Vendredi 11 septembre 5 11 /09 /Sep 23:44

 

Tout vient à point à qui sait attendre mon cher sub (qui se plaint de mises à jour moins régulières, et il a raison ;-)… Après de longues vacances, difficile de reprendre la plume, retrouver le rythme de notre correspondance, mais vous ne devriez pas être déçus par ce que nous allons vous raconter, même s’il sera difficile d’égaler la prose de notre chère amie Linda.

Merci pour vos commentaires élogieux que j’ai bien sûr fait lire à linda… Lord2A, votre analyse est parfaite, comme toujours serais-je tentée de dire…Merci à çambotte aussi et à tous ceux qui nous encouragent en nous laissant de si gentils messages. Allez, assez palabré, bonne lecture…

 

1. Préambule

 

 

 

Nous avons jusqu’alors respecté une certaine chronologie, car nous voulions planter le décor, expliquer le « pourquoi du comment ». Vous avez ainsi appris à mieux nous « connaître », mais aujourd’hui, nous sortons de ce « carcan » chronologique pour relater nos expériences en vrac, afin de pouvoir revenir au gré de nos envies sur certains « épisodes » de notre vie. Par épisodes, j’entends bien sûr vous raconter mes tromperies, histoire de justifier le titre de notre blog, beaucoup plus porté jusqu’à présent sur la soumission de mon mari que sur son cocufiage. Enfin, dirons certains… Oui, enfin… Mais tout vient à point à qui sait attendre disais-je plus haut, et il nous a fallu une certaine progression d’ordre psychologique avant d’en arriver où nous en sommes. (Sur ce point, Linda a bien raison)

L’ordre de mes « aventures » va rester au début un tant soit peu chronologique et dans cette rubrique, vous ferez la connaissance de Phil, Kévin, Simon, Jonathan, Henri… Tous des amants convaincants qui m’ont donné du plaisir et qui ont marqué nos vies en faisant progresser notre relation. Si je me souviens de leurs noms, c’est que dés le début, j’ai fais noter leur nom et leur « prestation » par ma petite lopette de mari dans un cahier qu’il a très bien tenu toutes ces années… Mais il vous en parlera lui-même.

Ceux qui ne figureront pas ici sur ce blog sont les mauvais coups (il y en a eu) et ceux que Charles n’a pas connu, car je trouve excitant qu’il puisse témoigner de mes aventures et que le blog puisse être écrit à quatre mains, ce qui est très agréable et assez original je trouve.

Mes amants relatés dans cette rubrique vont me montrer sous un jour nouveau, un aspect de moi qui va vous révéler ma progression dans la décadence.

La première escapade que j’évoquerai ici correspond à l’inauguration de mon nouveau lit, celui que j’ai acheté bien après que Charles m’ait trompé. (Je dirai environ un an pour essayer de localiser les faits dans le temps)

 

Déborah

 

Quand ma femme se prépare pour aller retrouver son amant, c’est un rituel auquel je suis pleinement associé. Je dois la parer, la maquiller, lui proposer des tenues. Mais ce jour là, c’est différent, elle ne rejoint pas son amant, c’est elle qui reçoit, et pour la première fois de notre vie de couple. Déborah a en effet décidé de me faire cocu sous notre toit, enfin je devrai dire le sien. Elle a commandé sur internet un lit immense à baldaquins, et c’est aujourd’hui qu’on doit le lui livrer. Depuis quelques jours, elle s’est mise dans la tête de se taper les types qui vont le lui monter. Mais je ne la crois pas, elle dit cela pour attiser ma jalousie, tester ma réaction, accentuer mon humiliation. Bien sûr, je ne relève pas. Mais je me dis qu’il y a un gouffre entre se taper un ami d’enfance (Bruno) et des inconnus.

