Lundi 28 septembre 1 28 /09 /Sep 13:42

Je commence à avoir des crampes, j’ai chaud et j’ai mal au cul. Je me suis assis en oubliant le plug et ce dernier m’a déchiré les entrailles. J’ai laissé échapper un petit cri qui m’a pétrifié de terreur car j’ignorais alors si les livreurs se trouvaient dans la chambre. J’imagine un instant l’un de ces machos ouvrir le placard et me surprendre ainsi attaché et sodomisé. Quelle honte ! Quelle déchéance !

Mais non, ils remontent et commencent à installer le nouveau lit de Déborah.

 

- Cette chambre va devenir un vrai baisodrome, t’as vu la taille du lit !

 

- Un vrai lit à partouzes !

 

- Et tous ces miroirs sur les murs, putain ça m’a l’air d’une rude salope !

 

- T’as vu comme elle nous a regardé en bas.

 

- Moi ce que j’ai surtout vu, c’est qu’elle a retiré sa culotte !

 

- Non ?

 

- Je te jure, t’as pas vu comme elle se tenait dans son petit canapé, sa robe remontée à mi cuisses, jambes écartées, on lui voyait la touffe !

 

L’autre est au bord de la crise d’apoplexie et se refuse d’être passé à côté d’un tel spectacle.

 

- Non, tu me fais marcher.

 

- Je te jure, ricane l’autre. Je peux même te dire que c’est une vraie blonde.

 

Visiblement Déborah leur a fait un petit show en bas mais n’est pas encore passée à l’acte. Pourtant cela fait dix minutes que je ne les entendaient plus, étaient ils dans le camion ?

J’ai la réponse en entendant mon épouse faire irruption dans la chambre.

 

- Messieurs, vous avez fini vos bières ?

 

J’imagine Deb’, serviable et aguicheuse leur proposer les bières.

 

Charles

 

 


Je suis dissimulée dans le couloir depuis quelques secondes et j’ai tout entendu. Georges a déjà vu ma petite chatte, et quant à Johnny, et bien j’espère la lui montrer dans quelques instants.

 

- Vous m’avez fait une chambre superbe, vraiment quel lit magnifique !

 

- Oui il est spacieux, répond Johnny au moment où je lui reprends la bière pour le débarrasser.

 

Je la pose sur la commode et m’assied sur le nouveau lit pour en tester le confort. Je fais rebondir mon petit cul et m’arrange du même coup pour écarter les cuisses de manière naturelle. Cette fois, il ne peut pas ne pas avoir remarqué mon absence de petite culotte. Ma robe est aussi remontée très haut. La lisière de mes bas est totalement découverte et le haut de ma cuisse parfaitement dénudée.

Les deux hommes ont les yeux fixés sur mon entrejambe et sourient en silence. Nous atteignons le point de non retour : soit je rabaisse ma robe et je quitte la chambre précipitamment, passant alors pour une salope d’allumeuse, soit je reste et je m’offre, passant pour une salope… tout court.

Je demeure immobile à répondre à leur sourire d’un air suggestif, prenant bien soin de ne pas recouvrir mes cuisses, ni même de les serrer.

Georges pose sa cannette de bière sur la commode et s’approche de moi en souriant d’un petit air narquois.

 

- La petite dame souhaite peut être inaugurer son lit maintenant.

 

- Si ça fait partie du service après vente, j’aurais tort de m’en priver.

 

Cette fois, le signal est donné. Georges pose ses mains sur mes cuisses et m’incite doucement mais fermement à les écarter.

 

- Madame a oublié sa petite culotte on dirait, relève-t-il en se tournant vers son compagnon pour lui signifier que lui, avait déjà relevé cet « oubli ».

 

Johnny baisse son pantalon et son slip et m’exhibe une belle queue déjà à demie dressée. Cette semi érection est à elle seule aussi impressionnante que la bitte de mon mari lorsqu’il bande bien dur. C’est un beau morceau, il est bien monté, j’ai de la chance.



