Dimanche 2 août 7 02 /08 /Août 14:17

Merci à Déborah et Charles de leur confiance, j’avoue que ça me fait tout drôle de reprendre les rênes d’un blog après trois ans à écrire pour « la vie intime d’une bourgeoise soumise », toujours en lien mais qui n’est plus alimenté depuis des mois. Je suis d’ailleurs étonnée qu’autant de gens viennent encore le consulter.

Je suis, ce n’est plus un secret pour personne, une amie intime de ce couple si atypique, mais, bon, avec Eric, mon mari, nous formons aussi un couple atypique… « qui se ressemble s’assemble ».

 

Déborah m’a parlé juste avant que je ne parte en vacances, de son idée de me confier leur site un mois pour que les pauvres petits internautes qui n’ont pas la chance de partir puissent se repaître de sexe et de sang… Enfin c’est comme qui dirait une formule, car de sang, non, mais de sexe oui, oh que oui. L’été sera chaud, je vous le promets, j’ai carte blanche, donc je ne vais pas me gêner, Caroline (mon ancienne maîtresse, pour ceux qui ne me connaîtraient pas) m’a débarrassé de mes carcans de grande bourgeoise (certains diront décoincée), j’assume aujourd’hui complètement le « côté garce et salope » de ma personnalité. Vous êtes ici pour du sexe, de la domination, du cocufiage, je vais vous donner tout ça ne vous inquiétez pas.

 

Vous voulez le menu ? D’abord, comme vous l’a révélé Déborah, je vais vous raconter la première fois que j’ai trompé mon mari devant lui, c’était au Cap, il y a 6 ans. C’est un long récit qui est tiré du roman que j’ai écrit mais qui, pour des raisons qui me sont propres, ne sera jamais publié. Je vous le livre donc, en exclusivité, pour reprendre l’expression de Déborah qui m’a bien fait sourire (comme si le monde entier l’attendait ? lol) un chapitre entier consacré à cet épisode qui a marqué un virage à 180° dans ma vie de couple. J’y ai découvert le plaisir de tromper mon mari, le plaisir au féminin aussi, la soumission enfin… Je donne ces précisions pour faire comprendre aux lecteurs que ce qu’ils vont lire n’est pas du style « blog » mais tiré d’un roman écrit par votre « serviteuse »… Qu’on ne vienne pas me reprocher mes envolées lyriques ou le côté justement « romancé » de ce qui sera publié… ;-) Chat échaudé craint l’eau froide, j’ai connu ça par le passé sur mon blog, je ne voudrai pas que mes amis aient à subir ça ici sur leur blog.

 

Il y aura aussi des clips, et vous connaissez mes goûts pour les rapports lesbiens et sado maso, alors commençons tout de suite avec deux clips très "fétichistes" mettant en scène une infirmière sadique, puis le second, une fliquette sadique.





Déborah m’a permise d’en publier un maximum durant son absence « parce qu’il en faut pour tous les goûts, autant en profiter que tu es la rédactrice en chef, vas-y, tu as tous les droits… » m’a-t-elle dit.

Tous les droits, donc j’en profite un peu pour leur créer une rubrique qui est un appel aux témoignages des internautes : racontez nous la première fois que vous avez trompé votre mari, ou la première fois que votre femme vous a trompé. Cela peut être aussi une histoire imaginée, peu importe, le critère, le seul, est la qualité de l’écriture. Je vous laisse ici mon adresse mail, n’hésitez pas à m’envoyer vos témoignages !

smlinda@hotmail.fr


Voilà, je vous donne rendez vous demain pour la première partie du « cocufiage de mon mari soumis ». Bonnes vacances, mais ici, l’été sera chaud… Hot is hot…

Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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Samedi 1 août 6 01 /08 /Août 16:49

De retour après 15 jours de silence radio… 15 jours de vacances durant lesquels votre cocufieuse préférée s’est envoyée en l’air avec son amant. De vraies vacances donc… Sans mari, à l’autre bout de la France, à ne penser qu’à bronzer et baiser… C’est la première fois que je pars avec un amant. Il faut dire qu’avec Michel, c’est sérieux, nous sommes ensemble depuis un an maintenant, et nous n’avons plus aucun secret l’un pour l’autre. Il a déjà rencontré Charles, il m’a même baisé devant lui sous mon toit. Hélas, il refuse de l’enculer, mais je ne désespère pas. Nous sommes tous les deux de la race des « dominants » (lol), mais je me dis que je finirais bien par avoir raison de ses réticences.