Je commence à douter lorsque le jour J, elle se prépare à accueillir nos braves livreurs dans une tenue des plus équivoques. Elle s’est arrangée pour que la livraison tombe pendant des vacances scolaires et m’a demandé de poser un jour de RTT pour être présent ce jour là. Cette fois, je ne peux plus douter qu’elle y songe sérieusement… Mais aura-t-elle le cran d’aller jusqu’au bout ?

 



Charles

 

Mon pauvre chéri… Ainsi tu doutais… Après ce que tu subis depuis des mois, tu crois vraiment que je vais me dégonfler ! Evidemment, tu ne peux pas savoir que j’ai pris goût à ces parties de jambes en l’air, goût à l’adultère, à l’interdit, à la perversion… Que je veux aller plus loin, franchir de nouvelles frontières, explorer de nouveaux royaumes, rencontrer de nouveaux amants. Bruno me lasse… J’ai envie d’inconnus, les hôtels me lassent, et voilà que se présente la possibilité de baiser avec les livreurs. Alors tu me fais bien rigoler avec ta question de savoir si je vais avoir le cran… Le cran, je l’ai… Il n’y a qu’une chose qui pourrait me faire renoncer, c’est qu’ils soient laids… Mais là aussi, tu ne peux pas savoir que j’ai tout prévu… Eh oui, mon chéri, ta femme est devenue perverse, machiavélique… En un mot… Salope… Et après ce jour, tu ne pourras plus l’ignorer.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 5. Les livreurs
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Lundi 7 septembre 1 07 /09 /Sep 16:50

Linda : Ma chère Déborah, je te souhaite un bon retour parmi nous. Je suis heureuse de te retrouver toute bronzée, apaisée et épanouie. Et je crois que tous les internautes sont heureux de te retrouver. Jadis on remettait les clés de la ville à son seigneur suzerain en guise de bienvenue, moi, je te rends donc les clés de ton blog à défaut de ville !

 

Déborah : De bienvenue et de soumission…


Linda :
Pardon ?

 

Déborah : Les clés étaient données au seigneur suzerain comme tu le dis si bien en guise de bienvenue et surtout de soumission… Pour éviter qu’il ne ravage la ville !

 

Linda : Certes mais bon, il ne s’agit que d’une métaphore…

 

Déborah : En es tu sûre ?

 

Linda : Heu, je ne vois pas où tu veux en venir… Veux tu nous dire un peu comment se sont passées tes vacances ?

 

Déborah : Non, ce n’est pas le moment, ce n’est pas ce dont j’ai envie pour l’instant.

 

Linda : Et de quoi as-tu envie alors ?

 

Déborah : Faire le point sur ce qui s’est passé ici sur mon blog pendant mon absence.

 

Linda : C’est ton blog, ta rubrique, la conversation, tu la mènes comme tu l’entends, mais je pense sincèrement que les internautes sont plus curieux de savoir comment tu as dominé et trompé Charles pendant les vacances plutôt que de revenir sur ce qui s’est passé ici !

 

Déborah : Ils sauront en temps voulu. Il y aura bien quelques allusions au présent de temps à autre, mais ce blog, et en cela je copie le tien, respectera la chronologie que je lui fixerai. Charles accepte tant de choses aujourd’hui que je ne veux pas « brûler » les étapes.

 

Linda : Si je peux me permettre, c’est toi, bien plus que Charles, qui aujourd’hui accepte les choses. C’est toi qui a évolué, et c’est toi, aujourd’hui, qui te permets un peu plus de fantaisie.

 

Déborah : Et moi je trouve que tu te permets beaucoup de choses. Je sais que je te dois beaucoup de mon audience, grâce à ta notoriété et le lien sur ton blog, mais tout de même, je trouve que tu abuses !

 

Linda : C’est vrai, c’est dans ma personnalité, désolée. Mais tout de même, tu as vu la progression de l’audience du blog ce mois d’août !

 

Déborah : C’est vrai, bravo, mais à quel prix ?