Les yeux rivés sur la queue de Johnny, je n’ai pas vu Georges s’agenouiller entre mes cuisses. Il me butine consciencieusement mais se retire au bout de quelques secondes.

 

- Je vois que madame n’a pas besoin d’être lubrifiée (puis il ajoute à l’égard de son copain qui est en train de grimper sur le lit pour me présenter sa queue à sucer). Putain Johnny, cette salope elle mouille tu peux pas imaginer !

 

- Si je vais bientôt imaginer t’inquiètes, répond il en finissant de s’enfiler un préservatif. Allez ma salope bouffe moi la queue !

 

Et je me retrouve la bouche pleine dans la seconde qui suit. Je sens la bitte durcir sous ma langue en quelques instants. Je ne tarde pas à suffoquer. Ni Bruno ni Charles ne sont aussi bien montés. Je m’étrangle et je bave, ce qui n’a d’autres conséquences que de le faire rire.

 

- Cette salope, elle aime ça regarde ! lance Johnny à Georges qui était reparti dans une petite séance de minette. Regarde elle se bave dessus.

 

- Ouais, ben là où je suis, c’est elle qui me bave dessus, répond il en se décollant de ma chatte trempée. Je confirme elle aime ça, pas vrai ma petite dame ?

 

Pour lui, je suis « sa petite dame », pour Johnny, je suis « sa salope »… Ca me convient et me résume assez bien. Une petite bourgeoise bien salope. Johnny se retire de ma bouche pour me permettre de répondre.

 

- Oui, oui, j’adore ça… Qu’est-ce que vous attendez pour me baiser ?

 

- Putain quelle pute ! s’esclaffe Johnny. T’entends ça ! Elle réclame !

 

- Ouais, répond Georges en ôtant son pantalon et en me présentant sa queue déjà bien dressée, et toute veinée.

 

- Tourne toi et fous toi à quatre pattes, ordonne Johnny. Je vais t’en donner moi de la bitte, tu vas voir.

 

J’obéis, plus excitée que jamais, et je lui présente mes fesses pendant que Georges monte sur le lit pour me présenter sa queue à sucer. Je vais être prise par derrière tout en suçant une queue, une première pour moi… Je coule de plaisir.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 5. Les livreurs
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Mercredi 23 septembre 3 23 /09 /Sep 11:08

 

Me décevoir ? Ma chérie, voyons comment peux tu imaginer pouvoir me décevoir ? Tu es ma Maîtresse, ma Reine, ma Déesse. Je t’obéis, te respecte, te vénère… Comment pourrais tu me décevoir ? Ah si, une chose, une seule me vient à l’esprit : la déception pourrait venir d’un abandon… de ma personne (je suis un vilain petit égoïste égocentrique, excuse moi) ou de ce mode de vie qui est devenu ma fierté. Pour le reste, tu peux faire ce que tu veux, réagir comme tu l’entends, seul compte ton plaisir et ton bien être. Je suis ton faire valoir, ton serviteur, ton disciple… O ma Déesse. Toi aussi pour cette vie, tu as consenti à des sacrifices (peut être en parlerons nous un jour ?) alors je n’ai sûrement pas le droit d’être déçu… Si c’était le cas, comme je me dois de t’avouer tout ce que je peux avoir sur le cœur, je te le confierai, mais alors, sois sans pitié et promets moi de réprimer cette déception injustifiée par la plus impitoyable des corrections.

 

Charles

 

Voilà une promesse qu’il m’est facile de tenir, et une annonce qui n’est pas tombée dans l’oreille d’une sourde. Mais revenons à nos moutons… Ou devrais-je dire à nos livreurs.

