Vendredi 28 août 5 28 /08 /Août 15:31

11.

Champagne


                        Mona me saisit par la nuque et m’attire à elle d’un geste ferme mais sensuel. Je ne résiste pas, son regard pétille de plaisir et de perversité. Je m’apprête à me lever, pensant l’embrasser, mais Mona ruine mes espoirs en posant son pied sur mon épaule.


- Non, reste à 4 pattes, tu es à ta place, m’ordonne-t-elle en me décochant un sourire magnifique.


Donner des ordres lui procure un réel plaisir, elle le porte sur elle. Son visage s’illumine de plaisir et de fierté. La fierté de mettre à sa botte une femme de mon espèce, une bourgeoise racée, dominatrice de surcroît. Le fait que je domine mon mari et que je devais jouer les maîtresses doit l’exciter autant que moi. Je ne m’attendais pas à être réduite à l’état de chienne soumise ce soir, et probablement que Mona ne devait pas s’attendre à me faire déambuler à 4 pattes devant elle au moment de quitter la boîte tout à l’heure. Le soudain renversement de la situation décuple mon plaisir. Je suis trempée. Je n’ai jamais connu cet état de soumission. Je perds le contrôle et cela me plaît.




Mona me toise. Le pied sur mon épaule pour me maintenir dans cette position d’infériorité, j’ai une vue imprenable sur la petite culotte qui lui rentre copieusement dans la chatte. Elle mouille et cela se voit.


- Ca te plaît de te retrouver à mes pieds n’est-ce pas ? Tu peux les embrasser si tu veux ?


J’adore sa façon de s’adresser à moi. Sa voix est ferme mais suave, polie, sensuelle. Elle fait semblant de me laisser le choix. J’adore cette subtilité qui me permet à cet instant de ne pas perdre totalement la face devant mon mari. Je me saisis alors délicatement du pied posé sur mon épaule et je commence à lécher ses orteils, apparents puisqu’elle porte une jolie paire de mules.


- Oui, c’est bien, m’encourage Mona. Sors ta petite langue de chienne, et nettoie moi les doigts de pieds.


Marcus, qui a remplacé sa petite femme dans le canapé, retire les menottes de mon mari pour se faire servir une coupe de Champagne.




- Eh mec t’as vu ta femme, c’est une vraie chienne ! lui dit il en riant au moment de lui rendre sa liberté. (Mon mari me jette un regard embarrassé mais garde le silence, il n’a de toutes façons pas le droit de répondre, cela gâcherait mon plaisir). Et t’as encore rien vu, ajoute-t-il, je vais la baiser tu vas voir, elle va jouir, je te jure, je vais la faire grimper au rideau !


La promesse de Marcus suffit à mon plaisir. Je sens déjà des picotements suspects dans mon bas ventre… Grimper
au rideau… oui… Je redouble de motivation et ma langue se met à parcourir consciencieusement chaque orteil.


- Regarde petit cocu comme ta femme aime me lécher les pieds ! lance Mona à mon mari, pétrifié. Allez ça suffit ajoute-t-elle en me repoussant de son talon.


Je me retrouve à 4 pattes, le cul à l’air, la chatte trempée, le museau maculé de ma propre salive. Mona retire sa jupe en se dandinant, elle a toujours sa coupe de Champagne à la main. Marcus a éjaculé dedans, je me demande ce qu’elle attend pour s’en débarrasser. La réponse ne tarde pas. Une fois la jupe à ses pieds, Mona joue avec sa petite culotte. L’espace d’un instant, je pense qu’elle va la retirer. Mais après avoir joué avec l’élastique, elle finit par le maintenir bien écarté au niveau de son pubis.

Je ne comprends ce qu’elle veut faire que lorsqu’elle approche la coupe de Champagne de sa culotte distendue. Elle penche doucement la coupe en direction de son sexe et verse doucement le contenu à l’intérieur de son slip. Au contact froid du liquide, Mona éclate de rire. Je la regarde déverser dans sa culotte ce mélange de Champagne et de sperme avec une fascination perverse. Sur la fin, le foutre de son mari s’écoule dans son slip en formant une longue coulée blanche. Mona a maintenant l’entrejambe trempé, et elle part dans un fou rire que Marcus accompagne de petits cris.