 

Linda : Comment cela à quel prix ?

 

Déborah : Tu t’es compromise, et par là même, la réputation de mon blog, dans une diffusion à tout va de vidéos pornos racoleuses.

 

Linda : Mais tu m’as toujours dit aimer le porno, tu as même avoué ici sur ton blog, que tu avais trouvé beaucoup d ‘inspiration dans les vidéos pornos au début de ta relation BDSM avec Charles, que cela t’avait donné des idées, excité même !

 

Déborah : Et alors ? On peut aimer certaines choses et ne pas les retrouver sur mon blog. J’aime la cuisine chinoise, je vais pas diffuser pour autant la recette du canard laqué


Linda :
Mais là, on est quand même dans le même domaine. On parle de sexe…

 

Déborah : Il y a plusieurs façons de le faire. Ton récit était excellent. Original, bien écrit, brillant, talentueux… Les photos superflues (une de temps en temps aurait suffi), et les vidéos, alors là, c’était le pompon ! Beaucoup trop nombreuses, certaines médiocres, et la plupart en rapport avec tes lubies de vieille soumise lesbienne, et non en rapport avec le thème du blog, la soumission d’une petite lopette de mari, trompé par sa femme !!!

 

Linda : Je… Je croyais bien faire… Merci pour la vieille lesbienne soumise.

 

Déborah : Pas de quoi, tu l’as bien cherché… Bon, d’accord, je suis ingrate et cruelle, mais c’est comme ça que tu m’aimes… Enfin je veux dire, tu aimes qu’on te rabaisse ton caquet, voilà, c’est fait. Je n’allais pas débarquer et jouer les « fleurs bleues » en te remerciant à tout va d’avoir tenu le blog ! Allez viens, nos maris sont au lit, on va pouvoir jouer un peu…

Par Charles et Déborah - Publié dans : Entretiens avec Linda
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Vendredi 4 septembre 5 04 /09 /Sep 08:54

13.

Baisée


                        Je sens la bitte de Marcus caresser ma chatte de l’extrémité de son gland. Il est bien placé pour se rendre compte que je mouille comme une vraie salope, et il ne se gêne pas pour informer Mona et mon mari de mon état d’excitation.


- Putain mec, ta femme, c’est une fontaine, elle mouille comme une chienne en chaleur.


Et pour prouver la véracité de ses propos, il s’enfonce doucement mais entièrement en moi. Il glisse dans mon fourreau comme dans une motte de beurre exposée au soleil. Il est énorme, mais mon sexe l’accueille sans difficulté. Il me remplit, me comble, me transperce. Je gémis avant même qu’il ne commence ses va-et-viens. Ma bouche se plaque alors sur la chatte de Mona. Je jouis et je tente de le dissimuler en étouffant mes gémissements dans les chairs humides de ma Maîtresse. Je me bâillonne avec sa chatte, et c’est elle qui gémit, surprise par mon entrée en matière pour le moins directe. Je perds toute notion du temps, ma vue se brouille, je ne garde que le souvenir de cette odeur de pisse et de mouille qui agresse mes narines, et excite mes papilles… Puis cette sensation d’être remplie, comblée, pleine… Je ressens bientôt les coups de boutoir de Marcus contre ma matrice, et je me remets à gémir. Mes petits cris plaintifs lui font penser que je commence à y trouver mon plaisir, il ne s’est pas rendu compte que j’avais déjà trouvé l’orgasme.


- Oui salope, vas-y ! Je vais te faire jouir, tu vas voir. T’aimes ça, hein ? Tu la sens bien salope !


- Oui… Oui… O mon chéri, si tu savais comme il me baise bien.