Je dois t’avouer mon chéri qu’ils sont pas mal du tout, aussi costaud que je l’avais espéré et d’apparence plutôt avenante. Le plus grand, le plus vieux aussi, est un peu bedonnant, mais il dégage une assurance et une bonhomie qui lui donne un air viril très sympathique. L’autre, plus petit, le cheveux ras, est athlétique, la démarche est plus souple, l’œil plus vicieux. Il me déshabille du regard pendant que son compagnon se présente.

 

- Moi c’est Georges, dit le grand, et lui, c’est Johnny ! Où est-ce qu’on vous le monte votre lit, ma petite dame ?

 

Il a une voix chaude, enjôleuse et malgré la familiarité des mots et de l’expression, on sent un respect et une certaine réserve en face de ma tenue très suggestive.

 

- C’est à l’étage, suivez moi !

 

Je les précède dans l’escalier pour qu’il puisse jouir de la vision imprenable sur mon cul. D’ailleurs, j’accentue mes déhanchements, et au niveau des dernières marches, je fais de plus grandes enjambées pour que ma robe remonte plus haut et dévoile ainsi mes bas magnifiques. Je sens le poids des regards sur mes fesses, et lorsque je me retourne en haut des escaliers, ils ont les yeux vissés sur mon cul. Je leur lance une banalité du genre « vous avez eu du mal à trouver ? » Puis « suivez moi ».




Dans ma chambre, je suis plus qu’excitée à l’idée de savoir que mon mari est présent dans le placard et qu’il puisse suivre notre discussion. Je l’imagine menotté et recroquevillé dans le noir, avec son plug dans le cul, probablement pendu au son de ma voix. Je mouille comme une folle, et je dois bien me retenir pour ne pas tomber à genoux devant mes deux livreurs pour leur tailler une pipe. J’en ai très envie.

 

- Vous allez devoir démonter l’ancien lit, mon mari n’a même pas su s’en charger, c’est un incapable.

 

Et paf mon chéri, tu entends, prends ça !

 

- Ne vous inquiétez pas madame, c’était prévu, on se charge de tout ! répond Johnny, le second livreur, dont j’entends enfin la voix.

 

Oui, c’est cela chargez vous de tout, mais n’oubliez surtout pas de charger madame, elle en a envie et bien besoin. Si je ne me fais pas baiser comme il faut avant leur départ, je vais devenir folle.

 

- Bon, ben je vous laisse travailler, dis-je en passant devant Georges qui me toise d’un air goguenard.

 

Ah ce que j’aurais aimé qu’il me barre le passage et pose ses grosses mains sur mes épaules pour me forcer à m’agenouiller et le prendre en bouche. Mais il ne l’a pas fait, il est trop bien élevé, je n’ai pas été assez démonstrative peut être ?

 

Déborah

 

Démonstrative, oh que si tu l’as été. Sans te voir car le placard ne dispose aucune ouverture sur la chambre, au seul son de ta voix, je peux t’assurer que l’on perçoit bien ton désir de baiser. Tu as la voix d’une chatte en chaleur, excuse moi de te le dire si crûment… et je ne suis pas le seul à l’avoir remarqué. Tes amis livreurs se lâchent en commentaires graveleux aussitôt qu’ils se retrouvent seuls.

 

- Oh putain, celle-là elle m’a l’air bonne !

 

- Elle est chaude comme la braise, renchérit l’autre en riant. Tellement chaude qu’elle en a le feu au cul !

 

- Une bourgeoise en chaleur… Ca faisait longtemps que je n’étais pas tombé sur un numéro pareil.

 

- Et moi je me demandais même si ça existait…

 

- C’est parce que t’as pas mon expérience, mon gars, une fois je me suis quasiment fait violer par la maîtresse de maison. Elle m’a avoué quand on est repartis, j’étais avec Paulo, il est à la retraite mais tu l’as connu… Bref, elle m’a avoué en repartant que ce la faisait trois ans qu’elle avait pas baisé comme ça, tu l’aurais vu comme elle était gênée, elle s’excusait presque, c’en était comique. En tout cas, c’était une chaudasse de première, un sacré coup, son mari était bien con de ne pas la tringler.