- Allez ma petite salope, viens donc me lécher la chatte, je suis sûre que tu n’attends que ça ! dit elle d’une voix sensuelle et rieuse, en mettant bien l’accent sur le mot salope.


Elle plaque une main sur sa culotte trempée de Champagne et de foutre et se masturbe à travers l’étoffe du sous vêtement. Et tandis qu’elle tend la coupe à mon mari qui la débarrasse dans l’instant, tel un serveur zélé, je m’approche de son entrejambe trempé. Le slip est tâché, et le Champagne qui coule le long de ses cuisses me fait penser à de l’urine. L’image qui m’est alors donnée de ses cuisses et de son sexe encore voilé de sa culotte toute humide me fait évidemment penser qu’elle a pissé dans sa culotte. Mais loin de me rebuter, alors que je me suis toujours refusée à pisser sur mon mari, pourtant demandeur, l’idée de sentir et de boire son urine, m’excite. Je colle mon nez entre ses cuisses, ma langue se saisit d’une fine coulée de Champagne et remonte doucement vers son sexe.




- Une vraie petite bourgeoise, commente Mona en riant. Tu aimes le Champagne, toi, ça se voit, une vraie salope.


A l’époque j’ignorais la signification ambiguë du mot « Champagne », alors je dis oui et je colle ma bouche contre son sexe pour lécher l’alcool intime qui transperce le tissu.


- Oui, je vais t’en donner, du Champagne, moi, tu vas voir, ajoute-t-elle en posant une main sur ma nuque.


Mon visage est maintenant plaqué contre sa chatte. Je la respire toute entière : cela sent fort, un mélange détonnant d’odeurs de femme, de transpiration, de sperme et de Champagne. Je sens sa chaleur intime, j’ai envie de passer ma langue sur son sexe, je n’ai jamais léché une autre femme : ce soir est pour moi une grande première dans bien des domaines… Et je ne suis pas au bout de mes surprises.


Soudain, je sens un liquide chaud imbiber la petite culotte de Mona. Il n’y a aucun doute sur ce qu’elle est en train de
faire… Elle me maintient fermement la nuque entre ses cuisses et elle me pisse dessus. Sa culotte, déjà bien humide, est vite inondée. L’urine s’écoule à travers l’étoffe et me coule sur le visage, le nez et les lèvres. Quelques gouttes de pisse me tombent dans la bouche, puis c’est un mince filet. J’étouffe, j’essaie de contenir mon dégoût, mais lorsque l’urine brûlante parvient à se frayer un chemin jusqu’au fond de mon gosier, je m’étrangle.

Mona consent alors à relâcher son étreinte, et j’en profite pour me dégager. Je tousse et je crache tandis que Mona finit son petit pipi en se moquant de moi.


- Ben alors, fait elle en souriant. T’aimes pas mon Champagne ?


- C’est parce que c’est du Champagne des Antilles, plaisante Marcus derrière mon dos.


C’est là que je comprends toute la signification du mot « Champagne ». 


- Mais elle me pisse dessus, dis-je en m’essuyant la bouche.


Mona prend un air catastrophé.


- Tu ignorais que le Champagne était le pipi ? dit elle en s’accroupissant à mes côtés. Oh je suis désolée, je pensais que tu connaissais le jargon.


Elle me prend alors dans ses bras et m’attire à elle tendrement pour me consoler.


- Excuse moi ma chérie, si j’avais su…


Sa douceur tranche avec l’autorité dont elle faisait encore preuve une minute plus tôt. Le « ma chérie »  fait aussitôt
oublier ma déconvenue. Je lui présente mes lèvres et elle y dépose aussitôt un baiser tendre et sensuel.


Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Mercredi 26 août 3 26 /08 /Août 11:49
Une petite série de clips bien torrides mettant en scène des filles qui n'ont pas froid aux yeux, mais qui nous donnent des bouffées de chaleur.


En l'honneur de Déborah et de son blog, je lui dédie ce clip où l'on voit la maîtresse de maison surprendre sa bonne et la goder avec autorité !


Trois clips tirés des séries "bitchcraft", ç s'invente pas... Le premier (34 minutes) est en partie en français et les actrices sont très sensuelles... Mon préféré des trois.