Ah j’oubliais un détail qui a son importance, Michel est marié, et sa femme, qui nous a rejoint la deuxième semaine, nous a servi de délicieuse petite bonniche. Pas de courses et de ménage à faire, elle a remplacé parfaitement ma petite lopette. Ils ont d’ailleurs beaucoup de points communs : ils sont cocus tous les deux, le savent, l’acceptent et y prennent du plaisir. Tous les deux refusent les pratiques homosexuelles, mais Michel a fait venir sa femme dans l’espoir de la préparer à des rapports avec moi. Je pense qu’il y arrivera, et sans la contraindre, car à la différence de notre couple, Audrey refuse toute forme de violence physique : ni fessées, ni gifles, elle aime juste être soumise, rabaissée… Tous deux me font penser à ces couples des années 50 où la femme était élevée dans le respect et l’obéissance de son mari. Elle fait toutes les tâches ménagères, son mari a toujours le dernier mot et a toujours raison, il décide pour tout : le macho et la petite ingénue… une précision que je n’ai pas encore donnée, Audrey n’a que 25 ans (et Michel en a 30), et elle est bien sûr femme au foyer, Michel ayant une très bonne situation.

 

Je suis donc à l’heure où je vous écris, plus épanouie et plus bronzée que jamais. Et j’attends de pied ferme mon cocu resté à la maison. Car, avantage de l’éducation nationale, mes vacances se poursuivent et je suis en partance pour le lieu de villégiature que j’ai choisi pour passer, cette fois, des vacances avec mon cher époux. Je vous écris d’un web café, mais dans deux heures, je serai dans la piscine… mon « chéri », je peux maintenant te donner tes dernières instructions. Je trouvais amusant de le faire par le biais du blog, ton billet de train, c’est ta nouvelle secrétaire qui l’a, tu ne passes pas par Christine, tu demandes directement à Julie, elle a une enveloppe, tu l’ouvres devant elle et tu suis les instructions. Il faut commencer à la mettre au parfum, cette petite, non ? Qu’elle sache à quelle sorte de patron elle a à faire… mdr… Tu découvriras en même temps la destination et l’horaire du train. Tu pars lundi à 15.47 !  Charles ne conduit plus depuis qu’il m’est soumis, sauf en soirée quand moi, j’ai bu.

 

Voilà, je vous ai à peu près tout dit, mais en gardant le meilleur pour la fin, car si je ne veux pas que mon cocu gère tout seul le blog, la bonne nouvelle, c’est que Linda est de retour, et qu’ayant l’expérience d’un blog, je lui laisse clé en main la gestion du notre jusqu’à la fin août. Elle a ma confiance, et surtout le talent de l’écriture : elle vous a préparé un récit magnifique, j’ai eu la chance de le lire en avant première (enfin bon, c’est un peu normal aussi ;-) elle vous raconte la première fois qu’elle a trompé son mari en sa présence au Cap d’Agde il y a quelques années. C’est tout un chapitre du livre qu’elle a écrit qu’elle va vous livrer en exclu sur notre blog… Si ça, c’est pas de la promo, alors là je m’y connais pas ! lol


Bon mon chéri, je te laisse, je te dis à lundi soir, prépare tes fesses et ton petit trou, car 15 jours sans cul à rougir et à défoncer, je suis à ma manière très frustrée aussi. Mais côté frustration, tu connais, tu as ta cage, petite lope, ah j’oubliais de préciser pour nos amis internautes, c’est une amie qui a la clé, et Charles est obligé tous les trois jours (pour l’hygiène) d’aller quémander la clé à cette amie (qui n’est pas Linda, elle était en vacances). Allez bonnes vacances à tous, et encore merci Linda pour la gestion du blog et le reste, bon courage à toi !

