6. Déborah et Linda

Mercredi 6 janvier 3 06 /01 /Jan 10:37

Les fesses de Charles sont d’un beau rouge flamboyant, boursouflées de traces jaunâtres que la cravache a laissée sur sa peau. Je n’y suis pas allée de main morte, sa vénération m’a aveuglé, je l’entends hoqueter de douleur, j’ai frappé très fort. Trop ?

Je dépose le fouet sur son dos et laisse glisser ma main sur son cul. Il est bouillant. Je n’ose le griffer, un ange passe, plus un bruit dans ce donjon cossu du 17ème arrondissement. Il n’y a que ses sanglots… Le calme après la tempête ?

 

- Merci Maîtresse Linda, Merci, renifle-t-il.

 

Je lui assène une bonne gifle sur les fesses et lui intime mes exigences une dernière fois.

 

- La ferme je te dis ! Et cesse de pleurnicher comme une gonzesse !

 

Il obéit enfin, et le silence, total, emplit la pièce. Cela me fait du bien. Je suis toute mouillée et je n’ai aucune culotte pour contenir ce trop plein de plaisir. Je sens mon jus poisser à chaque mouvement. C’est délicieusement obscène. J’ai au fond de moi, cette envie d’obscénité, l’excitation me rend vulgaire, moi qui ne le suis pas en temps « normal ». Mes doigts glissent insidieusement le long de sa raie, et commencent sournoisement à lui pénétrer le trou du cul. Je suis étonnée de sentir mon doigt aspirer sans avoir à forcer outre mesure. Il est habitué de ce type de pénétration, ça ne fait aucun doute.

 

- Oh mais dis moi salopart, ça rentre comme dans du beurre ! T’en as vu d’autre on dirait.

 

- Oui Maîtresse… Oui… Oh…

 

Il tortille du cul pour m’inciter à le fouiller plus profondément. Je n’en demande pas tant et lui enfonce un second doigt… Avec tout autant de facilité.

 

- Je parie que tu t’es déjà fait casser le cul ! Ta Maîtresse doit souvent te prendre comme une chienne, pas vrai ? Et tu dois adorer !

 

Un troisième doigt a rejoint les deux autres dans son fondement, et pour seule réaction, il gémit et se dandine de plaisir. J’attends sa réponse, mais il garde le silence.

 

- Avoue que tu aimes  te faire prendre comme une petite femmelette, à quatre pattes, le cul tendu ?

 

- Oh que oui il aime ça, cette petite fiotte !

 

Je sursaute, c’est Déborah qui me répond ; elle vient d’écarter le rideau et avance d’un pas langoureux mais déterminé dans ma direction. Elle s’est changée et sur le coup je ne la reconnais pas. Elle a pour l’occasion revêtit ses « habits de lumière »… Enfin façon de parler, car elle est parée de cuir noir de la tête aux pieds. Des cuissardes en cuir, des résilles, un body string très sexy… La tenue classique de dominatrice, mais très érotique. Elle dégage un charme fou, son chignon lui donne un air sévère et son maquillage subtil la rend très désirable. Je suis en extase et dissimule mal ma surprise, ce qui la fait sourire… Un sourire carnassier, riche de promesses et de cruauté…

 

Linda

 

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Ah Linda… Tu as mille fois raison… Un sourire carnassier, riche de promesses et de cruauté… Depuis que nous nous sommes quittées à la brasserie et que j’ai improvisé ce scénario, je ne pense qu’à cet instant où je vais te surprendre en train de dominer ma petite fiotte. Je suis dans un état d’excitation incroyable… Une excitation renforcée par le fait que depuis vingt minutes, je suis dissimulée derrière le rideau et que je vous espionne. Les coups de fouet qui cinglent le cul de mon cher époux, ses jérémiades débiles et les remarques humiliantes de Linda contribuent à me faire mouiller de manière vraiment indécente. Depuis quelques années, en matière de jouissance et de lubrification intime, je bats records sur records. Il faut dire qu’à chaque fois, il y a une dimension psychologique qui contribue à me mettre dans tous mes états. Je surprends mon mari (enfin façon de parler) ficelé comme un jambon de Bayonne (son cul en a la couleur) et sa Maîtresse qu’il vénère comme une déesse en train de le dérouiller comme il faut. Elle est encore sur son piédestal, cette salope, je ne vais pas tarder à l’y descendre à coup de botte dans le cul.