Ici une rouquine tatouée et une brune en latex (34.45) Un beau retournement de situation dans les 10 dernières minutes.


Et pour finir, pour ceux qui sont encore en vacances et qui ont du temps devant eux : 1heure 15 de débauche entre femmes.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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Lundi 24 août 1 24 /08 /Août 11:02

10.

Gorge profonde


Marcus s’enfonce dans la brèche. Je prends alors conscience, mais trop tard, qu’il est énorme. Ma bouche est trop petite, je grimace, mes joues se creusent, il continue de pousser, il veut que je l’avale en entier. Je refoule un haut de cœur, j’essaie de reculer, mais Mona me maintient fermement.


- Oui, il est gros, je sais, se moque-t-elle. Mais tu voulais de la queue, je te donne du premier choix.




Marcus continue de pousser. Il va me perforer. Son gland heurte mes amygdales et commence doucement un va-et-viens libératoire et jouissif. Je sens les veines de sa bitte palpiter contre mon palais. Je respire par le nez, bruyamment, pour accompagner la cadence qu’il m’impose, puis de petits gémissements parviennent à s’échapper de mon gosier. Je n’ai jamais eu la bouche aussi pleine, un véritable bâillon de chair, une chair chaude et douce, légèrement odorante, je commence à aimer. Je bave sur sa queue, de la salive coule sur mon menton. Je roule des paupières en le fixant droit dans les yeux, et lui caresse tendrement les bourses. Mona relâche son étreinte, je suis domptée.


- Regarde petit cocu comme ta femme est une bonne suceuse. Une salope de premier choix. A mon avis c’est pas la première queue qu’elle suce.


Eric garde le silence. Il baisse la tête, les yeux sur son sexe imberbe, conscient de ne pouvoir rivaliser avec l’énorme braquemart de Marcus. Il se sent ridicule, il aime sa femme plus que tout pour le magnifique cadeau qu’elle lui fait.

Marcus commence à grogner. Je prends alors l’initiative de sortir sa bitte de ma bouche. Je ne veux pas qu’il me gicle dans la gorge. Je le suce alors avec avidité et énergie, en jetant des coups d’œil furtif à mon époux qui n’en perd pas une miette. Son regard m’excite tout autant que celui de Mona à mes côtés. J’accentue mes coups de tête sur le gland noir de mon amant, je crache sur sa queue et la branle avec une vigueur qui trahit mon état d’excitation.


- T’as vu mon chéri comme il a une grosse queue, dis-je en écarquillant les yeux d’émerveillement. Tu fais pas le poids avec ton zizi de petit garçon, ça c’est un homme, un vrai… Et après il va me baiser à fond !


Les râles de Marcus s’accentuent.




- Tu veux qu’il te gicle dessus ? demande Mona, redevenue avenante l’espace d’un instant.


Je lui suis reconnaissante de sa demande, j’ai horreur de cela. Je fais signe non de la tête et Mona place sa coupe de Champagne, presque vide, sous le sexe de son mari.


- Vas-y mon chou, tu peux te vider.


Je continue de le branler vigoureusement et soudain je sens la sève remonter le long de ce gourdin d’ébène. Je n’ai que le temps de rabattre son sexe sur la coupe. De puissants jets éclaboussent aussitôt le reste de Champagne. Le sperme n’en finit plus de se répandre dans la coupe. Des traînées blanchâtres coulent le long du cristal.
Marcus gémit à n’en plus finir et remplit de sa semence la moitié de la coupe de Champagne. Je reste accroupie, sa queue à la main, encore vigoureuse et palpitante, impressionnée par la quantité de foutre qu’il vient de libérer.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 15:04

9.

Mona Maîtresse


                        Notre appartement se compose d’une pièce salon avec cuisine américaine et arcade ouverte sur notre chambre à coucher, si bien qu’il paraît très spacieux. Mon mari, qui sait ce qu’il a à faire, allume les bougies que nous avons disposé avant de partir pour créer une ambiance feutrée et érotique. Je le houspille un peu, histoire de lui montrer que je tiens encore les rennes. Après l’exhib imposée par Mona dans l’escalier, je dois redorer mon blason d’épouse dominatrice.


