Vendredi 3 janvier 5 03 /01 /Jan 14:48

Le cadeau de mariage 3

 
Pierre referme la porte du meuble derrière lui, et s’installe dans le réduit poussiéreux que je lui ai préparé. J’entends les planches craquer, je l’imagine se retournant dans l’armoire, se baissant pour ne pas se cogner, me maudissant et me chérissant en même temps. Dépêche toi, mon chéri, Bruno ne devrait pas tarder à me rejoindre. Je l’espère vivement en tous cas car je souhaite que mon absence passe le plus inaperçue possible. Je suis la reine de la cérémonie, ma place est au milieu des invités. Personne ne peut évidemment imaginer que je vais m’envoyer en l’air avec mon beau frère mais comme Pierre se trouve être absent aussi, je n’ai pas envie que nos convives puissent penser que nous ayons satisfait un quelconque désir avant la traditionnelle nuit de noces.
 
Ma famille n’a pas à savoir que je suis une salope qui ne pense qu’à s’envoyer en l’air… Hormis ma mère, bien sûr, qui m’est en tout point semblable, j’ai pu m’en rendre compte ces dernières semaines en préparant le mariage. La cérémonie nous a rapprochées et nous avons fini par partager d’incroyables confidences. J’ai ainsi appris que mon père a passé des nuits entières ligoté au lit, qu’il a reçu de belles fessées sur ses genoux, et qu’il a été trompé régulièrement. Pierre, les jours qui ont suivi la fameuse soirée aux archives, m’a aussi confié ses fantasmes, ils étaient en si parfaite adéquation avec le passé de ma mère que j’ai fini par les lui rapporter. Notre complicité est totale depuis que je lui ai fait lire le contrat intime qui va déterminer les règles de vie au sein de mon couple. Cela l’a étonné qu’on puisse aller aussi loin. Qu’un homme accepte de se soumettre, c’est normal, si la femme sait s’y prendre, si elle sait user de ses charmes, elle lui est supérieure. Ses pulsions sont ses faiblesses, la femme tient son homme par la queue. Le fait qu’il accepte que tu ailles voir ailleurs est déjà plus surprenant. Non, ce qui me rend circonspecte (j’ai été étonnée d’entendre ce mot, qu’elle a  prononcé en décortiquant chaque syllabe), c’est que ton futur mari accepte de vivre avec toi sans qu’il puisse espérer des faveurs sexuelles. Ton petit Pierre devient une perle rare. Un mois plus tôt, ces propos m’auraient peut être choqué, mais au fil de la préparation du mariage, après tout ce qu’elle m’a raconté sur son couple, plus rien ne me surprend.
 
006  
Le grincement de la porte sur ses gonds m’avertit d’une arrivée, mais j’envisage tout de suite la possibilité que ce ne soit pas mon beau frère. La peur m’étreint soudain car j’ai remonté ma robe sur les hanches pour être sûre de ne pas la craquer, et je m’offre au visiteur dans une position indécente. Je suis la chatte à l’air, assise sur la table, une jambe posée sur le meuble, la cuisse bien écartée pour que Bruno puisse tout percevoir en entrant.
 
La tension est à son comble, j’ai la gorge nouée, je n’arrive même pas à resserrer les cuisses, je suis pétrifiée. Ce que je m’apprête à faire est tellement indécent et pervers que j’en perds soudain mes moyens. Tromper son mari le jour de son mariage, ce que je vais réaliser n’est rien d’autre que l’acte le plus condamnable aux yeux de la morale,  je ne peux le faire qu’une fois dans ma vie, je suis sur le point de vivre un moment unique.
 
Combien de femmes se sont offertes à un amant devant leur mari le jour de leurs noces ? Cette question sans réponse m’excite et dissipe la crainte que ce ne soit pas Bruno.
 
  
- Si je m’attendais à cela !
 
  
Bruno est un beau mec fort en gueule, j’ai flashé sur lui tout de suite et à cet instant précis, je suis excitée et soulagée de l’avoir en face de moi. Sa carrure athlétique, sa tignasse rousse, son petit sourire en coin, tout me plaît chez lui, et j’ai été bien heureuse d’entendre Pierre me dire que c’était un cavaleur. Il correspondait parfaitement au profil du type qui ne rechignerait pas à baiser la mariée. Et là, au regard gourmand qu’il me lance, je n’ai aucune inquiétude sur le plaisir qu’il va me donner. C’est un homme à femme, les salopes de mon espèce le repère mille lieues à la ronde.
 
  
- Vraiment Justine, je sais pas quoi dire…
  
 
- Alors dis rien.
 
 
Je lui fais signe d’approcher d’un petit geste de la main, tandis que mon autre main écarte les lèvres toutes trempées de ma chatte. Je ne résiste pas à la tentation d’une caresse appuyée sur mon clito, tout gonflé de désir. Je me demande alors si Pierre, lui, résiste à la tentation de se branler. Cela fait quinze jours que je ne l’ai pas touché, et que je lui ai interdit de se masturber, il a les couilles gonflées comme des boules de pétanque. Ce n’est qu’un petit aperçu de ce qui l’attend désormais, mais va-t-il obéir ? Je jette un coup d’œil furtif au placard dans lequel je l’ai confiné, lui adresse un petit regard narquois et pervers, certaine qu’il ne perd pas une miette du spectacle. Cela me fait mouiller de le savoir en planque dans ce meuble, réduit à me reluquer comme un gamin vicieux qui materait sa mère.
 
Je découvre le plaisir de l’exhib.
 
- T’es une drôle de salope, ricane Bruno en déboutonnant son pantalon. Te faire baiser par un autre le jour de ton mariage, faut être sacrément tordue. Il extirpe sa queue à demie dressée de son caleçon, et se penche pour m’embrasser.
 