 

- Ne vous gênez surtout pas pour moi !

 

- Chérie, c’est toi ? me lance apeuré ma petite fiotte.

 

- Je ne sais pas ? A ton avis ? Qui cela peut il bien être ?

 

Charles se contorsionne sur son cheval d’arçon pour se tourner dans ma direction tandis que Linda me lance un sourire en réponse à ma remarque pleine d’ironie. C’est le moment ou jamais de prendre les choses en main.

Je lui décoche une gifle retentissante, histoire de la remettre à sa place.

 

- C’est moi qui te fais rire salope ?

 

Elle se masse la joue et me regarde avec une gourmandise qui appelle une autre gifle. Elle n’est pas surprise, elle n’est pas offusquée ou révoltée… Elle est en attente…

Je lui en décoche deux, coup sur coup qui la font vaciller. Charles me regarde, hébété.

 

- Eh bien répond sale pute, c’est moi qui te fais rire ?

 

- Non Déborah, non… Je suis désolée.

 

Elle cède vite la garce, j’aurais presque préféré qu’elle me résiste un peu. Elle n’attend que ça, la pute, la voir dominer mon mari pendant presque une demie heure m’a fait douter de sa réelle soumission, je n’ai plus aucun doute désormais.


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- Je te retrouve après sept années sans nouvelles et la première chose que tu fais c’est de venir chez moi pour te taper mon mari… (Je lance un regard dédaigneux à celui que je viens d’appeler mon mari mais que je nomme plus ainsi depuis des lustres) Enfin mon mari, c’est une façon de parler, ma petite lopette devrais-je dire !!!

 

- Chérie, je ne sais pas quoi dire, répond il avec l’air le plus con qui puisse exister.

 

Il est à poil, attaché au cheval d’arçon, le cul bien sanguin et il arbore cet air ahuri et apeuré à la fois. Lui, il me connaît, il sait de quoi je suis capable lorsque je suis en colère. Mais l’autre salope, la maîtresse idéale, la dominatrice de ses rêves, non, elle se masse la joue et me défie du regard.

Je m’approche de ma lopette et passe sur ses joues une main furtive et menaçante. Il ferme les yeux, il craint une gifle lui aussi. Mais, mes doigts préfèrent forcer le barrage de ses lèvres.

 

- Alors dis rien, t’as suffisamment l’air con comme ça ! dis-je en lui plantant trois doigts dans la bouche.

 

Il les suceronne comme un bébé téterait le sein de sa mère. Linda me regarde sans rien dire, silencieuse, docile, en attente. Je vais m’occuper de ton cas ma chérie, tu vas dérouiller, tu ne seras pas déçue. Laisse moi jouir de ces derniers instants où tu fais encore illusion. Voilà, c’est fini…

 

- Et toi salope, je veux que tu te désapes.

 

Je n’ai pas retiré mes doigts de la bouche de ma lopette et je sens soudain une abondante salive s’écouler de son gosier. Une montée d’adrénaline peut être ? Il n’imagine pas encore sa petite femme s’adresser en termes aussi crus à la Maîtresse de ses rêves

 

Déborah

 

Par Charles et Déborah - Publié dans : 6. Déborah et Linda
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Mardi 29 décembre 2 29 /12 /Déc 11:58

Mon dernier coup laisse une belle balafre sur son postérieur. Je déteste le silence lors des séances SM… La parole, la voix sont des ingrédients indispensables à l’humiliation et au partage du ressenti de l’un et de l’autre (pour répondre notamment à ta remarque Charles ;-). Moi-même j’adore parler quand je suis soumise, j’adore montrer à ma maîtresse que je suis une vraie chienne, cela renforce et son excitation, et son emprise sur moi. Mais là, il dénigre sa femme, sa Maîtresse, mon amie… Ce n’est pas ce que je veux entendre. Je me sens mal à l’aise. J’ai alors très envie de le mettre mal à l’aise à son tour.


- Tu n’as pas honte salopart de prendre ton pied sous mes coups de fouet…en l’absence de la femme qui t’héberge sous son toit… Ta Maîtresse.

 

Il se retourne sur le cheval d’arçon, surpris que je lui rappelle l’existence de son épouse.

 

- Elle pourrait te mettre à la porte sans que tu aies le moindre recours, tu n’aurais rien à dire…

 

- Je suis prêt à me damner pour souffrir des mains d’une Maîtresse de votre classe !