Par Charles et Déborah - Publié dans : Notre actu !
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Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 01:17

 

Voilà, c’est comme ça que ma femme m’a trompé pour la première fois… 2 mois après mon incartade avec Lila, c’était il y a 8 ans… Je m’en souviens comme si c’était hier… Chaque seconde passée dans le restaurant en sa compagnie et celle de Bruno sont à jamais marquées dans ma mémoire… Celles qui ont suivi aussi… Interminable attente, seul à table comme un con pendant que sa femme se fait tringler à l’étage par son amant. C’est dur, c’est une vraie souffrance, j’ai la haine. J’imagine Déborah à quatre pattes se faisant enculer, se faisant traiter de tous les noms, je veux la voir rabaissée, qu’elle souffre pour m’avoir fait endurer ce calvaire, qu’elle souffre sans jouir… Que Bruno soit finalement impuissant et la laisse insatisfaite, ou plus comique, qu’il soit un éjaculateur précoce et qu’à peine débraguetté, il se répande entre les mains de ma femme. Ces images me consolent une seconde puis me plongent dans un abîme de perplexité, de souffrance, de honte…

Et puis, je me rappelle de son ordre : la salope, elle veut que je me branle… Oui, la salope, ce sont ces idées machistes, ces termes, ces images où je la dégrade physiquement et verbalement qui me viennent à l’esprit lorsque je me retrouve seul. C’est dur… Tout le contraire de mon sexe, trop mou pour pouvoir me branler… Je ne suis plus excité, je suis abattu, je n’ai plus la présence érotique de Déborah pour me faire bander… Et là, c’est du concret, c’est une chose que de la voir se trémousser sous les caresses de Bruno, c’en est une autre que de l’imaginer se faire baiser… On est passé du jeu où je suis le témoin voyeur et passif à celui d’exclu frustré et humilié.

 

Charles

 

 

Mon pauvre Charles, je suis morte de rire en lisant ces états d’âmes qui m’étaient inconnus avant ce jour. Je m’apprêtais à te raconter comment Bruno m’a baisé dans cette chambre d’hôtel, puis, en te lisant, je me suis ravisée. Il faut à ce stade de notre blog, dévoiler notre façon de « construire » notre « récit »… Il s’agit d’une correspondance érotique. Tu écris, je lis, et je te réponds, rebondissant sur tes propos comme je suis en train de le faire. Ainsi je découvre ta mesquinerie et ton caractère effronté au moment où tu aurais dû te réjouir des orgasmes de ton épouse dans les bras d’un inconnu. Tu n’es qu’un mufle, et tu mérites donc une punition : tu ne sauras rien de ce premier amant, de ce premier adultère…

Ah si, tout de même, quelques éléments sont à porter à ta connaissance : il n’est pas impuissant, loin s’en faut… Il ne m’a pas éjaculé dans les mains en moins d’une minute, comme cela a pu t’arriver dans le passé si fréquemment… Et il m’a donné de beaux orgasmes… Ah oui, dernier point, je l’ai revu plusieurs fois ensuite, et il m’a baisé et rebaisé, signe que cette première fois fut un feu d’artifice…

Néanmoins, comme je ne voudrai pas frustrer nos internautes, je les rassure tout de suite : je raconterai dés le prochain récit, un autre adultère, mais cette fois, pour contenter ceux qui veulent du sexe plus cru, plus hard, nous passerons les longs préliminaires érotiques et humiliants pour me retrouver tout de suite au lit avec deux partenaires… Oui, deux partenaires… Evidemment, je vous raconterai le pourquoi du comment j’ai pu me retrouver au lit avec deux types… Charles aura bien sûr une version à relater sur cette escapade, il sait déjà à quoi je fais allusion et à peine ce billet publié, il va se mettre au boulot pour raconter ce qu’il sait de cette aventure.

Néanmoins pour conclure sur ce premier adultère, je dois préciser que nous sommes redescendus une heure plus tard, après une bonne douche et une bonne partie de jambe en l’air. Le maître d’hôtel nous gratifie d’un large sourire conscient d’avoir été le témoin privilégié d’un jeu érotique qu’il n’a pas coutume de voir. Mais je veux m’assurer qu’il a bien saisi toutes les subtilités de notre relation, alors, en passant devant lui, je m’arrête et me penche au dessus du comptoir. Son regard a du mal à ne pas plonger dans mon décolleté. Je me suis rhabillée sans mettre de soutien gorge et j’ai tout de même une poitrine délicieuse, sans être excessivement opulente.