 
Mais je n’ai nulle envie d’être embrassée… Juste baisée. Je le coupe dans son élan, tout sourire mais ferme.
 
 - Non. Je le prends par les épaules et l’incite d’une petite pression à s’agenouiller entre mes cuisses. Occupe toi plutôt de ma chatte.
 
 
Bruno encaisse mon refus en silence, et prend position entre mes cuisses. La seconde suivante, il a la bouche plaquée sur ma chatte. Sa langue tourne et joue avec mon clito, l’aspire et le suce, le titille et le mordille. Surprise par tant de fougue, je me mords la lèvre pour ne pas hurler. Le salaud ne s’embarrasse pas de préliminaires, il n’est pas du genre à tourner autour du pot, si tenté que l’on puisse qualifier mon vagin de pot. Il me butine avec application et frénésie. Sa bouche me boit, sa langue me pénètre au plus profond. Il m’aspire la mouille avec délice, me crache dans la chatte, je ne sais plus où donner de la tête. Je me laisse tomber en arrière, terrassée par le plaisir, et me retrouve allongée sur les coudes, gémissante comme une pucelle. Je vois sa tignasse rousse qui s’ébroue entre mes cuisses et je roule des paupières. Je jouis dans sa bouche, c’est une merveille.
 
Tout mon corps frémit de plaisir. Je suis parcourue de frissons, et pourtant, la chaleur irradie de mon bas ventre comme une centrale thermique lancée à pleine puissance. Et je mouille, je mouille, je mouille… J’en suis gênée de sentir mon jus s’écouler ainsi de ma chatte. Je lui pisse ma jouissance au visage et Bruno s’en délecte. Il me boit avec gourmandise, se frotte le visage entre mes cuisses, cherche à l’enfouir au plus profond de moi. C’est le cuni le plus énergique que l’on m’ai jamais prodigué. Je le débarbouille de mes sécrétions et il adore ça.
 
Je profite qu’il se décolle de mon sexe baveux pour me redresser et retrouver une certaine prestance.
 
 
- Putain j’adore ça, dit il, l’air extatique. Il a de la mouille sur l’arrête du nez et au coin des lèvres. Il est rouge écarlate, au bord de l’apoplexie, comique et excitant à la fois. J’ai jamais vu une fille mouiller autant, ça t’excite grave de tromper ton mari. T’as rompu la poche des eaux, ajoute-t-il sur le ton de la plaisanterie.
 
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Quel con, il est plus habile avec sa langue pour lécher une chatte que pour faire de l’humour.
 
  
- Tais toi et baise moi !
 
 
- Tes désirs sont des ordres, chère belle sœur.
  
 
Il baisse son froc tout en fouillant ses poches et en sort la capote qu’il avait sûrement préparée avant de me rejoindre. Il se retrouve bientôt la queue à la main en train de s’enfiler le préservatif. Je me penche pour le regarder faire, excitée par son tour de main. En deux temps, trois mouvements, le latex enveloppe sa queue, un vrai pro de la bite, c’est sûr qu’il a l’habitude. Je me souviens alors du temps qu’il avait fallu à Pierre pour se passer la capote lors de nos premiers rapports, et la comparaison me fait sourire. Ils ne baisent pas dans la même catégorie, Bruno, en coureur invétéré, sait y faire avec les femmes, Pierre est beaucoup plus réservé. En revanche, Bruno n’est pas pourvu d’une bite énorme, et il n’est même pas décalotté. Il a toutefois un atout que j’apprécie beaucoup : il est intégralement rasé. Emma, qui a été ma petite amie pendant ma grande période lesbienne, avait la chatte parfaitement épilée, et je trouvais cela magnifique et sensuel, surtout au toucher, mais je n’avais jamais rencontré un homme sans le moindre poil sur le pubis ou les couilles. Je veux savoir si la peau d’un mec peut être aussi douce que celle d‘une femme, je passe la main sur son bas ventre pour comparer. Le pubis est glabre, comme celui d’un petit garçon, très agréable au toucher, mais qui me fait l’effet de caresser un adolescent pré-pubère, et non un homme. La sensation est troublante, presque dérangeante, mais lorsque je descends sur ses couilles toutes lisses, que je les prends en main, les soupèse et les caresse, mon sentiment change immédiatement. Sa peau, d’une douceur extrême, me rappelle Emma. Ce côté féminin très sensuel contraste avec sa virilité toute masculine. Une peau de bébé mais une bite d’homme, la douceur d’une femme mais la virilité du mâle.
 
  
- Hummm. Il s’enfonce dans mon marais intime et je ne peux contenir un long gémissement de plaisir.
 
  
- Oui, c’est bon, se croit il obligé de répondre. T’aimes ça, je le vois, t’es toute mouillée.
  
 
Je veux lui dire de se taire, mais aussitôt sa bite au fond de mon con tout juteux, il se met à me pilonner à toute vitesse. Ses va et viens rapides me cloue littéralement le bec. Je suis si surprise que je ne peut contenir un hoquet ridicule.
 
J’entends le flic floc de ma mouille dans la chatte, les ahanements bestiaux de mon beau frère qui accompagnent chaque coup de boutoir. Il me pilonne avec force et régularité. Je tourne de l’œil, je suffoque, je gémis, je crie, j’oublie les invités quelques mètres au dessus de moi, mon mariage et mon mari, cloîtré dans l’armoire. La violence de ses coups de reins me conduit bientôt au septième ciel, pour la seconde fois en moins de trois minutes.
 
Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu - Communauté : Dominatrice BDSM
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Samedi 28 décembre 6 28 /12 /Déc 16:35
En cette période de fêtes, je dis « éclatez vous ! Profitez ! Envoyez vous en l’air, trompez vous les uns les autres^^ » Moi, j’ai profité, j’ai bien été trompé et espère à nouveau retrouver l’âme sœur bien vite… pour à nouveau redevenir un vrai cocu. Une vie et une aspiration qui a surpris l’un de nos lecteurs qui a eu la gentillesse de nous en faire part.
Barindid a en effet écrit :
 « je suis frustré car je n'arrive pas à adhérer. Je n'arrive pas à imaginer comment un homme puisse se marier sachant qu'il n'aura droit à rien. Ca me semble bien trop extrême... Mais peut-être est-ce parce que j'ai une très faible habitude du cuckolding. Je suis curieux de savoir si je suis le seul à avoir ce ressenti... »
Merci de ce commentaire, j’aimerai avoir en effet vos réactions sur ce sujet. Qu’en pensez vous ?
 
En ce qui me concerne, je te répondrai par la conclusion du roman que je viens de finir (et dont vous avez la primeur sur ce blog). C’est Justine qui s’exprime après avoir été baisée violemment par deux types bien membrés et plutôt dominateurs.
 
« Ils n’ont rien compris à notre amour et notre complicité, Tony m’a cru insatisfaite et Marcus a cru bon te donner des conseils pour « tenir ta femme »… Avec le recul, je souris… Il ne peut imaginer l’intensité de notre relation. Les liens de domination et soumission qui nous unissent sont bien plus forts que le rapport de force qu’il m’a imposé. Ils ont joui dans mon cul, dans ma chatte et dans ma bouche, ce qui ne te sera jamais permis, et pourtant, tu es plus fort qu’eux, et toi, tu as droit à mon amour, mon respect, mon attention… Tu es ma vie, Pierre. Le jour de notre mariage, tu disais que j’avais la vie devant moi pour te punir, deux mois après, je te réponds que j’ai la vie devant moi pour t’aimer… »
Sans transition, comme on dit... Une première petite vidéo française parce que j’ai craqué pour la jeune dominatrice et que je me serai fait un plaisir de lui lécher les pieds moi aussi^^
 
Merci aussi à Lailatv de ses commentaires qui font vivre ce blog. Snif, j’en ai si peu L. Pour le remercier et partager ses histoires de qualité, j’en publie une, en attendant la suite très vite des aventures du « mariage d’un cocu »…
 
« Ma femme me cocufie et j’adore !
Bonjour à tous,
Ce que j’aime par dessus tout dans le sexe, c’est d’être cocufié par ma femme. Je pense que c’est ma condition. Je suis fait pour ça, pour être cocu.
Ma femme m’a déjà cocufié 3 fois et j’aimerais qu’elle continue le plus souvent possible. Je vais vous raconter sa dernière aventure qui vient de se terminer au bout 2 ans.
Il y a donc 2 ans, ma femme s’est fait draguer dans une soirée où nous ne connaissions presque personne. C’était un client à moi qui invitait. Je m’emmerdais pas mal pendant que ma femme causait avec un type d’environ 45 ans, grand (plus de 1m85), brun, assez costaud, pas mal sans être un top model. Il avait l’air d’avoir de l’humour car ma femme rigolait beaucoup ! Mauvais signe pour moi car ma femme aime les hommes avec de l’humour…
Ils ont discuté une heure et puis elle est partie se balader. Je la cherche sans la trouver. Au bout d’une demi heure, je la retrouve de nouveau en grande conversation avec cet homme.
Après 1 heure d’attente - car je ne me permets jamais de la déranger quand elle parle avec un autre homme, je reste à distance et je sais que c’est ce qu’elle préfère – elle vient me voir et me dit qu’elle veut rentrer. Moi aussi.
Arrivés à la maison, je lui parle de l’homme avec qui elle parlait.
- il avait l’air sympa ?
- oui très ! Très drôle, beaucoup d’humour ! Heureusement qu’il était là sinon je me serais emmerdée !
- Il était pas mal, grand ?
- Oui et des mains superbes ! Très viril aussi ! Il m’a d’ailleurs donné son numéro de téléphone !
- Ah oui ?
- Oui… je vais voir ce que j’en fais…
Je suis aussitôt allé aux WC pour branler ma queue qui était déjà dure depuis un moment. J’ai joui en moins d’une minute chrono.
Les jours suivants, j’ai un peu insisté pour qu’elle contacte l’homme de la soirée. Elle a fini par le faire au bout d’une semaine.
Quand je suis rentré du boulot, elle m’a dit qu’elle déjeunait avec lui demain…
J’ai senti que le cocufiage n’était plus très loin pour moi !
De retour de son déjeuner, je reçois un SMS :
« Déjeuner très sympa ! Alain est charmant et très agréable. Conversation assez chaude aussi ! Tu bandes ? »
« Oui, je file aux toilettes pour astiquer un peu ma petite queue de cocu… »
« Pas trop, gardes-en un peu pour ce soir »
« T’inquiète pas »
Le WE suivant, elle me dit qu’elle va au bois courir. Elle a aussi rende- vous avec Alain pour un café. Il habite les environs et va souvent au Bois pour courir.
De retour du bois, elle me raconte son café et la ballade dans les sous-bois qui s’est terminée par une pelle très intense. Elle a adoré ! Ma femme aime beaucoup se faire embrasser en extérieur. Elle me dit qu’il a l’air très accroché. Il lui fait beaucoup de compliments, beaucoup de gentilles attentions. Elle pense qu’il est un peu amoureux. Je demande si elle lui a parlé de moi.
- Oui bien sur, mais je lui ai dit que tu me laisses beaucoup de liberté.
- Tu lui as dit que j’aimais être cocu ?
- Non pas encore… patience mon chéri !
Nouveau déjeuner le mardi avec Alain et flirt assez intense dans un parc. Je sens ma femme qui commence à être très accrochée par cette histoire. Elle me parle peu de lui mais les SMS tombent sans arrêt et ils se téléphonent tous les soirs ou presque. Je demande :
- Il ne t’a pas encore invité chez lui ?
- Non mais ça ne saurait tarder
- Tu as envie de coucher avec lui ?
- Oui… il m’excite assez. J’aime comment il m’embrasse et j’adore ses mains ! Il a l’air aussi vraiment costaud mais très naturellement et, l’autre jour, j’ai glissé ma main dans sa chemise : beau torse bien poilu comme j’aime. (Je précise que je suis imberbe) ça devrait être une bonne soirée !
- Et c’est quand ?
- Pas prévu encore. J’attends qu’il m’invite.
- J’aimerais être en contact avec lui pour qu’il me donne ses impressions. Ça te dérangerait ?
- Non mais je ne sais pas s’il est d’accord pour ça…
- Tu peux lui demander ?
- Oui je le ferais. Je lui dis quoi ? Que tu veux lui parler ?
- Oui je veux lui parler de mon futur cocufiage…
- Ok mon chéri, je lui demanderais.
Le lendemain au bureau, je reçois un mail :
« Salut, Claire m’a dit que tu voulais me parler ? Je t’écoute »
« Bonjour, oui je voulais juste vous dire que je suis heureux que votre relation avec ma femme prenne cette tournure. Vous avez vraiment l’air de lui plaire. Pour ma part, je serais très fier d’être cocufié totalement par un homme comme vous car vous semblez être d’une virilité qui ne fait aucun doute. Moi, ma condition est celle du cocu. J’espère que vous profiterez bientôt totalement de Claire et que vous lui donnerez beaucoup de plaisir… je ferais évidemment tout mon possible pour faciliter cette rencontre. Franck »
« Et bien ! J’ai de la chance de tomber sur un bon cocu dans ton genre. Je vais inviter Claire demain soir à la maison. Elle a l’air très heureuse de cette soirée. Moi aussi. Je lui ferais l’amour toute la soirée et elle pourra te raconter ce que c’est qu’un vrai mec. Salut cocu. »

