Vendredi 12 juin 5 12 /06 /Juin 09:50

Ma visite « épilatoire » à l’institut de beauté est incontestablement le pire souvenir de mes premiers mois de soumission. Le souvenir d’une cuisante douleur liée à ces saloperies de bandelettes, et d’une tout aussi cuisante humiliation liée à l’explication embrouillée de mon postérieur rougi par la fessée reçue une demie heure plus tôt. Jugez plutôt…

Ma femme me donne les dernières instructions avant de pénétrer dans le salon.

 

- Que les choses soient claires, tu me laisses parler, tu te laisses diriger, un peu comme un petit garçon, je veux profiter de te faire épiler pour t’humilier. Et si la fille qui s’occupe de toi te pose la question pour ton cul, n’oublie pas de lui dire la vérité, tu m’as bien comprise ?

 

- Oui Deb’, j’ai bien compris, ne t’inquiète pas, je serai aussi soumis qu’avec le banquier !

 

- Je veux que tu aies l’air tout penaud, tu sais, genre du type coupable, qui a quelque chose à cacher et à se reprocher.

 

Avec le plug dans le cul et les fesses encore chaudes de la correction reçue sur les cuisses de ma Maîtresse, je ne vais pas avoir besoin de me forcer pour avoir cet « air coupable… J’ai beaucoup de choses à cacher, et tout autant à me reprocher.

 

- Et pour le plug ? Je fais comment ?

 

Ma voix trahit mon angoisse. J’espère qu’elle ne va pas me demander de m’exhiber avec devant l’esthéticienne, ce serait au dessus de mes forces.

 

- T’inquiète mon chéri, pour la première fois, je te permettrai de le retirer juste avant. Normalement, elle va te laisser seul quelques instants pour te déshabiller, tu en profiteras pour l’enlever.

 

Le sourire qu’elle m’adresse alors témoigne de son intense jubilation. Je note le « pour la première fois » qui me fait craindre à l’avance la deuxième fois.

 

Nous entrons dans le salon et première gêne, il n’ y a que des femmes. Je m’y attendais, mais bon…

Une femme d‘une cinquantaine d’années, cheveux de paille tout raides, nous aborde tout sourire.

 

- Madame Carter ! Pile à l’heure, comme d’habitude, alors cette fois, c’est votre mari que vous nous amenez !

 

Elle ne croit pas si bien dire. Je baisse les yeux pour paraître plus empoté, mais je n’ai guère à me forcer car je suis sincèrement gêné et troublé. Ma femme est ici cliente et je n’ai pas trop envie que l’on sache qu’elle me donne la fessée.

Déborah la salue, lui demande des nouvelles de sa fille qui fait des études de lettres classiques (ma femme est enseignante à la fac je le rappelle).

 

- Si vous patientez un quart d’heure, je m’occupe de votre mari en personne, dit elle avec l’air de nous faire une faveur. Parce que Cécile est malade, et je n’ai que Cindy sous la main, ajoute-t-elle en désignant au bout de la boutique une toute jeune fille en train de faire du rangement.

 

Je comprends qu’étant donné sa jeunesse, elle ne soit pas à l’aise pour une épilation intégrale sur un homme. Mais Déborah n’est pas de cet avis.

 

- Si c’est parce qu’elle ne l’a jamais fait, ce n’est pas grave, il faut bien qu’elle se fasse la main, en ce qui nous concerne ça ne nous gêne pas. N’est-ce pas Charles ?

 

- Euh non… Pas de problème…

 

Deb’ m’a souvent rabâché les oreilles sur la douleur de l’épilation, alors confier mes couilles à une gamine de vingt ans ne m’emballe pas vraiment. J’ai peur, et plus encore de sa réaction quand elle verra mon cul tout rouge. Il ne manquerait plus qu’elle soit choquée et fasse un scandale !

 

Charles

 



Mon pauvre Charles, mais dans quel monde vis tu ? Une gamine de 20 ans, pour la choquer, il lui en faut plus qu’un cul rouge ! Les filles de cette génération se sont déniaisées sur internet à la lecture de nos blogs, à chatter de sexe sur msn, à  mater des clips montrant comment rougir des culs, alors contempler simplement le produit fini, même sur ton corps d’Apollon, laisse moi doucement rigoler. Et puis, si elle travaille dans un institut qui est mixte, elle verra d’autres fesses de mecs et d’autres queues autrement plus attractives que la tienne.

La suite va d’ailleurs me donner raison. Mais je m’en suis rendue compte aussitôt les présentations effectuées.

 

- Cindy, vous allez vous occuper de monsieur, je n’ai pas fini avec madame Mercier.