 

- Pouvez dire à mon mari resté à table que sa femme l’attend dans le hall !

 

- Bien sûr madame.

 

Voilà, la boucle est bouclée. Lui sait aussi que mon mari est un pauvre cocu soumis… Il l’a su bien avant vous d’ailleurs, c’était il y a huit ans… lol

 

Déborah

 

Le maître d’hôtel me rejoint au bout d’une heure et demie d’attente interminable. Cinq ou six fois, il est passé me voir pour me demander si je voulais prendre un café ou un digestif, et à chaque fois, j’ai répondu non. C’est long, quelle torture de devoir attendre comme ça ! Il revient et je m’apprête à le rembrouer à nouveau mais cette fois, il a un sourire ironique et mesquin qui aurait du m’avertir de la teneur de son intervention.

 

- Monsieur, votre épouse vous attend dans le hall !

 

Le salaud, c’est tout juste s’il ne rajoute pas « avec son amant ». Je prends la culotte de Déborah dans laquelle je suis tout de même parvenu à éjaculer… Sous une serviette, sans réel plaisir, la queue molle, la peur au ventre, mais si excité finalement que quelques attouchements ont suffi à libérer ma semence.

Déborah m’attend dans l’entrée de l’hôtel restaurant, enlacée à Bruno qui ne se gêne plus le moins du monde pour la caresser devant moi. Ses cheveux mouillés sont plaqués en chignon, ce qui lui donne un petit air sévère très sexy. Je remarque aussi les aréoles qui pointent sous son corsage, elle n’a pas remis de soutien gorge, elle est donc nue sous son corsage et sa jupe puisque je tiens à la main sa petite culotte. Quelle salope !

 

- Ca va mon chéri, je n’ai pas été trop longue ? lance-t-elle en souriant d’un air narquois.

 

Le maître d’hôtel repasse derrière son guichet sans dissimuler son sourire sardonique. Déborah lui demande la note pour les menus et la chambre, et pendant qu’elle fait le chèque, Bruno se colle à elle et lui caresse les fesses. Elle n’a pas remis ses bas, et ce salaud lui remonte la jupe jusqu’à dévoiler ses fesses nues, délicieusement bombées. Il me regarde en souriant, après le serveur, lui aussi se fout de moi, il aurait tort de s’en priver, je suis une lopette.

 

Charles

 

Oui, une lopette… Une lope… Une fiotte… C’est ce jour là que j’ai employé le terme pour la première fois, et combien de fois depuis ? Des milliers à n’en pas douter… Ce n’était pas mon genre d’utiliser ce genre de termes, si vulgaires. Te souviens tu des timides fois où pendant l’acte conjugal, tu osais prononcer le terme de salope, qui toi t’excitait ? Je te foudroyais du regard et tu ne recommençais plus avant des mois ! Et pourtant, ce jour là, je me suis comportée en vraie salope. Toi tu as assumé pour la première fois ton « statut » de lopette et moi celui de salope… Ce jour là, on a été vraiment la lopette et la salope. Mais quelle libération ! Quelle déferlante de plaisir ! Après avoir eu la révélation du plaisir à dominer, j’avais celui de te tromper. Et depuis, l’un ne va pas sans l’autre. Plus je t’ai trompé, plus tu m’as été soumis, et plus je suis devenue salope…

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Mercredi 15 juillet 3 15 /07 /Juil 15:11

Nous avons reçu hier un commentaire très intéressant de la part de Switch, tellement intéressant d’ailleurs qu’il a donné lieu à une petite conversation entre mon mari et moi, une conversation dont nous allons vous donner les grandes lignes maintenant, mais en y intercalant le commentaire de Switch. Ce dernier fait preuve d’un bon sens à mon avis partagé par la majorité des internautes, et nos réponses vous éclaireront davantage sur notre état d’esprit à l’époque et notre vie d’aujourd’hui.