- Allons chéri, dépêche toi un peu ! Et mets nous de la musique, qu’est-ce que tu attends ?


Mon mari s’affaire aux quatre coins de l’appartement, les fesses à l’air, un briquet à la main, puis il lance le CD que nous avions préparé, la musique d’un film où une belle blonde exhibe sa blondeur intime dans un jeu de jambes devenu culte. Il ne porte que son petit débardeur en cuir, je le trouve très sexy en mari soumis et dévoué.




Mona s’installe dans le canapé et se penche sur la table basse pour se saisir des menottes que nous avons laissées en évidence. Je la vois sourire d’un air pervers et prometteur. Marcus, que je n’ai pas vu venir dans mon dos, plaque ses grosses mains sur ma poitrine. Il pose ses lèvres dans mon cou tout en libérant mes seins de leur bustier. Ils jaillissent comme de véritables obus, heureux de se retrouver à l’air libre. Marcus se saisit aussitôt de mes pointes et les fait rouler entre ses doigts. Je gémis.


- Elle démarre au quart de tour, remarque Mona. Et elle ajoute en se tournant vers Eric. Toi le cocu, sers nous une coupe de Champagne !


Mona confirme son rôle de dominatrice. C’est elle qui donne les ordres, et mon mari ne s’y trompe pas.


- Bien Mademoiselle tout de suite.


Je le regarde s’éloigner du coin de l’œil tandis que Marcus n’en finit plus de me pincer les bouts. Le plaisir alterne avec la douleur. Il s’est plaqué derrière moi pour que je sente sa grosse queue.


- Oui, vas-y, encourage Mona. Tu peux lui tordre les nichons, cette salope n’attend que cela.


Je ne suis pas vraiment fan des caresses mammaires et surtout pas lorsqu’il s’agit de me pincer les aréoles. Marcus est trop brutal à mon goût. Pourtant je ne dis rien, je grimace mais souffre en douleur. Le contexte de soumission dans lequel je suis plongée suffit à mon excitation. Le regard hautain et dédaigneux de Mona me fait plus mouiller que les doigts de Marcus qui martyrise ma poitrine.


- Lâche la Marcus ! ordonne-t-elle.


Marcus me lâche. Elle a visiblement l’habitude de donner des ordres, même dans son couple, et Marcus a l’habitude de lui obéir. Dans la seconde ses mains m’ont libéré. Quel couple fascinant ! Ce petit bout de fille qui commande un colosse comme lui. Il s’agit d’un couple qui a les mêmes goûts que nous, nous ne pouvions pas mieux tomber.


- Toi la salope, je veux que tu te foutes à poil !


Son ordre est ponctué par le claquement de la bouteille de Champagne. J’obéis, consciente de renoncer totalement à mes droits d’épouse, à mes privilèges de dominatrice. C’est Mona qui décide du déroulement de la soirée, et cela m’excite au plus haut point. Je suis dans un état proche de la transe. Jamais l’on m’a donné des ordres et encore moins sur ce ton.


Eric lui amène sa coupe de Champagne et elle se cale confortablement sur la banquette avant de la porter aux lèvres. Elle croise les jambes bien haut et me révèle le fond d’une petite culotte blanche. Je suis toute nue et Marcus a ôté son pantalon. La nature l’a doté d’un sexe aux dimensions impressionnantes. Il est en semi érection mais il me semble déjà bien gros.


- Allez Linda, prends le en bouche, me lance Mona depuis le canapé. C’est autre chose que la quéquette de ton mari, ajoute-t-elle en riant.


Elle se tourne alors vers Eric qui reste debout à ses côtés comme un domestique attendant d’être appelé.


- Et toi le cocu, poursuit-elle d’une voix autoritaire, tu vas mettre les mains dans le dos, je ne voudrai pas que tu te tripotes en reluquant ta salope  en train de tailler une pipe à mon Marcus.


Eric s’exécute et Mona lui passe les menottes. Je n’ai plus alors qu’à honorer ce membre à moitié dressé, palpitant de désir devant moi. Je m’accroupis et me saisis de ses bourses pleines et lisses. Ma langue parcoure son sexe et gobe ses couilles. Sa bitte se dresse vite, et le majestueux braquemart manifeste le désir de visiter ma gorge. Son gland tente de forcer le barrage de mes lèvres. Il est énorme et j’hésite à le prendre en bouche. Il est trop gros, trop large, trop…




Je sens une main qui se presse sur ma nuque pour me forcer à l’accueillir. L’espace d’une seconde, je crois qu’il s’agit de Marcus.