Eric, ainsi interpellé, cesse un instant de lécher le fond du slip de Mona pour m’adresser un sourire plein de complicité. Lui aussi il aime, il en redemande. Son sexe, qui n’a plus rien d’enfantin, parle pour lui. Il ne peut rivaliser avec le braquemart de Marcus, mais il bande. Cela me conforte dans mon rôle de chienne et puisqu’il semble apprécier le spectacle, je vais lui en donner de l’épouse vicieuse. D’ailleurs, ma position semble plaire à tout le monde. Mon mari prend plaisir à voir sa petite femme se faire baiser, Marcus se complaît dans mon vagin de bourgeoise blonde et Mona gémit et mouille de plus bel sous mes coups de langue.


- Oui, t’es une brave chienne, m’encourage-t-elle. Nettoie bien ma chatte, elle est pleine de pisse, passe bien ta langue partout… Oui, hummm, oui… Et n’oublie pas de lécher le sperme de Marcus, j’aime pas quand ça colle.


Derrière, Marcus s’agrippe à mes hanches et accentue la cadence. J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur la chatte de Mona. Mon plaisir emporte tout sur son passage et je ne suis pas longue à venir une seconde fois. Cette fois, mon orgasme ne passe pas inaperçu.


- Regarde mec, ta pouf comme elle prend son pied. Elle jouit déjà !


Je sens les grosses mains de Marcus pétrir mes fesses. Il me pince et me fait mal, mais cela ne coupe nullement ma jouissance. Ma langue nettoie son foutre sur la chatte de sa femme, et mon nez est englué dans les traînées de sperme qui se trouvent dans son pubis. Lorsque je reprends mes esprits et que je relève la tête pour reprendre mon souffle, j’offre à Mona mon visage maculé de foutre, de mouille et de pisse. Elle ne manque évidemment pas de s’en moquer.


- Ah oui, si tu te voyais ma salope, là tu as l’air vraiment salope. Regarde comme ça lui plaît à ta petite femme de me brouter le minou, ajoute-t-elle en se moquant de mon mari. Si ça se trouve, après, elle pourra plus s’empêcher de lécher toutes les chattes qui lui passeront sous le nez !


Elle ponctue sa remarque d’un rire moqueur et sensuel sans deviner la portée prophétique de celle-ci… Moi, j’ai un creux à l’estomac, je le pressens… Et Marcus, qui sort de ma chatte pour se finir au dessus de celle de son épouse, a aussi compris qu’en quelques minutes, j’ai perdu tout mon vernis de bourgeoise dominatrice. Il crache à nouveau sa semence mais cette fois, il arrose autant le vagin de sa femme que ma bouche, ouverte pour accueillir servilement son foutre. Il a deviné que j’étais prête à le recevoir sur mon visage et ne s’en prive pas. Il gicle puissamment sur la chatte de Mona, mais le second jet m’est destiné. Je suis éclaboussée au niveau du menton et de mes lèvres. Mais il continue de se branler et garde sa bitte orientée dans ma direction. Je reçois une nouvelle giclée sur mon nez et mon front. J’ai l’impression d’être littéralement débarbouillée de sperme. Je ne l’ai jamais toléré avant ce soir, et j’y prends là un plaisir inouï : celui d’être dégradée, de sombrer dans la décadence la plus totale et la plus condamnable. Marcus gémit et n’en finit plus de se répandre.


- Tiens sale pute, prends ça, bois mon sperme, chiennasse.


Il me saisit par les cheveux et me fourre sa grosse queue dans la bouche. Il veut me forcer, mais je suis docile, matée, j’en ai envie au plus profond de moi. Les dernières gouttes de sperme me tombent dans le gosier tandis qu’il râle en fermant les yeux.


- Oui, reprend Mona en ricanant. Nettoie lui la queue, t’es bonne qu’à nettoyer les bittes et les chattes. Et fais en sorte qu’elle soit bien propre salope, car maintenant, c’est mon tour, il va me baiser, et je veux pas avoir le goût de ta chatte quand je lui taillerai une pipe.

Marcus finit par se retirer de mon palais. Il a à peine débandé. J’en profite pour humilier mon mari.


