Le cadeau de mariage 7
Je n’en peux plus, ça fait quinze jours que je n’ai pas joui, après ce que je viens de voir et le traitement qu’elle m’inflige, je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps, même si c’est aussi douloureux que plaisant… Ou justement parce qu’il y a ce mélange des deux, je suis maso, il me faut l’assumer… Et puis c’est si humiliant de se laisser tripoter de la sorte. Je veux la repousser, faire valoir mes droits, mais au moment où je m’apprête à répondre, elle se colle à moi, et me roule un patin profond et humide. Sa bouche sent le sperme, sa salive est encore imprégnée du foutre de mon beau frère. Le goût est salé, un peu saumoné, écoeuré, je la repousse fermement. Elle me lâche la queue, mais à quel prix ? Elle vacille et manque de tomber, se retenant au dernier moment à la table. Je me rends compte aussitôt, mais trop tard, que je viens de commettre une grave erreur. Son visage, une seconde plus tôt, souriant et détendu, se crispe et se ferme. Son regard lance des éclairs, une colère froide s’empare de tout son être.
- Je suis désolé Justine, j’aurais pas dû.
Elle revient vers moi, la démarche toujours féline, mais l’œil vengeur, et l’air glacial. Elle me fait peur, elle est diaboliquement belle.
- Je m’excuse, je ne voulais pas me montrer désagréable ou brutal…
Je veux lui expliquer que j’ai peur d’éjaculer dans mon slip mais elle ne m’en laisse pas le temps. Elle m’administre la plus incroyable paire de gifles de mon existence, et dieu sait que j’en ai reçu de bonnes durant mon enfance et mon adolescence. C’est un aller retour cinglant qui me fait vaciller à mon tour. Les larmes me montent aux yeux et j’ai bien du mal à les contenir.
Mes joues me brûlent, j’imagine sans peine les empreintes de ses doigts sur ma peau. Justine a la main leste, elle m’a promis de belles fessées lorsque je serai marié, elle n’est pas avare de gifles non plus.
- Ne t’avise plus jamais de me repousser ! me menace-t-elle en pointant un doigt autoritaire sous le nez. Elle se ressaisit de mes couilles, et cette fois, les tord sans ménagement. Espèce de salaud, tu bandes et tu oses jouer les indifférents !
- Pardon Justine, vraiment je m’excuse.
Elle me serre les couilles et j’étouffe un juron pour ne pas la froisser et aggraver mon cas. Puis, de sa main libre, elle se saisit de mon menton et ajoute.
- Je t’ai déjà dit de m’appeler Maîtresse, je te l’ai déjà dit oui ou non ?
Une nouvelle gifle ponctue sa question. Cette fois, c’est plus fort que moi, je pleure.
- Oui Maîtresse.
Elle me tord les couilles plus fort et ce que je redoutais, finit par arriver : je jouis. Ma femme m’explose les couilles et moi, maso que je suis, j’explose de jouissance. Je me tords de douleur en giclant mon foutre dans le mini slip en résilles que Justine m’a choisi pour m’humilier et me rappeler ma nouvelle condition de femelle soumise. Je me répands dans le sous vêtement et au fur et à mesure que mon sperme s’échappe, douloureusement étant donnée la poigne de ma femme, je sens mes forces me quitter, mon esprit se brouiller. Mes jambes ne me portent plus, j’ai des flashs dans la tête, ce n’est plus une explosion de jouissance, c’est un feu d’artifice… Un orgasme cérébral et physique à la fois, le résultat spectaculaire d’une longue frustration et d’une intense humiliation. Je m’écroule littéralement sur Justine, qui me tient toujours par les couilles, et qui pense alors que je me tords de douleur.
- Regardez moi cette femmelette qui pleurniche dés qu’on pose les mains sur ses petites couilles ! se moque-t-elle en serrant un peu plus fort encore. Cette fois, je couine de douleur. On dirait que mon mari a les bijoux de famille très fragiles.
Je suis incapable de répondre, j’ai perdu l’usage de la parole en perdant le contrôle de mes sens. Tout ce que je sais, c’est que j’ai mal, de plus en plus. Justine met fin à mon calvaire lorsqu’elle s’aperçoit enfin que je viens de jouir.
- Putain je le crois pas, le vicieux ! Il s’est joui dessus, s’esclaffe-t-elle en relâchant enfin la pression sur mes parties, ce qui a pour effet immédiat de libérer une nouvelle giclée de sperme. Quel cochon tu fais, je te tords les couilles, et toi, tu prends ton pied.
Je tombe à genoux devant elle lorsqu’elle me lâche complètement. Je me sens totalement vide, sans force et sans volonté. Je ne sais pas combien de temps je demeure ainsi prostré, mais lorsque je reprends peu à peu mes esprits, elle est accroupie en face de moi, souriante et détendue, plus belle et plus sexy que jamais. Ses rougeurs se sont estompées et elle a remis de l’ordre dans ses cheveux. Il n’y a plus aucune trace de colère ou d‘animosité dans son regard, il me semble même y percevoir une certaine forme de tendresse.
- Mon chéri, nous sommes vraiment faits pour nous entendre. Si j’avais encore quelques doutes quant à tes capacités d’accepter tout ça, tu viens de les dissiper. Je t’aime.
Elle dépose sur mes lèvres un nouveau baiser, et cette fois je la laisse me fouiller le palais sans résister. Sa langue, qui vient de lécher la bite de Bruno, enlace la mienne avec douceur, sa bouche, encore pleine de foutre il y 5 minutes, m’avale et m’engloutit. Elle m’a brisé, vaincu, je suis à elle, et j’en suis heureux.
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