 

Schlack, encore un coup bien senti pour lui faire passer l’envie de dire de telles conneries. Les hommes ont tendance à dire n’importe quoi lorsqu’ils sont excités, c’est une chose que j’ai remarquée des dizaines de fois et cela a le don de m’énerver. Schlack… Schlack… Il hurle mais il en redemande, il est maso, Déborah l’a bien dressé.

 

- Ton cul est bien rouge salopart ! Déborah va tout de suite le voir. Elle saura que tu as vu une autre Maîtresse, et qu’elle t’a mis une belle raclée !

 

Schlack… Schlack… Mes coups redoublent de violence, il couine, mais il trouve la force de me répondre, cet effronté.

 

- Oui… oui… Quelle belle raclée ! Défoulez vous Maîtresse.

 

Schlack… Schlack… Schlack… Schlack… Il ne m’en faut pas plus. Je vais lui tanner la peau du cul à ce vicelard. Il hurle, il essaie de s’échapper, il rue dans les brancards, mais il dérouille jusqu’au bout. Je tourne autour de lui comme un oiseau de proie puis je me plante devant lui, plus hautaine et cruelle que jamais. Il a pleuré, mais comme un ultime défi, il ne cesse de me sourire et de me lancer ce regard où il n’y a que vénération et soumission.

 

Linda


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Vénération, soumission… Je vis dans un rêve… Non, c’est faux, même dans mes rêves, je n’osais imaginer recevoir une telle punition de vos mains… La douleur est à la hauteur de mon plaisir, l’humiliation n’a d’égale que ma satisfaction. J’ai honte du plaisir que je prends en l’absence de ma femme, je me déculpabilise du fait qu’elle me trompe depuis des années sans éprouver le moindre sentiment de culpabilité, mais tout de même… J’ai dépassé les limites fixées par notre relation, et je commence à craindre la réaction de Déborah. Si Linda lui dit, elle pourrait me mettre à la porte, elle a tout à fait raison, l’épisode Lila est loin mais pas oublié. Linda n’aura pas besoin de lui rapporter mon infidélité, ne verra-t-elle pas d’elle-même les marques sur mon cul ?

Schlack… Je hurle de douleur… Je suis devenu endurant mais à ce stade, il ne fait aucun doute que mes fesses doivent être marbrées et que les traces ne disparaîtront pas de sitôt. Schlack…

 

- Oh maîtresse, par pitié, vous ne direz rien à Déb’ !

 

- Salopart, tu ne la mérites pas !

 

Schlack, un nouveau coup de cravache me cisaille les fesses et m’arrache un cri que les voisins, s’ils sont présents, ont obligatoirement entendu… mais ils savent ce que je suis, et ils ne s’inquiètent plus des châtiments qui me sont imposées par mon épouse.

 

- La ferme salopart ! La ferme !

 

- Oui Maîtresse Linda… oui Maîtresse Linda… Tout ce que vous voudrez !

 

- J’ai dit la ferme !

 

Schlack. Et je me mets à sangloter en silence… De plaisir, de douleur, de honte, de culpabilité…

 

Charles

 

La Maîtresse de tes rêves… Putain je le crois pas. Je suis dissimulée derrière l’épais rideau qui sépare le salon de notre « donjon » depuis presque dix minutes, le temps qu’il me faut pour me mettre en « condition », me préparer, me changer. Lorsque j’entends l’autre « salopart » pour reprendre le terme de Linda, qui me dénigre et me rabaisse au rang de « pale copie de Maîtresse Linda », je fulmine littéralement… Quelle enflure, quelle crevure, il ne perd rien pour attendre. La haine monte en moi exactement comme je l’espérais, plus forte encore que l’excitation, bien réelle malgré tout. Je résiste au désir de me branler alors que je suis pourtant bien à l’abri dans cette alcôve car insatisfaite et frustrée, mon désir de vengeance n’en sera que plus grand. J’ai envie de faire mal, envie de me défouler, envie de montrer à ma petite fiotte qui est la vraie Maîtresse ici. Il est temps pour moi d’entrer en scène.