J’ai fait une copie des mails à Claire. Voici sa réponse :
« Tu es heureux mon chéri ? Je crois que tu vas être cocu comme jamais là ! Vivement mardi… travaille bien… »

Le mardi soir en question, Alain et ma femme ont dîné dans un resto très sympa et ils ont terminé la soirée chez lui.
Moi, je suis resté à la maison devant mon ordinateur ou devant la télé. Le pantalon baissé et la queue dure comme de la pierre. De temps en temps, je l’astiquais mais pas trop pour garder ma jouissance quand ma femme serait revenue.
Elle est rentrée à 1 h du matin. Elle avait l’air un peu fatigué. Sourire aux lèvres. J’étais au lit à attendre.
- Alors ? J’ai été bien cocu ?
- Oh oui !!! Comme jamais ! Quel amant ! Une des meilleures nuits d’amour de ma vie ! Et j’ai découvert une chose…
- Quoi ?
- Que j’aimais les sexes longs ! Il en a une très belle ! Plus longue que la tienne avec un très gros gland et quand il l’a enfoncée entièrement, j’ai vraiment pris mon pied ! Je m’en doutais un peu car, avec toi, j’ai toujours envie que tu ailles plus profond. Je crois que j’aime être remplie complètement et avec lui c’est le cas. Il a aussi de belles et grosses couilles, bien poilues comme j’aime.
- Il t’a fait jouir combien de fois ?
- 3 fois. Une en me caressant et en me doigtant, 2 autres en me faisant l’amour dont une en levrette ! Le pied !
Des orgasmes vraiment forts !
- C’est bien chez lui ?
- Oui super appart ! Il a les moyens. Le resto était super et il a un super grand lit ! Comme dans les hôtels !
- Tu vas le revoir ?
- Ah oui et très vite. J’ai trop hâte de me faire reprendre. Tu voulais être cocu et bien tu vas être servi !
- Je peux sentir ta chatte ?
- Oui si tu veux…
u2.jpgElle se place au dessus de moi, écarte bien sa chatte. Je sens la mouille de ma femme encore fraîche. Ça sent aussi très fort la capote et aussi une odeur d’homme. Ma femme me dit :
«Lèche ma chatte et jouis vite car je suis crevée là ! »
« Oui je fais vite. Traite-moi de cocu ! »
« Oui mon cocu, je vais me faire rebaiser cette semaine par Alain et tu seras encore plus cocu comme tu aimes et moi, je vais prendre mon pied avec mon amant. Tu es d’accord mon cocu ? »
« Ouiiiiii !!! » et je vide mes petites couilles.
« Allez ! Une douche et au lit mon cocu chéri ! »

2 jours plus tard, ma femme me dit qu’Alain est un peu gêné par cette relation qui commence. Je demande ce qui se passe. Claire me dit qu’il est en fait assez amoureux et qu’il a du mal à partager. Ma femme me dit qu’elle a été claire sur le fait qu’elle ne me quitterait pas, qu’elle veut conserver sa vie de famille avec moi mais qu’elle apprécie le trio amoureux. Lui a plus de mal avec la situation. Je sens ma femme un peu embêtée par la situation. Je lui dis que je vais essayer de lui en parler…
  
Je lui envoie un mail :
« Monsieur,
(je préfère tout de suite lui montrer mon infériorité de cocu en l’appelant Monsieur). Ma femme m’a dit que vous étiez gêné par cette situation à 3 et que vous souhaitiez une relation à 2 exclusivement. Je pense que ma femme
n’acceptera jamais ça. En revanche, pour vous arranger, on pourrait établir une hiérarchie. Vous pourriez être le mâle dominant. Je vous laisserais alors l’exclusivité de la sexualité de Claire. Et vous pourriez même contrôler la mienne par l’intermédiaire de ma femme. Je ferais aussi tout mon possible pour vous faciliter des vacances et des WE avec Claire. Qu’en pensez-vous ? »
Copie à ma femme. Les réponses :
« Je vais réfléchir cocu »
« Mon chéri. Je crois que la position de mâle dominant pour Alain ne fait aucun doute dans mon esprit. Je te remercie de me laisser vivre cette relation qui risque de m’apporter beaucoup sur le plan sexuel et amoureux. Tu es vraiment un gentil cocu et j’ai de la chance de t’avoir… Ce soir, tu pourras lécher ma petite chatte autant que tu
veux… »

Le lendemain soir, ma femme reçoit un coup de fil d’Alain. Il avait l’air d’avoir pris sa décision… ???
 