- T’as vu mon chéri, lui il bande encore après avoir joui. C’est un vrai mâle.


Eric lèche docilement la culotte de Mona. Il baisse la tête, honteux. Mais je vois qu’il bande bien fermement maintenant.


- Oui, et maintenant qu’il a joui deux fois, il me doit deux orgasmes, reprend Mona, plus malicieuse que jamais. Elle saisit son époux par les épaules et dépose un baiser sur sa joue. Pas vrai mon chou ? Tu vas me baiser à fond maintenant, tu vas me ramoner la chatte et le cul, cette salope m’a mis dans un sacré état, je suis trempée.


- Pas de problème ma puce, répond Marcus en branlant doucement son membre qui a à peine perdu de sa vigueur.


- Je te préviens, je veux jouir du cul, t’as intérêt à tenir la distance, rétorque Mona. Puis s’adressant à moi, elle ajoute. Quand je baise avec mon homme, j’aime avoir un peu d’intimité, ça vous embête pas trop ?


- Non, non, vous pouvez prendre notre lit à côté, je vais prendre une douche pendant ce temps là, j’en ai bien besoin.


- T’es sympa Linda. Je te conseille de prendre un bain, car après de tels préliminaires, j’aime bien prendre mon temps.


- Pas de problème, un bain me fera le plus grand bien. (Je vois le regard de Mona embarrassée, se porter sur mon mari). Lui n’as fini de nettoyer ta culotte, et cela lui prendra le temps qu’il faudra pour te rendre un slip nickel.


Je la regarde se lever et se diriger vers notre chambre, enlacée à Marcus, je trouve qu’ils forment un joli couple. Mon regard se porte sur mon mari et la honte me submerge. Il bande comme un âne. Son sexe glabre n’en paraît que plus gros.
Je suis la Maîtresse de mon mari et je viens de me comporter en chienne soumise. J’ai honte du plaisir qu’il a pris à se soumettre comme un vulgaire énuque, mais j’ai honte surtout du plaisir que j’ai pris à me sentir dégradée et humiliée de la sorte. Et quand mon regard croise le reflet du miroir, je vois l’image d’une femme bafouée, souillée, un visage maculé de foutre, le visage d’une pute qui vient d’être aspergé par un client… Mais ce sourire et ce regard qui sont les miens à cet instant précis ne révèlent ils pas plus encore le plaisir inouï que je viens de prendre ?

Je comprends alors que ma vie ne sera jamais plus la même.

Texte de Linda, (histoire vraie) publié par Déborah, de retour de vacances et qui rejoint vos critiques sur les trop nombreuses illustrations pornos. Donc je censure les dernières et m'en entretiendrai avec Linda ici même bientôt. Mais je la remercie d'avoir tenu mon blog pendant ces 5 semaines, et vous pourriez en faire autant...

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Mardi 1 septembre 2 01 /09 /Sep 23:26

12.

Brouteuse de minou

 

                                     
                                    Je ne peux pas lui dire que j’ai aimé qu’elle me pisse dessus, pas devant mon mari… Je me suis écartée d’elle plus par peur de paraître trop dépravée que par dégoût. Mes préjugés n’ont pas encore totalement volé en éclats : je suis la Maîtresse de mon mari, je me suis toujours refusée à lui pisser dessus, alors je ne peux décemment pas prendre du plaisir à boire l’urine d’une autre femme… Pas devant lui… Je dois apparaître comme une belle salope, pas comme une chienne soumise. Le baiser nous entraîne sans que je m’en rende compte sur le canapé que Marcus a quitté. C’est ce qui s’appelle être transportée de plaisir. Mona accompagne le baiser de douces caresses sur ma nuque, puis sur mes joues. Je fonds de plaisir. Puis elle se détache doucement de mes lèvres.


- Attends, je vais retirer ma culotte, c’est malin je suis toute mouillée, dit elle en pouffant de rire.