 

- Oui, ben t’as entendu ce qu’elle a dit du sien de mari. Un incapable !

 

- Incapable de démonter le lit, incapable de la baiser si ça se trouve. Je suis sûre qu’elle en a envie.

 

- Evidemment qu’elle en a envie. T’as pas vu comme elle nous a allumé en montant les escaliers. Elle a un cul qui ne demande qu’à se faire bourrer !

 

- Oh putain, je vais avoir du mal à me concentrer sur le montage, j’ai la gaule putain.

 



Voilà, ma femme les fait bander et moi, je suis comme un con dans ce placard, à poil et pénétré par le plug, obligé de les entendre salir mon épouse de ces propos vulgaires. Comment peut elle être attirée par des types aussi  communs et grossiers ?

 

Charles

 

Commun dis tu ? Attend de voir ce que ces types ont dans le pantalon et tu vas comprendre ce qui m’attire chez eux. Pour eux, je suis le « petit extra » de leur existence banale, et ils savent en profiter… Cela, je l’ai remarqué avec le recul de mes expériences extra conjugales. Ces gens « communs et grossier » comme tu dis, savent aller à l’essentiel, prendre et donner du plaisir. Eux ils bandent sur commande mon chéri, il savent apprécier « le petit joyau » que je suis, ce qu’ils appellent dans leur « jargon » un « bon coup ». Et pour ce qui est de leur grossièreté, et oui, ta petite bourgeoise de femme aime cela. Je suis excitée ce jour là à l’idée d’imaginer les propos qu’ils ont tenu derrière mon dos et que tu viens de rapporter. Mais ne vais-je pas bientôt les entendre à mon tour ?

 

Déborah.

Par Charles et Déborah - Publié dans : 5. Les livreurs
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Lundi 21 septembre 1 21 /09 /Sep 14:07

En attendant la suite des « livreurs », je me résigne à remettre en ligne quelques vidéos. Je vais recentrer les vidéos sur les pratiques BDSM ou le cocufiage des maris lopettes. Moins de vidéos lesbiennes, pipi, exhib que Linda vous avait mis en ligne sans mon véritable consentement.


J’ai pris pour thème à ces vidéos : « la fessée punitive » (j’ajouterai même « expiatoire »… Entendez par là, la fessée cuisante, celle qui rougit et vous irrite les fesses plusieurs jours. Je suis devenue experte de ces fessées, sur la demande insistante de ma petite lopette, qui après chaque correction, me confiait que j’aurais pu frapper plus fort. Aujourd’hui, cette impertinence lui est passé ;-)… Il m’arrive de taper aussi fort que ces dames ci-dessous.

 

Ayant entendu le reproche de certains internautes sur la difficulté à lire les vidéos sur le blog, nous avons placé la photo du clip qui renvoie directement sur le site où vous pouvez la lire. Y’a qu’à cliquer !





Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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Jeudi 17 septembre 4 17 /09 /Sep 23:41

 

Le carillon sonne et une incroyable cavalcade s’en suit. Déborah me repousse comme si je n’étais qu’un vulgaire petit chat venu se blottir au creux de ses cuisses et qu’elle congédie après s’être repue de caresses… mais bon, en guise de caresses, c’est une bonne fessée que j’ai reçue. Mon cul est d’un beau rouge sanguin comme le précise sans exagérer Déborah. Je le vérifie en croisant le reflet de mes fesses dans les miroirs qui tapissent notre chambre un peu partout.

Déborah me fait face, debout, un peu paniquée à l’idée de ce qu’elle s’apprête à faire, et moi, je suis à ses pieds, affalé et incapable de me redresser avec les menottes dans le dos.