 

Commentaire de Switch : Encore une fois bravo, vos textes sont de plus en plus longs, de plus en plus prenants...et bien sûr de plus en plus excitants:-)


Déborah :
Merci, ça fait toujours plaisir à entendre (enfin à lire ;-))

Switch : Mais excitation mise à part, l'instant est vraiment critique et Déborah joue sur la corde raide en laissant Charles seul face à lui même...


Déborah :
Oui, bon, on peut penser ainsi avec le recul, en analysant au mieux la situation, mais sur le coup, on fait comme on le sent, sans trop se poser de questions, surtout dans mon état d’excitation et aussi, un peu d’ébriété. Je n’étais pas soûle du tout, qu’on ne se méprenne pas, mais grisée… D’ailleurs ce mot résume à lui seul mon état et la situation : grisée par l’alcool, mais plus encore par le pouvoir et l’excitation !


Switch :
Évidement on sait que huit ans plus tard vous êtes encore dans ce type de relation mais tout dépendait au final du caractère de Charles.


Déborah :
C’est une lopette qui n’attendait que cela ! Dis le toi que t’es une lopette, explique leur comment tu as pu accepter une telle humiliation !


Charles :
J’ai encore du mal à l’expliquer autrement que j’ai pu le faire dans nos billets. Oui ma chérie, je suis une lopette comme tu dis, même si je n’aime pas ce mot, il fallait un révélateur, un élément déclenchant. J’avais ça en moi mais mon éducation et mon passé ne m’avaient pas permis alors d’exprimer cette part de moi-même. Mais cela, je le dis aujourd’hui, avec 8 ans de recul car ce jour a été une vraie souffrance comme je l’expliquerai dans le prochain billet.


Switch :
J'ai essayé de m'imaginer à sa place (forcément on y arrive jamais complètement quand on est extérieur aux événements) et je pense que si ma femme m'avait laissé là plus d'une heure j'aurais eu vite fait de me dire que ça y était: plus besoin de culpabiliser maintenant, elle s'est vengée selon le principe oeil pour oeil dent pour dent, elle a compris le plaisir que l'on pouvait tirer à aller voir ailleurs, et dès leur retour j'aurais repris la situation en main, plus du tout impressionné par cette domina à qui je ne dois plus rien, j'aurais congédié l'amant en lui expliquant qu'on lui était grès d'avoir joué le jeu mais que maintenant la comédie était finie et qu'on le rappellerais peut-être si on avait besoin de lui, et finalement proposé à ma femme une trêve et l'instauration d'une relation toujours ouverte à ces jeux, mais plus équilibrée.



Déborah :
Ce qu’aurait fait un homme « normal », mais pas lui. Tu te sentais déjà plus homme mais esclave. Comment ai-je pu passer à côté de « ça » pendant des années ? Comment n’ais-je pu m’en rendre compte avant ?


Charles :
Et moi ? Comment ai-je pu l’ignorer si longtemps ? Je n’avais jamais fantasmé sur la soumission avant, et encore mois sur le fait de prendre plaisir à être trompé !


Déborah :
Contrairement à moi, qui, mais je l’ai déjà dit ici, avais fantasmé sur une domination « soft »… A mille lieues malgré tout de que j’ai fais ce jour là et pire encore après ! lol


Switch : Bien sûr on va me répondre "oui mais elle tiens les cordons de la bourse"...allons c'est un symbole fort certes mais ce n'est que symbolique, une ouverture de compte c'est si rapide.


Charles :
Pas du tout mon cher Switch ! Les cordons de la bourse, je ne les tiens plus depuis deux mois et ça ne me manque pas du tout. Je me sens plus « libre » sans rien avoir à gérer. Je suis le petit garçon qui reçoit sa pièce tous les matins, et ça me va très bien ainsi.


Déborah :
Quand je disais que ce n’était pas un homme mais une lope… ;-)


Switch :"Oui mais il a peur qu'elle le quitte"...allez vous dire... 


Charles :
Ca oui, j’ai peur qu’elle me quitte, je le reconnais. Et, confidence pour confidence, aujourd’hui plus qu’hier !!!