Elle se relève et baisse sa culotte toute trempée de pisse, de Champagne, et de sperme. Je suis alanguie aux pieds du canapé, j’ai toujours une vue imprenable sur son entrejambe, et cette fois il n’y a plus de culotte pour m’interdire la vision de sa petite chatte. Le spectacle de son sexe est d’une décadence extrême.

Ses lèvres sont incroyablement humides, mais comment pourrait il en être autrement ? Elles sont luisantes de mouille et de pisse, de Champagne aussi sûrement. Les petits poils bruns qui parcourent sa chatte sont eux aussi trempés, ce qui renforce l’aspect obscène de son sexe, mais diable que cela m’excite. Pour couronner le tableau, je perçois très nettement des traces de foutre dans les poils de son pubis et le long de ses grandes lèvres.


- Je vais aller me nettoyer la chatte, dit elle en ramassant le slip sale à ses pieds, bouge pas ma chérie j’en ai pour une minute.


- Je vais la faire patienter, dit Marcus en masturbant sa grosse queue déjà d’attaque pour « me faire grimper au rideau ».

Il s’approche de moi pour que je la reprenne en bouche, histoire de lui rendre toute sa rigidité avant de me pénétrer.


- Non, fis-je en retenant Mona au moment où elle s’apprête à gagner la salle de bain, guidée par mon petit mari servile. (Elle me lance un regard étonné, et j’ajoute). Non, assieds toi… C’est à moi de le faire… Je vais te nettoyer la chatte… J’en ai envie.


Moi, si narreuse, mes mots sortent de ma bouche en échappant à mon contrôle. Je suis aussi choquée par mes propos que mon mari, qui me lance un regard ahuri.

Mona retrouve son sourire pervers de dominatrice. Elle seule ne semble pas surprise par ma proposition.


- J’en étais sûre, dit elle en tendant sa culotte à mon mari. Tiens, va donc la nettoyer ! (Eric tourne déjà les talons, le slip trempé dans les mains, mais Mona le rappelle à l’ordre aussitôt). Non, reste là ! Je veux que tu voies ta petite femme me brouter la chatte pleine de pisse et de sperme. Je veux que tu voies comme c’est une vicieuse !


Mona a tout compris de notre petit jeu en ordonnant à mon mari de rester. Elle se réinstalle dans le canapé, les cuisses grandes ouvertes, et poursuit à l’égard de mon époux.


- Je veux que tu lèches le fond de ma culotte tout le temps que ta femme me lèche la chatte. Comme ça, tu auras le même goût qu’elle dans la bouche !




Je lance un coup d’œil amusé à Eric qui entreprend aussitôt de lécher le fond du slip de Mona. Il doit être aux anges, je sais qu’il a toujours voulu que je lui pisse dessus, et la culotte de Mona doit sentir la pisse plus que tout autre chose. Je m’en rends compte en approchant mon nez de son entrejambe.


- Allez petite salope, viens donc lécher la chatte de ta Maîtresse !


Ca y est, le mot est lâché… Maîtresse… Mona est ma Maîtresse… Je suis bien dominée, je ne peux plus faire illusion. J’aime ça, c’est une révélation… J’ai sa chatte trempée, odorante et maculée de foutre sous les yeux, et ce que je n’aurai jamais cru possible avant ce soir là, je mouille comme une folle à l’idée d’y plonger mon nez.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Lundi 31 août 1 31 /08 /Août 16:14
Quelques clips très humides en attendant la suite du récit demain. Déborah rentre demain aussi...;-)



Sur le quai d'une gare... Ahurisant...


Une blonde "mature" (que ce terme est laid !) se fait sévèrement godée par deux jeunettes qui lui pissent dessus ensuite. Hummm...

>

Et pour finir, pour les amateurs qui ont du temps devant eux : 1h30 de plaisirs humides entre filles.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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