 

Cindy est une blonde décolorée, très maquillée et très sexy, mais qui ne sait pas encore très bien doser le maquillage. Elle me semble un peu vulgaire, et je m’étonne que la patronne (que je connais) ne lui en ai pas encore fait le reproche. Mais d’un autre côté, ça la vieillit un peu, et elle dégage un charme un peu trouble. On ne saurait dire si elle a 17 ou 25 ans.

 

- C’est pour quel type de soin ? demande-t-elle à mon mari.

 

Charles hésite à répondre et je mets un certain temps avant de prendre la parole afin de laisser poindre le malaise.

 

- C’est pour une épilation intégrale, dis-je dans un sourire malicieux.

 

Elle jauge Charles d’un air étrange, intrigué par son silence.

 

- Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas aussi douloureux qu’on le prétend, dit elle en l’invitant à la suivre.

 

Mon mari passe dans le couloir devant elle et je réponds au moment de lui emboîter le pas.

 

- De toutes façons, il faut souffrir pour être belle, alors ne vous inquiétez pas pour lui, il peut bien souffrir un peu.

 

- C’est vrai que c’est le lot de toutes les femmes, me sourit elle d’un air complice. Mais j’ai pu remarquer que les hommes étaient plus douillets.

 

Elle nous invite alors à pénétrer dans une cabine.

 

- Mettez vous à l’aise, il y a tout ce qu’il faut dans l’armoire derrière vous, je reviens dans cinq minutes.

 

Aussitôt la porte refermée, Charles se débarrasse de ses vêtements. Je le regarde faire en souriant. Il a hâte de retirer ce plug, il doit absolument l’éjecter de son petit trou avant que Cindy ne revienne. Mais je vais lui compliquer un peu la tâche.

 

Déborah

PS : les noms sont fictifs, ainsi que celui de notre petite esthéticienne, mais nous trouvons plus érotique la lecture de noms « imaginaires » plutôt que l’initiale d’un nom soit-disant réel… nos prénoms sont en revanche bien les nôtres ;-)

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 14:02

 

La rapidité avec laquelle je reçois cette gifle et me retrouve sur tes genoux, me laisse pantois… Ahuri, dis-tu, tu as entièrement raison. Je suis désolé de ne pas t’avoir procuré plus de plaisir en résistant davantage. J’ai tellement peur que cette situation nouvelle ne se désintègre si j’ose m’élever contre toi, tellement effrayé à l’idée que ce rapport de force nouvellement établi entre nous, ne se brise avec mes premières réticences, que j’endure tout sans broncher… Mieux, je l’endure avec zèle… Et toujours avec plaisir. Je vais recevoir la fessée, et depuis que je te suis soumis, j’en rêve nuit et jour… Alors non, je n’ai pas résisté, je ne me suis pas débattu, j’ai attendu sagement le premier coup.

Il n’y a plus aucun bruit, tu veux m’apprendre à obéir, je n’attends que cela, désolé pour ma docilité… Mais ce silence très cérémonieux, ce calme avant la tempête, je le goûte en frémissant de plaisir. Ma queue palpite contre ta cuisse chaude et dénudée. Il fait beau ce jour là, tu n’as pas mis de bas pour sortir, j’ai le privilège d’un contact corporel qui m’est interdit depuis belle lurette.

Et soudain, la première claque… Pas très appuyée, mais surprenante… Ma femme me donne la fessée… Je n’en reviens pas… La seconde est toute aussi érotique, pas encore douloureuse… Je remue imperceptiblement les fesses pour bien me caler, me préparer à une longue et bonne correction… Les suivantes sont un peu plus fortes, un léger picotement m’envahit le postérieur, mais j’ai encore le sourire aux lèvres, et je sens ma bitte se raidir doucement sur la cuisse de ma fesseuse…



 

- Oh, mais dis moi, je rêve ou je sens ta queue qui bande ?

 

Le rythme et l’intensité des coups deviennent subitement plus soutenus.

 

- C’est qu’il aime ça, on dirait. Si j’avais su que tu aimais recevoir la fessée, je te l’aurais donné bien plus tôt, crois moi… Mais on va rattraper le temps perdu, tu vas voir…

 

Ses paroles décuplent mon excitation… Maintenant, je suis bien dur… Et j’ai le cul qui commence à me chauffer sérieusement. Ce ne sont plus des picotements, la souffrance est réelle.

 

- Au salon, l’esthéticienne va bien se marrer en découvrant ton cul tout rouge.