Vite la suite Lailatv ;-)
 
Une petite vidéo pour finir :
Une vidéo lesbienne, des rapports intenses entre une gamine de 20 ans et une femme plus mure de 35 ans. Ce clip m’a rappelé Corinne (ma femme, appelée ici Déborah) qui m’a quitté pour une fille plus jeune, avec beaucoup de tempérament. Cela commence doucement, avec beaucoup de sensualité, mais la bourgeoise finit par être dressée et prise violemment par la gamine. J’adore !!! Je suis sure que Corinne se fait gifler et baiser de la même façon par sa girlfriend.
 
Par Charles et Déborah - Publié dans : Nouvelle vie - Communauté : Dominatrice BDSM
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Lundi 16 décembre 1 16 /12 /Déc 14:43

Le cadeau de mariage 2

 

Pour la première fois dans ma vie d’homme marié, je désire ma femme avec une intensité et une passion dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Est il possible de désirer une femme autant que cela ? Cela ne m’était jamais arrivé auparavant, ni avec Ingrid, ma première femme, encore moins avec Marie Ange, ma seconde épouse. La vigueur de mon érection est impressionnante. La frustration de ces deux dernières semaines ne doit pas être étrangère à ce désir et cette belle érection, mais tout de même, je bande dur et je me dis que c’est un beau gâchis. Je crève d’envie de me désaper et de la culbuter, oubliant que le sexe de ma femme m’est à jamais interdit, qu’elle est désormais ma maîtresse et qu’elle seule peut décider de mon plaisir.

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- Quand tu auras fini de me reluquer sous toutes les coutures, tu me retireras ma culotte, me dit elle en me tirant les cheveux pour me forcer à la regarder.

 

Elle me toise d’un regard qui révèle pour la première fois toute l’étendue de son autorité. Elle a les pleins pouvoirs, et malgré mon énorme frustration, cela m’excite. Elle se penche sur mon visage et m’ordonne.

 

- Ouvre ta bouche !

 

J’obéis bien sûr, tout en l’interrogeant du regard sur ses intentions. Elle humecte ses lèvres et dépose au fond de mon gosier un long filet de salive qui me fait penser au spaghetti que partage la belle et le clochard. Je la regarde hébété, mais elle vient de me cracher dessus avec un naturel désarmant, une sensualité remarquable.

 

- Allez, maintenant file dans ta niche, Bruno ne va pas tarder ! dit elle en ramassant sa petite culotte. Tiens je te la donne, ajoute-t-elle au moment où je m’apprête à tourner les talons. C’est pour que tu puisses sentir la chatte de ta chère épouse lorsqu’elle se fera baiser. Alors, qu’est-ce qu’on dit ? conclut elle en reprenant cet air ironique et moqueur.

 

- Merci ma chérie. Je t’aime.

 

Elle s’approche en me souriant tendrement et pendant un instant je me dis qu’elle va m’embrasser. Mais lorsqu’elle est suffisamment proche de moi, elle me saisit le menton, son sourire a disparu, remplacé par un rictus autoritaire.

 

- Il n’y a plus de chérie qui tienne, maintenant que je t’ai épousé, je suis ta Maîtresse.

 

005 Elle est le feu et la glace, elle endosse l’identité de l’épouse aimante puis celle de maîtresse perverse dans la seconde qui suit avec une facilité aussi troublante que déconcertante. Je réponds en lui souriant tendrement et en baissant les yeux, signes évidents de mon amour et de ma soumission, les deux allant désormais de pair.

 

- Bien Maîtresse.

 

- Va ! Elle me congédie avec dédain mais me rappelle au moment où j’ouvre l’armoire qui va me servir de planque. Interdiction de te tripoter mon chéri. Tu mates mais tu ne te branles pas. Je te rappelle que ta jouissance m’appartient.

 

- Oui Maîtresse.

 

Je referme la porte de mon placard derrière moi, Bruno fait son apparition peu après. On se croit au théâtre ce soir ! Un beau Vaudeville aux entrées minutées, un classique de la comédie : l’amant rejoint l’épouse libertine au moment même où le mari trompé quitte la scène.

Que le spectacle commence…

Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu - Communauté : Dominatrice BDSM
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Lundi 9 décembre 1 09 /12 /Déc 14:07
 
Le cadeau de mariage 1
 
 
          Mes cousins sont extraordinaires. Nous échangeons des souvenirs qui datent de Mathusalem comme si nous étions les êtres les plus soudés de la noce. Ils me saoulent d’histoires dont je n’ai que faire. J’ai envie de leur dire que si nous étions aussi proches qu’ils veulent bien le prétendre, nous nous serions revus depuis mon précédent mariage. Or, cela fait sept ans que nous ne nous sommes donnés aucune nouvelle, hormis, bien sûr, les vœux protocolaires de la nouvelle année.
 
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- Finalement, heureusement que je divorce et que je reprends une nouvelle femme de temps en temps, sinon nous n’aurions pas l’occasion de nous revoir, dis-je sur le ton de la plaisanterie.
 