- Allez salope, avale-le ! Joue pas les saintes nitouches !


Il s’agit de Mona. Elle est passée à califourchon sur mon dos et elle presse mon visage contre le sexe énorme de son mari. Je cède à sa volonté et entrouvre la bouche.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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Jeudi 20 août 4 20 /08 /Août 16:30

8.

Humiliation dans les escaliers


Mon mari, qui ferme la marche, a une vue imprenable dans les escaliers. Mon fessier maltraité par cette énorme main noire, ma chatte humide de plaisir, où se fixe son regard ? Que peut il bien penser de moi à cet instant ? Soudain, son regard que je sens accroché à la fourche de mes cuisses, me gêne et me contrarie. Je me retourne vers lui et le foudroie d’un regard mauvais. Il est en contrebas, en train de lorgner mon cul, alors je le toise de mon air le plus supérieur.


- Espèce de vicieux, arrête de me mater le cul ! (Il ne sait que répondre, alors il baisse la tête en guise de soumission) Passe devant ! (Il obéit aussitôt). Tiens, puisque tu matais mes fesses, montre nous les tiennes ! (Là il hésite) Allez, on va pas y passer la nuit, retire ton short et montre nous ton joli petit cul soumis !


Eric baisse son short en latex et nous révèle ses fesses encore marquées de la fessée reçue quelques heures plus
tôt. Les rougeurs se sont hélas estompées, mais Mona a visiblement l’œil expert.


- Oh mais que vois-je ! lance-t-elle d’une voix moqueuse. Je rêve ou ce postérieur a reçu une fessée il n’y a pas très longtemps ?


Eric, submergé de honte, garde le silence, sans oser bouger, planté comme un con au milieu des escaliers, nous tournant le dos pour une raison que je suis seule à deviner. Mais puisqu’il veut de l’humiliation, je vais lui en donner.


- Et bien réponds ! Qu’est-ce que tu attends ?


- Oui… C’est vrai…


Marcus silencieux fait glisser un doigt le long de ma crête onctueuse de plaisir.


- N’oublie pas à qui tu t’adresses ! dit il. Mona ne reçoit pas de fessée, elle, alors ne lui manque pas de respect !


- Ca, c’est sûr, j’ai passé l’âge, répond Mona, qui se complaît dans notre scénario. Et d’ailleurs, je suis plutôt du genre à en donner.


Eric ne se tourne toujours pas, il cherche à dissimuler ce qui lui fait probablement terriblement honte à cet instant, mais il répond avec une voix vraiment soumise.


- Vous avez raison, mademoiselle Mona, j’ai reçu une fessée tout à l’heure avant de sortir.


Et il baisse la tête, submergé de honte. Je mouille comme une folle de le voir ainsi humilié devant moi et ce couple sympathique, qui joue a fond le rôle que nous attendions de lui. Je veux faire durer le plaisir, mais en même temps, si Marcus m’enfonce un doigt dans la chatte, je vais jouir dans l’escalier. Je veux sa queue, pas son doigt. Alors j’achève mon mari d’une remarque assassine.


- Tourne toi quand tu nous parles ! Tu dois toujours faire face aux personnes à qui tu t’adresses !


- Il n’est pas bien dressé, ricane Mona. Tu ne lui as pas donné assez de fessées…


Eric se tourne alors vers nous, ce qui a pour effet de lui couper la chique. Mona ne s’attendait pas à cela. Mon mari lui présente alors son sexe rasé, recroquevillé entre ses cuisses. Il me semble minuscule, j’ai honte pour lui, mais aussi pour moi : je suis l’épouse de cette petite bitte. Mona, elle, est la propriétaire d’une grosse queue, j’en devine les dimensions impressionnantes aux seules ondulations de Marcus contre mon fessier. Je suis surprise d’être gênée, mais cette humiliation inattendue ne me déplaît pas.