 

Charles

 

Si moi, j’ai l’air paniqué, que dire de toi ? Tu as le regard implorant, la lèvre qui frémit de trouille, et le visage aussi blême que ton cul est rouge. Tu es terrorisé à l’idée de paraître ainsi devant eux et je te comprends. Quelle humiliation ce serait pour toi ! J’avoue hésiter un instant, ce n’est pas ce que j’ai prévu pour toi, mais ce serait finalement si réjouissant. Tu lis dans mon regard cette terrible possibilité et tu m’implores.

 

- Ma chérie, je t’en prie, ne me laisse pas là… Je t’en supplie… Tu m’avais promis…

 

Oui, c’est vrai, j’ai promis ne pas l’exhiber devant des inconnus sans son consentement. C’est comme un contrat entre nous. Je ne peux me renier, et d’ailleurs, ce serait compromettre la suite du scénario que je me suis imaginée. Et puis, il y a ce lien de confiance qu’il ne faut jamais briser entre le soumis et sa Maîtresse. Je l’ai lu des dizaines de fois, et aujourd’hui avec le recul, je sais qu’il est fondamental. La franchise néanmoins m’oblige à vous avouer qu’à cet instant, ce n’est pas ce qui a motivé ma décision.

 

Déborah

 

Peu m’importe ta motivation ma chérie, ce qui compte, c’est que tu te sois baissée, que tu m’aies pris le bras et que tu m’aies soulevé comme un fétu de paille pour me redresser. L’espace d’une seconde tu es ma super héroïne, celle qui va m’éviter la pire des humiliations… Je t’aime…

Je me retrouve à genoux, et comme je l’ai écris plus haut, c’est une vraie cavalcade… Tout se passe en quelques secondes. Tu ouvres un placard, tu tires sur ma laisse et tu m’y traînes comme un chien que l’on envoie coucher à sa niche… Mais ma niche, c’est le placard de notre chambre… pardon… de ta chambre. Tu refermes derrière moi sans me laisser le temps de protester. Lorsque j’ose te rappeler, il est trop tard : je suis dans le noir, sous les cintres de tes robes, prisonnier, et seul… je perçois le claquement de tes talons dans les escaliers. Mais seul, je ne vais pas le rester longtemps.

 

Charles

 



Les quelques mots que je vais rajouter ici pour conclure ce billet vont casser un « mythe » aux yeux de mon mari. Il a raison de dire que tout va très vite, oui… Une cavalcade, ce terme amusant et presque « anachronique » convient assez bien à la minute qui suit sa « mise au placard ». Mais c’est une minute dont il ignore tout, et ce que je vais révéler ne va pas manquer de le surprendre, peut être même le décevoir.

D’abord je dévale les escaliers en manquant à deux reprises de m’écrouler… Faut dire qu’avec des talons aiguilles de 6 centimètres, c’est loin d’être évident. Ensuite, je me dirige vers l’Interphone.

 

- Bonjour m’dame, nous sommes les livreurs de la société Kitty’s bed !

 

Une voix bourrue, grave, virile, mais polie… Humm. Je leur ouvre en leur indiquant l’étage et le numéro, puis je file à la salle de bain… me changer… Ben oui, mon cocu a toujours cru que je les avais reçu en nuisette transparente, mais vous, qui savez faire la part des choses, je ne vais pas vous raconter d’histoires : j’avais préparé une robe sexy ultra moulante (mais pas transparente et obscène comme ma nuisette, faut pas exagérer tout de même)… Ces types, je ne les connais pas, et c’est vrai que je crains de tomber sur des mecs qui ne soient pas Brad Pitt. S’ils ne suscitent en moi aucun désir, je ne vais pas me taper des abrutis juste pour réaliser un fantasme. J’ai la vie devant moi, je trouverai bien l’occasion de baiser avec des inconnus charmants avec mon mari dans le placard. C’est vrai, quoi, la situation est quand même amusante, c’est le contraire du Vaudeville classique : ce n’est pas l’amant qu’on planque dans le placard, c’est le mari ! (lol)

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 5. Les livreurs
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Mercredi 16 septembre 3 16 /09 /Sep 00:27

 

Ma femme porte des bas blancs brodés, un string blanc et une longue nuisette de soie blanche transparente qui laisse percevoir la forme de ses seins et surtout ses tétons. Je suis horrifié et excité par sa tenue ultra sexy. Il s’agit de la tenue qu’elle me réservait les soirs d’anniversaire ou de saint Valentin, mais c’était dans notre ancienne vie.