Je suis remontée comme jamais, excitée à l’idée d’enfin asseoir ma domination sur cette pute de Linda, les jeux sont faits… Attention, ça va faire mal… Très mal…

 

Déborah

Par Charles et Déborah - Publié dans : 6. Déborah et Linda
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Mardi 22 décembre 2 22 /12 /Déc 10:31

Quel enfoiré ! Charles fait de moi "la reine des dominatrices"... S'il savait ce que je suis en réalité, et si Déborah entendait cela de son époux, je doute qu’elle apprécierait ! Mais je comprends mieux la fixation qu’il fait sur moi et le scénario que Déborah veut me faire jouer dans leur couple. Ce con ne la mérite pas… J’ai envie de lui faire payer son infidélité, ce salaud va dérouiller.

 

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Je toise Charles pendant qu’il me lèche les pieds avec une vénération troublante. Il ne cesse de m’observer pendant qu’il me nettoie les escarpins, comme s‘il voulait se repaître de mon regard hautain pendant son humiliante besogne. Mais je n’ai que peu de temps devant moi, je le repousse du pied pour lui signifier que nous allons passer à autre chose.

 

- Conduis moi au donjon, Déborah m’a dit que tu avais aménagé un coin du loft en vraie salle de torture, fais moi voir ça ! Je vais te faire passer l’envie de dénigrer ta femme !

 

Je n’ai plus beaucoup de temps pour m’amuser avec lui alors je dois aller droit au but… Déborah sera là dans trois quarts d’heure…

 

Le donjon est tel que je me l’a décrit Déborah. On y accède par un rideau qui le maintient à l’écart d’un grand salon très luxueux. Les murs sont en crépi blanc et tapissés de miroirs aux cadres tantôt dorés tantôt en bois ; il y a une croix de saint André, un sling pour maintenir suspendu et écartelé le ou la soumise, un cheval d’arçon, une cage, des étagères avec des fouets et des godes de toute taille… Très classique, mais très efficace pour qui aime s’adonner aux jeux de liens et de souffrances.

 

- Impressionnant… Déborah utilise tout cet attirail pour te dominer ?

 

- Oui Maîtresse Linda.

 

Je m’approche de l’étagère à godes et me saisit d’un calibre impressionnant… Un calibre que je parviens aujourd’hui encore difficilement à m’enfiler dans le cul malgré les mois d’entraînement et d’assouplissement imposés par Caroline.

 

- Je me souviens avoir utilisé ce gode sur Eric le soir où vous êtes venus manger à la maison, un beau spécimen, dis-je en riant. Mais dis moi, il y a une sacrée différence de calibre entre les godes qui sont ici et ta misérable petite queue, ajoutai-je en désignant du menton son sexe exposé à mon regard. Toi aussi je vais te prendre avec cette grosse queue, je vais te défoncer comme la petite fiote que tu es. Je vais te casser le cul, tu vas la sentir passer. (Il change de couleur lorsqu’il me voit m’harnacher du gode ceinture). Ne me dis pas qu’il est trop gros pour ton cul de pédé ? (Je n’en reviens pas des mots que j’emploie, je suis totalement à l’aise, je parle avec lui comme s’il s’agissait d’Eric). Ne me dis pas que Déborah ne t’a jamais pris le cul ?

 

- Non… Enfin si… Mais pas avec de si gros…

 

- Faut un début à tout ! Allez commence par me tailler une pipe, ordonnai-je une fois le gode solidement fixé autour de ma taille.

 

Il est énorme… Le modèle de 27 cm de long et 5 de large à la base… veiné pour imiter au mieux le sexe d’un male, mais membré comme un cheval. Charles le prend en bouche mais sa petite gueule de soumis est déformée par le calibre qu’il doit honorer. Je suis contrainte d’exercer une pression sur sa nuque pour que le gland, simplement le gland, franchisse la barrière de ses lèvres. Il suffoque et bave en gémissant comme une chienne en chaleur. Il a déjà du mal à le prendre en bouche je ne peux décemment pas envisager lui fendre le cul avec, au risque de voir réellement son petit cul musclé se désagréger sous mes coups de boutoir. Mais il a peur, et cela fait partie du jeu, cela le rend docile.

Je pense dans un premier temps à le suspendre dans ce sling mais le temps qu’il va me falloir pour l’installer (je ne suis pas très douée pour ces trucs) et Déborah nous aura rejoint… Et je ne veux pas casser mon image de dominatrice parfaite en passant pour une empotée obligée de lui demander conseil pour l’usage de son siège.