 
 
Les effets de l’alcool commencent à se faire sentir. J’ai le verbe plus facile, l’ironie plus mordante aussi. J’aimerai me débarrasser d’eux mais ils sont d’une affection très « collante », et ma réplique passe comme un bon mot et non un reproche. Ils repartent sur des souvenirs d’enfance que j’ai oubliés depuis belle lurette. J’acquiesce discrètement à leurs propos tout en surveillant Justine, en pleine discussion avec Bruno. Elle lui confirme sûrement son rencart. Je le vois, il est blême, il trinque avec mon épouse en essayant  de garder un air décontracté. Mais il évite de regarder dans ma direction, trop gêné ou honteux pour croiser mon regard.
 
Justine l’abandonne et se fraye un chemin à travers les invités qui cherchent tous à lui glisser un mot, un sourire, souvent les deux. Elle est belle, ma femme, elle est la reine de la soirée, tout le monde est ici pour elle. Je ne suis pas dupe, c’est à elle que l’on souhaite tous les vœux de bonheur, pas à moi… Moi, on s’est déjà donné cette peine deux fois, avec le succès que l’on sait. Je ne suis pas aigri pour autant, je trouve cela normal. Et puis, je sais aussi ce que pensent les gens, j’ai quinze ans de plus qu’elle, alors c’est bien à elle que l’on souhaite bonne chance, parce qu’elle va en avoir besoin, surtout que si j’ai déjà eu deux femmes, c’est que je dois être exigeant ou pas commode, ou les deux ! Certains disent aussi que je suis cavaleur, que c’est ce qui a expliqué mon premier divorce, ils n’ont pas totalement tort, ceux là sont les premiers à lui présenter leurs voeux, avec de lourds sous entendus du genre « surtout, n’hésite pas à serrer la vis, tiens le à l’œil, il a de la chance d’avoir une femme comme toi pour accepter de l’épouser à nouveau, tu es bien tolérante ! » Mais je m’en fous, cela m’amuse même qu’ils soient tous aussi loin de la vérité. Personne ne peut penser que son bonheur à elle est bien assuré, personne ne peut imaginer qu’elle m’a déjà serré la vis, qu’elle est tout sauf tolérante. Par contre, ils ont raison sur un point : j’ai de la chance d’avoir une telle femme comme épouse !
 
Mon téléphone vrombit dans ma poche, et je m’empresse de décrocher, car je sais que c’est elle. J’exhibe mon portable pour m’excuser de devoir mettre fin à notre passionnante conversation  et je m’éloigne en adressant à mes chers cousins un clin d’œil de grande complicité.
 
 
 
- Rejoins moi tout de suite à la cave, je veux te voir avant qu’il me baise !
 
 
 
C’est clair, c’est un ordre, je n’ai même pas le temps de répondre qu’elle a déjà raccroché. Mon pouls s’accélère… ça y est, je vais être cocu, ma vie conjugale commence.
 
 
 
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Nous possédons une grande cave enterrée au beau milieu de la propriété, à une trentaine de mètres seulement du chapiteau dressé pour les noces. Je m’y rends en prenant soin de garder la tête baissée pour ne croiser aucun regard, et n’avoir aucune personne à saluer. J’adopte un pas nonchalant comme si je m’apprêtais à aller rechercher une bonne bouteille. Avant de descendre les escaliers, je m’assure que personne ne me suit, surtout pas Bruno, qui ne doit pas se douter de notre mise en scène. Mais hormis une nuée de gamins qui courent dans tous les sens autour du chapiteau, les convives sont regroupés autour des tables ou sur la piste de danse.
 
Je pousse doucement la porte, puis demeure un instant prostré en haut d’une nouvelle volée de marches, tous les sens en éveil. Et si Bruno m’avait précédé ? Ne vais-je pas tout gâcher en les surprenant en pleine partie de jambes en l’air ? Justine m’en voudrait, et à juste titre, de n’avoir pas pris plus de précaution. Je descends les escaliers à pas de loup, mais hormis les échos très lointains de la sono – la cave est incroyablement bien isolée – il n’y a aucun bruit. En revanche, il y a de la lumière.
 
Justine m’attend au milieu de la réserve, tranquillement assise sur l’unique meuble de la petite pièce, une vieille table en chêne, robuste et massive. Elle me sourit, son regard pétille de malice, elle balance ses jambes à la manière d’une petite fille innocente. Je remarque tout de suite que sa robe est outrageusement remontée sur ses cuisses, probablement pour faciliter la tâche à Bruno, ou pour préserver sa robe. En m’approchant, je perçois la lisière brodée de ses bas, et même la jarretière qu’elle va offrir à son amant pour l’avoir sauté.
 
 
 
- Tu voulais me voir ? demandai-je à voix basse, comme si Bruno était déjà présent.
 
 
 
- Oui, répond elle en me faisant signe d’approcher. Je me suis dit que ce serait bien que mon petit mari voit sa chère épouse se faire baiser. Elle tend les bras pour m’accueillir et se laisse aller à un baiser doux et humide. J’ai repéré les lieux dans la semaine, m’avoue-t-elle, tout sourire, il y a une grande armoire juste derrière, tu ne devrais rien rater du spectacle. J’ai trouvé le temps hier de l’aménager rien que pour toi. Tu y seras à l’aise et il y a une petite ouverture juste au niveau des yeux pour ne rien rater du spectacle, comme par hasard.
 
 
 
- Comme par hasard, relevai-je avec humour.
 
 
 
- Tu vois, tu ne pourras pas dire que tu as épousé une femme qui ne pense pas à son petit mari, reprend elle avec ironie. J’espère que ça te fait plaisir ?
 
 
 
- J’adore. C’est une attention délicate. Je veux l’étreindre, l’embrasser, la caresser, mais je me contente de poser les mains sur ses épaules dénudées, et de demander d’une voix trahissant mon émotion. Ca va ? T’es sûre que tu veux le faire ?
 