 

- Alors mon chéri, comment tu me trouves ? lance-t-elle d’un air faussement innocent.

 

Elle tourne autour de moi en ondulant du bassin. On perçoit tout : la peau nue de ses fesses, l’échancrure de son string, les motifs en dentelles de ses bas. Je suis paniqué, horrifié. C’est le début des aventures adultérines de ma femme. A part Bruno (qu’elle a revu plusieurs fois), elle n’a pas eu d’autres amants. Je le sais car elle m’a promis de me dire chaque fois qu’elle me tromperait, et pour accentuer mon humiliation, elle me fait tenir un cahier avec le nom de ses amants, leurs pratiques sexuelles, le lieu où ils ont baisé et autres appréciations que ma Maîtresse me fait noter sous sa dictée. A cet instant, je n’ai que le nom de Bruno sur mon cahier, mais aujourd’hui, huit ans plus tard, j’en suis à mon quatrième cahier : une page, une rencontre, à défaut de 92 pages par cahier, faîtes le compte vous-même du nombre de fois que mon épouse a ouvert les cuisses pour se faire baiser. Il y a eu des amants réguliers, certains noms sont récurrents, certains sont parfaitement au courant de notre situation, d’autres pas du tout.

Mais revenons à nos livreurs. Ils vont avoir une attaque lorsque mon épouse va leur ouvrir dans cette tenue. Elle va se faire violer… Ou alors, c’est pour cela qu’elle veut que je demeure présent, je ne sais pas, je ne sais plus, je suis sous le choc.

 

- Tu … Tu ne vas pas oser les recevoir dans cette tenue… C’est vraiment…

 

- Vraiment quoi ?

 

- Ben vraiment très équivoque, ça fait très provoc.

 

- C’est l’effet recherché mon chéri. Je n’ai pas envie qu’ils se posent de question, il faut qu’ils sachent chez qui ils viennent d’entrer. Ta petite femme a envie de baiser et elle doit bien le montrer, non ?

 

Elle relève alors sa nuisette et ajoute, faussement indécise.

 

- Peut être que je devrais retirer ma culotte, qu’est-ce que tu en penses ?

 

Ce n’est pas une culotte, c’est un string… Et mini avec ça… Mais je me retiens de ce genre de propos déplacé. Je la sais excitée et capable de tout, y compris de me donner une fessée et m’obliger à rester au coin devant les livreurs. D’ailleurs je suis toujours nu, et je commence à m’inquiéter. Je n’ai pas envie de déambuler nu, le sexe lisse, devant ces inconnus. Cela fait encore partie de mes prérogatives à cette époque, j’ai pu lui arracher la possibilité de dissimuler ma nudité aux gens que je ne connais pas. Quand va-t-elle donc me congédier ?

 

Charles

 



Te congédier ? Tu n’y songes pas sérieusement… Si je t’ai demandé de prendre une RTT, ce n’est pas pour simplement me servir et m’apprêter, je te veux présent et bien présent au moment où je vais te faire cocu. C’est cela qui m’excite, et je te l’ai dit dans le commentaire précédent, je suis bien plus perverse et machiavélique que tu ne l’imagines : j’ai tout prévu, je suis une vraie salope désormais, et tu vas pouvoir t’en rendre compte.

 

- Bon, moi, je suis fin prête à recevoir mes amants, mais toi ?