 

Mon dieu, l’épilation… Le salon… L’esthéticienne… Je l’avais complètement oublié ! Les rougeurs auront-elles disparu dans une heure ? Je me doute que non, je cesse de sourire… J’ai peur, j’ai honte, j’ai mal… Je commence à remuer doucement pour signifier à mon épouse que je commence à avoir vraiment mal.

 

- Quel vicieux tu fais, j’en reviens pas. Je te donne la fessée, et tu bandes. Je t’interdis de jouir !

 

- Oui Maîtresse. Pardonnez moi.

 

De toutes façons, je ne bande plus bien longtemps. J’ai trop mal. L’échauffement de la fessée se transforme en brûlure. Je ne tiens plus en place et je sens Déborah qui me recale fermement sur ses cuisses.

 

- Bouges pas mon cochon, j’en ai pas fini avec toi ! Tu la méritais cette fessée… Je vais te la donner jusqu’au bout… Et si l’esthéticienne te demande ce qui s’est passé pour ton cul, tu auras intérêt à lui dire que ta petite femme t’a donné une bonne fessée cul nu (comme je garde le silence, elle me saisit par les cheveux et ajoute d’une voix autoritaire et moqueuse). Compris ?

 

- Oui… Oui Maîtresse, j’ai compris…

 

Ma voix s’étrangle sous l’effet de la douleur, et Déborah cesse enfin… Le silence revient enfin, j’ai le cul qui boue littéralement, et mon sexe est redevenu ridiculement petit.

Charles



Je contemple mon œuvre avec fierté. Les fesses de mon mari sont écarlates. Plus rouges que celles de Lila. Est-ce que je deviendrai plus habile ? Plus cruelle ? Plus perverse ? Les trois probablement…

J’aurai bien continué mais nous allons être en retard… Je me saisis du plug et du lubrifiant qui se trouve sur la petite table devant le canapé, mais en prenant bien soin de ne pas repousser mon époux, toujours allongé au travers de mes cuisses.

Je tartine le plug d’un gel abondant, j’écarte ses fesses sans ménagement, et sans douceur aucune, je plonge l’objet dans son anus encore poilu (pour la première et dernière fois). Je pousse et je tourne délicatement le plug, qui, à mon plus grand étonnement, rentre comme dans du beurre.

 

- Tu vois mon chéri. Après ce que tu t’es pris dans le cul la dernière fois, le plug rentre tout seul, c’était pas la peine d’en faire toute une histoire ! Allez lève toi et va t’habiller, on va finir par être en retard !



 

Il obéit et se lève. Avec le petit plug noir planté dans son cul tout rouge, il est trop mignon. Il m’excite le salaud. Je mouille comme une folle, et je m’en rends compte seulement au moment de partir. Et qui donc pour me faire jouir ? Bordel, il faut que je règle cette question au plus vite… J’en ai trop envie. Je sais maintenant ce que signifie « avoir le feu au cul »… Mais si ma journée se passe comme prévue, cet après midi, un amant devrait pouvoir user de sa lance pour éteindre le feu (lol).

 

Déborah

 

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Vendredi 5 juin 5 05 /06 /Juin 11:05

 

Rébellion, voilà un bien grand mot pour qualifier une petite réticence, d’ailleurs très vite réprimée. Loin de moi l’idée de remettre en question le nouvel ordre établi. Par contre, puisque tu as choisi ce terme, c’est que tu l’as ressenti ainsi… Don’t act…

A l’origine donc de ma… rébellion, il y a, et tu t’en souviens chérie, l’ordre que tu m’as donné avant de partir pour l’institut de beauté… juste avant l’ordre de m’habiller puisque je suis nu en permanence.

 

- Je veux que tu mettes ça pour aller au salon !

 

Tu ne me tends pas alors un pantalon ou une chemise… Non, tu me tends un plug… Je ne me suis jamais enfilé ce genre de « truc » dans le cul, mais après le gode de la semaine passée, nous sommes dans la continuité des exercices d’assouplissement anal. Simplement le moment ne me paraît pas opportun, nous devons nous rendre dans un institut de beauté, (celui que tu fréquentes depuis des années), et tu m’y as pris un rendez vous pour une épilation recto verso de mon intimité. Je me décompose devant l’objet que tu me présentes.

 

- Enfin Deb… Je veux bien porter ce genre de truc… Mais à l’extérieur, vraiment, je sais pas… Et puis pour aller au salon, je peux pas, tu te rends compte un peu ? Ce ne serait pas raisonnable.