 
 
Elle me regarde d’un air étonné et je regrette aussitôt d’avoir posé la question. Quel con, on ne pense qu’à ça depuis des mois, Justine m’a prouvé sa détermination et sa motivation à maintes reprises, et je lui demande juste avant de franchir le pas, si elle ne préfèrerait pas finalement rentrer dans le rang, se convertir aux principes du mariage chrétien, et pourquoi pas aux vertus de la fidélité tant que j’y suis. J’essaie de rattraper le coup avant qu’elle ne réponde et manifeste sa déception.
 
 
 
- Je veux dire, comment tu te sens ? T’es excitée.
 
 
 
Le sourire revient aussitôt sur son visage magnifique.
 
 
 
- Retire ma culotte, dit elle en descendant de la table pour me laisser atteindre son sous vêtement. Comme ça tu te rendras compte par toi-même.
 
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Je ne me fais pas prier, trop heureux de pouvoir effleurer de mes doigts ses cuisses et ses fesses. Je vais pouvoir toucher son corps de déesse et cela ne m’est plus arrivé depuis deux semaines. Justine a en effet décrété un  sevrage sexuel qui s’est accompagné d’une interdiction de tout contact corporel. Mon abstinence tourne à la frustration, et la frustration à l’obsession. Je deviens en effet totalement obsédé. Je me suis surpris ces derniers temps à regarder les femmes de manière trop insistante, repérer les femmes en jupe aux terrasses de café, en espérant qu’elle décroiserait les jambes et me révèlerait leurs petites culottes. Je suis excité 24 heures sur 24 et je n’ai évidemment pas le droit de me masturber, j’ai les couilles pleines, et il ne me faudrait pas grand-chose pour exploser. Je m’agenouille et plonge les mains sous sa robe remontée à mi cuisse. J’effleure sa peau incroyablement douce pour remonter jusqu’au nirvana de son entrejambe. Je n’ai pas besoin de lui retirer son slip pour savoir qu’elle est excitée car il est tout tâché au niveau du sexe. Je suis en position pour lui prodiguer un merveilleux cunnilingus et je me retiens de ne pas plonger mon visage dans son nid douillet et humide. Je sens ma queue se dresser dans son mini slip. Pourvu que je n’explose pas en plein vol ! Mes doigts atteignent fébrilement l’élastique de sa culotte. Justine a opté pour un tanga en dentelles blanches, très échancré, très sexy.
 
 
 
- Dépêche toi, m’intime-t-elle en me flattant le cuir chevelu, comme si elle caressait un chien. Mon amant ne devrait plus tarder.
 
 
 
Je retire doucement la culotte, et j’en profite pour admirer les poils blonds de son pubis, peu fournis mais soigneusement taillés pour former un triangle. Je fais glisser le slip entre ses cuisses, et mes yeux se perdent dans les méandres intimes de sa chatte, pulpeuse à souhait. Elle est trempée, elle ne m’a pas menti, elle est même en dessous de la vérité, elle est noyée. Je déploie des efforts surhumains pour ne pas y plonger mon nez, j’ai tellement envie de m’abreuver à sa source, de respirer les odeurs de son intimité.
 
 
 
 
Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu - Communauté : Dominatrice BDSM
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Vendredi 22 novembre 5 22 /11 /Nov 14:55
 
Le vin d’honneur
 
 
 
          Le chapiteau dressé pour la cérémonie au beau milieu du parc de cinq hectares, accueille 300 convives… 300 convives que nous devons saluer et remercier de leur présence. Nous nous répartissons la tâche, une coupe à la main, le sourire accroché au visage. A tout seigneur tout honneur, Justine m’attire vers sa mère, rayonnante de beauté. Elle a perdu six kilos depuis l’annonce de notre mariage, et dans cette petite robe à fleur très moulante, elle arbore fièrement ses nouvelles courbes. A ses côtés, Charles, mon beau père, fait office de petit vieux. Il semble avoir vingt ans de plus, il n’en a que dix en réalité, mais Cathy a rajeuni, trouvé l’élixir de jouvence, et elle sait mettre en avant sa nouvelle féminité. Des escarpins affinent le galbe de ses jambes en lui donnant un port de reine. Oui, après mon épouse, véritable impératrice de beauté, elle est ici comme la reine mère. Ce titre lui va comme un gant tant elle me trouble et m’impressionne. Je l’aborde d’ailleurs par une formule très convenue, presque protocolaire.
 
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- Je voulais vous remercier pour votre investissement dans notre mariage, tout ce côté intendance très fastidieux que vous avez pris en charge. Le résultat est impressionnant, c’est une vraie réussite, pas une fausse note ! Vous comblez et je m’en excuse la déficience de ma propre famille en ce domaine.
 
 
 
Sa réponse est cinglante.
 
 
 
- N’accablez pas votre famille mon petit Pierre, à leur place, je réagirai sûrement de la même façon. Mon investissement comme vous dîtes, voilà bien un terme de patron, je ne l’ai fait que pour ma fille, parce que pour elle, c’est son premier mariage, et je l’espère le seul.   
 
 
 
- Maman ! s’offusque Justine.
 
 
 
- Non chérie, laisse, je comprends. Tu es ma troisième femme, ta mère est en droit de se demander si je suis fait pour le mariage. Toi seule, ma chérie est en mesure de la rassurer sur ce point.
 
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Il s’agit d’une allusion à peine voilée à notre contrat intime, une série de décisions régissant notre vie de couple, mises sur papier quelques jours plus tôt. Y figure en bonne place, mon engagement solennel de demeurer fidèle et soumis à ma femme, ainsi que la décision financière de rétrocéder 80% de mes biens à Justine. Ce volet financier d’un accord qui se voulait au départ uniquement d’ordre sexuel, a été rajouté au dernier moment pour donner à Justine une totale indépendance financière.
 
 
 
- Je suis au courant de vos petits engagements, rétorque Cathy en levant sa coupe de Champagne vers sa sœur, histoire de trinquer à distance.
 
