Que pensera-t-il de moi si je jouis devant lui comme une salope ?


- Je choisirai un type costaud, et il aura une grosse queue, toi, tu auras l’air minable avec ta petite quéquette toute lisse.


Je retire doucement les doigts de sa bouche car je veux l’entendre me répondre.


- Oui, j’en ai envie. Comme je te l’ai dis ce matin, ça m’excite de pouvoir te voir…


Je le coupe d’une voix sèche.


- Tu regardes mais tu ne dis rien ! Aucun commentaire, aucune protestation, à partir du moment où nous quitterons l’appartement, nous ne pourrons plus revenir en arrière, et il faudra que tu m’obéisses au doigt et à l’œil !


- Oh ma chérie, tu sais que je n’attends que cela.


- Oui, mais là, tu le feras devant un autre homme. Tu le feras devant mon amant, et cela ne m’excitera que si j’ai à mes côtés un petit mari cocu très obéissant.


- Oh chérie, je suis excité rien qu’à l’idée !




Je m’approche en souriant. Ma cuisse frôle son sexe. J’effectue quelques mouvements langoureux et subtils afin d’éveiller en lui quelques ardeurs.


- Mais tu ne pourras rien faire, dis-je en branlant son sexe contre ma cuisse chaude et douce. Je serai la seule à prendre du plaisir, je t’interdirai de te toucher, je pourrai même te passer les menottes !


- Oh Linda, ma chérie, oui, tu peux m’attacher et m’humilier devant ton amant, c’est pour ça que je t’ai demandé de me raser. C’est ta soirée, j’obéirai à toutes tes exigences.


Je sens contre ma cuisse que ce ne sont pas des paroles en l’air. Son sexe n’a plus rien d’enfantin. Le scénario lui plaît et à en croire la dureté de sa bitte, je peux dire qu’il espérait cette tournure.


- Tu ne seras pas déçu mon chéri, tu peux me faire confiance…


Je lui susurre cette promesse avant de tourner les talons. Je le laisse contempler ma croupe ferme et bronzée par le soleil méditerranéen et je l’abandonne avec sa trique en imaginant le regard concupiscent qu’il porte sur mes fesses. La soirée s’annonce sous les meilleurs auspices…

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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