 

- Ca suffit ! De toutes façons tu sais pas tailler des pipes, t’es vraiment bon à rien ! Je vais te punir comme tu mérites ! Va te placer sur le cheval d’arçon !

 

Il n’attend que cela, le bougre, trop heureux de lâcher le gode, et d’échapper à la sodomie promise. Il file se mettre en position, et je prends au passage un chat à neuf queues, un martinet à longues lanières.

Sur le cheval d’arçon, il y a des lanières et des étriers qui me permettent de l’attacher, le cul offert à la punition. Je promène mon fouet sur son dos puis sur ses fesses. Il frémit, il a peur, mais il n’attend que cela.

 

Linda


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Je n’attends que cela, oh que oui Linda… Si vous saviez… Des dizaines de fois, j’ai fantasmé ce que je vis à cet instant. Recevoir de vos mains le châtiment mérité… Oh que oui, j’en ai tant rêvé que les draps s’en souviennent (lol)[ référence à une chanson, je en sais plus laquelle]

 

Je ne saurai dire combien de temps j’ai été fouetté. Quinze, vingt minutes ? Plus ? Au fil de la punition, on perd la notion du temps… Mais pas de la douleur qui devient de plus en plus cuisante, de plus en plus insupportable. Linda tape fort, très fort, ses coups sont précis, très ajustés, mon cul doit être marbré.

Mais mon excitation demeure, oh je ne bande pas, c’est devenu très rare déjà à cette époque, mais je suis psychologiquement très excité. Moi, Charles, misérable petite fiotte, je suis puni par la plus divine des dominatrices. Je suis au bord de l’extase. Mon fantasme le plus fou se réalise.

 

- Oh Maîtresse Linda… oui… Ahhh…

 

Schlak… Un bon coup bien cinglant me brûle le cul. Le fouet, c’est vraiment hard.

 

- Espèce de salopart, je vais calmer tes ardeurs, moi, tu vas voir !

 

Elle se lâche, elle est vulgaire, le vernis craque, j’adore… Moi aussi je me lâche, Déborah aime que je l’encourage à me punir, Linda aime-t-elle cela aussi ?

 

- Si vous saviez combien de fois j’ai mouillé mes draps en repensant aux fessées que vous m’aviez administrées (Schlak)… Oh… Heureusement que c’est moi qui lavait les draps, ma femme n’en a jamais rien su (Shlack)… Ahh… J’adorais ça… (Shlack)… Votre allure, votre style, vos regards… (Schlack)… Aïe… Je vous imaginais nue avec une fourrure telle Wanda, la Vénus en fourrure, vous me fessiez, me cravachiez… (Shlack)…Ma femme a bien tenté de vous imiter, mais je n’ai jamais ressenti ça avec elle… Ahhhh…

 

Cette fois, le fouet s’abat avec une violence inouïe et me coupe le sifflet. Les larmes me montent aux yeux. Je pleure… de douleur, de joie…

 

Charles

Par Charles et Déborah - Publié dans : 6. Déborah et Linda
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Mardi 15 décembre 2 15 /12 /Déc 23:13

Dans le taxi qui me conduit au grand loft de Déborah, je passe un coup de fil à Caroline pour l’informer du scénario que je m’apprête à exécuter. Je suis tellement émoustillée que je ne prends pas garde au chauffeur qui pourrait saisir des bribes de conversation. J’ai passé ce stade…


Caroline salue comme moi l’imagination et l’extrême perversité du rôle que Déborah veut me faire jouer dans l’histoire de leur couple. Du coup, je la sens moins réservée, moins froide que tout à l’heure. Elle me dit même clairement qu’elle apprécierait finalement de pouvoir rencontrer cette fameuse Déborah.

 

Je suis surexcitée au moment de quitter le taxi, et c’est une réalité psychique et physique, car je me surprends même à regarder si je n’ai pas taché le siège, puisque je ne porte aucune culotte (Déborah a eu pitié de ma chatte et m’a fait retirer le string avant de repartir), et comme, conformément à mon contrat d’esclavage, je relève toujours ma jupe avant de m’asseoir, (mes fesses devant toujours être au contact du siège où je les pose).

 

Déborah m’a donné le code de l’Interphone de leur gracieux immeuble, si bien que je sonne directement à la porte de leur appartement. Charles m’ouvre après avoir pris la précaution de regarder par l’oreillette. Je le comprends, il est entièrement nu.