- On dirait le zizi d’un petit garçon, pouffe Mona. Je comprends pourquoi tu as besoin d’aller voir ailleurs. (Elle s’approche de moi et dépose un baiser sur ma joue). T’inquiète Petite Linda, Marcus va te montrer ce que c’est un vrai sexe d’homme. Pas vrai mon chou ? finit-elle à l’adresse de son mari.


Pour toute réponse, Marcus retire la main qui me caresse la chatte et se saisit de mon poignet.


- Tu sens ma queue ? dit-il en attirant ma main sur sa bitte.


- Hummm, oui elle est grosse, répondis-je en massant le bas ventre de Marcus sans quitter mon mari des yeux. Tu vas me défoncer dis moi ?


- Je vais te faire hurler salope…


Mona s’offusque de l’insulte et prend ma défense en houspillant son homme.


- Non, Mona laisse, ça ne me gêne pas. Et j’ajoute en souriant avec provocation. Je suis une salope, je dois être traitée comme telle.


Le regard de ma jolie métisse change subitement. Je crains un instant l’avoir déçu. Une lueur étrange scintille dans ses yeux, son visage se fait plus dure. Elle qui avait été attendrie tout à l’heure par mon inexpérience avec les femmes est peut être au final choquée par ma perversité. Je donne la fessée à mon mari, je le trompe, je me revendique salope, cela fait peut être beaucoup pour une seule femme.


- Tu aimes être traitée comme une salope ? reprend elle d’une voix neutre.


- Ca ne me gêne pas.


Elle donne le bras à Marcus, en souriant d’un air complice. Puis elle se retourne vers moi. Son sourire a disparu, son visage n’exprime plus que dureté et sévérité.


- Toi aussi tu vas passer devant, m’ordonne-t-elle d’une voix autoritaire. Et tu vas bien écarter les pans de ta jupe que je puisse mater ton cul de salope !


Je demeure abasourdie par la métamorphose de Mona. Ma petite métisse exubérante et sexy s’est transformée en dominatrice. Jamais je n’ai reçu d’ordre de qui que ce soit. Je suis troublée. A-t-elle oublié que c’est moi la maîtresse du jeu ? Que c’est moi qui ai donné la fessée à mon époux ?



La situation m’échappe. Je peux évidemment refuser, mais ce serait tout gâcher, et puis je n’en ai aucune envie. Mona me trouble. Son assurance, depuis le début de la soirée est le fait d’une forte personnalité. J’aurai du m’en douter en entendant Marcus me mettre en garde juste avant son arrivée. Mais je ne comprends pas pourquoi je suis excitée à l’entendre me parler ainsi. Mon indécision, ma surprise, la pousse à se montrer plus dure.


- Allez magne toi salope ! Comment tu as dis à ton cocu tout à l’heure ? On va pas y passer la nuit !


Je suis estomaquée par la virulence du propos, mais une chaleur suspecte se me chauffe le bas ventre et rougit mon visage. Je ne suis pas du genre à être choquée et il en faut beaucoup pour me faire rougir. C’est le plaisir que je ressens à être traitée ainsi qui me fait rougir, nullement l’insulte ou l’exigence de Mona, qui n’a rien d’extraordinaire en soi. J’y prends plaisir, j’en tire une grande culpabilité et j’ai l’impression que mon plaisir se lit sur mon visage, ce qui décuple ma gêne. C’est une sensation nouvelle, troublante, incontrôlable, dérangeante… Moi qui suis habituée à tout contrôler, je perds le contrôle de la situation et… de moi-même. Je tente de sourire mais je me sens crispée. Je prends les pans de ma jupe en les remontant le plus haut possible, comme si je m’apprêtais à faire une révérence ou à entamer un enchaînement de danse classique.  Marcus et Mona, en contrebas, ont une vue imprenable sur mes fesses nues.


- C’est bien salope, me félicite Mona d’un air pervers. Maintenant tu montes chez toi en écartant un peu les cuisses qu’on puisse te reluquer la chatte !


Je me retourne en silence et j’obéis. Mon mari, au dessus, me lance un regard médusé. Il ne s’attendait probablement pas à cela non plus… La soirée promet d’être mémorable.

Par Charles et Déborah - Publié dans : Linda et son mari cocu
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