 

Charles



 

Oh que oui, je me rends compte… Enfin une contestation, une tentative de résistance… Une rébellion… Je ne l’espérais plus, et pourtant j’en avais diablement envie. J’avais besoin de sentir que tu étais encore un homme avant de te mener à celle qui allait physiquement te transformer en soumis… Besoin de t’affronter, de tester mon autorité, de te rabaisser… Quel plaisir pourrais-je tirer sinon à dominer un type qui n’est qu’une larve ? Quel plaisir à rabaisser un homme qui est déjà au trente sixième dessous ? Je veux que tu ressentes l’humiliation pour pouvoir en jouir… Alors, oui, tu vas te mettre le plug dans le cul, mon chéri, mais en plus, tu vas te prendre une bonne fessée pour avoir osé protester…

D’abord, il y a la gifle, pas préméditée, qui part toute seule quand je vois ta petite face arborer cette moue de donneur de leçon. Je suis désormais la seule à décider si c’est raisonnable ou pas… Tu ne t’y attendais pas, tu t’es décomposé une première fois lorsque je t’ai montré le plug, puis une seconde fois lorsque tu t’es pris cette baffe. Tu te masses la joue en me regardant d’un air ahuri. Ah ce que j’aurais aimé que tu me résistes, j’aurai pris plus de plaisir à te briser. Au lieu de ça, tu me marmonnes un « excuse moi » à peine audible.

 

- Je vais t’apprendre à m’obéir au doigt et à l’œil mon chéri, tu vas voir !

 

Je lui saisis le poignet et l’entraîne vers le canapé. Sans le lâcher, et sans lui laisser le temps de réagir, je m’assieds confortablement et l’attire sur mes genoux. C’est à ton tour de recevoir la fessée.

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Mardi 2 juin 2 02 /06 /Juin 17:19

 

Les jours qui suivent mon dépucelage sont marqués par des mesures très humiliantes, des mesures prises il y a 8 ans, au tout début de ma prise en main mais qui sont devenus partie prenant de ma vie quotidienne d’homme soumis. Ces « mesures » sont décidées par ma femme et énoncées par elle au moment du repas au détour d’une conversation très érotique qui revient sur notre ressenti de la veille.

 

- Alors ? Comment va ton petit cul aujourd’hui ? demande-t-elle sur un ton narquois en passant une main sur mes fesses au moment où je passe à ses côtés pour débarrasser la table.

 

Est-il encore nécessaire de préciser que je suis nu ? Je suis surpris, mais très agréablement, par son geste, et plus encore par sa question.  En permanence excité, je suis prêt à aborder le sujet et le décliner sous toutes les coutures.



 

- Ca va, ça va… Mais hier, tu n’y es pas allée de main morte.

 

Elle sourit puis elle finit son verre. Je suis à  ses côtés, j’attends qu’elle daigne me le donner pour la débarrasser.

 

- Non, fait elle dans une petite mine boudeuse et contrariée. Ressers m’en un peu, j’en reveux.

 

Je m’exécute sur le champ.

 

- Et Toi, Tu as aimé ? demandai-je après l’avoir resservi.

 

Elle déglutit et repose son verre avant de me répondre sur un air de réprimande.

 

- Je t’ai déjà dit de me vouvoyer !

 

Elle m’a aussi dit que je pouvais parfois la tutoyer, car elle trouvait le vouvoiement lassant à la longue, mais je me garde bien de le lui rappeler. Parmi les règles de base, ma Maîtresse a toujours raison et je ne dois pas la contredire, encore moins la contrarier.

 

- Oui, j’ai trouvé ça très amusant, répond elle avec un sourire ironique. Depuis le temps que tu me bassinais les oreilles avec ta lubie de vouloir m’enculer, tu sais maintenant ce que c’est, mais bon, pas dans le sens que tu espérais.

 

- Non en effet.

 

- Tu regrettes ?

 

- Non, du tout.

 

- Tant mieux, car j’ai décidé que ce serait notre nouvelle façon de faire l’amour. Enfin quand je dis faire l’amour, je devrai plutôt dire « baiser ». Mais il va falloir que tu t’assouplisses le trou, car tu m’as semblé un peu étroit, non ?

 

- C’était la première fois, c’est normal.

 

- Oui, je sais. Mais comme je vais passer à des calibres plus gros, il va falloir que tu sois plus « réceptif ». J’ai donc décidé deux choses : d’abord, tu porteras un plug au moins une heure tous les jours, en rentrant du boulot par exemple.

 

- Oui Maîtresse.

 

Le « Maîtresse » est sorti tout seul. Mon acceptation est totale, ma soumission devient « normale ».

 

- La seconde chose, c’est que tu vas devoir aller faire un tour chez l’esthéticienne. Je trouve tous ces poils vraiment moches. Je veux que tu me puisses me présenter un cul bien lisse, et un sexe sans le moindre poil. Comme un petit garçon. Tu verras, je suis sûr que mes godes rentreront mieux dans ton cul s’il n’y a aucun poil. Y vois tu à redire ?