 

- Linda, je… Je ne vous attendais pas, bafouille-t-il, gêné de se présenter à poil devant moi.

 

Je ne sais pas pourquoi, mais sur l’instant, je décide de lui cacher la vérité… Avec le recul, je sais que je voulais tester mon pouvoir de séduction, pour une femme de 44 ans, on sait ce que cela veut dire. Je lui réponds donc que je suis entrée avec une voisine, ce qui explique que je n’ai pas eu besoin de sonner.

 

- Vous comptez attendre qu’un voisin vous surprenne dans le plus simple appareil, ou vous me faites entrer ?

 

- Oui, entrez, excusez moi. Je vais passer un peignoir, ajoute-t-il en tournant aussitôt les talons.

 

Il a un beau cul, bien musclé, plus musclé qu’à l’époque où il pratiquait le naturisme en ma compagnie… Humm, je vais prendre plaisir à le lui rougir, c’est sûr.

 

- Non !

 

Ma voix est ferme, sans appel, sans équivoque sur ce qui l’attend s’il obéit à ce premier ordre. Il hésite.

 

- C’est que… Si ma femme rentre et me trouve nu en votre présence… Enfin vous comprenez.

 

Le salaud, il ne dit pas non, il a juste peur d’être surpris.

 

- Déborah m’a dit quand nous nous sommes quittées qu’elle partait voir sa mère.

 

Gros coup de bluff, sa mère vit peut être à 400 km, temps pis, on verra bien.

 

- Ah, fait il, toujours hésitant, mais déjà mieux disposé.

 

- Et puis, je suis Maîtresse Linda, on va pas passer la journée à tergiverser.

 

Ne m’a-t-il pas avoué tout à l’heure qu’il me considérait comme la reine des dominatrices ? La Maîtresse idéale ? La femme qui a réussi à mettre son épouse à genoux ? Je m’approche d’un pas langoureux, mes talons claquent sensuellement sur son superbe parquet. Sous ma robe mini, j’ai la chatte à l’air, qui réclame son lot de jouissance en mouillant abondamment.

 

- Linda… Je…

 

Sa voix demeure en suspens, je suis face à lui, et je lis dans ses yeux, une peur panique, une appréhension incroyable, de l’excitation aussi. Je ne pensais pas l’impressionner autant, cela me plaît énormément, beaucoup plus que lorsque je domine mon mari… La routine, je suppose.


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- N’oublie pas à qui tu t’adresses ! (Ma voix est d’une incroyable fermeté, et mon soudain tutoiement est un signe qui ne trompe pas). Et baisse les yeux devant ta Maîtresse !

 

Je ne suis pas sa maîtresse, s’il obéit, il trompe Déborah… Mais bon, ne suis-je pas celle qui hante ses nuits et peuple ses fantasmes ? Il hésite un instant puis baisse les yeux, résigné, soumis, vaincu. J’ai gagné, mais dois-je en tirer un certain mérite ? Peu importe, j’en tirerai au moins du plaisir…

 

- Lèche mes pieds ! Et ne t’avise pas à reluquer sous ma jupe !

 

Il ne manquerait plus qu’il voit mon vagin trempé. Il obéit, et dans la seconde, je sens le contact humide de sa langue sur ma cheville.

 

Linda

 


 

Dieu que la chair est faible…

 

Déborah

 
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Oui, peut  être, sûrement… Je m’en excuse, j’ai deux circonstances atténuantes, mais à ce stade du « récit », tu me permettras volontiers, ma chérie, de n’en développer qu’une. Cette excuse, qui n’en est pas une, j’en conviens, c’est que j’ai fantasmé des mois, des années même, sur Linda. Elle est à mes yeux la Maîtresse de mes rêves, la femme parfaite, sensuelle, hautaine, élégante et raffinée… alors lorsqu’elle sonne à notre porte, mon pouls s’emballe, je suis paniqué et excité, conscient de ma propre faiblesse. Et lorsqu’elle montre tous les signes de son propre désir, celui de me soumettre à sa volonté, je ne  résiste pas… Je suis faible, je ne peux que lui obéir. Je tombe à ses pieds et c’est tout juste si je ne la saisis pas au niveau des genoux pour la remercier de me permettre de lui lécher les escarpins.

