Quel enfoiré ! Charles fait de moi "la reine des dominatrices"... S'il savait ce que je suis en réalité, et si Déborah entendait cela de son époux, je doute qu’elle apprécierait ! Mais je comprends mieux la fixation qu’il fait sur moi et le scénario que Déborah veut me faire jouer dans leur couple. Ce con ne la mérite pas… J’ai envie de lui faire payer son infidélité, ce salaud va dérouiller.
Je toise Charles pendant qu’il me lèche les pieds avec une vénération troublante. Il ne cesse de m’observer pendant qu’il me nettoie les escarpins, comme s‘il voulait se repaître de mon regard
hautain pendant son humiliante besogne. Mais je n’ai que peu de temps devant moi, je le repousse du pied pour lui signifier que nous allons passer à autre chose.
- Conduis moi au donjon, Déborah m’a dit que tu avais aménagé un coin du loft en vraie salle de torture, fais moi voir ça ! Je vais te faire passer l’envie de dénigrer ta femme !
Je n’ai plus beaucoup de temps pour m’amuser avec lui alors je dois aller droit au but… Déborah sera là dans trois quarts d’heure…
Le donjon est tel que je me l’a décrit Déborah. On y accède par un rideau qui le maintient à l’écart d’un grand salon très luxueux. Les murs sont en crépi blanc et tapissés de miroirs aux cadres tantôt dorés tantôt en bois ; il y a une croix de saint André, un sling pour maintenir suspendu et écartelé le ou la soumise, un cheval d’arçon, une cage, des étagères avec des fouets et des godes de toute taille… Très classique, mais très efficace pour qui aime s’adonner aux jeux de liens et de souffrances.
- Impressionnant… Déborah utilise tout cet attirail pour te dominer ?
- Oui Maîtresse Linda.
Je m’approche de l’étagère à godes et me saisit d’un calibre impressionnant… Un calibre que je parviens aujourd’hui encore difficilement à m’enfiler dans le cul malgré les mois d’entraînement et d’assouplissement imposés par Caroline.
- Je me souviens avoir utilisé ce gode sur Eric le soir où vous êtes venus manger à la maison, un beau spécimen, dis-je en riant. Mais dis moi, il y a une sacrée différence de calibre entre les godes qui sont ici et ta misérable petite queue, ajoutai-je en désignant du menton son sexe exposé à mon regard. Toi aussi je vais te prendre avec cette grosse queue, je vais te défoncer comme la petite fiote que tu es. Je vais te casser le cul, tu vas la sentir passer. (Il change de couleur lorsqu’il me voit m’harnacher du gode ceinture). Ne me dis pas qu’il est trop gros pour ton cul de pédé ? (Je n’en reviens pas des mots que j’emploie, je suis totalement à l’aise, je parle avec lui comme s’il s’agissait d’Eric). Ne me dis pas que Déborah ne t’a jamais pris le cul ?
- Non… Enfin si… Mais pas avec de si gros…
- Faut un début à tout ! Allez commence par me tailler une pipe, ordonnai-je une fois le gode solidement fixé autour de ma taille.
Il est énorme… Le modèle de 27 cm de long et 5 de large à la base… veiné pour imiter au mieux le sexe d’un male, mais membré comme un cheval. Charles le prend en bouche mais sa petite gueule de soumis est déformée par le calibre qu’il doit honorer. Je suis contrainte d’exercer une pression sur sa nuque pour que le gland, simplement le gland, franchisse la barrière de ses lèvres. Il suffoque et bave en gémissant comme une chienne en chaleur. Il a déjà du mal à le prendre en bouche je ne peux décemment pas envisager lui fendre le cul avec, au risque de voir réellement son petit cul musclé se désagréger sous mes coups de boutoir. Mais il a peur, et cela fait partie du jeu, cela le rend docile.
Je pense dans un premier temps à le suspendre dans ce sling mais le temps qu’il va me falloir pour l’installer (je ne suis pas très douée pour ces trucs) et Déborah nous aura rejoint… Et je ne veux pas casser mon image de dominatrice parfaite en passant pour une empotée obligée de lui demander conseil pour l’usage de son siège.
- Ca suffit ! De toutes façons tu sais pas tailler des pipes, t’es vraiment bon à rien ! Je vais te punir comme tu mérites ! Va te placer sur le cheval d’arçon !
Il n’attend que cela, le bougre, trop heureux de lâcher le gode, et d’échapper à la sodomie promise. Il file se mettre en position, et je prends au passage un chat à neuf queues, un martinet à longues lanières.
Sur le cheval d’arçon, il y a des lanières et des étriers qui me permettent de l’attacher, le cul offert à la punition. Je promène mon fouet sur son dos puis sur ses fesses. Il frémit, il a peur, mais il n’attend que cela.
Linda
Je n’attends que cela, oh que oui Linda… Si vous saviez… Des dizaines de fois, j’ai fantasmé ce que je vis à cet instant. Recevoir de vos mains le châtiment mérité… Oh que oui, j’en ai tant rêvé que les draps s’en souviennent (lol)[ référence à une chanson, je en sais plus laquelle]
Je ne saurai dire combien de temps j’ai été fouetté. Quinze, vingt minutes ? Plus ? Au fil de la punition, on perd la notion du temps… Mais pas de la douleur qui devient de plus en plus cuisante, de plus en plus insupportable. Linda tape fort, très fort, ses coups sont précis, très ajustés, mon cul doit être marbré.
Mais mon excitation demeure, oh je ne bande pas, c’est devenu très rare déjà à cette époque, mais je suis psychologiquement très excité. Moi, Charles, misérable petite fiotte, je suis puni par la plus divine des dominatrices. Je suis au bord de l’extase. Mon fantasme le plus fou se réalise.
- Oh Maîtresse Linda… oui… Ahhh…
Schlak… Un bon coup bien cinglant me brûle le cul. Le fouet, c’est vraiment hard.
- Espèce de salopart, je vais calmer tes ardeurs, moi, tu vas voir !
Elle se lâche, elle est vulgaire, le vernis craque, j’adore… Moi aussi je me lâche, Déborah aime que je l’encourage à me punir, Linda aime-t-elle cela aussi ?
- Si vous saviez combien de fois j’ai mouillé mes draps en repensant aux fessées que vous m’aviez administrées (Schlak)… Oh… Heureusement que c’est moi qui lavait les draps, ma femme n’en a jamais rien su (Shlack)… Ahh… J’adorais ça… (Shlack)… Votre allure, votre style, vos regards… (Schlack)… Aïe… Je vous imaginais nue avec une fourrure telle Wanda, la Vénus en fourrure, vous me fessiez, me cravachiez… (Shlack)…Ma femme a bien tenté de vous imiter, mais je n’ai jamais ressenti ça avec elle… Ahhhh…
Cette fois, le fouet s’abat avec une violence inouïe et me coupe le sifflet. Les larmes me montent aux yeux. Je pleure… de douleur, de joie…
Charles
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Derniers Commentaires