 
 
Je suis sous le choc d’apprendre que Justine a confié une partie de nos secrets à sa mère.
 
 
 
- Tu lui as dit ? demandais-je, d’un air dépité et un peu déçu aussi.
 
 
 
Justine arbore une moue un peu gênée, mais elle ne l’est sûrement pas autant que moi. L’humiliation est terrible, je me sens rougir jusqu’aux oreilles.
 
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 - Eh oui mon petit Pierre, je sais tout ! claironne Cathy avant de vider sa coupe. Nous n’avons aucun secret Justine et moi !
 
 
 
Aucun secret… Est il possible que Justine lui ai vraiment tout dit ? Mon goût pour la soumission ? La rétrocession de mes biens sur un compte dont Justine est seule bénéficiaire ? Est elle allée jusqu’à lui confier qu’elle me tromperait à sa guise sans avoir de comptes à me rendre ? Pire, que ma femme ne sera jamais mienne ? Cette révélation, le jour de notre mariage, au milieu de tous nos invités, m’assomme quelques instants. Le DJ lance la musique, ce qui couvre le bourdonnement des voix et m’apaise quelque peu. Je m’apprête à vivre sous la coupe de ma femme pour le restant de mes jours, alors cela change quoi, au fond, qu’elle ait mis sa mère dans le secret ? J’essaie de répondre en prenant un air détaché mais mon trouble est perceptible.
 
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- Dans ce cas, vous êtes bien placée pour savoir que votre fille n’a rien à perdre dans ce mariage, que j’ai placée en elle mes espoirs et ma confiance, et qu’il s’agit d’une démarche que seul un homme éperdument amoureux peut entreprendre.
 
 
 
Justine est ravie de ma déclaration, elle irradie de bonheur. Elle se jette à mon cou et me couvre de baisers. Cathy qui me semble à moitié convaincue, s’apprête à répondre mais Charles la devance. Il a assisté à notre petite joute sans rien dire, discret et totalement effacé, fidèle à ses habitudes, mais c’est lui qui me sauve peut être d’une nouvelle réplique cinglante de son épouse.
 
 
 
- Pierre, Justine, vous formez un très beau couple, dit il avec émotion. Cela se voit que vous vous aimez. Puis il porte son regard sur sa fille et ajoute, les larmes aux yeux. Ma chérie, nous te souhaitons tout le bonheur du monde !
 
 
 
Justine abandonne mon cou pour couvrir son père de baisers tandis qu’un grand bonhomme à barbe grise et noire passe son bras autour des épaules de ma belle mère.
 
 
 
- Alors petite sœur, heureuse ? C’est pas tous les jours qu’on marie sa fille unique.
 
 
 
Il est éméché, il a la bouche pâteuse, et il ne laisse pas le temps à Cathy de répondre qu’il tend les bras en direction de Justine et l’enlève littéralement à son père.
 
 
 
- Alors ça y est, le petit taureau s’est laissé dompté, ironise-t-il tout sourire avant d’embrasser sa nièce.
 
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Etant donné le caractère volcanique de Justine, je trouve ce surnom plutôt bien trouvé. L’homme a la cinquantaine bien tassée, et des airs d’ours des cavernes.
 
 
 
- Mon chéri, je te présente, Henri, mon oncle. Il me tend la main et me la broie littéralement en me tapotant l’épaule d’un air viril. Il est un peu brut de décoffrage, ajoute-t-elle sur le ton de la plaisanterie, mais on l’aime bien au village, pas vrai.
 
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- Evidemment, comparé à ton cher papa, je fais office de macho, se défend il en adressant un clin d’œil à Charles. Mais tu sais ce que j’en pense, c’est pas parce que ma sœur lui a mis le grappin dessus et le mène à la baguette que c’est comme ça que doit marcher les relations entre un homme et une femme. Pas vrai ? me lance-t-il soudain.
 
 
 
Pris au dépourvu, je réponds d’un air gêné.
 
 
 
- Si vous le dîtes.
 
 
 
- Tonton, je t’ai déjà dit que t’avais une vision archaïque des relations homme, femme. D’ailleurs, tu n’es même pas marié.
 
 
 
- Je l’ai été et crois moi, Lysiane faisait ce que je lui disais de faire.
 
 
 
- Oui, ben on sait comment ça s’est fini, intervient Cathy, goguenarde en tendant une coupe à son frère. Et je ne crois pas que ce soit toi qui lui ai dit de partir à ta Lysiane.
 
 
 
Jacques prend la coupe, la vide à moitié, et se retourne vers moi pour trinquer.
 
 
 
- En tous cas, Charles, faut lui serrer la vis à la Justine ! C’est pas la fille de sa mère pour rien.
 
 
 
- Ca oui je sais, comptez sur moi, Henri.
 
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Justine, derrière son oncle, lève les yeux au ciel dans une moue qui m’arrache un sourire, puis satisfait, le tonton macho, s’éloigne pour aller trinquer avec un autre. Justine le remplace dans la seconde.
 
 
 
- Alors comme ça tu vas me serrer la vis ? me murmure-t-elle à l’oreille.
 
 
 
Elle a cet air espiègle qui m’a fait craquer la première fois que je l’ai vu. Une lueur de défi et d’autorité brille dans ses yeux. Si nous n’avions pas été entourés de tous ces gens, je suis persuadé qu’elle aurait montré à son oncle d’une manière ou d’une autre que c’est elle qui porte la culotte dans notre couple, et non l’inverse, comme le pense le brave tonton. Mais ce n’est que partie remise, je le sais.
 
 
 
- Tu ne perds rien pour attendre, mon chéri, me susurre-t-elle en me mordillant le lobe de l’oreille, tu vas voir…
 
 
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Par Charles et Déborah - Publié dans : 7. Le mariage d'un cocu - Communauté : Dominatrice BDSM
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