 

- Oui, j’ai toujours su que tu n’étais qu’un lèche bottes ! dit elle en me toisant avec dédain.

Même au Cap quand je dominais mon mari, tu rêvais d’être à sa place, je savais que d’un claquement de doigt, je te mettrai à mes pieds.

 

Elle a totalement raison, elle lit en moi comme dans un livre ouvert, c’est une fine psychologue, les grandes maîtresses sentent très vite le caractère soumis des personnes qui les entoure. (Maintenant, c’est vrai que pour moi, ce n’était pas difficile à deviner). 

 

- J’adore rabaisser les types dans ton genre, ceux qui se croient macho et qui ne sont que de petites fiottes. C’était ton cas au Cap, je me souviens.

 

Depuis quelques temps, Déborah ne m’appelle plus qu’ainsi « petite fiotte ». J’adore ça, c’est très humiliant, j’adore de toutes façons quand elle est vulgaire avec moi, j’adore quand les mots tranchent avec l’apparence de la personne. Ma femme, et Linda plus encore, sont en apparence de grandes bourgeoises très distinguées, très élégantes, qui savent briller en société, et qui occupent des postes à responsabilité. Rien ne les prédestine à parler ce langage de charretier, et moi, ça m’excite.

 

- Oui… oui Linda, tu as raison…


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Je vois Linda s’accroupir pour se mettre à mon niveau et j’ose regarder sous sa robe très courte et très moulante. Hélas, elle n’écarte pas les cuisses et je ne vois rien. Je ne vois pas non plus la baffe arriver. Et avant que je ne comprenne ce qui se passe, elle me tire les cheveux pour ramener mon visage en face du sien.

 

- Ecoute moi bien espèce de larve, tu ne me tutoies pas, jamais… Compris ?

 

- Oui Linda, excusez moi, ça m’a échappé.

 

- Maîtresse Linda, pauvre cloche ! Elle ne t’a rien appris Déborah ou quoi ?

 

- Si, si… Vous êtes la reine des dominatrices, Déb vous copie, vous imite mais ne vous arrive pas à la cheville.

 

Charles

 

 

Par Charles et Déborah - Publié dans : 6. Déborah et Linda
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Vendredi 11 décembre 5 11 /12 /Déc 08:47

Cette salope de Linda boit littéralement mes paroles. Je nourris des doutes sur son endurance à la douleur et son acceptation de tous mes ordres le moment venu, mais je ne peux pas nier qu’elle en a envie. Son regard brille de malice et de désir, elle semble prête à n’importe quoi, je sens l’excitation qui monte en moi.

 

Soudain, je me rappelle du string que je lui ai ordonné d’enfiler.

 

- Au fait, ton sous vêtement n’est pas trop petit ?

 

- Si Maîtresse, hélas, je n’ai pas la taille… De ma nièce… Et je vous avouerai qu’il me fait même un peu mal.

 

- Et avoir mal, tu aimes cela ?

 

Je la fixe intensément et elle baisse les yeux en rougissant. Je jubile.

 

- Oui j’aime cela, finit elle par répondre sans oser me regarder. Mais tout est question de contexte, et je préfère l’humiliation à la douleur pure.

 

- Il te faut un contexte érotique fort, c’est cela ? Une forte excitation facilite grandement l’obéissance, je l’ai vérifié sur Charles, sur toi, je suppose que c’est la même chose ?

 

- Oui, tout à fait.

 

- Je prends note que tu préfères l’humiliation à la douleur, je saurais m’en souvenir. Mais lorsque je domine, je frappe, je gifle et je fesse… Et cela, sans faire semblant, seras tu capable d’endurer mes coups sans être obligée de demander grâce au bout de cinq minutes ?

 

Je n’ai pas eu l’occasion de relater vraiment les corrections que j’administre à Charles car nous avons fait ce blog d’une manière chronologique, et les premières fessées digne de ce nom datent de l’année qui a suivi notre rencontre au Cap, quelques mois après que je me sois faites baiser par nos deux livreurs. Mais désormais, quand je frappe, je frappe fort… Et ça ma vieille, tu vas vite t’en rendre compte !

 

Déborah

 

Enfin, nous abordons le vif du sujet. Me demander si je vais endurer ses fessées, ma pauvre Déborah si tu savais… Evidemment que j’en suis capable, encore que je n’ai jamais été vraiment dominée en dehors de la présence de Caroline qui connaît mieux que quiconque au monde mes véritables limites. Son avertissement m’excite plutôt qu’autre chose.