Déborah :
Tu dis cela parce que j’ai un amant régulier auquel je tiens beaucoup, et que notre vie en a été un peu modifiée, mais ne t’inquiètes pas, j’aime toujours autant exercer mon autorité sur ta petite personne, ce que je ne peux faire sur mon amant.


Charles :
Certes mais…


Déborah :
Tu te tais, on n’en dis pas plus pour l’instant !


Switch :
je pense qu'aucun des deux ne veut vraiment quitter l'autre, surtout après avoir ouvert les portes de ces nouveaux plaisir: Peut-être que je me trompe mais à ce moment là du récit il me semble que Déborah aurait préféré pouvoir continuer à explorer cet univers avec son mari d'une manière plus équilibrée plutot que d'y renoncer complètement.


Déborah :
Alors là je dis bravo, tu as vu juste, j’aurais adoré je pense qu’il fasse irruption dans la chambre. Qu’il mette un terme à cette histoire que je trouvais encore pour le moins tordue à l’époque, qu’il mette les holà, qu’il foute Bruno à la porte, à la manière de ces cow boys virils qui chassent leur amant à coup de poing, et même, j’irai plus loin, qu’il punisse cette femme infidèle. Je l’aurais accepté et j’y aurais pris plaisir… Et tout serait rentré dans l’ordre.


Charles :
Est-ce vraiment ce que tu souhaitais ?


Déborah :
Je ne sais pas vraiment, mais par contre je sais que j’ai fantasmé sur ce scénario pendant que je l’élaborais, que je réservais la chambre, que j’appelais Bruno… Mais ce que je sais aussi, c’est que je ne regrette nullement ton obéissance et ta passivité. La suite de cette relation que je trouvais « tordue » comme je l’ai dis plus haut nous a apporté un tel épanouissement dans notre vie de couple qu’il aurait été dommage que ça s’arrête ce jour là !


Switch : Bref, tout ça pour dire que c'est vraiment un coup de poker sur la personnalité de Charles qui est en train de se jouer (Déborah en est-elle consciente? ... ou est-elle trop excitée par la situation pour y penser;-) ) et que j'attends avec impatience de savoir ce qui va se passer dans la tête de Charles pendant ce temps et comment il va gérer cette pulsion rebelle... Au plaisir de vous lire et en m'excusant pour la longueur du commentaire.


Déborah : Oh que non, c’est nous qui te remercions pour ce commentaire plein de bon sens et d’intelligence, il nous a permis une petite introspection autour d’un bon verre.


Charles :
Et en ce qui me concerne, après ce petit dialogue, je vais « revoir ma copie » comme l’a exigé ma Maîtresse, afin de relater précisément mon état d’esprit pendant ce premier cocufiage. Je dois reconnaître en le relisant que mes commentaires étaient un peu déformés par le prisme des 8 années qui se sont écoulées ensuite. J’avais édulcoré mes sentiments à l’égard de mon épouse, en ne raisonnant qu’en soumis cocu bien dressé, ce que je suis aujourd’hui, mais que je n’étais pas encore à l’époque.

PS : merci Linda de suivre notre blog depuis ton lieu de vacances et de nous avoir envoyé cette photo pour illustrer nos propos... Profite bien du soleil... Bientôt notre tour ;-)

Par Charles et Déborah
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Lundi 13 juillet 1 13 /07 /Juil 14:32
Une vidéo d'un cocu en train de filmer son épouse se faire limer par un black. Classique, mais j'ai retenu ce clip car il correspond exactement à mes ébats avec Bruno. Les positions, les pratiques (enfin pas la sodo) et même la chambre qui ressemble à notre chambre d'hôtel. Par contre, je dois reconnaître que Bruno était moins bien monté. Jusqu'à la durée du clip qui correspond précisément à la durée de ma partie jambes en l'air. ;-)



Un second clip plus court  (19 minutes) où c’est le mari qui présente son épouse à l’homme qui va la baiser devant lui. Il a une queue bien épaisse et bien grosse (pas comme la tienne mon chéri ;-)…

 



PS : demain, nous répondrons à ton com’ mon cher Switch, il nous a inspiré ce midi une conversation très sympathique.
Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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  • : Cocu-soumis
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  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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