 

Charles blêmit avant de bredouiller un « quoi moi ? » des plus risibles.

 

- Ben oui, il faut  te préparer, tu es ma petite lopette maintenant, j’ai décidé que ce serait plus excitant pour moi de te savoir présent dans l’appartement lorsque je m’enverrai en l’air.

 

Très honnêtement, je dois ajouter par souci de vérité (quitte à perdre un peu en érotisme), que sa présence me donne aussi du courage. Je suis terriblement excitée à l’idée de faire l’amour à ces inconnus (et je ne doute pas de mon charme et de mon pouvoir de séduction… Merci à Bruno de m’avoir montré son désir, merci à Charles de me vénérer comme il fait… une femme se sent bien plus belle ainsi adulée… Essayez mesdames, vous emmagasinez alors un potentiel confiance énorme, une force nouvelle), mais j’éprouve malgré tout une certaine crainte que la présence de mon époux, tout soumis qu’il est, apaise. Allez comprendre !

 

- Enfin Deb’… Tu ne peux pas exiger de moi que je reste comme ça devant eux ! Nous avions convenu…

 

- Je sais ! Je ne t’ai pas demandé de les accueillir à poil, encore moins de leur tailler une pipe ! Commence par mettre ton collier et ta laisse !

 

Charles déglutit bruyamment. Il a peur. Mais moi, sa peur m’excite. Il s’absente quelques instants et revient avec le collier en cuir clouté que je lui ai offert pour son anniversaire… Un vrai collier de chien ou de chienne, c’est selon. J’aime le féminiser, je le traite plus facilement de salope que « salaud » qui fait plus vulgaire. Il s’agenouille et me tend la laisse, respectant ainsi le cérémonial que je lui ai imposé la première fois lorsque je lui ai offert ce petit attirail. Je le toise en souriant, satisfaite que sa soumission soit plus forte que son appréhension. Je lui accroche la laisse et lui intime l’ordre de me suivre à quatre pattes dans ma chambre à coucher. J’en profite pour bien onduler de la croupe, ainsi dans les escaliers, il doit avoir une vue imprenable sur le string qui me rentre bien profond dans le sillon de mes fesses.

 

- Je veux que tu te mettes le plug mon chéri, dis-je une fois dans la chambre en désignant le gros calibre qui se trouve sur la commode (nous en avons un petit que je lui autorise à mettre lorsque nous sortons).

 

Il me regarde, incrédule, mais s’exécute sans un mot. Il lubrifie le plug, s’essuie la noisette de gel dans son trou du cul tout lisse et je mouille de le voir s’exécuter. Il a un beau cul, j’aurais du le lui rougir… Si j’ai le temps, après, je le couche sur mes genoux. Il place le plug à terre puis, face à moi, en contenant ses grimaces, il s’empale doucement sur l’objet. Il en est devenu adepte, cela fait maintenant quatre mois qu’il doit se pénétrer de la sorte tous les jours. Alors bien sûr, son petit cul est désormais bien dilaté. Le plug, qui n’a pas la taille de ceux qu’il peut endurer aujourd’hui, arbore tout de même une belle largeur. J’admire la facilité avec laquelle il vient de s’enculer devant moi… sans un mot (que de plaintes et de gémissements au début !) et contenant ses rictus de douleur (que j’ai réprimé plusieurs fois à coups de fouet avant ce jour).

 

- Viens ici ! Prends les menottes !

 

Il sort de la commode, la paire de menottes métallique que je lui ai préparé bien en évidence sur ma lingerie, preuve s’il est malin, que tout est prémédité de ma part.

Il s’approche et me tend les menottes.

 

- Tourne toi ! (Il se tourne, et me présente son joli petit cul musclé… mais un petit cul bien rempli, je souris mais il ne peut me voir) Une vraie petite lopette. C’est bon dis moi d’être enculé de la sorte ?