 

- Vous ne serez pas déçue, promis-je.

 

- Je vais tout de suite m’en rendre compte. Je veux que tu passes une main sous ta robe et que tu te caresses.

 

Voilà le type d’exigence que je me suis mise à raffoler au contact de Caroline. Je suis gênée au début mais au final terriblement excitée. Caroline m’a donné cet ordre des dizaines de fois. J’obéis dans la seconde pour bien lui montrer que je suis prête et que je ne la décevrai pas. Elle en est étonnée, je le vois dans ses yeux, l’espace d’une seconde.

 

- C’est bien, c’est bon pas vrai ?

 

- Oui, c’est une sensation très troublante que de se retrouver devant une ancienne amie et devoir lui obéir.

 

Déborah vide son demi et répond le plus posément du monde. J’aime son calme, sa maîtrise, cet air posé qui lui donne une supériorité indéniable.

 

- C’est un sentiment très excitant que de voir une maîtresse telle que toi, obéir avec autant d’empressement.

 

- Et vous n’avez encore rien vu.

 

- Non, en effet, d’ailleurs à ce propos, montre moi !

 

Je ne sais pas trop ce que je dois comprendre, je perçois un sous entendus ironique, mais ferme, et lui fait comprendre par un léger froncement de sourcils que j’attends une précision.

 

- Tes doigts sont bien au contact de ta chatte ? (L’entendre prononcer ce mot magique, « chatte », dans la bouche de cette grande bourgeoise, me fait frissonner ; je réponds un « oui » timide et elle poursuit.) Si tu es aussi troublée que tu le prétends, tes doigts doivent être tout mouillés ?

 

- Oui, en effet.

 

- Alors présente les moi ! Je veux sentir ton odeur intime !

 

Je passe une main dans ma culotte et récolte une abondante quantité de mouille. Je  suis trempée et ne m’en étais pas rendue compte. Le string me rentre dans la vulve, me fait mal, me cisaille, et pourtant je mouille. Déborah ne sera pas déçue, elle va pouvoir se rendre compte combien je suis excitée, car je la sens encore un peu réticente à croire en ma soumission.

 

Néanmoins, au fil de la conversation, je la sens se décontracter, elle ose employer des termes un peu plus crus… Chatte, bitte… Elle a pris l’ascendant, c’est indéniable.

 

Lorsque je ressors ma main de mes cuisses, que je sens mes doigts tout moites, je suis persuadée qu’elle va voir en moi la salope et oublier enfin la maîtresse qu’elle a connue. Je lui tends ma main en regardant autour de moi, inquiète d’être surprise en flagrant désir, et Déborah s’en saisit avec une grande délicatesse.

Elle les porte à son nez et les respire pleinement.


09.jpg
 

- Ca alors, c’est incroyable, la situation t’excite vraiment ! relève-t-elle sans dissimuler sa surprise.

 

- Vous en doutiez ?

 

Elle porte mes doigts entre ses lèvres et les suce délicatement, puis les retire, satisfaite.

 

- Il m’est désormais impossible d’en douter, dit elle d’une voix qui a gagné en assurance. Mais avoue que l’on peut nourrir quelques doutes quand on t’a connu avec cette identité de dominatrice, t’entendre aujourd’hui revendiquer celui de soumise. Sache Linda, que depuis que je domine, j’ai rencontré beaucoup de personnes qui fantasmaient la soumission et qu’une fois qu’il la vivait, ne la supportait pas.

 

- Je sais de quoi vous parlez, mais je ne suis pas comme ça, je vous l’assure, vous ne serez pas déçue avec moi…

 

- C’est ce que je sens, oui, répond elle en portant une dernière fois mes doigts sous son nez. (Puis elle me lâche et ajoute en guise de conclusion). Voici mon adresse, je t’y retrouve, disons dans une heure !

 

Linda

Par Charles et Déborah - Publié dans : 6. Déborah et Linda
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  • : Cocu-soumis
  • : 11/02/2009
  • :
  • : Une relation basée sur la domination totale de madame sur son époux, et l'acceptation de celui-ci à voir sa femme diriger le couple... l'acceptation aussi que sa femme le trompe sans vergogne... l'acceptation, donc, d'être cocu et soumis !!!
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