 

- Non Maîtresse, je suis d’accord.

 

- Très bien. Je t’ai donc pris un rendez vous chez « Estelle », mon institut de beauté. Elle va te faire une beauté de petit garçon, tu vas voir…

 

Elle se lève et me signifie que la conversation est finie. Elle va se planter dans le salon pour y regarder la télé. Moi, je vais faire la vaisselle, puis je finirai le repassage.

 

Charles.

 

 

 

Je vous avouerai sur le coup avoir été surprise par la totale acceptation de mon mari à se débarrasser de son système pileux intime. Hormis la poitrine et les organes sexuels bien évidemment, le poil est bien ce qui distingue l’homme de la femme, le poil est bien le signe d’une virilité certaine… Comment peut il accepter sans la moindre protestation de s’en démunir ? Je lui dis d’un air naturel qu’il va ressembler à un gamin ridicule, sans poil sur les parties intimes, et il me répond « oui Maîtresse », sans même avoir exigé de lui un tel respect. Je me souviens que mes poils, à moi, se sont dressés sur mes avant bras lorsque j’a constaté une telle docilité. C’est à cet instant que j’ai pris conscience vraiment que Charles avait perdu non seulement son « statut » de mari mais également celui d’homme. Ce n’est pas la veille lorsque, harnachée de mon gode ceinture je lui ai pris le cul qu’il a perdu sa virilité et sa masculinité, non, c’est à l’instant où je lui annonce froidement, sans le moindre contexte ou simulation érotique, que je vais le faire épiler et que je lis dans son regard le plaisir et la soumission à accepter cette humiliation.

Mais du même coup, lorsque je quitte la table pour « aller me planter devant la télé » comme le dit si bien mon cher et tendre époux, je suis face à un problème nouveau : j’ai besoin d’une queue pour me baiser car j’en ai plus qu’envie et cela fait plus d’un mois que je n’ai pas été pénétrée par une vraie bitte. Les godes, vibros et autres gadgets ne me suffisent plus, j’ai besoin d’un vrai sexe de mâle, et mon mari n’en est plus un… Définitivement… Ce que j’ai pu lui dire au début de ma vengeance sur le coup de la colère… Que j’allais prendre un amant, que j’allais le tromper moi aussi… Il me faut bien vous l’avouer à ce moment de nos confessions que je n’y pensais pas sérieusement. Quelle femme normalement constituée penserait sérieusement à cocufier son homme après 7 années de mariage et 29 ans d’éducation catholique et bourgeoise ? Même avec la colère qui était la mienne lorsque j’ai surpris mon salaud de mari dans le cul de Lila, la pensée ne m’a pas effleuré, même le lendemain lorsque ces mots ont été prononcés, je n’y croyais pas moi-même… Mais maintenant que Charles n’est plus mon mari mais mon soumis, maintenant que je n’ai plus un homme à la maison mais un énuque bientôt épilé, la question me taraude… Qui pour me donner du plaisir ? Qui pour me baiser ?

 

Déborah

 

Droit de réponse exceptionnel (car vous l’aurez compris maintenant, c’est mon épouse qui termine chaque billet, parce qu’elle doit toujours avoir le dernier mot…)

 

Au fil des semaines, je trouve notre idée de blog vraiment très enrichissante… Une façon originale d’exprimer l’intime, de révéler à l’autre une part de vérité jusqu’alors inaccessible. Après l’épisode Lila et sa fessée, voilà que tu me livres une vérité à laquelle je n’étais vraiment pas préparé. Ainsi donc, tu ne pensais pas vraiment ce que tu disais en me menaçant de me tromper à ton tour. Moi, j’y ai cru à fond… Ta colère était si réelle et ton désir de vengeance si justifiée… J’avais tellement peur de te perdre, je tenais tellement à toi sans m’en rendre compte à quel point… Il m’aura fallu commettre l’adultère et subir ton juste courroux en retour pour comprendre à quel point tu m’étais précieuse. Je t’aime ma chérie… Je te vénère Maîtresse…

 

Charles

Par Charles et Déborah - Publié dans : 4. Cocu et exhibé
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Samedi 30 mai 6 30 /05 /Mai 16:42
En attendant la suite de nos écrits, voici quelsques clips qui illustrent fort bien ce que mon tendre et cher époux a subi ce jour là, et mille fois depuis...

 

 


Clin d'oeil à Linda qui aime beaucoup cette actrice porno : Harmony Rose.


Par Charles et Déborah - Publié dans : Vidéos
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