 

- Oui Déborah.

 

Je le corrige d’une violente gifle sur les fesses.

 

- Maîtresse Déborah, je te l’ai déjà dit cent fois, lorsque tu as le collier, tu dois m’appeler Maîtresse Déborah, c’est vrai ou c’est pas vrai ?

 

- Oui Maîtresse Déborah, pardon.

 

- Mais figure toi que j’en ai marre de répéter toujours la même chose. Tu dois être puni ! Donne tes poignets !

 

Il obéit et je lui passe les menottes dans le dos. Ainsi réduit à l’impuissance, totalement à ma merci, je m’assieds une dernière fois sur le lit où il a baisé Lila, puis je le courbe sur mes genoux.

 

- Puisque mes livreurs sont un peu en retard, cela me laisse le temps de te donner une bonne fessée.

 

A peine ma menace prononcé, et j’abats mon bras pour la première claque. Trop molle à mon goût, elle surprend malgré tout mon époux qui lâche un petit cri de surprise. La seconde est bien plus violente… Et la troisième carrément cinglante. Je n’ai que peu de temps, je les sens arriver, je veux que mon cocu ait le cul brûlant au moment où ils me baiseront. La fessée est donc donnée avec violence, rapidité et sadisme… Je n’y vais pas de mainmorte, ce n’est pas une de ces fessées crescendo, c’est une vraie fessée punitive.

 

- Je vais te dresser, petit pédé, tu vas voir !

 

J’aime parler pendant les corrections que je lui administre, je l’ai remarqué au fil des punitions. Cela l’excite énormément, j’ai remarqué cela à ses réponses et encouragements que mes remarques ne manquent pas de susciter chez lui. J’ai aussi remarqué qu’il aimait que je sois vulgaire, qu’il aimait être insulté. Alors je ne m’en prive plus. Le vernis de la bourgeoise bien élevée se craquelle au gré des fessées et autres corrections que je lui donne… La professeur BCBG se transforme en pro-fesseuse sadique et perverse. Et ce n’est pas pour me déplaire, loin s’en faut…

Mais ce mot « pédé », c’est très rare que je l’emploie, il faut que je sois excitée, pire que cela même : sur les nerfs ! Oui, c’est cela, je passe mes nerfs sur le cul de mon mari en attendant que mes amants arrivent et me soulagent de mon trop plein de désir… Si j’étais un mec, je dirais de testostérone.

 

- Dire que ton fantasme était de m’enculer et que depuis des mois tu vis comme « un petit enculé »… Je trouve ça trop marrant.

 

Je m’accorde une courte pause dans le châtiment pour lui visser le plug plus profond encore dans son cul. Il gémit, mais ce n’est rien en comparaison de son petit couinement lorsque je retire le plug en le dévissant comme un tire bouchon.

 

- Espèce de salaud, tu aimes ça en plus !

 

- Oui… oui maîtresse… Ah !

 

Et paf, je lui recolle une bonne baffe et lui renfonce le plug d’un coup. Il hurle de plus bel et pour couvrir ses cris je double la cadence de mes gifles et l’intensité de mes coups. Il ne tarde pas à avoir un cul bien rouge, comme je les aime… bien sanguin, pour ne pas dire saignant (ce n’est pas un steak non plus ;-)…

 

Déborah

PS : j'ai ccepté de remettre quelques photos pour illustrer nos textes, Linda ayant reçu pas mal de mails allant dans ce sens. Je lui ai donné le feu vert pour une photo (deux maxi) pour chaque texte publié. Mais du coup, on met plus de temps à se coordonner, nos publications ralentissent... Pour les amateurs (il y en a), j'ai fait un album diaporama des photos qui sont parues pour illustrer le précédent récit de linda.

Par Charles et Déborah - Publié dans : 5. Les livreurs
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Présentation

  • : Cocu-soumis
  • Cocu-soumis
  • :
  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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